Notes
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[1]
L. Taborelli, Il Conte di Caylus e l’approccio « sperimentale » all’instrumentum vitreo, MEFRA, 107, 1995, p. 1027-1059. Con prospettive più ampie: A. M. Riccomini, Scavi a Veleia, L’archeologia a Parma tra Settecento e Ottocento, Bologna, 2005, nonché L. Taborelli, Caylus per Veleia - Veleia per Caylus, RA, 2007/1, p. 111-121.
-
[2]
Conclusioni che trovano conforto in M. Fumaroli, Préface, in Caylus mécène du roi, Collectionner les antiquités au XVIIIe siècle, cat. expo. Paris, BNF, 2002, p. 17: « Il est des retards qui font prendre de l’avance. On se délectera aussi à découvrir, dans les essais (...) que l’ “Ancien” Caylus, qui a passé depuis deux siècles et demi pour un retardataire négligeable, se révèle aujourd’hui à des yeux modernes et scientifiques, comme un contemporain de nos laboratoires de muséographie, de cristallographie et d’archéologie ».
-
[3]
Parte iniziale del Progetto di Ricerca « Archeologia e Cultura materiale: percorsi epistemologici tra storia e cronaca nei periodici accademici francesi del XVIII e XIX secolo », il cui obbiettivo è indagare sulla nascita di alcune problematiche e sull’evoluzione dell’approccio e del metodo usati dagli studiosi per affrontarle e risolverle.
-
[4]
Alcuni di essi nel trattare un argomento utilizzano l’approccio e la terminologia caylusiani senza pronunciare il nome dello studioso; questo è tuttavia leggibile in filigrana, dimostrazione, indiretta, di quanto e come il suo magistero era stato assimilato.
-
[5]
Nello specifico: Journal des Savants (JSav.); Histoire de l’Académie Royale des Inscriptions et Belles-Lettres (con variazioni del titolo nel tempo; abbreviazione limitata all’ultima parte) e Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (CRAI); Mémoires et Dissertations e Bulletin de la Société royale des Antiquaires de France (rispettivamente M. e B. Ant. Fr.); Revue archéologique (RA). La conoscenza, vista come liberatrice, era, come è noto, un elemento fondante il progetto dei Lumi; per conquistarla veniva favorita l’educazione, dalla scuola alle accademie, e la diffusione del sapere, attraverso le pubblicazioni specializzate e le enciclopedie. Se i periodici erano il luogo dove le idee venivano sottoposte a dibattito critico, la grande città, sede di accademie, era il luogo che più favoriva la libertà dell’individuo in tutte le sue espressioni, le occasioni di incontro, il dibattito pubblico. In proposito, da ultimo, T. Todorov, L’esprit des Lumières, Paris, 2006, part. p. 13 e 15.
-
[6]
Dunque estesa al di là del tema dell’instrumentum e delle problematiche connesse, e tuttavia a questo si è posta particolare attenzione, sia perché argomento della ricerca precedente, sia perché argomento preponderante del Progetto in corso.
-
[7]
In esse, cf. l’indirizzo del sito supra, ho limitato i commenti ed evitato riferimenti bibliografici esterni, nella convinzione che questo tipo di documentazione « parlante » vada ascoltato e apprezzato prima di tutto per il suo valore di testimonianza.
-
[8]
Ch. Le Beau, Éloge historique de M. le Comte de Caylus, Histoire de l’Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 34, 1770 (1764-1766), p. 221-234.
-
[9]
F.-F. de La Sauvagère, Recueil d’antiquités dans les Gaules (...), Ouvrage qui peut servir de suite aux Antiquités de feu M. le Comte de Caylus, Paris, 1770, JSav., 1770, p. 689 (errata, corrige: 699). Per il rapporto tra l’autore e Caylus: JSav., 1771, p. 74-79, part. p. 74; op. cit., p. ix e xix. Per un ulteriore collegamento all’opera di Caylus e di de La Sauvagère, scheda 2, nota. Questo tipo di riferimenti si ripete nel tempo, ad es.: A. Danicourt, Étude sur quelques antiquités trouvées en Picardie, RA, 7, 1886, p. 65-105: « C’est donc Grivaud (de la Vincelle), continuant en cela l’œuvre du comte de Caylus, qui nous fait connaître les principales découvertes survenues, de son temps, dans le nord de la France » (p. 76).
-
[10]
Per es.: Presentazione (redazionale) dell’opera: Ch. G. Saxe (Saxius), Epistola ad (...) Henricum Van Wyn (...) de veteris medici ocularii gemma sphragide (...), Trajecti ad Rhenum, 1774, JSav., 1775, p. 625-626, part. p. 626; « Nouvelle littéraire », Lettre de M. Falconet à M... en réponse à un prétendu examen de la traduction de trois Livres de Pline, Pétersburg, 1775, JSav., 1776, p. 308-309, part. p. 308; « Extrait » di Dupuy dell’opera di Bitaubé (P.-J. Bitaubé, L’Iliade d’Homère, Paris, 1780), JSav., 1780, p. 775-784, part. p. 781.
-
[11]
Vale la pena di ricordare le parole di Le Beau (supra, n. 8): « Les Antiquaires, ceux qui croyoient l’être, ceux qui vouloient le paroître, s’empressoient d’entrer en commerce avec lui: ils se flattoient d’être admis au nombre des Savans, dès qu’ils pouvoient montrer une lettre de M. le comte de Caylus; c’étoit pour eux un brevet d’Antiquaire » (p. 231).
-
[12]
P.-J.-B. Legrand D’Aussy, Mémoire sur les anciennes sépultures nationales (...) et sur un projet de fouilles à faire dans nos départemens, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Sciences morales et politiques II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 411-680.
-
[13]
A. Mongez, Mémoire sur les vases murrhins, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 133-173, part. p. 133.
-
[14]
J.-M. Vien - G.-M. Le Blond, Sur des vases trouvés dans un tombeau près de Genève (...), Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 182-194, part. p. 193.
-
[15]
A. Mongez, Mémoire sur Persépolis, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts III), Prairial an IX [1800-1801], p. 212-302, part. p. 290 e 294.
-
[16]
A. Mongez, Mémoire sur deux inscriptions latines et sur l’OPOBALSAMUM (...), Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts III), Prairial an IX [1800-1801], p. 380-394, part. p. 381-382.
-
[17]
A. Mongez, Notice de Mémoire, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts IV), Vendémiaire an XI [1802-1803], p. 27-32, part. p. 29.
-
[18]
N. 23 in scheda 13: Le Blond - Du Theil - Mongez (rel.), Rapport sur le fragment d’un monument antique envoyé (...) par le citoyen Achard, conservateur du musée de Marseille, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts, pour l’an IV de la République (Littérature et Beaux-Arts I), Thermidor an VI [1797-1798], p. 170-180, part. p. 179-180.
-
[19]
Per es.: « Nouvelle littéraire », ristampa dell’opera di Caylus-Majault, Mémoire sur la Peinture à l’encaustique & sur la Peinture à la cire, Genève, 1780, JSav., 1780, p. 191 (non una nuova edizione ma « la première & l’unique qui ait été faite sous les yeux de M. le Comte de Caylus »); « Extrait » di Gaillard dell’opera di Odoards-Fantin (sic): A.-É.-N. Fantin-Desodoards, Nouvel Abrégé chronologique de l’Histoire de France (...), iv-v, Paris, 1788, JSav., 1789, p. 15-23, part. p. 21 (1752): « On a retrouvé la peinture à l’encaustique (...) des anciens; cette découverte est due au Comte de Cailus (sic) & au Médecin Majo (sic) ».
-
[20]
E nonostante che talvolta il suo nome venga sottaciuto, per es. a proposito di instrumentum di cui si era occupato: G. M. Le Blond, Dissertation de M. l’Abbé Le Blond sur les Vases Murrhins, JSav., 1779, p. 432-434; nonché Id., « Mémoire » (stesso titolo), Mémoires de Littérature, Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 43, 1786 (1776-1779), p. 217-227. Inoltre: J. (de) La Lande, « Extrait » di P. Bosc d’Antic, Œuvres (contenant plusieurs) Mémoires sur l’art de la Verrerie, sur la Fayancerie, la Poterie, l’art des Forges, la Minéralogie, l’Électricité, & sur la Médecine, Paris, 1780, JSav., 1781, p. 17-23; P.-H. Larcher, Mémoire sur les vases Théricléens, in Mémoires de Littérature, cit., p. 196-216, part. p. 208-216, nonché Id., Mémoire sur les vases Murrhins, ibid., p. 228-238.
-
[21]
Rispettivamente: A.-Ch. Quatremère de Quincy, Mémoire sur la description du bouclier d’Achille par Homère, Histoire et Mémoires Institut royal de France (Classe d’Histoire et de Littérature anciennes), 4, 1818 ( « Lu le 15 septembre 1809 » ), p. 102-164 [scheda 19]; Mémoire sur le char funéraire qui transporta de Babylone en Égypte le corps d’Alexandre, ou Projet de restitution de ce Monument, d’après la description de Diodore de Sicile, ibid. ( « Lu le 5 février 1808 » ), p. 315-394 [scheda 20]; Mémoire sur le bûcher d’Héphestion, décrit par Diodore de Sicile, et sur la manière de restituer ce Monument dans un système tout à fait différent de celui de M. de Caylus, ibid. ( « Lu le 7 Décembre 1810 » ), p. 395-457 [scheda 21]; Mémoire sur le défi d’Apelles et de Protogènes, Ou Éclarcissemens sur le passage dans lequel Pline rend compte du Combat de dessin qui eut lieu entre ces deux Peintres, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 5, 1821 ( « Lu le 31 décembre 1807 » ), p. 300-336 [scheda 22]. Si noti la brevità del tempo in cui fu svolta questa serie di memorie in proporzione all’elaborazione critica e metodologica profusa: su tale elaborazione e la sua contestualizzazione infra e scheda 27; sul personaggio scheda 43.
