Couverture de SPUB_022

Article de revue

Analyses de livres

Pages 201 à 207

Passion Alcool, M. Craplet, Editions Odile Jacob, Paris, 2001. 384 p.

Présentation

1Passion Alcool, tel est le titre, rempli à la fois de poésie et d’énigme, sous lequel l’alcoologue et psychiatre de l’ANPA (Association nationale de prévention de l’alcoolisme) Michel Craplet nous livre une véritable somme. Celle-ci concerne la plupart des tenants et aboutissants connus des principaux produits alcooliques de nos civilisations passées et présentes. Elle porte notamment sur ce que nos nombreuses langues en ont dit. Elle est appuyée par près de 25 pages de références bibliographiques (plus de 800 titres). On y découvre des faits sociaux issus de nombreuses cultures, des citations littérales d’expressions, d’adages ou de proverbes, d’extraits de poésies. Les uns et les autres proviennent de catégories variées d’historiens, de littéraires, de spécialistes de multiples disciplines scientifiques. En les lisant, on se demande inévitablement et avec admiration comment un seul auteur est parvenu à avoir accès à tant de documents d’époques si variées au cours de ses recherches personnelles et au long de sa vie professionnelle.

2Par-delà une telle exubérance quantitative de faits relatés et de citations référencées, voici le cheminement qualitatif proposé d’un chapitre à l’autre : l’alcool (ch.1) ; l’alcool et moi (ch.2) ; moi avec les autres : la convivialité et le lien (ch.3) ; l’alcool des autres (ch.4) ; lorsque le moi s’isole : l’ivresse (ch.5) ; vivre au milieu des autres : la prévention au quotidien (ch.6). Un apéritif introduit ce menu qui s’achève par un digestif (de 8 pages chacun). Les chapitres se déploient selon un plan progressif avec des titres et des sous-titres suggestifs.

3Lui-même docteur en médecine, l’auteur, par-delà un public éclairé, s’adresse plus précisément à ses collègues praticiens et à leur entourage de soignants et d’éducateurs au service des jeunes comme des adultes. Tous y puiseront un enrichissement de leur culture générale autant que de leurs démarches professionnelles. En tant que sociologue de la santé, nous avons été sensible aux nombreux aspects sociologiques de bien des analyses proposées à propos des boissons alcooliques et des rituels de leur consommation dans les aires culturelles de leur diffusion. Les observations pittoresques s’accompagnent souvent d’interprétations multidisciplinaires.

4Derrière l’alcoologue compétent, on discerne la sympathie d’un connaisseur initié aux vins, bières ou eaux-de-vie : il sait parler à ses lecteurs comme à des patients déjà rencontrés. Citons quelques pages exceptionnelles sur « la facette gastronomique de l’alcool », sur les joies et mystères de la dégustation, sur les réflexions d’un scientifique au-delà du poète, sur les appréciations d’un connaisseur de l’harmonie des vins et des plats cuisinés, sur celle d’un bon vivant n’oubliant pas le rôle diététique de l’alcool (pp. 84-88).

5Prenons encore l’exemple du professionnel de la prévention, à la fois averti des textes législatifs et soucieux de l’art d’apprendre à boire, du plaisir de la communication, de la vraie convivialité (pp. 311-328).

6Au passage, relevons ces discussions solidement documentées et nuancées, mais fermement préoccupées tant des santés individuelles que de la santé publique à propos du French paradox (moins d’affections coronaires en France que dans les autres pays européens comparables) tellement récupéré de nos jours (pp. 328-336)…

7Le ton de tout l’ouvrage culmine ainsi dans des notations typiques sur la prévention globale (p. 337), sur la solidarité des buveurs (p. 339), au-dessus de tout en faveur d’une prévention humaine. Celle-ci, en effet, s’affirme comme la caractéristique la plus constante de ce long cheminement de l’auteur avec ses lecteurs, spécialement avec ceux qui ont été ou sont encore ses étudiants, ses auditeurs, voire ses patients.

