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Article de revue

Professionnalisme et lien social : rupture ou continuité ?

Pages 36 à 41

Notes

  • [1]
    P. Caille, « Être parent aujourd’hui : performance d’un rôle ou vécu d’un état ? Dilemme et contradiction de la position parentale contemporaine », Thérapie familiale, 2003.
  • [2]
    J. Donzelot, La police des familles, Paris, Éditions de Minuit, 2005.
  • [3]
    M. de Chamousset, Mémoires politiques sur les enfants, 1787.
  • [4]
    L. Cambon, L’éducateur spécialisé à travers ses discours : une question d’identité, thèse, université de Rennes 2, 1996.
  • [5]
    E. Jovelin et B. Bouquet, Histoire des métiers du social en France, éditions ash, 2005.
  • [6]
    Jacques Ion, Le travail social à l’épreuve du territoire, Toulouse, Privat, 1990.

1Il y a une quinzaine d’années, alors en formation d’éducateur spécialisé, je m’imaginais que les travailleurs sociaux représentaient un filet pour la population, capable de les retenir d’une éventuelle chute et de les aider à rebondir, empêchant ainsi la loi de la jungle, bref, un indéniable progrès. Et j’ai échangé sur les métiers du social avec un étudiant marocain. Il était très étonné car au Maroc, ce professionnalisme n’existait pas, ou alors très peu. Son étonnement tenait à ce qu’il ne voyait pas pourquoi inventer un métier pour faire ce que tout un chacun faisait en cas de difficulté de son voisin, de sa famille : s’entraider.

2Qu’en était-il du lien social au moment de l’émergence de cette professionnalisation du social ? Quel impact a eu cette professionnalisation sur ce lien ?

Le lien social depuis le xixe siècle

3Le lien social est l’ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d’un même groupe social, et qui établissent des règles sociales entre individus ou groupes sociaux différents. Il permet d’acquérir une identité sociale. Il s’appuyait depuis le Moyen Âge sur les valeurs traditionnelles fondées sur la soumission à l’ordre établi, basées sur la dépendance de l’homme à sa famille, à sa classe sociale et à la religion. Philippe Caille [1] montre que cette dépendance de l’homme à l’égard de ces valeurs était obligatoire sous peine d’exclusion du groupe. La religion était l’un des outils essentiels qui permettait à cet ordre d’être respecté.

4Dans La police des familles, Jacques Donzelot [2] fait ressortir des éléments significatifs et parlants, qui montrent les bouleversements des valeurs, dans le milieu populaire, au xixe siècle. L’évolution technologique progressive depuis la fin du Moyen Âge a permis de produire plus et donc de vendre le surplus, apportant ainsi l’idée de profit. Au xixe siècle, ce progrès a fait un tel bond en avant que l’on parle de révolution industrielle. Avec les avancées de la technologie agricole, les besoins en travailleurs se sont réduits. Beaucoup ont dû chercher du travail en ville, hommes et femmes, d’autant plus que l’industrie avait besoin de bras. Cette venue d’une main-d’œuvre importante a provoqué de nombreux problèmes en ville : pénurie de logement, problèmes d’hygiène, de promiscuité, quartiers insalubres, problèmes d’évacuation des déchets, de délinquance, liés à la misère d’une grande partie des citadins.

5Le siècle des Lumières avait vu la science se développer, donnant des explications à ce qui était auparavant considéré comme un mystère relevant de la puissance divine. La remise en cause des valeurs religieuses engagée à cette période s’est poursuivie tout au long du xixe siècle et encore aujourd’hui, en s’accélérant.