-
[22]
Supra, n. 21, part. p. 315-316.
-
[23]
Ibid., p. 321-322.
-
[24]
Supra, n. 21, p. 300.
-
[25]
Supra, n. 21, p. 404.
-
[26]
Supra, n. 21, p. 322-323.
-
[27]
Supra, n. 21, p. 322-323.
-
[28]
Supra, n. 21, p. 397. Ibid., a seguire, la precisazione: « Si l’ensemble du monument, tel qu’il l’a représenté, ne devoit souffrir aucun reproche, il suffiroit de redessiner dans les mêmes espaces les mêmes sujets, mais d’un autre goût et d’une manière différente: or une telle modification n’exigeroit que le crayon d’un dessinateur plus exercé dans le style antique. »
-
[29]
Infra, D. Raoul-Rochette: Monumens et Ouvrages d’art antiques, restitués d’après les descriptions des écrivains, et accompagnés de dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris (2 vol.), 1826 et 1828, JSav., 1830, p. 41-53.
-
[30]
Che produce un contributo esemplare sin dal titolo: J.-J. Jorand, De la nécessité d’être exact dans la représentation et la description des monumens archéologiques, et des graves conséquences auxquelles entraîne l’oubli de cette règle (...), Mémoires et Dissertations sur les Antiquités nationales et étrangères, Société royale des Antiquaires de France, 7, 1826, p. 257-273.
-
[31]
Supra, n. 30, part. p. 258.
-
[32]
Ibid., p. 272-273.
-
[33]
B.-J. Dacier (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Visconti, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 8, 1827 ( « Lue dans la séance publique du 28 juillet 1820 » ), p. 3-25.
-
[34]
B.-J. Dacier (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Millin, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptios et Belles-Lettres, 8, 1827 ( « Lue dans la séance publique du 27 juillet 1821 » ), p. 42-60.
-
[35]
Supra, n. 33, p. 6-7.
-
[36]
Supra, n. 34, p. 60.
-
[37]
D. Raoul-Rochette, Monumens et Ouvrages d’art antiques, restitués d’après les descriptions des écrivains, et accompagnés de dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris (2 vol.), 1826 et 1828, JSav., 1830, p. 41-53; inoltre Id., Recueil de Dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris, 1836, JSav., 1837, p. 176-186 e 193-203.
-
[38]
Loc. cit., n. 37 (= scheda 27), p. 41-43.
-
[39]
Loc. cit., p. 44.
-
[40]
Si vedano ad es. i contributi: A. Chabouillet, Monument mithriaque apocryphe de la Bibliothèque impériale, RA, 7 (14), 1866, p. 73-79 [scheda 38], nonché Id., Sur une main de bronze adressée à une peuplade gauloise nommée en grec ???????????, RA, 10 (20), 1869, p. 161-187 [scheda 40], su Chabouillet scheda 52; Ch. Nisard, Notice sur le P. Paciaudi, théatin italien qui fut membre associé étranger de l’Académie des Inscriptions, et correspondant du comte de Caylus, CRAI, 5, 1877, p. 46-54 [scheda 44], su Nisard scheda 47.
-
[41]
D. Raoul-Rochette, De la peinture sur mur chez les anciens, JSav., 1833, p. 361-371.
-
[42]
Ibid., p. 361-362. A proposito della celebre statua di Diana da Ercolano, precisa: « J’en ai fait exécuter sous mes yeux, à Naples, un dessin colorié avec le plus grand soin, où les teintes primitives, telles qu’elles se retrouvent encore sur le monument original, sont fidèlement reproduites » (p. 363, n. 2).
-
[43]
D. Raoul-Rochette, Troisième Mémoire sur les Antiquités chrétiennes des Catacombes. Objets déposés dans les tombeaux antiques (...), Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 13, 1838, p. 529-788.
-
[44]
Loc. cit., p. 601.
-
[45]
Loc. cit., p. 764.
-
[46]
Loc. cit., p. 765.
-
[47]
J.-B. - P. Jollois, Mémoire sur les antiquités romaines et gallo-romaines de Paris, Mémoires Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres de l’Institut de France (IIe s., Antiquité de la France), I, 1843, p. 1-177.
-
[48]
Supra, n. 21 e schede 19-22.
-
[49]
Ricopriva la carica di ingénieur en chef-directeur des Ponts et Chaussées du département de la Seine.
-
[50]
A. (de) Longpérier, Observations sur une figure de Bacchus privée du bras gauche, CRAI, 1 (n.s.), 1865, p. 409-413.
-
[51]
Supra, n. 43 e scheda 30.
-
[52]
A. Chabouillet, Sur une main de bronze adressée à une peuplade gauloise nommée en grec ???????????, RA, 10 (20), 1869, p. 161-187.
-
[53]
Scheda 40, n. 96 e, loc. cit., p. 163.
-
[54]
A. e H. (de) Longpérier, Des rouelles et des anneaux antiques considérés comme agents de suspension, RA, 8 (16), 1867, p. 343-362 e 397-408.
-
[55]
Loc. cit., p. 408.
-
[56]
J. Quicherat, De quelques pièces curieuses de verrerie antique, RA, 15 (28), 1874, p. 73-82.
-
[57]
Loc. cit., p. 73.
-
[58]
Loc. cit., p. 74-75.
-
[59]
J. D. Guigniaut (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les travaux de M. Quatremère de Quincy, Mémoires Institut national de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 25, 1877 (lue dans la séance publique de cette Académie le 5 août 1864), p. 361-412.
-
[60]
Supra, n. 37 e scheda 27.
-
[61]
Supra, n. 57, p. 369-370.
-
[62]
Loc. cit., p. 386-387 (scheda 43) ; cf. schede 19-22.
-
[63]
Loc. cit., p. 400-401.
-
[64]
Loc. cit., p. 401.
-
[65]
Ch. Nisard, Notice sur le P. Paciaudi, théatin italien qui fut membre associé étranger de l’Académie des Inscriptions, et correspondant du comte de Caylus, CRAI, 5, 1877, p. 46-54.
-
[66]
J. Kont, Lessing archéologue, RA, 22, 1893, p. 49.79.
-
[67]
Loc. cit., p. 51.
-
[68]
Loc. cit., p. 52-53, con riferimento bibliografico a S. Rocheblave, Essai sur le comte de Caylus, Parigi, 1889.
-
[69]
Loc. cit., p. 54, con rimando a Rocheblave.
-
[70]
In nota: « Dans la thèse de M. Rocheblave, [tuttavia precisando] le savant auteur a seulement quelque peu exagéré les mérites de Caylus en faisant de lui non un digne précurseur, mais presque l’égal de Winckelmann ».
-
[71]
Loc. cit., p. 55, con riferimento bibliografico in nota.
-
[72]
Loc. cit., p. 56 (scheda 49).
-
[73]
Loc. cit., p. 59-60.
-
[74]
É. Molinier, (allocution) A. Chabouillet. Son éloge funèbre, B. Ant. Fr., 1900, p. 61-64.
-
[75]
Loc. cit., p. 61-62.
-
[76]
Loc. cit., p. 63.
-
[77]
Loc. cit., p. 64.
-
[78]
A. M. Riccomini, Scavi a Veleia, L’archeologia a Parma tra Settecento e Ottocento, Bologna, 2005. Si tratta di documentazione prodotta da Caylus (e dai suoi interlocutori) nel periodo per lui più maturo, fecondo di elaborazioni e proposte, soprattutto dal punto di vista delle metodologie. Sono gli anni (1760-1765) vissuti da Caylus con un impegno prevalente sugli altri: quello degli scavi e della documentazione di Veleia e dei suoi reperti.
-
[79]
Si veda in proposito L. Taborelli, Caylus per Veleia - Veleia per Caylus, RA, 2007/1, p. 111-121.
-
[80]
Assieme all’introduzione di nuove tecniche stratigrafiche nella conduzione e nella documentazione dello scavo archeologico, nonché nella lettura, interpretazione e riproposizione dei monumenti antichi.
-
[*]
Con queste parole Ch. Le Beau (secrétaire perpétuel de l’Académie), si riferisce a Caylus nell’: Éloge historique de M. le Comte de Caylus, Histoire de l’Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 34, 1770 (1764-1766, Assemblée publique d’après Pâques 1766), p. 221-234, part. p. 229 (cf. scheda 1). NB: le schede che corredano il testo sono consultabili in hhhhttp:// wwww. unimc. it/ web_9900/prov_dip/archeol/a_cm.html/. Ringrazio il Dipartimento di Scienze Archeologiche e Storiche dell’Antichità dell’Università di Macerata per la generosa ospitalità.
PREMESSA
1Indagando sul contributo di Caylus all’evoluzione del sapere tecnico-scientifico nel periodo di passaggio dall’erudizione antiquaria all’Archeologia, avevo evidenziato l’importanza del metodo del riscontro autoptico da lui concepito per l’approccio al reperto archeologico [1]. Le conclusioni a cui ero pervenuto mi inducevano a riconoscergli il ruolo di precursore e innovatore, portatore di valori illuministi in un ambiente ancora largamente pervaso dall’empirismo, inoltre, di personaggio chiave per lo sviluppo delle prime fasi della scienza archeologica [2]. Tuttavia sembrava necessario definire in modo più completo tale ruolo, verificarne la consistenza e l’estendibilità anche al di fuori della tematica dell’instrumentum domesticum già indagata. Per questo ho avviato una nuova ricerca impostata con prospettiva più ampia.