Suggestions

8L’accès à cette documentation exubérante serait encore davantage facilité par une table analytique des thèmes et par une table des auteurs. Le titre du livre plutôt évocateur de mystère poétique (sans article ni défini, ni indéfini) gagnerait à être explicité par un discret sous-titre plus scientifique et plus expressif pour traduire le contenu dont nous n’avons proposé qu’une évocation trop succincte. Ne nous attardons pas à quelques rares problèmes de rédaction, de ponctuation ou de présentation, qu’une réédition suffira à éliminer. Ni à la discrétion exagérée des données statistiques, pourtant indispensables de nos jours.

9En revanche, arrêtons-nous davantage à quelques suggestions ou vœux. En prenant peu à peu connaissance de cette somme déjà si riche, il nous est survenu un rêve : l’enrichir encore davantage en la complétant au-delà de la documentation personnelle de son auteur afin d’en faire un instrument le plus exhaustif possible au service de l’alcoologie contemporaine. Sous la coordination de ce même spécialiste, à notre avis, nombre d’érudits de la linguistique, de la littérature, des sciences humaines (ethnologie, sociologie, psychologie, etc.) comme des disciplines médicales seraient en mesure de multiplier les suggestions, les observations, voire les critiques en vue d’élaborer un ouvrage encore plus encyclopédique et davantage pluridisciplinaire selon l’état actuel des connaissances de la communauté scientifique (le présent ouvrage demeurant tel quel, bien sûr, pour introduire et favoriser ces nouvelles contributions vers la même direction).

10S’il devait voir le jour, un tel projet deviendrait l’instrument le plus complet dans le domaine de l’alcoologie au service des communautés humaines où se recrutent usagers et connaisseurs des diverses boissons alcooliques. Et cela en direction d’une prévention résolument humaine comme d’une authentique éducation pour la santé de nos contemporains.

11Pour rester dans les champs si variés de la santé publique et communautaire, pourquoi ne pas souhaiter de semblables instruments collectifs de formation et de travail dans des domaines voisins souvent associés, tels ceux du tabac, du cannabis, des autres drogues licites et illicites, sans omettre ceux des drogues synthétiques ou artificielles accentuant les dépendances physiologiques ou psychologiques et sans oublier certains médicaments également psychoactifs méritant bien l’ancienne désignation de drogues pharmaceutiques ?

12De telles extensions ou diversifications d’une coopération scientifique ne feraient que suivre l’évolution récente des sciences alcoologiques s’ouvrant à toutes les formes ou sortes d’addictions.

13Toutefois, si de telles réalisations et collaborations venaient à voir le jour tôt ou tard, il serait hautement souhaitable qu’elles s’inspirent toujours des caractéristiques essentielles de l’ouvrage de Michel Craplet que nous venons de recenser. En particulier, elles pourraient poursuivre, voire compléter :

  • sa dimension encyclopédique,
  • ses approches pluridisciplinaires,
  • ses composantes psychosociologiques,
  • son orchestration socioculturelle,
  • son ton à la fois humain et convivial,
  • au service des finalités préventives et éducatives.
Alphonse d’Houtaud

14Directeur de recherche à l’INSERM et sociologue de la santé

Education à la santé. XIXe–XXe siècle, Sous la direction de D. Nourrisson, Rennes, éditions ENSP, 2002 : 158 p., ISBN : 2-85952-678-1

15Le titre de ce petit ouvrage est assez général. Il s’agit en fait du rassemblement de quelques uns des textes d’un séminaire de recherche « Éducation à la santé » tenu à l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Saint-Etienne, entre 1997 et 1999. Les auteurs, pour la plupart, sont des historiens, spécialisés dans l’histoire de la santé et l’histoire du sport.

