De Lettre d’une inconnue, de Stefan Zweig, on connaît surtout deux adaptations cinématographiques : l’une fameuse, de Max Ophuls, l’autre de Jacques Deray. Les rapports de ces films avec la missive de la mystérieuse et tragique héroïne autrichienne, leurs concordances et leurs divergences, sont examinés ici jusque dans leurs plus fâcheuses lacunes.