2In questa nuova ricerca [3], ho preso in considerazione le reazioni che gli studiosi delle generazioni successive ebbero nei confronti del personaggio, delle sue idee e della sua opera. Per verificare la « fortuna critica » di Caylus ho analizzato le valutazioni e le riflessioni degli studiosi che ritennero di menzionarlo [4], a fronte della scoperta di nuovi reperti, del progredire delle conoscenze e dell’ampliarsi del dibattito d’opinioni.
3Si è poi rivelato proficuo rileggere il complesso di valutazioni e riflessioni sviluppato da tali studiosi nei confronti dell’operato di coloro che – contemporanei di Caylus e, soprattutto, suoi posteri – erano giudicati come padri fondatori dell’Archeologia. Nel corso di questa rilettura sono emerse testimonianze di elaborazione critica che divengono, di volta in volta, occasioni per una nuova impostazione metodologica della ricerca, in un continuum determinante per il progresso della disciplina.
4Questa ricerca è iniziata con una ricognizione in alcuni periodici accademici francesi [5], limitata alle annate edite tra il 1765, anno della scomparsa di Caylus, e il 1900, data considerata per tanti aspetti emblematica della « modernità ». La ricognizione ha consentito una selezione di brani operata con il criterio della rappresentatività dell’insieme delle tematiche archeologiche [6]. I brani selezionati sono tratti da contributi scientifici, recensioni, commemorazioni di studiosi, verbali accademici; essi sono poi stati trasformati in schede [7]. La sequenza delle schede scandisce il trascorrere del tempo e permette di constatare, attraverso giudizi e confronti, il grado di maturazione della riflessione a cui gli studiosi erano giunti su un tema e la relativa problematica. Essa consente anche, in proiezione, una visione sul complesso delle tematiche che componevano la disciplina archeologica, nella fase in cui questa, con il precisarsi della sua fisionomia, si discostava dall’erudizione antiquaria e si affermava come scienza a se stante, base documentale per la Storia.
NELLE SCHEDE, DI RIFLESSO: CAYLUS TRA APPROVAZIONE E CONTESTAZIONE
5L’analisi che si propone è condotta collegando tra loro i brani ritenuti più significativi dal punto di vista del contenuto epistemologico.
6Già nell’elogio dedicato da Le Beau a Caylus [8] [scheda 1] comparivano tutti gli elementi essenziali per un giudizio complessivo sul personaggio: la consapevolezza che il suo magistero andava valutato sulle sue conoscenze e la sua capacità di osservare (descrivere e documentare) e interpretare i reperti (le tecniche con cui erano prodotti e la loro utilizzazione). Alle sue conoscenze egli aveva aggiunto quelle derivanti dal coinvolgimento di medici, chimici, fisici, geologi, tecnologi e artigiani, che pochi prima di lui si erano premurati di consultare. La sua capacità di raccontare, coinvolgere ed entusiasmare, la sua fantasia, erano doti non facili da dominare, esponevano a rischi; però anche grazie ad esse le Scienze sperimentali, le Arti e le Lettere, trovarono la strada di una nuova collaborazione.
7A giudicare dal contenuto dei periodici indagati, i primi decenni seguenti alla scomparsa di Caylus (condizionati da vicende storiche, politiche e sociali drammatiche) trascorsero senza che la sua figura di studioso venisse messa in discussione. Le citazioni dei suoi scritti e i riferimenti alle sue opinioni si trovano numerosi, mostrano stima, rispetto, solo qualche obiezione. In un panorama di citazioni ripetitivo e talvolta banale, alcune meritano un richiamo, a titolo di esemplificazione.
10Cosî in un caso all’autore sembra opportuno suggerire, sin dal titolo, un riferimento all’opera caylusiana senza rinunciare, nel testo, a occasioni di confronto [9]. Frequentemente l’opera e le opinioni di Caylus vengono citate come garanzia della correttezza delle interpretazioni proposte [10].
11A Caylus veniva riconosciuto, quasi unanimemente, il merito di aver risvegliato l’attenzione sulle antichità nazionali di cui aveva suscitato l’apprezzamento sino a farne auspicare il censimento (fig. 1 a-b) e condannare la dispersione [schede 2-3]. Inoltre gli si attribuiva il profilo culturale e morale dell’ « Amateur des Beaux-Arts », titolo meritato da pochi [11] [scheda 5].
12Più in generale, i reperti (anche quelli bizzarri) considerati come « monuments d’art » e « objets d’instruction et d’étude » erano occasione di collaborazione interdisciplinare [12] [scheda 8]. Al contrario le carenze del « système méthodique » al quale riferirli, « système dans lequel ils se trouvassent classés d’avance et s’expliquassent les uns par les autres », suscitavano insofferenza: « La science n’acquit ainsi que des descriptions détachées, sans suite et sans but comme sans instruction réelle » (ibid.), un fatto inaccettabile a fronte « des méthodes descriptives inventées par les naturalistes modernes » [13] [scheda 9].
13Ancora, però, i reperti di una tomba considerati come instrumentum « n’intéressent véritablement que par leur objet, qui est relatif à l’étude de l’Antiquité et aux mœurs des hommes »; se poi « les ustensiles qu’il [la tomba] contenoit, ne sont accompagnés d’aucune inscription, et ne portent aucun caractère qui puisse déterminer l’époque à laquelle il appartient » l’interesse decade: « Les vases et ustensiles (...) ne donnent aucune notion nouvelle sur les funérailles antiques, et n’offrent aucune particularité remarquable qui puisse intéresser les arts ou l’érudition » [14] [scheda 10].
14Va ascritto a Mongez un significativo contributo alla riflessione sulle questioni riguardanti l’elaborazione della metodologia, dal punto di vista teorico e tecnico. Cosî egli si chiedeva [15] [scheda 11] « si une question de fait devoit être jugée par l’autorité », concludendo « je vais l’établir sur des preuves directes ». In altra occasione ammetteva che « il est difficile, après cette exposition, de combattre l’opinion de Caylus », quando questa si basa su un’ « exposition » che comprende il riscontro autoptico e la contestualizzazione del reperto [16] [scheda 12]. Occorreva vigilare: « À une époque où toutes les sciences prennent une route sûre, où le vrai seul et le vrai démontré obtiennent l’assentiment général, les antiquaires doivent rejeter les explications frivoles » [17] [scheda 13]. Nel formarsi un’opinione su un soggetto aumentava il peso della documentazione, della collaborazione interdisciplinare e della sperimentazione volte alla conoscenza del manufatto [schede 13-14, 16]. D’altro canto e più in generale « à quoi bon se perdre en conjectures sur un sujet qui, mieux connu, n’auroit vraisemblablement pas un grand degré d’utilité ? (...) La partie de la science, qui a pour objet la connoissance de l’Antiquité, se compose d’une infinité de détails qu’à la vérité il ne faut pas négliger; mais ce n’est qu’à la variété de leurs rapports combinés avec le résultat de leur ensemble et l’utilité du but, que le philosophe peut mettre quelque importance. [Si devono] rappeler ces principes; ce n’est qu’en s’y conformant qu’on avancera la science » [18] [scheda 13].
15Nell’eterogeneità degli argomenti di cui Caylus si era occupato, su alcuni veniva chiamato in causa più di frequente: la tecnica della pittura a encausto, la metallotecnica, l’uso delle fonti classiche; argomenti che avevano suscitato dibattito di opinioni, da prima con esiti premianti per lui [19], più tardi con strascichi e dispute che ne insidiarono l’autorevolezza. Infatti, nonostante le attestazioni di apprezzamento [20], negli anni di passaggio tra i due secoli, cresceva una corrente di critica nei suoi confronti che, dagli argomenti citati, si ampliava e giungeva a porre in discussione la credibilità scientifica complessiva della sua opera, di conseguenza, ai nostri occhi, a ridimensionare il suo ruolo di mediatore nella fase di passagio dall’erudizione antiquaria alla nascente scienza archeologica.
16In questo contesto, l’attività più impegnata dal punto di vista critico e metodologico, sensazionale, fu esplicata da Quatremère de Quincy tramite la lettura pubblica di una serie di memorie [21] [schede 19-22]: « Il existe un moyen d’augmenter nos richesses en fait d’antiquités, dont on n’a pas encore tiré un grand parti, mais qui n’a pas entièrement échappé au zèle et à l’ambition de ceux qui nous ont précédés; c’est de faire revivre par le dessin tous ceux des monumens et des ouvrages de l’art que les écrivains Grecs ou Romains ont décrits d’une manière assez précise et assez circonstanciée, pour qu’il soit possible, avec le secours de la critique et des points de comparaison, d’en retrouver le goût et les détails, d’en recomposer l’ensemble et la forme générale » [22] [scheda 20].
17L’argomento era ritenuto fondamentale, sia dall’autore, che lo sviluppava dalla tribuna più alta dell’epoca, l’Académie, sia da quest’ultima, che l’accoglieva nel periodico che la rappresentava ufficialmente.
18L’ambizioso obiettivo che si poneva l’autore era già stato perseguito, nello specifico da Caylus, ma comportava una serie di problemi di difficile soluzione. Ora Quatremère proponeva un metodo che sembrava trovare soluzione a tali problemi. Si trattava di un argomento che giudicava attraente ma pericoloso, da affrontare con prudenza. Possiamo osservare cosî che, accanto alla fiducia nelle fonti, ottimistica, e nel nuovo metodo, c’è la consapevolezza dei rischi: « de voir et de juger plus d’une partie des arts de l’Antiquité à travers les préventions des habitudes modernes » e di produrre « des travestissemens, plutôt que des démonstrations du goût de l’Antiquité » [23] [scheda 20]; di proporre interpretazioni che siano « récits qu’ils se sont plu à qualifier d’historiettes ou de contes d’enfant » [24] [scheda 22]. Rischi non schivati ed errori in cui erano caduti i predecessori (Caylus). Inevitabilmente riaffiorano le perplessità: « J’espère montrer que nous n’en sommes pas réduits (...) à de simples conjectures » [25] [scheda 21].
