Brand Stretching: Réunir la Philanthropie et le Marketing Vert
Abstract
This paper analyses Dame Anita Roddick as a pioneering and often marginalised “ethical, eco-feminist, green capitalist.” My main question is where does philanthropy begin for Roddick? Does it begin with deeply embedding products in alterity (including the Other in one’s mission statements)? Is it possible to argue that self-professed green companies, like hers has claimed to be, are inherently philanthropic? If we define philanthropy as “caring for others” then ecological concerns which involve saving us all, saving the planet, must also merit the honorific philanthropic title.
Keywords
- brand image
- corporate social responsibility
- green marketing
- philanthropy
- consumer behaviour
- cause-related marketing
Résumé
Cet article analyse le travail de Dame Anita Roddick que certains ont défini en tant qu’« écofeministe, éthique, marginale » et « capitaliste verte. » La question principale de cette étude est la suivante : Où commence la philanthropie pour Roddick ? Commence-t-elle par un rapprochement avec l’altérité (l’inclusion de l’Autre dans ses valeurs de marque) ? Est-il possible de maintenir que des entreprises dites vertes comme la sienne soient philanthropiques en soi ? Si la philanthropie implique le fait de s’occuper d’autrui peut-on dire qu’une préoccupation écologique, qui implique le fait de venir à l’aide de la planète, ce qui nous sauvera tous, est aussi un acte philanthropique ?
Mots-clés
- l’image de marque
- responsabilité sociale de l’entreprise
- le marketing vert
- la philanthropie
- comportement du consommateur
- cause marketing
Mots-clés éditeurs : la philanthropie, l'image de marque, le marketing vert, comportement du consommateur, cause marketing, responsabilité sociale de l'entreprise
Date de mise en ligne : 03/05/2010.
https://doi.org/10.3917/rips.039.0265