16« À l’origine des concepts de santé », la première partie est introduite par un texte d’Olivier Faure, excellent, même s’il reprend des éléments que l’auteur avait déjà évoqués antérieurement. Olivier Faure rappelle la naissance de l’hygiénisme, dans un double souci, populationniste, formulé de façon récurrente en France depuis le milieu du XVIIIe siècle, et social, ou plutôt moral. L’hygiène publique, « art de conserver la santé aux hommes réunis en société », voit se rejoindre deux idées : la santé du corps humain et la santé du corps social et celle-ci englobe certes les maladies, mais aussi les crimes et les fautes. Le discours du « premier hygiénisme » (fin du XVIIIe aux années 1870) est culpabilisateur ; « pour expliquer un état de santé déficient […] les médecins insistent sur le mauvais régime alimentaire ou l’incapacité à tenir un logement propre, plutôt que sur les conditions de logement elles-mêmes, les conditions de travail ou la salubrité de la ville ».

17Cette tendance à centrer les causes d’altération de la santé sur les comportements individuels va se confirmer dans ce qu’Olivier Faure appelle « le second hygiénisme » (1870-1940). Plus technique et plus rationnel que le premier, ce courant hygiéniste va se comporter de la même façon à l’égard des personnes : « Faute de vouloir remettre en cause l’organisation sociale dans l’étiologie de certaines maladies, les dirigeants de l’action sanitaire reprennent spontanément une longue habitude de stigmatisation des classes populaires présentées comme indisciplinées, obscurantistes, irrationnelles. La maladie est donc, selon les cas, la conséquence de la débauche, de l’imprévoyance, de l’alcoolisme, de la malpropreté, tous comportements décrits comme purement individuels. Voilà donc revenue, à l’abri des techniques les plus modernes et des raisonnements les plus sceptiques, la vieille notion de la maladie-punition et des malades-coupables ».

18On voit tout ce que la thèse d’Olivier Faure a d’actuel, et les raisons pour lesquelles, en France, tout particulièrement, la promotion de la santé, qui insiste sur la participation des personnes à des changements sociaux plutôt que sur la modification de comportements individuels, a si peu droit de cité. Il n’était pas inutile de revenir sur ces racines historiques.

19Les autres chapitres de l’ouvrage, tout aussi captivants, sont plus thématiques : ainsi ceux de Didier Nourrisson sur la naissance du tabagisme et de l’anti-tabagisme et sur l’enseignement anti-alcoolique à l’école, ou aussi celui de Julia Csergo sur l’enfance et la propreté au XIXe siècle – relatant le long combat de l’École pour la propreté physique et morale des enfants –, et ceux de Thierry Lefebvre, Frédéric Zarch ou Didier Nourrisson sur l’utilisation du cinéma et des méthodes publicitaires dans l’éducation à la santé.

20L’Éducation sanitaire à l’école occupe toute la troisième partie de l’ouvrage, avec une focalisation forte sur l’éducation physique et le sport, et sur l’éducation sexuelle. Comme toujours, lorsqu’on lit un ouvrage d’histoire, on prend conscience de l’éclairage porté par les idées et la pratique d’hier sur celles d’aujourd’hui. Les travaux rassemblés ici sous la direction de Didier Nourrisson, malgré leur apparente hétérogénéité, concourent tous à faire comprendre comment, dans l’Éducation nationale en particulier, s’est forgée l’éducation à la santé « moderne »… finalement pas si moderne que cela.

21Jean-Pierre Deschamps

Les usagers de l’action sociale ? Sujets, clients ou bénéficiaires ?, Coordonné par C. Humbert, Paris, l’Harmattan, 2000 : 285 p., ISBN : 2-7384-9761-6

22Action sociale, système de soins, administration… La réflexion sur l’usager est à la mode. S’agit-il d’approches nouvelles des relations entre profanes et professionnels ? Le mot utilisé aujourd’hui avec une grande emphase veut-il renouveler des concepts, ou au contraire camoufler le statu quo ? « L’usager serait-il de plus en plus au centre de nos discours parce que de moins en moins au centre de nos pratiques ? ».