19Quatremère ritiene che la ricerca della verità giustifichi « d’attaquer et de combattre de point en point l’opinion et la manière de voir d’un homme justement célèbre [Caylus] » [26] [scheda 20]. Ma, nel momento in cui rileva i limiti di Caylus, rivela la parte più vana della sua critica. Cosî « Il est de la justice de déclarer que cette censure, si elle est fondée, ne tombe pas uniquement sur M. de Caylus, mais aussi sur l’état général des connoissances critiques de l’art et des monumens en France, à l’époque où il vécut. Il en est de la science de l’Antiquité comme de toutes celles qui dépendent de l’observation et de l’expérience; chaque jour apporte des notions nouvelles, ou des moyens de perfectionner les anciennes » [27] [scheda 20]. Per Quatremère resta la constatazione: « Dans le fait, le goût de dessin et de composition d’ornemens qui régnoit assez généralement au temps de M. de Caylus, étant reconnu pour avoir trop peu de conformité avec celui de l’antique » [28] [scheda 21].
20Solo dopo qualche anno Raoul-Rochette, con un contributo esemplare, ricomporrà la sequenza evolutiva della metodologia e della sua complessa elaborazione [29] [scheda 27].
DOPO LA CONTESTAZIONE
21Dopo l’offensiva di Quatremère de Quincy, proseguono con ritmo altalenante l’elaborazione metodologica e critica. Si nota la crescente attenzione alle questioni di carattere tecnico e, con Jorand [30] [scheda 23], si conviene che « c’est par l’analogie qu’on doit procéder à ces sortes de recherches [lo studio delle antichità]; elles prescrivent une exactitude scrupuleuse, non seulement à l’égard des questions qu’il faut chercher à résoudre, mais encore dans la reproduction des objets qu’on se propose d’expliquer, ou sur lesquels on veut porter un jugement. Le mode analytique ne permet de prononcer qu’après avoir beaucoup vu, après avoir comparé long-temps. Pour parvenir à de véritables résultats, il faut une grande sagacité dans l’emploi des ressources de l’érudition; il faut surtout que l’esprit observateur se défie de ce qui charmerait, de ce qui séduirait une imagination ardente » [31]; non si deve dimenticare che « c’est la vérité qu’on doit chercher; c’est la chose elle-même qu’on doit décrire ou représenter » [32].
22Ma ancor più interessante risulta la riflessione di Dacier su quelli che venivano considerati i padri fondatori della disciplina. Da Visconti [33] [scheda 24] a Millin [34] [scheda 25]: « Des hommes qui joignoient un jugement solide à un esprit pénétrant et à une instruction profonde et variée, studioient les monumens sous leurs rapports divers, et consignoient dans leurs ouvrages les véritables principes de l’archéologie » [35] [scheda 24]. Ma anche con riferimenti inevitabili a Caylus e Winckelmann. A quest’ultimo egli attribuisce un merito speciale, infatti « cachant le critique et l’érudit sous les traits brillans d’une imagination passionnée, avoit rendu plus intime par ses exemples l’heureuse alliance entre l’érudition et les beaux-arts » (ibid.).
23Certo Millin aveva avuto un ruolo straordinario per ampiezza e fecondità: conservatore di musei e collezioni, divulgatore ed editore, promotore e coordinatore di attività accademiche, docente, studioso. Peccato che « cette activité infatigable (...) fut aussi la source de quelques imperfections. Peut-être trop empressé de répandre les nouvelles connoissances qu’il acquéroit, n’a-t-il pas assez mûri la composition de quelques-uns de ses nombreux ouvrages; peut-être aussi, à force de chercher à rendre la science aimable pour la faire accueillir dans le monde, s’est-il exposé quelquefois à la faire paroître un peu frivole: [ma gli dobbiamo esser grati] d’avoir réussi par ce moyen à obtenir des hommes, pour ce qui les instruit, une partie de l’intérêt et de l’estime qu’ils n’accordent trop souvent qu’à ce qui les amuse » [36] [scheda 25].
24Il magistrale contributo di Raoul-Rochette [37] [scheda 27] su Quatremère e il suo metodo viene a chiarire, potremmo dire a ricucire, il percorso evolutivo dell’elaborazione teorica e metodologica della disciplina.
25Premesso che « il y a deux manières de concevoir et de traiter l’Antiquité figurée », spiega in cosa consistano; poi prosegue « Chacune de ces deux méthodes a ses avantages et ses inconvéniens », che enumera. Quindi precisa: « Dans un temps où les monumens étoient encore rares et mal compris, il étoit naturel qu’on s’attachât de préférence à la première méthode; que l’on essayât de suppléer à l’indigence où l’on étoit, en cherchant dans les textes ce qu’on ne trouvoit pas dans les musées; en un mot, que l’on recomposât des monumens fictifs, faute de monumens réels à exploiter. Ainsi, en France, M. de Caylus, publiant (...) ou rétablissant par la pensée et par le crayon des monumens dont il ne subsistoit plus qu’une description superficielle, quelquefois même une simple mention, témoignoit ainsi combien étoit alors étroit et borné le domaine de l’archéologie. On voit, par l’activité des efforts, par la variété des travaux de cet habile homme, si digne encore de respect dans ses erreurs mêmes, comment on croyoit pouvoir alors suppléer, par les ressources de l’érudition ou de l’art moderne, à l’insuffisance de ce qu’on avoit recouvré de monumens antiques, et que c’étoit, en quelque sorte, par impuissance ou par désespoir de faire des découvertes réelles dans le sol classique, que l’on fouilloit dans les auteurs, pour en extraire au moins une image des monumens qui manquoient. Mais depuis le siècle de Caylus, tant de découvertes heureuses se sont opérées, et se succèdent encore tous les jours (...); tant de notions positives ont remplacé les fausses idées d’une science conjecturale, que les études archéologiques ont dû prendre l’autre direction qui a été indiquée. Winckelmann contribua plus que personne à ramener l’Antiquité figurée dans cette voie » e tuttavia, la maggior parte dei lavori di Quatremère, pure orientati in analoga direzione, costituiscono la più felice delle eccezioni [38].
26L’autore, richiamata la capacità di Quatremère di dominare la teoria generale dell’arte e le sue numerose applicazioni, sottolinea le peculiarità della sua formazione e le doti personali che gli consentivano di eccellere nel metodo di ricomposizione e restituzione dei monumenti. Infine, con grande acutezza, giunge a concludere: « Aussi M. Quatremère de Quincy s’est-il plus occupé (...) de restituer à la science les monumens qu’elle a perdus, que d’interpréter ceux qu’elle a recouvrés; aussi s’est-il plus servi, dans ses restitutions elles-mêmes, des textes pour faire des monumens, que des monumens pour expliquer des textes; et dans cet emploi de l’érudition, s’est-il encore aidé du dessin plus que de toute autre chose » [39] [scheda 27].
27Stando alla documentazione esaminata, i decenni ’20-’40 del secolo sembrano il periodo meno felice per la fortuna critica caylusiana, tuttavia, tra contraddizioni e polemiche, la rivalutazione di Caylus procede e si consolida, anche se in tempi lunghi [40]. Essa si basa su constatazioni oggettive, rilevate dagli studiosi a proposito di vari argomenti. Si svolge cosî una sorta di redde rationem tra Caylus e le generazioni di studiosi attivi dopo di lui, nella prospettiva del raggiungimento di un più meditato ed equilibrato giudizio critico complessivo. Un giudizio che è anche dimostrazione dell’assimilazione, rielaborazione e riproposizione in termini aggiornati della lezione metodologica caylusiana.
28Ancora da Raoul-Rochette giungono contributi in cui, accanto a tematiche già note e dibattute, se ne sviluppano di nuove, si utilizzano al meglio la documentazione e la sperimentazione al fine della migliore comprensione dei problemi, si fa un compendio delle conoscenze sull’instrumentum domesticum.
29In un caso [41] [scheda 28] si passa dal problema della pittura policroma sui monumenti a quello, connesso, sulla statuaria: « On s’est mis à rechercher sur les nombreux monuments de l’art qui nous restent les traces qui pouvaient y subsister encore (...) afin de se faire une idée juste du système qui avait pu être suivi à cet égard, et de réduire à ses véritables termes une question d’art et de goût antique, qui semblait répugner à nos habitudes actuelles » [42].
30In un altro caso [43] [scheda 30] ciò che sorprende non è il progresso delle conoscenze, piuttosto la maturazione dimostrata nel processo di elaborazione critica e metodologica.
31« À la classe des vases d’albâtre (...) se joint naturellement celle des vases de verre (...). Ce sont ces vases que, par une dénomination abusive, on appelait jadis lacrymatoires, et qu’on croyait avoir contenu des larmes; de même que, par une méprise d’un autre genre, on supposa que des vases tout semblables et de même matière, placés dans les sépultures chrétiennes, avaient servi à recueillir le sang des martyrs » [44]. Tali vasi « sont devenus le principal, et même, à tout considérer, l’unique signe de martyre admis par les antiquaires de Rome, et ont acquis, à ce titre, une si haute importance dans l’archéologie chrétienne. Mon intention n’est pas de traiter ici une question qui a été débattue depuis trois siècles entre beaucoup d’écrivains de tous les partis, peut-être, s’il m’est permis de le dire, avec plus de zèle et de chaleur que d’indépendance et de bonne foi, et dans laquelle on a fait intervenir plus de considérations religieuses que d’arguments scientifiques. (...) Je me bornerai donc, suivant la règle que je me suis prescrite, à exposer les faits acquis à la science, en les envisageant uniquement sous le rapport archéologique, et en en tirant les seules inductions qu’autorise la nature même des monuments » [45]. Riassume quindi i termini della questione e riporta le fonti cristiane e i dati archeologici, senza dimenticare di richiamare la realtà delle Catacombe di Roma e l’influenza che queste avevano esercitato, poi conclude: « La véritable destination de ces sortes de vases, pour recevoir des liquides, et plus particulièrement des parfums, n’est plus aujourd’hui sujette à la moindre incertitude » [46] [scheda 30].