6L’institution du mariage, jusqu’alors affaire familiale, sociale et financière, bref collective, s’est mise à perdre son sens pour les salariés pauvres : ils n’avaient pas de biens à mettre en commun, leurs familles étaient éloignées, et le coût d’un mariage était trop élevé. Parallèlement, le nombre de naissances hors mariage ne pouvait qu’être important dans ce contexte. La pauvreté, associée à l’exclusion des femmes qui avaient un enfant hors mariage, a multiplié les abandons d’enfants dans les orphelinats. Les conditions matérielles dans ces lieux et chez les nourrices étaient déplorables, entraînant une mortalité considérable. Tout en étant moindre, celle des enfants vivant chez leurs parents restait forte, particulièrement dans les familles du peuple du fait de l’insalubrité des logements, des carences alimentaires, etc.

7Cet exode vers la ville a modifié les fonctionnements traditionnels, fragilisant les valeurs collectives, et par conséquent le lien social traditionnel.

8L’éloignement des membres des familles a généré à la fois une moins grande dépendance aux ascendants et une moindre possibilité d’entraide familiale. La solidarité de voisinage en campagne existait par la connaissance des uns et des autres depuis plusieurs générations, alors que la méconnaissance des uns et des autres en ville empêchait cette même solidarité. Par ailleurs, les conditions de vie de cette population se sont considérablement dégradées, avec notamment un impact sérieux sur la mortalité infantile. Or, la question démographique devenait de plus en plus importante pour l’État. À partir du xviiie siècle, le thème de la « conservation » des enfants est, en effet, devenu prioritaire, l’État ayant besoin d’accroître la population, et l’idée étant de garder en vie les enfants pour lesquels il avait dépensé de l’argent. Ils étaient destinés à des tâches nationales, comme la colonisation, la milice, la Marine, pour lesquelles leur absence de liens familiaux était un atout [3]. Tout cela a conduit l’État à prendre en charge la solidarité afin d’améliorer les conditions de vie des enfants, porteurs des projets publics d’avenir et de richesse future.

9Depuis 1789, l’une des responsabilités attendues de l’État est qu’il régisse les rapports sociaux. Par ailleurs, la notion de profit s’est immiscée dans le système étatique par le biais de celle d’économie sociale : l’État apporte de l’aide, mais doit en retirer des bénéfices. Ces deux nouveaux principes – régir les rapports sociaux dans un esprit d’économie et volonté de conservation des enfants – ont convergé vers les fondations d’une politique sociale à la fin du xixe siècle. Le Congrès de l’assistance publique de 1884 a arrêté le principe de l’assistance obligatoire, dont découlera toute une législation de l’assistance : assistance médicale gratuite, assistance à l’enfance, assistance aux femmes en couches et aux familles nombreuses. La révolution industrielle a vu naître la nécessité d’organiser la solidarité, d’enrayer les abandons qui aboutissaient à une mortalité excessive, de contrôler les naissances hors mariage et de conjurer le vagabondage, particulièrement celui des enfants. Ces principes sont à l’origine des politiques sociales publiques. Ces différentes politiques sociales ont surtout mis l’accent sur l’importance du suivi médical, de l’éducation des enfants et de la gestion financière par les familles, amenant ainsi à l’émergence de nouveaux métiers qui ont construit le travail social.

10Historiquement, le travail social, traditionnellement associé à la montée de l’industrialisation de la société française du xixe siècle, se situe au carrefour de quatre axes : la bienfaisance, le contrôle social, le refus de l’assistance, et la lutte contre le politique facteur d’exclusion. Il oscille entre le désir d’assistance pour les personnes les plus en difficulté, et le souci d’un meilleur contrôle social en prévention d’éventuels troubles que ces personnes pourraient générer [4]. Il sert à la fois à panser les maux générés par les crises du capitalisme et d’exécutant direct des politiques sociales. Initialement incarnée par des actions à visées caritatives et morales, l’action sociale tendra de plus en plus à être régie par des interventions des pouvoirs politiques. Selon Emmanuel Jovelin [5], le mouvement de professionnalisation qui l’accompagne a débuté au cours du xxe siècle, en parallèle avec le développement des sciences humaines. Il nomme quatre grands changements connus par le travail social depuis le milieu des années 1970 :

