Couverture de VST_139

Article de revue

Livres et revues

Pages 140 à 145

Escalades pour tous. Édition des Cahiers du sport populaire, fsgt. Commandes sur https://www.escaladespourtous.org

1 Fin 2017, il peut paraître un peu désuet de produire un nouveau livre consacré à l’escalade pour tous destiné à l’éducation populaire et à l’éducation spécialisée. Du côté de la pratique de l’escalade, on s’oriente de plus en plus vers le sport de haut niveau, et le bon sens éditorial voudrait plutôt que l’on se penche sur les process d’entraînement (résistance courte, force pure, prévention des blessures à l’entraînement, etc.), et du côté de l’éducation spécialisée l’accent est mis maintenant sur de nombreuses notions bien éloignées de ce support à la relation éducative que peut être l’escalade, comme la notion de performance ou tout ce qui tourne autour du projet.

2 Et pourtant, n’est-ce pas retourner aux fondamentaux du travail éducatif et de l’éducation populaire que de se pencher sérieusement sur l’une des plus riches et intéressantes médiations à la relation éducative ?

3 Escalade pour tous est pensé comme un manuel destiné aux intervenants de l’éducation spécialisée et populaire. En huit chapitres, il passe en revue l’essentiel des bases pour un encadrant qui souhaiterait développer cette activité dans son institution. Bien sûr, il ne peut remplacer une véritable formation comme celles qui peuvent être délivrées par les fédérations compétentes, mais il pourra très utilement être utilisé comme support pour celles-ci.

4 Le dossier pédagogique et technique, particulièrement fourni, donnera à l’encadrant de nombreux outils pour alimenter sa pratique. Des exercices variés et très originaux (le fusible, les tgv, les ouistitis, etc.) sont décrits à la fois sur le plan technique mais surtout dans leurs objectifs de développement de la motricité et de la découverte de la gestuelle particulière de l’escalade (les fiches sont en accès libre sur le site escaladespourtous.org).

5 Le chapitre destiné « à ceux qui n’avaient rien demandé », orienté sur l’éducation spécialisée, donne certaines bases sur les spécificités de l’escalade avec chaque public, enfants, adolescents et adultes, en psychiatrie, dans le handicap, en insertion, cela de manière très concrète et pragmatique, par le biais d’exemples issus de la pratique d’animateurs, d’enseignants spécialisés ou d’éducateurs.

6 C’est décidément une bonne idée d’avoir conçu cet ouvrage ! L’accompagnement d’enfants ou d’adultes suppose des compétences précises, notamment lorsqu’il s’agit d’aborder un domaine comme celui de l’escalade où la notion de risque fait partie de l’activité et doit être maîtrisée. Le professionnel de l’éducation spécialisée et du soin trouvera dans ce manuel un panorama assez complet des potentialités et des richesses d’une activité qui peut servir de support à de nombreux types d’accompagnement.

7 Jean-Marie Vauchez

Road therapy. Stéphane Louis (scénario) et Lionel Marty (dessin). Bamboo éditions, coll. « Grand angle », 2018

8 Une bd qui, sans donner l’air d’y toucher, vient nous parler de séjours thérapeutiques, de ruptures des habitudes et de soins.

9 On est dans une petite institution qui accueille handicapés mentaux et fous. Une petite institution sympa avec des soignants qui connaissent bien leurs pensionnaires (il ne faut pas dire « malades »), qui travaillent bien comme il faut, juste que tout cela tourne un peu à vide. Le voyage-excursion qui démarre dès la première vignette aurait pu être une de ces occupations routinisées du vide, mais… Mais le chauffeur est un autre chauffeur que l’habituel, venu là on ne sait trop comment avec ses soucis et ses problèmes, qui vont révéler en miroir ceux des soignants et venir télescoper ceux des résidents. D’autant plus que ça dérape de la routine, et que tiens, il y en a qui vont aller moins mal ou différemment. Et pas que chez les pensionnaires. Ah, les vertus du changement et des petits grains de sable !