32Il contributo di Jollois [47] [scheda 32] si può leggere solo in parte nella stessa prospettiva del precedente. Qui a sorprendere è il riaccendersi della contestazione nei confronti di Caylus, l’ultimo episodio di tale intensità. L’autore possiede una conoscenza eccezionale del sottosuolo di Parigi e delle strutture di tutte le epoche che lo interessavano. Descrive con competenza la consistenza degli interventi antichi e più recenti di cui è in grado di fornire una documentazione straordinariamente ricca, precisa e aggiornata. Il suo lavoro, che gli varrà importanti riconoscimenti, è una sorta di dossier – incrementato con acribia – che integra, con nuovi argomenti e da nuovi punti di vista, il complesso di memorie presentate a suo tempo da Quatremère de Quincy, rispetto al quale non è meno sensazionale [48]. Tuttavia, da tecnico qual’era [49], le sue critiche sono sempre mirate a un preciso argomento, puntuali, e forse per questo appaiono più mordaci.
33Un’occasione esemplare per dimostrare l’importanza di coniugare osservazioni di carattere tecnico con l’elaborazione critica e metodologica per il progresso della disciplina, è offerta da Longpérier [50] [scheda 37]. Dopo i chiarimenti su un reperto (una statuetta bronzea), egli osserva: « Il m’a toujours semblé que, pour arriver à la connaissance intime des antiquités, l’étude des textes et des recueils de planches était insuffisante; et je me permettrai de recommander certaines notions techniques comme de fort utiles auxiliaires. Ce n’est pas assez pour apprécier un monument de le considérer tel qu’il se présente à nos regards dans un musée; il faut encore se rendre compte des procédés à l’aide desquels il a été fabriqué, et pour cela le meilleur moyen est de savoir comment s’exercent de notre temps les arts et métiers. C’est en voyant travailler les modeleurs, les mouleurs, les fondeurs, les bijoutiers, les tisseurs, les céramistes, tous ceux qui mettent en œuvre les métaux, les bois, la pierre, qu’on peut parvenir à comprendre la raison d’une foule de détails qui, appréciés à leur juste valeur, fournissent assez souvent des indices chronologiques, et, dans tous les cas, ne viennent plus compliquer inutilement l’explication des représentations de l’art des anciens. Avec l’étude de la fabrication, je recommanderai encore celle de la série des objets analogues entre eux. Une composition antique prise isolément peut donner lieu à beaucoup de suppositions fausses. Mais placée à son rang parmi ses congénères elle acquiert ce qu’on pourrait appeler un aspect circonscrit, un caractère relatif, qui limite les écarts de la pensée » [scheda 37].
34Nell’elaborazione di una metodologia di approccio al reperto, vengono a giocare diversi, nuovi, punti di vista. Se per Raoul-Rochette erano inaccettabili i condizionamenti dettati da considerazioni religiose o dalla superstizione [51], per Chabouillet [52] [scheda 40] « un sentiment respectable de patriotisme, qu’il ne faudrait cependant pas laisser dominer dans la science » è, nel caso in questione, portatore di malintesi e fraintendimenti. Velata dal patriottismo, l’interpretazione erronea di un reperto può divenire « l’arche sainte. Nul n’oserait y toucher », « une erreur profondément enracinée, caressée avec amour (...) et tolérée par l’indifférence des savants étrangers » [53]. Ma il progresso della disciplina comporta più di un adeguamento, richiede l’ampliamento dei campi di interesse esteso a reperti che « monumenti » non sono, con uno stile nuovo di trasmettere le informazioni (i dati, talvolta aridi) a essi relative.
35A questo proposito Longpérier [54] [scheda 39] chiude un suo contributo con un’interessante considerazione: « Le lecteur nous pardonnera, nous osons l’espérer, l’aridité de ce catalogue et les minutieux détails qui le précèdent; il nous tiendra compte des difficultés considérables que présente la description ou l’indication d’objets qui n’offrent ni inscriptions ni le plus souvent de figures, et dont l’étude n’est relevée par la citation d’aucun texte. Il est fort probable que plus d’un savant antiquaire, capable de traiter cette question bien mieux que nous ne l’avons fait, aura été rebuté par la sécheresse d’une pareille entreprise. On admettra cependant qu’il est nécessaire d’arriver à classer les nombreux petits ustensiles d’usage domestique qui nous ont été légués par l’Antiquité » [55].
VERSO UN’EQUA VALUTAZIONE
36Nel caso di una collezione di vetri Quicherat [56] [scheda 41] dichiara di non farsi impressionare dalla varietà e dall’uso delle forme, dai colori, dall’ornamentazione degli stessi: « Je m’attachai de préférence à des objets de moindre apparence, voire même à des fragments informes, qui me semblaient ouvrir des aperçus nouveaux sur les usages et sur l’industrie des anciens » [57]. Poi si riferisce a Caylus, del quale condivide gli interessi: ricostruire i procedimenti attraverso la sperimentazione, documentarli e descriverli (fig. 2), affinché tutti ne possano approfittare e progredire: « Il serait à désirer qu’on en fît autant pour tous les échantillons qui sont dans les musées ou que mettent [au] jour les découvertes, de telle sorte que l’inventaire de tout ce que les anciens ont fait en ce genre pût être dressé un jour ». Cosî una quindicina di campioni, generosamente messi a disposizione dal collezionista, vengono inviati dall’autore ai laboratori della cristalleria di Baccarat, con una motivazione caylusiana: « Je désirais avoir sur la composition chimique de ces fragments l’avis des hommes compétents » [58].
37Un ulteriore contributo al percorso epistemologico della disciplina viene da Guigniaut [59] [scheda 43]. Se Raoul-Rochette aveva chiarito e contestualizzato le basi del metodo di Quatremère de Quincy, indicando le prospettive offerte dalla sua applicazione [60], qualche decennio dopo, Guigniaut disegna un’immagine particolarmente dettagliata del personaggio, con un’ulteriore contestualizzazione del suo processo di elaborazione metodologica.
39« [Sa] carrière, assez imprévue, fut celle de l’érudition, dans cette branche éminente qu’on appelle aujourd’hui l’Archéologie de l’art, et que l’on comprenait alors sous le nom générique et mal défini d’Antiquités [61]. (...) C’est qu’il s’agissait d’une de ces natures privilégiées qui semblent faites pour personnifier l’alliance immortelle de l’étude de l’art et de celle de l’Antiquité. Durant plus de quarante ans notre confrère la représenta, au sein de l’Institut, avec une égale supériorité des deux parts. L’année 1804 eut pour nous, et pour l’archéologie en particulier, cette bonne fortune, que deux hommes (...) Visconti [e] Millin (...) vinrent s’asseoir dans nos rangs avec Quatremère de Quincy. Celui-ci, venu le premier, y prit une place qui n’avait point été occupée depuis le célèbre comte de Caylus; et, possédant à un degré plus élevé que lui le sentiment de l’art, l’intelligence de ses procédés et la connaissance de son histoire, non seulement il interpréta avec un rare talent les monuments de l’Antiquité parvenus jusqu’à nous, mais, avec cette sagacité ingénieuse et profonde qui touche à la divination, il entreprit de faire revivre, par des restitutions conjecturales, d’après les descriptions des auteurs et le rapprochement d’imitations probables, de copies quelquefois évidentes, des œuvres capitales d’architecture, de sculpture, de peinture, ou mutilées ou détruites par le temps. Ce fut dans cet esprit et pour éclaircir certaines questions, certains points importants ou curieux de l’histoire de l’art, qu’il lut, entre 1804 et 1812, à la classe de l’Institut qui l’avait adopté la première, une série de mémoires (...) » [62].
40L’autore ricorda poi che « une révolution se préparait tout à la fois dans la connaissance des monuments de l’art et dans la critique dont ils sont l’objet ». Richiama l’entusiasmo di Quatremère alla vista dei marmi londinesi del Partenone ( « il s’écriait: “Toutes nos études sont à recommencer !” » ) e la corrispondenza con l’amico Canova ( « une série de sept Lettres (...) publiées par son ami, la même année » ) [63]. Infine conclude: « Il reconnut sur-le-champ que ces sculptures, et surtout celles des deux frontons du temple de Minerve, remplissaient une immense lacune dans l’histoire de l’art et du goût en Grèce; qu’elles modifiaient profondément l’idée qu’on s’était faite du beau tel que l’avaient conçu et traité les contemporains de Périclès, lorsqu’on prenait comme des œuvres de cette époque des productions beaucoup plus récentes. (...) Dès ce moment aussi il imagina des restitutions [di monumenti] supérieures à la plupart de celles qu’il avait tentées jusque-là, et qu’on pourrait presque appeler des restaurations, car elles eurent pour base des éléments positifs, authentiques, et non pas seulement de vagues descriptions et des termes de comparaison douteux » [64] [scheda 43].
41Tornando a Caylus, va notato che l’opera di Nisard [65] [scheda 44] ebbe il merito di riproporne la figura alla comunità scientifica e di reclamarne la valutazione condivisa dell’operato. D’altro canto si è osservato che la rivalutazione di Caylus procede e si consolida in tempi lunghi, trova fondamento nei riscontri che gli studiosi hanno occasione di compiere sui reperti e i monumenti di cui egli si era occupato. Siamo quasi alle soglie del ’900, la maggior parte delle schede che seguono a corredo del testo [schede 45-56, consultabili all’indirizzo del sito cit. supra] può essere considerata una campionatura nella prospettiva di tale assunto, una dimostrazione dell’ingresso della figura e delle opinioni di Caylus nella quotidianeità della ricerca svolta nell’ambito della disciplina archeologica giunta ormai a maturazione. Vale però la pena di soffermarci ancora su due contributi significativi per la visione d’insieme che offrono sull’evoluzione della disciplina e della professione che la esercita.