  • la mise en avant des valeurs familiales, la morale, le sens de la patrie et la religion ont laissé place aux fonctions curatives, régulatrices, réparatrices et préventives du travail social. Hier, le travail social avait pour mission d’aider les personnes fragilisées par la croissance à retrouver une place dans la société. Aujourd’hui, il doit gérer, dans l’urgence et sous le contrôle beaucoup plus direct des élus, la masse des laissés-pour-compte d’une société de plus en plus inégalitaire [6] ;
  • le passage d’une logique de respect de la personne à l’aide psychosociale. Les politiques managériales des institutions ont favorisé l’émergence de la technique au détriment de la relation humaine ;
  • le mouvement de promotion des groupes s’est transformé en mouvement d’intégration sociale des individus. Les services se créent pour favoriser quasiment l’annulation du handicap ou de la difficulté, afin de promouvoir la participation de l’individu à l’idéal républicain ;
  • la logique de charité a été remplacée par une logique économique. La rationalisation des pratiques par le biais des évaluations prime sur ce qui a longtemps constitué le ciment du travail social, le secours à autrui.
Cette action sociale s’est développée vers trois orientations : l’assistance sociale, avec les métiers d’assistante sociale et de conseillère en économie sociale et familiale ; l’éducation des jeunes en difficulté, avec le métier d’éducateur spécialisé ; et l’animation, avec les animateurs socioculturels.

Émergence du professionnalisme social

Le métier d’assistante sociale

11Dès le début du xxe siècle, les pionnières du travail social, femmes issues de la bourgeoisie, ont prôné l’importance de former les personnes intervenant auprès des populations nécessiteuses et dans les structures d’aide. La transmission de la morale, l’hygiénisme et les valeurs d’altruisme sont les valeurs fondatrices des premières écoles de service social dans les années 1910-1920. Le développement de cette fonction s’appuie sur des connaissances scientifiques telles que les statistiques, la médecine, la sociologie et la psychologie. Le diplôme d’assistante sociale est créé en 1938.

12Durant les années 1945-1975, l’État engage de nouvelles réformes influençant de façon déterminante l’action sociale. Dans le cadre de la réforme de la formation des assistantes sociales en 1962, la part donnée aux sciences humaines s’amplifie (psychologie, sociologie). En 1968, la première année de formation, jusqu’alors conjointe avec les infirmières, est supprimée et remplacée par des travaux pratiques en termes de savoir-faire en référence à une approche psychosociale.

13Durant la période allant de 1968 à 1980, les assistantes sociales ont progressivement été happées par un travail administratif qui les a éloignées du terrain et de la rencontre des familles à leur domicile.

14Dans le cadre de la dernière réforme des formations, en 2004, la prédominance a été donnée aux savoirs juridiques au détriment de l’enseignement des sciences humaines.

Le métier de conseillère en économie sociale et familiale

15Ce métier est issu de celui de moniteur d’enseignement ménager, apparu en 1943, qui préparait les jeunes filles à leur futur rôle domestique. Cet enseignement s’inscrivait déjà dans un processus de régulation sociale qui le dépassait. Il visait la jeune fille de milieu modeste en fin de scolarité obligatoire.

16Le diplôme de cesf, né en 1973, définit ce métier comme un travail social qui concourt à l’information et à la formation des adultes pour les aider à résoudre les problèmes domestiques de la vie quotidienne. L’action, initialement orientée vers l’ensemble des familles, notamment allocataires de la caf, a glissé vers un public ciblé, les familles en difficulté, par le biais des politiques natalistes, des politiques du logement, et des politiques sociales et médico-sociales. Progressivement, la formation de cesf deviendra moins pratique et plus technique et théorique, mais les principes de bases restent l’implication concrète.