23À ces interrogations de Chantal Humbert, dans l’avant-propos, répond une douzaine de chapitres rédigés par des sociologues, philosophes, travailleurs sociaux. « Sujets, clients ou bénéficiaires ? » interroge le sous-titre de l’ouvrage, qui aurait pu aussi dire « citoyens », et qui propose des appellations par catégories d’âge (enfants, adolescents, jeunes, personnes âgées…) ou par type de problèmes (handicapés, cas sociaux, délinquants…) ou par statut vis-à-vis des institutions (patients, malades, résidents ou résidants, acteurs…).

24Ce qui est en cause lorsque l’on parle d’usager, c’est l’articulation, dans les institutions, entre l’approche individuelle et l’approche collective, ou, comme le dit Michel Chauvière, le rapport entre des producteurs (de services, de soins…) et des destinataires qui ne sont plus seulement consommateurs, mais acteurs de gestes, de paroles, d’initiatives – par exemple leur propre évaluation des services fournis.

25Quelle est alors la place nouvelle des professionnels, d’autant plus qu’un autre acteur est apparu dans l’action sociale : « l’élu, qui oriente, cadre, pilote, exige, évalue ? ». La démarche-qualité, par exemple, « vaut-elle pour optimiser et finaliser la logique de production de service, ou pour optimiser dans un sens plus éthique la place de l’usager, principe de vérité entre tous ? ». Face au premier élément de cette alternative, « sans aucun doute la meilleure riposte est-elle […] dans la mobilisation collective des professionnels pour faire respecter les droits des usagers ».

26L’usager, sujet de droits, et le professionnel, garant de leur respect par les institutions ; l’usager « accompagné » par le professionnel ; la liberté de l’usager, son autonomie fondamentale ; mais aussi le risque de l’exclusion inhérent à toute dénomination catégorielle ; autant de concepts, parmi d’autres, évoqués dans les chapitres de cet ouvrage très riche, qui s’appuient par exemple sur la politique de la ville, la réglementation du droit des usagers dans le secteur médico-social, le cas des personnes âgées accueillies en institution, celui des personnes handicapées, des parents d’enfants placés en pouponnière.

27Dans tous les cas, il s’agit d’inventer de nouvelles pratiques, préservant la liberté et l’autonomie de l’individu dans un contexte collectif : il s’agit bien d’un plaidoyer pour une citoyenneté étendue. Le secteur de la santé publique vit aujourd’hui les mêmes interrogations et les mêmes réflexions. L’ouvrage coordonné par Chantal Humbert peut incontestablement nous aider.

28Jean-Pierre Deschamps

Dialoguer pour soigner. Les pratiques et les droits, J. Martin, Genève, Éditions Médecine & Hygiène, 2001 : 131 p., ISBN : 2-88049-156-8

29Jean Martin a réuni dans cet ouvrage une vingtaine de textes qu’il a groupés en quatre parties : les dimensions actuelles de la relation soigné-soignant, la déontologie et la médecine légale, les aspects éthiques et légaux des soins en fin de vie, et éthique, santé publique et droits de l’homme.

30Dans sa préface, Bernard Hoerni, Président du Conseil national de l’Ordre des médecins, évoque les lois sur la bioéthique : « ces lois peuvent évoluer, changer. Il ne faut pas en tirer un espoir utopique, l’observation du passé ne montre pas, loin de là, des progrès constants et continus. Cependant, de grands principes demeurent […]. Ces questions sont au cœur de l’éthique en général, et pas seulement de l’éthique médicale ». Dans cet esprit, les textes ici rassemblés par Jean Martin contribuent à écrire les grands principes du soin, formulés et mis en application par le grand témoin qu’il est de l’évolution de la médecine et de la santé publique, en Suisse et bien au-delà.