42Kont [66] [scheda 49] segna il punto dal quale far partire ogni nuovo intervento che voglia rimettere in discussione la parabola evolutiva di cui ci siamo occupati. Le valutazioni, le considerazioni e i giudizi che l’autore formula a proposito di Caylus, di Winckelmann e di Lessing (a cui lo studio è dedicato), mostrano che egli ha ben presenti il giudizio della critica e il diverso peso dei tre personaggi. « Deux choses faisaient défaut à Lessing pour devenir le rival heureux de Winckelmann. D’abord, il manquait de sens historique; ensuite il ne connaissait pas l’Italie qui, au XVIIIe siècle, possédait presque tous les chefs-d’œuvre antiques. Le défaut de sens historique éclate dans l’accueil fait à l’Histoire de l’art de Winckelmann. (...) Il y avait d’abord entre Lessing et Winckelmann cette différence, établie par Goethe, que l’un est arrivé à fonder l’archéologie moderne par l’intuition, par le commerce assidu des antiques, tandis que l’autre a cherché par le raisonnement les secrets de l’art; ensuite il faut avouer que Lessing, le critique dogmatique par excellence, ne pouvait pas comprendre toute la portée de l’œuvre de Winckelmann [67]. (...) Que de fois il [Lessing] jette un regard dédaigneux sur toute cette érudition d’antiquaire ! Antiquaire, disons-nous, parce qu’on ne peut parler d’archéologues avant Winckelmann. Malgré l’érudition d’un Montfaucon, malgré les connaissances approfondies du côté technique des arts d’un Caylus, malgré la quantité énorme des reproductions des monuments antiques, aucun des savants ne s’élevait à cette hauteur de vue qui fait de l’antiquaire un archéologue dans le sens que nous attachons aujourd’hui à cette qualité » [68].
43Accanto alla dote della chiaroveggenza storica, uno dei meriti maggiori di Winckelmann era quello di aver indicato che la conoscenza dell’arte era la vera fonte di riferimento negli studi di antichità. Ma tra gli eruditi prima di lui, pochi conoscevano la pittura, la scultura, l’architettura, e la pratica dell’arte era loro sconosciuta; inoltre mancavano di visione d’insieme. « Le vaste travail de Montfaucon n’avait pas de base solide. Éloigné des trésors de l’Antiquité, dit Winckelmann dans la préface de son Histoire de l’Art, il avait composé son ouvrage avec des réminiscences; obligé de voir par les yeux d’autrui, il n’a pu juger que d’après des gravures et des dessins, ce qui lui a fait commettre de grandes méprises. Son énorme recueil n’est qu’une espèce d’appendice à l’histoire ancienne [69]. Le premier qui aborda les antiquités en connaisseur et qui s’attacha surtout à la technique des arts, fut Caylus. Ses mérites comme précurseur de Winckelmann ont été exposés dernièrement d’une manière irréfutable [70]; mais quoiqu’il embrassât tout le domaine de l’art de l’Orient et de l’Occident, il borna son étude aux échantillons inférieurs de l’art; or, en art il n’y a que le supérieur qui compte, comme dit son biographe » [71].
44Basandosi su un’erudizione disordinata, indigesta, e su riproduzioni infedeli di monumenti e reperti, occorreva fondare la scienza archeologica. « Au milieu de ce courant [dove le interpretazioni poetiche suscitate dalle opere d’arte attiravano più delle opere stesse] où le dilettantisme jouait un plus grand rôle que l’érudition, il devint très difficile de s’élever à un point de vue plus général. Lessing et Winckelmann l’ont fait; l’un pour se rendre compte des règles de l’art en général, l’autre pour créer une histoire de l’art où domine le principe du développement historique soumis à des lois immuables. Ils laissaient loin derrière eux tous ces “marchands d’antiquailles”, comme les appelle Lessing, qui n’avaient de l’Antiquité que les débris au lieu d’en avoir l’esprit » [72]. Si dovrà attendere che, in un contesto culturale particolarmente favorevole come quello di Dresda, prenda avvio la prima fase della maturazione di Winckelmann. « Le goût qu’il avait pour les arts ne s’éveilla que pendant l’année qu’il passa à Dresde; elle est la plus importante de sa vie. (...) Il accepte la théorie de la simplicité de l’art ancien proclamée par Oeser, mais il l’approfondit en Italie. C’est au milieu des statues antiques qu’il déclara le Bernin le mauvais génie de la sculpture. Il crée de toutes pièces l’histoire de l’art antique et montre ainsi le premier que l’art n’est pas un accessoire dans la vie des peuples, mais qu’il est intimement lié à la vie publique. Malgré des lacunes inévitables, il construit son édifice sur des assises tellement solides que les générations suivantes n’auront qu’à le suivre et à le compléter » [73] [scheda 49].
45Infine Molinier [74] [scheda 52], nel rievocare la figura di Chabouillet, dà una lettura disincantata dell’evoluzione della disciplina e della professione che la esercita negli anni più vicini al volgere del secolo.
46« Chabouillet appartient à une génération de savants qui comprenaient l’archéologie et les études historiques en général d’une façon assez différente de celle dont nous avons aujourd’hui la conception. Trop impatient, trop nerveux pour s’atteler à des travaux de longue haleine qui auraient absorbé tout son temps, sans même lui laisser accomplir régulièrement ses fonctions de conservateur du Cabinet des médailles, il passa facilement, et sans défaillance, d’un sujet à un autre, et sut toucher à toutes les périodes de l’art et émettre sur toutes des hypothèses judicieuses. (...) Par la multiplicité de ses travaux, par l’étendue et la variété de ses connaissances, Chabouillet incarnait assez bien ce Cabinet de France conservé à la Bibliothèque nationale, admirable collection qui représente une conception archéologique d’un autre âge et dont le conservateur idéal ne serait autre qu’une encyclopédie. Chabouillet (...) s’était à ce point identifié avec le Musée dont il avait la garde qu’il eût cru réellement commettre un sacrilège s’il eût vu appliquer à ce dépôt les règles scientifiques nouvelles que son esprit sans cesse en éveil comprenait admirablement, mais que ses devanciers n’avaient pu ni connaître ni appliquer » [75]. Egli incarnava la figura di un « gardien un peu farouche de ces collections » che, col tempo, tendeva a « ne rien changer à un état de choses [di cui non vedeva più] les défauts, les vices énormes » [76]. D’altro canto « on peut dire qu’il a écrit sur toutes les séries de ce Musée, aussi nombreuses pour ainsi dire que les branches de l’archéologie, et que, dans tous ses mémoires, il a émis sur des sujets si divers des opinions personnelles et justifiées. Ce n’est pas un mince éloge assurément, et maintenant que l’érudition ne crée plus guère que des spécialistes, on se plaît à regretter cette génération qui, par ses multiples travaux d’analyse, a préparé les œuvres de synthèse que, sur differents points, on peut faire paraître aujourd’hui » [77] [scheda 52].
CONCLUSIONI
47Come si può constatare, Caylus, le sue opere e le sue idee, continuano a essere presenti (fig. 3); richiamati, collegano nel tempo momenti evolutivi della disciplina. Infatti la lettura delle schede offre una visione critica condizionata, sia dalle opinioni e dalle interpretazioni degli autori dei brani, sia dall’evoluzione nel tempo della disciplina e delle sue problematiche in cui ogni giudizio va proiettato, contestualizzato. Se il contributo iniziale di Caylus fu basilare, furono poi la riflessione e il dibattito tra studiosi di diversa formazione a spingere l’erudizione antiquaria a divenire scienza archeologica. In 135 anni le discipline che si occupavano del mondo antico si svilupparono, trovarono identità e autonomia, i metodi di indagine furono affinati e adeguati ai nuovi ritrovamenti. Questi suggerirono nuove riflessioni e rielaborazioni critiche in continuo aggiornamento. In tale contesto Caylus fu discusso, non dimenticato; nell’evoluzione e nelle applicazioni del metodo in divenire, possiamo intravedere, in filigrana, i riflessi della sua lezione, il rispetto della sua impostazione.
48In questa parte della ricerca le parole-chiave « metodo » e “ instrumentum domesticum ” ricorrono con frequenza; a esse è facile accorparne altre.
49Quanto al metodo, non ci si può accontentare delle asserzioni, dei giudizi e dei rimandi, fatti dagli autori nei brani dei testi riportati nelle schede. Un’indagine di approfondimento dovrà attingere alla documentazione originale, come quella su cui si basa il volume di Riccomini per illustrare la vicenda di Veleia [78]. Da quella vicenda, la cui valenza non fu forse percepita nella sua pienezza dai contemporanei e dai successori, occorre ripartire, nella convinzione che dal confronto tra quella documentazione di prima mano, quella utilizzata in questo lavoro, e altra ancora da recepire e assimilare, è lecito attendersi un’ulteriore possibilità di delineare a tutto tondo la figura di Caylus archeologo e di precisare, come è necessario, le basi del suo metodo [79].
50Quanto alla riflessione sul complesso delle problematiche (storiche, economiche e tecnologiche, sociali) che ruotano attorno all’instrumentum domesticum, alla loro riscoperta, avvenuta negli anni ’60-’70 del secolo scorso, va notato che si tratta di una tra le novità più rilevanti dell’Archeologia contemporanea [80]. Questa riflessione, questa riscoperta, si sarebbero potute giovare di una rivisitazione del contributo di Caylus sull’argomento che non c’è stata. C’è da augurarsi che presto altri lavori contribuiscano a portare l’attenzione su Caylus, di cui, con Fumaroli, va sottolineata la modernità, meglio, l’attualità.
