Arthur Rimbaud est mort d’un ostéome du genou à 37 ans. L’auteur s’attache à repérer l’affect de colère et celui du chagrin dans les écrits de Rimbaud, se posant la question de savoir si, après 1875, le combat entre pulsions de vie et pulsions de mort, entre colère et chagrin, n’ayant plus été investie littérairement, a pu dans le contexte d’un exil choisi en Afrique, continuer à agir silencieusement dans le réel somatique du corps, jusqu’au cancer.
- Rimbaud
- adolescence
- création
- cancer
- somatisation
- écriture
- littérature
Mots-clés éditeurs : écriture, cancer, adolescence, création, littérature, Rimbaud, somatisation
Date de mise en ligne : 01/12/2020
https://doi.org/10.3917/rfps.058.0073Cet article est en accès conditionnel
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