Alors que les « journaux d’actualité » rassemblent des contenus au sein d’un support à heure fixe, les marques médias nées sur les réseaux sociaux (Konbini, Brut, Loopsider, etc.) jouent la dispersion : elles créent des vidéos courtes qui sont partagées par les utilisateurs et reprises hors de toute éditorialisation. Et contrairement aux marques médias qui doivent légalement signaler l’immixtion des marques au sein de leurs contenus, elles produisent indifféremment des contenus journalistiques et des contenus sponsorisés par des marques commerciales partenaires. Quelles sont les conséquences de ces symbioses pour les marques médias et leurs partenaires commerciaux ?
- réseaux sociaux
- vidéo
- publireportage
- dépublicitarisation
- symbiose
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Monetization of media brands and publicity of commercial brands: how Brut develops a symbiosis with its commercial partners
News media are usually defined by their ability to gather contents and summarize them to an audience at a defined time. On the contrary, social networks based media such as Konbini, Brut or Loopsider bet on spreading their contents: they create small videos and let the users share them without any context. Whereas traditional media brands must warn viewers/readers when they develop a content with a commercial brand, these new media mix sponsored and proprietary contents indifferently. And it has an impact on the media, its audiences and the commercial brands producing these symbiosises.
Mots-clés éditeurs : journalisme, publireportage, dépublicitarisation, vidéo, symbiose, publicité, réseaux sociaux
Mise en ligne 22/02/2022
https://doi.org/10.3917/comma.182.0027