10 Une façon légère de parler de choses complexes. Pour échanger, discuter, réfléchir…

11 François Chobeaux

La communauté. Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin. Albin Michel, 2017

12 Trappes, dans les Yvelines. 30 km à l’ouest de Paris, 32 000 habitants.

13 Trappes, ce sont Jamel Debbouzze, Nicolas Anelka, Sophia Aram, Omar Sy… C’est aussi en quelques années près de 80 jeunes partis faire la guerre avec Daech. Trappes, ce sont les femmes en voile noir intégral, les tenues masculines « islamiques », les filles en foulard, les commerces hallal qui ont remplacé tous les autres…

14 La communauté est une plongée historique, sociale, culturelle et politique dans cette ville. Un reportage qui va chercher témoignages, acteurs, qui croise et recoupe les sources, un de ces livres qui marquent quand les journalistes se font observateurs sans complaisance de la société.

15 Pourquoi les banlieues sont-elles devenues le vivier de l’islamisme radical et de la folie combattante ? Nombre de savants ont avancé des explications, toutes valables, s’ignorant toutes les unes les autres. Psychanalyse, économie, post-colonialisme, racisme, les grands éléments explicatifs sont tous utilisés pour construire des incompréhensions. Dans ce livre, c’est l’inverse ; les auteures regardent, écoutent, interrogent, puis organisent ce qu’elles ont trouvé ; charge au lecteur de se faire sa propre compréhension.

16 Et les descriptions sont terrifiantes. Les pitoyables manœuvres des opportunistes locaux. L’aveuglement (volontaire ?) des hiérarchies administratives académiques, départementales, ministérielles, et des hiérarchies politiques nationales. Les alliances politiques et sociales contre nature dans de mortifères jeux locaux de pouvoir. La ville nouvelle de Saint-Quentin en Yvelines qui se développe juste à côté, espace de rêve socialement et financièrement interdit. Les policiers, trop jeunes, mal formés, mal encadrés, qui jouent aux cow-boys… Et pourtant, dans cet océan de grand n’importe quoi, des braves gens : un maire responsable et réaménageur, quoique peu à peu dépassé, des enseignants qui y croient envers et contre tous, un animateur de théâtre qui fédère les jeunes…

17 Aujourd’hui, Trappes se vide de sa population qui peut en partir, et s’emplit d’autant de déclassés qui vont à leur tour se laisser séduire par les vendeurs de pureté religieuse aliénante. Aujourd’hui, les aides aux devoirs montées par la mairie vont mal car elles ne sont plus encadrées par des personnes aux emplois aidés supprimés, et en même temps celles montées par la mosquée vont très bien car elles sont encadrées par des bénévoles. Et tiens, plus globalement, où sont les bénévoles de la République ? Perdus, écœurés, partis.

18 Alors, que faire ? La solution n’est pas que policière et judiciaire. Quels emplois prioritaires dans cette zone riche en entreprises ? Quelle politique de l’école qui soit autre que les bricolages nationaux habituels ? Quels animateurs sociaux compétents et républicains ? Quelle police de proximité, expérimentée ? Quelle reconnaissance des réalités culturelles, religieuses, ethniques, qui ne trouvent pas leur place dans le grand creuset de l’idéal national unifié ? On peut se faire croire que des avenirs humains sont possibles en reprenant les rares exemples des Jamel, Anelka… Mais ce sont autant de preuves de l’impossibilité de promotion sociale et économique pour tous, et autant de démotivations pour les jeunes. Les issues sont publiques, collectives, mais elles sont verrouillées.