Mots-clés éditeurs : Méthodes de l’archéologie, Quatremère de Quincy, Antiquaires, Millin, Caylus, Raoul-Rochette, Winckelmann, Monde romain, Histoire de l’archéologie, Lessing
Date de mise en ligne : 26/09/2008.
https://doi.org/10.3917/arch.081.0073Notes
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[1]
L. Taborelli, Il Conte di Caylus e l’approccio « sperimentale » all’instrumentum vitreo, MEFRA, 107, 1995, p. 1027-1059. Con prospettive più ampie: A. M. Riccomini, Scavi a Veleia, L’archeologia a Parma tra Settecento e Ottocento, Bologna, 2005, nonché L. Taborelli, Caylus per Veleia - Veleia per Caylus, RA, 2007/1, p. 111-121.
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[2]
Conclusioni che trovano conforto in M. Fumaroli, Préface, in Caylus mécène du roi, Collectionner les antiquités au XVIIIe siècle, cat. expo. Paris, BNF, 2002, p. 17: « Il est des retards qui font prendre de l’avance. On se délectera aussi à découvrir, dans les essais (...) que l’ “Ancien” Caylus, qui a passé depuis deux siècles et demi pour un retardataire négligeable, se révèle aujourd’hui à des yeux modernes et scientifiques, comme un contemporain de nos laboratoires de muséographie, de cristallographie et d’archéologie ».
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[3]
Parte iniziale del Progetto di Ricerca « Archeologia e Cultura materiale: percorsi epistemologici tra storia e cronaca nei periodici accademici francesi del XVIII e XIX secolo », il cui obbiettivo è indagare sulla nascita di alcune problematiche e sull’evoluzione dell’approccio e del metodo usati dagli studiosi per affrontarle e risolverle.
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[4]
Alcuni di essi nel trattare un argomento utilizzano l’approccio e la terminologia caylusiani senza pronunciare il nome dello studioso; questo è tuttavia leggibile in filigrana, dimostrazione, indiretta, di quanto e come il suo magistero era stato assimilato.
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[5]
Nello specifico: Journal des Savants (JSav.); Histoire de l’Académie Royale des Inscriptions et Belles-Lettres (con variazioni del titolo nel tempo; abbreviazione limitata all’ultima parte) e Comptes rendus de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (CRAI); Mémoires et Dissertations e Bulletin de la Société royale des Antiquaires de France (rispettivamente M. e B. Ant. Fr.); Revue archéologique (RA). La conoscenza, vista come liberatrice, era, come è noto, un elemento fondante il progetto dei Lumi; per conquistarla veniva favorita l’educazione, dalla scuola alle accademie, e la diffusione del sapere, attraverso le pubblicazioni specializzate e le enciclopedie. Se i periodici erano il luogo dove le idee venivano sottoposte a dibattito critico, la grande città, sede di accademie, era il luogo che più favoriva la libertà dell’individuo in tutte le sue espressioni, le occasioni di incontro, il dibattito pubblico. In proposito, da ultimo, T. Todorov, L’esprit des Lumières, Paris, 2006, part. p. 13 e 15.
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[6]
Dunque estesa al di là del tema dell’instrumentum e delle problematiche connesse, e tuttavia a questo si è posta particolare attenzione, sia perché argomento della ricerca precedente, sia perché argomento preponderante del Progetto in corso.
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[7]
In esse, cf. l’indirizzo del sito supra, ho limitato i commenti ed evitato riferimenti bibliografici esterni, nella convinzione che questo tipo di documentazione « parlante » vada ascoltato e apprezzato prima di tutto per il suo valore di testimonianza.
-
[8]
Ch. Le Beau, Éloge historique de M. le Comte de Caylus, Histoire de l’Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 34, 1770 (1764-1766), p. 221-234.
-
[9]
F.-F. de La Sauvagère, Recueil d’antiquités dans les Gaules (...), Ouvrage qui peut servir de suite aux Antiquités de feu M. le Comte de Caylus, Paris, 1770, JSav., 1770, p. 689 (errata, corrige: 699). Per il rapporto tra l’autore e Caylus: JSav., 1771, p. 74-79, part. p. 74; op. cit., p. ix e xix. Per un ulteriore collegamento all’opera di Caylus e di de La Sauvagère, scheda 2, nota. Questo tipo di riferimenti si ripete nel tempo, ad es.: A. Danicourt, Étude sur quelques antiquités trouvées en Picardie, RA, 7, 1886, p. 65-105: « C’est donc Grivaud (de la Vincelle), continuant en cela l’œuvre du comte de Caylus, qui nous fait connaître les principales découvertes survenues, de son temps, dans le nord de la France » (p. 76).
-
[10]
Per es.: Presentazione (redazionale) dell’opera: Ch. G. Saxe (Saxius), Epistola ad (...) Henricum Van Wyn (...) de veteris medici ocularii gemma sphragide (...), Trajecti ad Rhenum, 1774, JSav., 1775, p. 625-626, part. p. 626; « Nouvelle littéraire », Lettre de M. Falconet à M... en réponse à un prétendu examen de la traduction de trois Livres de Pline, Pétersburg, 1775, JSav., 1776, p. 308-309, part. p. 308; « Extrait » di Dupuy dell’opera di Bitaubé (P.-J. Bitaubé, L’Iliade d’Homère, Paris, 1780), JSav., 1780, p. 775-784, part. p. 781.
-
[11]
Vale la pena di ricordare le parole di Le Beau (supra, n. 8): « Les Antiquaires, ceux qui croyoient l’être, ceux qui vouloient le paroître, s’empressoient d’entrer en commerce avec lui: ils se flattoient d’être admis au nombre des Savans, dès qu’ils pouvoient montrer une lettre de M. le comte de Caylus; c’étoit pour eux un brevet d’Antiquaire » (p. 231).
-
[12]
P.-J.-B. Legrand D’Aussy, Mémoire sur les anciennes sépultures nationales (...) et sur un projet de fouilles à faire dans nos départemens, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Sciences morales et politiques II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 411-680.
-
[13]
A. Mongez, Mémoire sur les vases murrhins, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 133-173, part. p. 133.
-
[14]
J.-M. Vien - G.-M. Le Blond, Sur des vases trouvés dans un tombeau près de Genève (...), Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts II), Fructidor an VII [1798-1799], p. 182-194, part. p. 193.
-
[15]
A. Mongez, Mémoire sur Persépolis, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts III), Prairial an IX [1800-1801], p. 212-302, part. p. 290 e 294.
-
[16]
A. Mongez, Mémoire sur deux inscriptions latines et sur l’OPOBALSAMUM (...), Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts III), Prairial an IX [1800-1801], p. 380-394, part. p. 381-382.
-
[17]
A. Mongez, Notice de Mémoire, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts (Littérature et Beaux-Arts IV), Vendémiaire an XI [1802-1803], p. 27-32, part. p. 29.
-
[18]
N. 23 in scheda 13: Le Blond - Du Theil - Mongez (rel.), Rapport sur le fragment d’un monument antique envoyé (...) par le citoyen Achard, conservateur du musée de Marseille, Mémoires de l’Institut national des Sciences et Arts, pour l’an IV de la République (Littérature et Beaux-Arts I), Thermidor an VI [1797-1798], p. 170-180, part. p. 179-180.
-
[19]
Per es.: « Nouvelle littéraire », ristampa dell’opera di Caylus-Majault, Mémoire sur la Peinture à l’encaustique & sur la Peinture à la cire, Genève, 1780, JSav., 1780, p. 191 (non una nuova edizione ma « la première & l’unique qui ait été faite sous les yeux de M. le Comte de Caylus »); « Extrait » di Gaillard dell’opera di Odoards-Fantin (sic): A.-É.-N. Fantin-Desodoards, Nouvel Abrégé chronologique de l’Histoire de France (...), iv-v, Paris, 1788, JSav., 1789, p. 15-23, part. p. 21 (1752): « On a retrouvé la peinture à l’encaustique (...) des anciens; cette découverte est due au Comte de Cailus (sic) & au Médecin Majo (sic) ».
-
[20]
E nonostante che talvolta il suo nome venga sottaciuto, per es. a proposito di instrumentum di cui si era occupato: G. M. Le Blond, Dissertation de M. l’Abbé Le Blond sur les Vases Murrhins, JSav., 1779, p. 432-434; nonché Id., « Mémoire » (stesso titolo), Mémoires de Littérature, Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 43, 1786 (1776-1779), p. 217-227. Inoltre: J. (de) La Lande, « Extrait » di P. Bosc d’Antic, Œuvres (contenant plusieurs) Mémoires sur l’art de la Verrerie, sur la Fayancerie, la Poterie, l’art des Forges, la Minéralogie, l’Électricité, & sur la Médecine, Paris, 1780, JSav., 1781, p. 17-23; P.-H. Larcher, Mémoire sur les vases Théricléens, in Mémoires de Littérature, cit., p. 196-216, part. p. 208-216, nonché Id., Mémoire sur les vases Murrhins, ibid., p. 228-238.