31Les titres même des chapitres pourraient, mis bout à bout, résumer l’ouvrage. « La médecine, c’est communiquer […]. Dialoguer et prendre soin des personnes venues d’ailleurs […]. Quand il s’agit d’apprécier, d’arbitrer et de conseiller […]. Démence et fin de vie, comment faire juste ? ». Et ce n’est pas seulement un discours théorique que nous tient l’auteur ; il l’ancre dans son expérience professionnelle et humaine. Médecin-cantonal du Canton de Vaud, il a été interpellé, consulté comme médecin et comme responsable de santé publique. Il relate beaucoup de ses expériences qui ont nourri sa réflexion. La formation des professionnels de santé, l’information des patients, la publicité et l’information, la relation avec les proches « légaux et sociaux » du malade en fin de vie, le consentement des adolescents aux soins, la médicalisation de la fin de vie, la santé publique et les droits de l’homme, autant de thèmes, parmi d’autres, qu’il argumente en proposant des pistes, des actions.

32Petit clin d’œil, involontaire et prophétique, au lecteur français. Jean Martin cite la phrase d’un philosophe dans une interview à une revue romande : « Je donnerai tous les arbres de la Terre pour le sourire d’un enfant. Pour sa vie ». Ce philosophe, Luc Ferry, est, pour un temps, ministre de l’Éducation nationale française ; on se plaît à imaginer les sourires de millions d’écoliers français… sans déforester le monde pour autant.

33In fine, Jean Martin s’interroge sur l’anthropocentrisme excessif de la société moderne, où l’homme considère qu’il est au centre du monde, et que celui-ci, avec ses ressources et ses richesses, est à son service. Il regrette que la langue française soit moins riche que la langue allemande, qui, à côté du mot « Umvelt » (environnement), a forgé le « Mitwelt » (le monde avec qui nous sommes). Belle métaphore, au moment où semble enfin émerger, dans les sciences humaines et même en politique française, la notion de développement durable.

34Jean-Pierre Deschamps

Epidémiologie : Les connaissances fondamentales, analyses d’articles, P. Czernichow, J. Chaperon, X. Le Coutour, Edition Masson, Paris 2001 ; ISBN 2-294-00377-2

35Bien que publié par Masson dans sa collection « Abrégés », ce travail est un manuel très complet, un ouvrage de référence incontestable, et un plus par rapport aux livres existants.

36Le travail de P. Czernichow, J. Chaperon et X. Le Coutour, apparaît d’emblée avec une originalité. Avant de parler de la méthode épidémiologique, une longue et excellente introduction situe la discipline dans la diversité des modalités d’approche de la santé (« de la multiplicité des points de vue »), donne une place à « l’expression de la population sur sa santé » et sur le besoin d’information des usagers, et interroge sur la place du politique. « [La] réflexion [sur l’écart croissant entre la technique proposée par les professionnels et le vécu de la maladie des patients] ne peut que partir de la population, la première concernée, et pourrait être enrichie des apports du philosophe, de l’anthropologue, du sociologue, du psychologue : le professionnel de santé se sent mal à l’aise pour y répondre ; il y a des réponses, mais quelle est la question posée ? » Les auteurs n’oublient pas de dire « à qui sert l’épidémiologie », et de préciser la responsabilité sociale de l’épidémiologiste.

37La partie « connaissances » de l’ouvrage est toujours présentée dans une véritable perspective de santé publique, avec de nombreux exemples, souvent présentés comme des exercices. On a l’impression ici de voir « vivre » l’épidémiologie, où la rigueur de la méthode est au service de la connaissance et de la pratique de la santé publique.

38Un large chapitre « pratique » est fait d’articles dont l’analyse est proposée au lecteur à travers un jeu de questions et leurs réponses. Pour la plupart, ces articles sont tirés de la Revue d’Epidémiologie et de Santé Publique. C’est tout simplement passionnant et d’une qualité pédagogique exceptionnelle.

39Ce livre est sans doute appelé à devenir incontournable pour tous ceux qui pratiquent la santé publique, ou qui s’y forment. Il faut se féliciter de voir se confirmer ainsi dans le grand ouest français (Rouen, Rennes, Caen), une grande école d’épidémiologie et de santé publique.

40Jean-Pierre Deschamps


Date de mise en ligne : 01/01/2008

https://doi.org/10.3917/spub.022.0201

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