19 Oui, les banlieues coulent, et ce n’est pas d’aujourd’hui. Ce livre est la terrible chronique de ce naufrage.

20 François Chobeaux

Les nouvelles dynamiques du développement social. Sous la direction de Cyprien Avenel et Denis Bourque. Champ social éditions, 2017

21 Le champ de l’intervention sociale est traversé par de multiples tensions : entre les logiques de changement social descendantes (top down) et ascendantes (bottom up) ; entre un modèle d’action assistanciel, réparateur, et un modèle préventif et capacitant ; entre une logique d’action clinique (ou de care), émancipatrice voire contestatrice, et des logiques curative, gestionnaire, managériale et de contrôle (autrement dit entre quête de sens et mesure de l’efficience, deux finalités qu’essaie de concilier Paule Simard dans un chapitre consacré à l’évaluation des initiatives de développement social et territorial) ; entre le décloisonnement par « hybridation » du travail social et sa marchandisation ; mais aussi entre l’accompagnement individualisé (case work) et le travail avec les groupes ou communautés locales. Ces tensions structurantes s’inscrivent dans un contexte de crise économique, marqué par le désengagement de l’État et le déploiement de politiques néolibérales d’austérité qui mettent les professionnels à l’épreuve de l’efficience et de la rentabilité de leurs pratiques et postures. Tel est l’arrière-plan de cet ouvrage collectif, dirigé par Cyprien Avenel et Denis Bourque, qui interroge, dans une visée comparative, les actuels enjeux, défis et conditions de mise en œuvre du développement social et territorial en France et du développement des communautés territoriales au Québec.

22 S’il est commun d’ériger ce dernier en expert des démarches d’empowerment (considérées dans leurs dimensions individuelle, communautaire et politique) et de lui opposer un modèle français centralisé, bureaucrate, hiérarchique, novice et réfractaire au développement de l’intervention collective et de la participation citoyenne, l’un des intérêts de cet ouvrage est de substituer à une telle lecture manichéenne une approche complexe, multidimensionnelle, qui rend compte des tensions et de la diversité des logiques d’action en œuvre au sein de chacun de ces territoires. Ainsi, retraçant la genèse du développement social en France, Cyprien Avenel rappelle la fonction médiatrice traditionnelle des associations entre les citoyens et les institutions publiques, en soulignant notamment le rôle clé joué par le mouvement des centres sociaux au début du xxe siècle dans la promotion du développement social, tandis que le groupe interministériel « Habitat et vie sociale » dans les années 1970 constitue un précurseur des politiques de la ville initiées par le rapport Dudebout en 1983 dans un processus de décentralisation de l’action sociale qui n’a cessé de s’affirmer depuis. Bref, le « problème français » réside plutôt dans l’écart entre des orientations politiques qui promeuvent depuis plusieurs décennies le développement social et les difficultés de leur mise en œuvre. Quant au Québec, si l’action territoriale communautaire, soutenue par une intervention collective professionnalisée, est plus ancrée qu’en France, Denis Bourque souligne la pluralité du mouvement communautaire, marqué par l’enchevêtrement de quatre générations, à travers l’avènement des comités de citoyens dans les années 1960, celui de groupes populaires autogérés et spécialisés dans les années 1970, celui des organismes communautaires dans les années 1980 et une nouvelle génération d’organismes dans les années 1990, « centrés sur le ré---encastrement du social dans l’économique […] en interface avec les élus locaux et des entreprises privées » (p. 62). L’action communautaire québécoise est aussi traversée par des tensions récurrentes, concernant son financement notamment : les subventions gouvernementales et provinciales représentent aujourd’hui près des deux tiers de ses revenus, ce qui constitue à la fois une de ses conditions de possibilité et « un facteur de perte d’autonomie et même d’identité » (p. 63). On peut également souligner le risque de « l’hyper-concertation » et de l’essoufflement de l’action collective concertée sur le long terme. Risque renforcé depuis le tournant libéral des politiques sociales au Québec en 2004, et qui s’est accéléré depuis 2014 avec la remise en question par le nouveau gouvernement du Parti libéral d’un modèle québécois partenarial et de ses instances de concertation et de participation de la société civile.