-
[21]
Rispettivamente: A.-Ch. Quatremère de Quincy, Mémoire sur la description du bouclier d’Achille par Homère, Histoire et Mémoires Institut royal de France (Classe d’Histoire et de Littérature anciennes), 4, 1818 ( « Lu le 15 septembre 1809 » ), p. 102-164 [scheda 19]; Mémoire sur le char funéraire qui transporta de Babylone en Égypte le corps d’Alexandre, ou Projet de restitution de ce Monument, d’après la description de Diodore de Sicile, ibid. ( « Lu le 5 février 1808 » ), p. 315-394 [scheda 20]; Mémoire sur le bûcher d’Héphestion, décrit par Diodore de Sicile, et sur la manière de restituer ce Monument dans un système tout à fait différent de celui de M. de Caylus, ibid. ( « Lu le 7 Décembre 1810 » ), p. 395-457 [scheda 21]; Mémoire sur le défi d’Apelles et de Protogènes, Ou Éclarcissemens sur le passage dans lequel Pline rend compte du Combat de dessin qui eut lieu entre ces deux Peintres, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 5, 1821 ( « Lu le 31 décembre 1807 » ), p. 300-336 [scheda 22]. Si noti la brevità del tempo in cui fu svolta questa serie di memorie in proporzione all’elaborazione critica e metodologica profusa: su tale elaborazione e la sua contestualizzazione infra e scheda 27; sul personaggio scheda 43.
-
[22]
Supra, n. 21, part. p. 315-316.
-
[23]
Ibid., p. 321-322.
-
[24]
Supra, n. 21, p. 300.
-
[25]
Supra, n. 21, p. 404.
-
[26]
Supra, n. 21, p. 322-323.
-
[27]
Supra, n. 21, p. 322-323.
-
[28]
Supra, n. 21, p. 397. Ibid., a seguire, la precisazione: « Si l’ensemble du monument, tel qu’il l’a représenté, ne devoit souffrir aucun reproche, il suffiroit de redessiner dans les mêmes espaces les mêmes sujets, mais d’un autre goût et d’une manière différente: or une telle modification n’exigeroit que le crayon d’un dessinateur plus exercé dans le style antique. »
-
[29]
Infra, D. Raoul-Rochette: Monumens et Ouvrages d’art antiques, restitués d’après les descriptions des écrivains, et accompagnés de dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris (2 vol.), 1826 et 1828, JSav., 1830, p. 41-53.
-
[30]
Che produce un contributo esemplare sin dal titolo: J.-J. Jorand, De la nécessité d’être exact dans la représentation et la description des monumens archéologiques, et des graves conséquences auxquelles entraîne l’oubli de cette règle (...), Mémoires et Dissertations sur les Antiquités nationales et étrangères, Société royale des Antiquaires de France, 7, 1826, p. 257-273.
-
[31]
Supra, n. 30, part. p. 258.
-
[32]
Ibid., p. 272-273.
-
[33]
B.-J. Dacier (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Visconti, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 8, 1827 ( « Lue dans la séance publique du 28 juillet 1820 » ), p. 3-25.
-
[34]
B.-J. Dacier (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. Millin, Histoire et Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptios et Belles-Lettres, 8, 1827 ( « Lue dans la séance publique du 27 juillet 1821 » ), p. 42-60.
-
[35]
Supra, n. 33, p. 6-7.
-
[36]
Supra, n. 34, p. 60.
-
[37]
D. Raoul-Rochette, Monumens et Ouvrages d’art antiques, restitués d’après les descriptions des écrivains, et accompagnés de dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris (2 vol.), 1826 et 1828, JSav., 1830, p. 41-53; inoltre Id., Recueil de Dissertations archéologiques, par M. Quatremère de Quincy, Paris, 1836, JSav., 1837, p. 176-186 e 193-203.
-
[38]
Loc. cit., n. 37 (= scheda 27), p. 41-43.
-
[39]
Loc. cit., p. 44.
-
[40]
Si vedano ad es. i contributi: A. Chabouillet, Monument mithriaque apocryphe de la Bibliothèque impériale, RA, 7 (14), 1866, p. 73-79 [scheda 38], nonché Id., Sur une main de bronze adressée à une peuplade gauloise nommée en grec ???????????, RA, 10 (20), 1869, p. 161-187 [scheda 40], su Chabouillet scheda 52; Ch. Nisard, Notice sur le P. Paciaudi, théatin italien qui fut membre associé étranger de l’Académie des Inscriptions, et correspondant du comte de Caylus, CRAI, 5, 1877, p. 46-54 [scheda 44], su Nisard scheda 47.
-
[41]
D. Raoul-Rochette, De la peinture sur mur chez les anciens, JSav., 1833, p. 361-371.
-
[42]
Ibid., p. 361-362. A proposito della celebre statua di Diana da Ercolano, precisa: « J’en ai fait exécuter sous mes yeux, à Naples, un dessin colorié avec le plus grand soin, où les teintes primitives, telles qu’elles se retrouvent encore sur le monument original, sont fidèlement reproduites » (p. 363, n. 2).
-
[43]
D. Raoul-Rochette, Troisième Mémoire sur les Antiquités chrétiennes des Catacombes. Objets déposés dans les tombeaux antiques (...), Mémoires Institut royal de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 13, 1838, p. 529-788.
-
[44]
Loc. cit., p. 601.
-
[45]
Loc. cit., p. 764.
-
[46]
Loc. cit., p. 765.
-
[47]
J.-B. - P. Jollois, Mémoire sur les antiquités romaines et gallo-romaines de Paris, Mémoires Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres de l’Institut de France (IIe s., Antiquité de la France), I, 1843, p. 1-177.
-
[48]
Supra, n. 21 e schede 19-22.
-
[49]
Ricopriva la carica di ingénieur en chef-directeur des Ponts et Chaussées du département de la Seine.
-
[50]
A. (de) Longpérier, Observations sur une figure de Bacchus privée du bras gauche, CRAI, 1 (n.s.), 1865, p. 409-413.
-
[51]
Supra, n. 43 e scheda 30.
-
[52]
A. Chabouillet, Sur une main de bronze adressée à une peuplade gauloise nommée en grec ???????????, RA, 10 (20), 1869, p. 161-187.
-
[53]
Scheda 40, n. 96 e, loc. cit., p. 163.
-
[54]
A. e H. (de) Longpérier, Des rouelles et des anneaux antiques considérés comme agents de suspension, RA, 8 (16), 1867, p. 343-362 e 397-408.
-
[55]
Loc. cit., p. 408.
-
[56]
J. Quicherat, De quelques pièces curieuses de verrerie antique, RA, 15 (28), 1874, p. 73-82.
-
[57]
Loc. cit., p. 73.
-
[58]
Loc. cit., p. 74-75.
-
[59]
J. D. Guigniaut (Secrétaire perpétuel), Notice historique sur la vie et les travaux de M. Quatremère de Quincy, Mémoires Institut national de France, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 25, 1877 (lue dans la séance publique de cette Académie le 5 août 1864), p. 361-412.
-
[60]
Supra, n. 37 e scheda 27.
-
[61]
Supra, n. 57, p. 369-370.
-
[62]
Loc. cit., p. 386-387 (scheda 43) ; cf. schede 19-22.
-
[63]
Loc. cit., p. 400-401.
-
[64]
Loc. cit., p. 401.
-
[65]
Ch. Nisard, Notice sur le P. Paciaudi, théatin italien qui fut membre associé étranger de l’Académie des Inscriptions, et correspondant du comte de Caylus, CRAI, 5, 1877, p. 46-54.
-
[66]
J. Kont, Lessing archéologue, RA, 22, 1893, p. 49.79.
-
[67]
Loc. cit., p. 51.
-
[68]
Loc. cit., p. 52-53, con riferimento bibliografico a S. Rocheblave, Essai sur le comte de Caylus, Parigi, 1889.
-
[69]
Loc. cit., p. 54, con rimando a Rocheblave.
-
[70]
In nota: « Dans la thèse de M. Rocheblave, [tuttavia precisando] le savant auteur a seulement quelque peu exagéré les mérites de Caylus en faisant de lui non un digne précurseur, mais presque l’égal de Winckelmann ».
-
[71]
Loc. cit., p. 55, con riferimento bibliografico in nota.
-
[72]
Loc. cit., p. 56 (scheda 49).
-
[73]
Loc. cit., p. 59-60.
-
[74]
É. Molinier, (allocution) A. Chabouillet. Son éloge funèbre, B. Ant. Fr., 1900, p. 61-64.
-
[75]
Loc. cit., p. 61-62.
-
[76]
Loc. cit., p. 63.
-
[77]
Loc. cit., p. 64.
-
[78]
A. M. Riccomini, Scavi a Veleia, L’archeologia a Parma tra Settecento e Ottocento, Bologna, 2005. Si tratta di documentazione prodotta da Caylus (e dai suoi interlocutori) nel periodo per lui più maturo, fecondo di elaborazioni e proposte, soprattutto dal punto di vista delle metodologie. Sono gli anni (1760-1765) vissuti da Caylus con un impegno prevalente sugli altri: quello degli scavi e della documentazione di Veleia e dei suoi reperti.
-
[79]
Si veda in proposito L. Taborelli, Caylus per Veleia - Veleia per Caylus, RA, 2007/1, p. 111-121.
-
[80]
Assieme all’introduzione di nuove tecniche stratigrafiche nella conduzione e nella documentazione dello scavo archeologico, nonché nella lettura, interpretazione e riproposizione dei monumenti antichi.
-
[*]
Con queste parole Ch. Le Beau (secrétaire perpétuel de l’Académie), si riferisce a Caylus nell’: Éloge historique de M. le Comte de Caylus, Histoire de l’Académie royale des Inscriptions et Belles-Lettres, 34, 1770 (1764-1766, Assemblée publique d’après Pâques 1766), p. 221-234, part. p. 229 (cf. scheda 1). NB: le schede che corredano il testo sono consultabili in hhhhttp:// wwww. unimc. it/ web_9900/prov_dip/archeol/a_cm.html/. Ringrazio il Dipartimento di Scienze Archeologiche e Storiche dell’Antichità dell’Università di Macerata per la generosa ospitalità.