Le métier d’éducateur spécialisé

17Jusqu’à la création du diplôme en 1967, le statut d’éducateur spécialisé était basé sur l’empirisme, l’enthousiasme, l’adaptation à l’instant présent et les qualités naturelles de l’éducateur telles que la compassion, la bienveillance et le don de soi. La formation a été instituée pour canaliser cet engagement affectif, apporter de la théorie, rendre ce métier identifiable auprès du public, lui donner de la connaissance et apporter de la réflexion à cette action auprès des enfants, des adolescents, des personnes handicapées et des familles. Cette formation, modifiée en 1973 puis en 1985, centrait les compétences de l’éducateur sur la relation éducative. La part attribuée au domaine juridique et institutionnel était faible. Une modification importante de la formation a eu lieu en 1990 avec une valorisation conséquente du droit.

18En 2004, le métier d’éducateur est réécrit sous la forme d’un référentiel de compétences, impliquant qu’il se définit désormais à partir d’actes prédéterminés. Les éducateurs sont dès lors plus spécifiquement chargés de l’élaboration et de la coordination de projets individualisés. Depuis les débuts de ce métier, on assiste donc à un mouvement d’éloignement de la relation éducative au profit d’un intellectualisme repérable dans les textes, et d’une importance croissante du droit. Les éducateurs d’aujourd’hui sont par ailleurs moins préparés au contact direct avec les usagers qu’ils ne l’étaient en 1967.

Le métier d’animateur socioculturel

19Ce métier s’appuie sur les valeurs de l’éducation populaire : diffusion de la connaissance au plus grand nombre afin de permettre à chacun de s’épanouir et de trouver la place de citoyen qui lui revient. Ces valeurs reposent sur la participation volontaire des individus à un projet, sur la prise de responsabilités, notamment par l’implication associative, et sur l’appropriation collective des savoirs, savoir-faire et pouvoirs. De 1940 à 1958, on a assisté à la rencontre des institutions associatives avec les orientations politiques de l’État. C’est le début du contrôle étatique des activités de l’animation qui marque le commencement de la professionnalisation. La vague de construction d’équipements collectifs liée à l’accélération du processus d’urbanisation et le développement de la consommation des loisirs des Trente Glorieuses ont conduit l’animateur à être influent dans l’organisation des espaces sociaux et culturels. En 1978, l’accent est mis sur le développement des loisirs et du développement personnel. En 1983, au contraire, sont associées l’insertion sociale et la promotion de la vie culturelle.

20Les années 1990 et 2000 accentuent l’instrumentalisation de l’activité d’animation. Trois outils politiques se disputent ce champ : la politique de l’emploi pour l’insertion professionnelle des jeunes ; la politique de la ville, par le biais de la médiation et de la prévention, en vue de la socialisation des espaces publics ; et la politique d’éducation, à travers les activités socio-éducatives à l’égard des jeunes en décrochage scolaire, en vue de la promotion de l’égalité des chances. C’est une reconversion de l’animation socioculturelle en travail social de réparation. L’animation se déplace vers des activités nouvelles liées aux politiques sociales de sécurité.

Impact du professionnalisme sur le lien social

21Le professionnalisme social a émergé dans un contexte de délitement des valeurs traditionnelles et du lien social qu’elles généraient. La religion, depuis qu’elle était établie dans notre pays, préconisait aux « riches » d’aider les plus démunis afin de gagner leur place au paradis, elle le transmettait comme un devoir à leur égard. Jusqu’à la Révolution, la prise en charge de l’accueil et l’assistance aux pauvres étaient essentiellement réalisées par l’Église, par l’intermédiaire du clergé et des ordres religieux consacrés à la charité. Les bénévoles étaient très souvent des épouses fortunées, dont l’un des rôles était de faire « œuvre de bienfaisance ».