23 Il est d’ailleurs important de dépasser le débat opposant les défenseurs d’un État providence, omnipotent et omniprésent, et ceux d’un État en retrait voire absent. Denis Bourque et Gédéon Verreault ainsi que Marion Carrel distinguent une multiplicité de modèles de développement social (fordiste, radical, partenarial et néolibéral) et de protection sociale (corporatiste, libéral et social-démocrate). Les auteurs identifient trois marqueurs sur lesquels doit s’appuyer le modèle de développement partenarial (p. 125) : la coconstruction et la coproduction des politiques publiques ; une approche préventive et de promotion collective ; la transversalité, qui implique une action intersectorielle et territoriale. Quant à Cyprien Avenel, il dessine les contours d’un État stratège, qui vient en appui à la société civile et ses communautés territoriales, dans « une posture renouvelée d’accompagnement et d’incitation, de passeur et tisserand » (p. 87). Un tel État stratège, entendu dans sa forme démocratique (et non pas autoritaire), favorise le vivre-ensemble, promeut la transversalité des approches et, surtout, ne conçoit pas le social comme un coût, une charge, mais plutôt comme « un instrument dynamique de développement et de construction du bien commun local » (p. 93). Cyprien Avenel nous met aussi en garde contre l’écueil que constitue un travail social certes impliqué dans l’augmentation du pouvoir d’agir des personnes, mais focalisé sur la relation d’aide en face à face, avec le risque de survaloriser la responsabilité individuelle et de nourrir la stigmatisation des personnes les plus vulnérables. De même, une intervention sociale participative « enfermée dans la proximité » peut à la fois survaloriser les actions locales et occulter la structure des inégalités sociales. Il s’agit plutôt d’œuvrer au développement social à travers une forte complémentarité entre le local et le national, et d’affirmer le caractère indissociable de l’empowerment individuel et collectif. Enfin, afin que la participation citoyenne ne relève pas d’une logique du faux-semblant, elle ne peut se résumer à la consultation des citoyens dans l’élaboration d’un diagnostic, mais nécessite leur association aux décisions qui les concernent. Il s’agit d’augmenter l’acte-pouvoir des citoyens (cf. Mendel), entendu comme augmentation du pouvoir de leurs actes de citoyenneté et du pouvoir que chacun exerce sur ses actes.

24 De son côté, René Lachapelle insiste sur l’importance de la formation des travailleurs sociaux à l’intervention collective et au soutien aux actions communautaires, à travers des politiques publiques conçues et mises en œuvre à partir du territoire, et non pas en son nom (p. 168). En France, cela exige un décloisonnement des filières du travail social et la formation d’intervenants sociaux collectifs dans l’exercice d’une fonction de « passeurs » et de traducteurs entre les différentes parties prenantes, facilitant la circulation et le croisement des savoirs académiques et d’expérience. Ce qui suppose aussi l’élaboration d’une éthique de l’accompagnement, émancipatrice et de solidarité (Brigitte Bouquet), qui maintient dans une vigilance constante chaque catégorie d’acteurs dans la nécessité de s’engager dans un « être avec », un « faire avec », à travers la mobilisation et le développement des capabilités relationnelles et collectives de chacun ainsi que le partage du pouvoir décisionnel. Sans quoi la participation risque d’être perçue comme une injonction normative ou un simulacre, à travers des démarches qui se prétendent participatives mais qui sont vécues comme des situations de disempowerment (p. 193).

25 Pascal Fugier

Un essai de transformation sociale. Le quartier Picassiette à Chartres. Patrick Macquaire. Éditions L’Harmattan, 2018

26 Ce livre fait partie des ouvrages précieux qui mettent en perspective l’essence des choses. Patrick Macquaire nous invite à un voyage au cœur d’une pratique professionnelle qui se décline depuis plus de vingt-cinq ans dans un quartier de la ville de Chartres, d’une expérience de développement social local, à partir d’une pratique de terrain de la prévention spécialisée.

