« Il y a vingt-cinq ans, on pouvait excuser les gens de ne pas savoir grand-chose, ou de ne pas faire grand-chose concernant le changement climatique. Aujourd’hui, nous n’avons aucune excuse. »
En 2015, Arnold Schwarzenegger, ancien gouverneur de Californie, ex-star de cinéma et culturiste, écrit un message sur sa page Facebook, dans lequel il pose une question qui, selon lui, demande un peu d’« imagination ». « Il y a deux portes devant vous », écrit Arnold Schwarzenegger. « Derrière la porte numéro 1 se trouve une pièce hermétiquement fermée, où est garée une voiture classique à essence. Derrière la porte numéro 2, il y a une pièce identique, hermétiquement fermée, où trône une voiture électrique. Les deux moteurs tournent à plein régime. Je veux que vous choisissiez une porte, que vous l’ouvriez, que vous entriez dans la pièce et que vous fermiez la porte derrière vous. Vous devez rester dans la pièce que vous avez choisie pendant une heure. Vous ne pouvez pas éteindre le moteur. Vous n’avez pas de masque à gaz. Je suppose que vous avez choisi la porte numéro 2, celle derrière laquelle se trouve la voiture électrique, non ? La porte numéro 1 est une option fatale : qui voudrait respirer ces gaz d’échappement ? Pourtant, c’est le choix que fait le monde en ce moment ».
C’est une métaphore puissante de la part de cet homme qui, depuis des années, tente de convaincre les dirigeants et les populations du monde de le rejoindre pour un avenir énergétique plus intelligent, plus propre, plus sain et plus rentable…