22À partir de la Révolution française apparaît l’idée selon laquelle l’assistance est un devoir de l’État et un droit pour le citoyen. C’est la première fois que les pauvres ont le droit à la solidarité publique et non religieuse. L’apparition d’associations ayant pour objectifs l’inspection médicale, le perfectionnement de l’éducation, l’introduction dans les familles de méthodes nouvelles d’hygiène, la surveillance des pauvres est encouragée par l’État : ce sont les sociétés protectrices de l’enfance. Néanmoins, jusqu’à la fin du xixe siècle, ce sont essentiellement les communautés religieuses aidées par des bénévoles laïques qui assurent ces missions.

23Les politiques sociales ont été à l’origine de la création des métiers du social. Assistantes sociales et conseillères en économie sociale et familiale étaient chargées d’aider les familles du peuple à utiliser au mieux leurs moyens matériels, et de les guider dans les démarches nécessaires. À la fin des Trente Glorieuses, une grande partie de la population était sortie de la misère. Mais une nouvelle pauvreté est apparue depuis les années 1970, quand la récession économique s’est affirmée, avec une croissance de la précarité, de la marginalisation, du chômage, entraînant une réorganisation politique et administrative du social. Les nouveaux dispositifs, tels le rmi et le rsa, cantonnent les assistantes sociales dans une pratique bureaucratique et administrative, les écartant du terrain. Les éducateurs spécialisés accompagnent les familles défavorisées dans l’éducation de leurs enfants, en vue d’une meilleure insertion sociale. Mais ce métier aussi s’est éloigné de son rôle d’action dans la proximité de la population, avec un travail bureaucratique et d’analyse qui s’étoffe de plus en plus, diminuant le temps imparti à la relation humaine.

24L’animation socioculturelle a été créée pour répondre au délitement des liens sociaux coutumiers au moment de l’exode rural. Les sociologues évoquent à l’époque la « fonction d’adaptation aux nouvelles formes de vie sociale » qui incombe à ce nouveau métier. Aujourd’hui, on assiste à une reconversion de ce métier qui avait pour but le lien social. L’animation s’est déplacée vers des activités nouvelles liées aux politiques sociales de sécurité. Ces missions étaient peut-être sous-tendues par l’idée de diffuser les valeurs modernes d’un idéal républicain en remplacement des valeurs traditionnelles – basées sur la religion notamment, tandis que les nouvelles prônaient l’idéal laïque, l’égalité, la liberté et la fraternité pour tous.

25La professionnalisation a certes répondu aux attentes de l’État en apportant des valeurs nouvelles dans les familles. Mais cela n’a pas permis de rapprocher les valeurs des milieux sociaux différents. Les familles pauvres sont devenues beaucoup moins nombreuses, elles n’étaient plus majoritaires, ce qui a augmenté leur mise à l’écart. Les différences de cultures entre les groupes sociaux demeurent fortes, et le lien social à l’intérieur des groupes et avec les autres groupes sociaux reste faible.

26La prépondérance des sciences humaines centrées sur l’individu, la recherche de son bien-être grâce à la consommation, la notion de droit qui se développe fortement peuvent-elles apporter une source d’explication partielle de ce délitement du lien, sur lequel finalement le travail social a peu de prise ?


Date de mise en ligne : 04/03/2011

https://doi.org/10.3917/vst.109.0036

Notes

  • [1]
    P. Caille, « Être parent aujourd’hui : performance d’un rôle ou vécu d’un état ? Dilemme et contradiction de la position parentale contemporaine », Thérapie familiale, 2003.
  • [2]
    J. Donzelot, La police des familles, Paris, Éditions de Minuit, 2005.
  • [3]
    M. de Chamousset, Mémoires politiques sur les enfants, 1787.
  • [4]
    L. Cambon, L’éducateur spécialisé à travers ses discours : une question d’identité, thèse, université de Rennes 2, 1996.
  • [5]
    E. Jovelin et B. Bouquet, Histoire des métiers du social en France, éditions ash, 2005.
  • [6]
    Jacques Ion, Le travail social à l’épreuve du territoire, Toulouse, Privat, 1990.

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