27 Cependant, Patrick Macquaire, qui ne se satisfait pas des conventions de l’académisme et des cadrages programmatiques, ouvre son récit par l’histoire de la ville puis du quartier, sur l’un de ses fantômes, Raymond Isidore, aujourd’hui mondialement connu par les touristes qui visitent sa cathédrale des pauvres, la Maison Picassiette. De façon brillante, il montre comment la prévention spécialisée peut contribuer à une démarche de développement social local, par l’élaboration d’une régie de quartier dont la réussite suppose la compréhension des enjeux humains, des dynamiques du territoire, et surtout la participation des habitants.

28 Si les mots de participation et de démarche participative sont à la mode et quelque peu galvaudés par l’absence de contenu, la manière de construire les modalités d’une participation authentique des habitants nécessite de l’habilité professionnelle, de la patience et du respect pour les personnes, toutes qualités que Patrick Macquaire a su déployer.

29 La question de l’éducation croise en permanence celle de l’insertion, la question de l’habitat celle de l’environnement, la question de la culture celle de la création. D’un quartier relégué, où la violence des rapports humains se superpose à la dégradation des immeubles, le lecteur suit, pas à pas, la transformation du monde et le règlement des problématiques sociales.

30 Mais Patrick Macquaire ne veut pas seulement que les habitants du quartier soient sécurisés dans leur circulation physique, satisfaits de la réhabilitation des logements, insérés dans la vie sociale et professionnelle, il veut que le quartier rayonne dans la ville et dans le monde. Il travaille patiemment, comme un tailleur de pierre du Moyen Âge, à son œuvre. Faire vivre le quartier à l’extérieur passe pour lui par son héros, Raymond Isidore, le balayeur du cimetière de Chartres qui a repensé et reconstruit l’art de la mosaïque comme moyen privilégié d’expression de ceux qui n’ont pas la parole, de ceux qui n’ont rien, de ceux qui, dépossédés de tout, n’en conservent pas moins des capacités de création et de communication.

31 Comme un mosaïste, Patrick Macquaire a rassemblé au long de deux décennies les différents morceaux d’histoire de ce quartier et fait les liens pour rassembler les énergies, les volontés, les potentiels, les matières. Aujourd’hui, dans les Hauts-de-Chartres, les Rencontres internationales de mosaïque témoignent de la réussite d’une exceptionnelle équipe qu’il conduit. Explosant tous les cadres, il a hissé au plus haut niveau sur la scène culturelle ce quartier, qui était relégué et ses habitants disqualifiés, en donnant à la ville le statut de capitale européenne de la mosaïque.

32 La figure de Raymond Isidore trône dans ces Rencontres internationales au fil des différentes éditions (la onzième vient de s’achever), reconnue par les artistes de la ville de Ravenne en Italie, berceau de la mosaïque byzantine, mais aussi les Japonais et par bien d’autres encore de différents continents.

33 C’est une grande leçon de travail social que nous donne Patrick Macquaire, lui qui ne jure que par Deligny et Alinsky (qui les lit encore ?), qui parle toujours avec prudence, humilité et grande précaution. La façon dont il a fait vibrer un quartier, l’a aidé à construire et reconstruire son cadre de vie, son habilité, sa sociabilité et sa socialité mérite d’être connue et communiquée.

34 Le lecteur ne trouvera pas de recette toute faite pour reproduire cette expérience de travail social en milieu ouvert, exemple rare d’insertion par l’activité économique et de transformation sociale. En revanche, il découvrira une lumière précieuse qui donne envie de porter les pas sur le chemin du développement social local et de la participation des habitants, à la rencontre de la vie et des personnes qui souffrent et dont il s’agit de favoriser le processus de l’action, de la production, de la réalisation, de la création.

35 Pascal Le Rest

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