Sigila 2012/1 N° 29

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Article de revue

Enclos du silence

Pages 71 à 79

Notes

  • [1]
    Préoccupation déjà ancienne, puisqu’une première manifestation en fut l’article « Sans Voix », paru dans Les Temps Modernes en 1989 (p. 514-515).
  • [2]
    Je me permets de renvoyer à deux de mes livres : Ne jette pas mes dessins à la poubelle. Dialogues avec Daniel, traité pour une tumeur cérébrale, entre 6 et 9 ans, Paris, Seuil, 1999 et Là-bas la vie. Des enfants face à la maladie, Seuil, 2010.
  • [3]
    Pierre Guyotat, Vivre, Paris, Denoël, 1984, p. 181-184.
  • [4]
    Je me permets de renvoyer le lecteur à mon dernier livre L’Enfant très malade, approché dans ses dessins, Paris, Éditions de l’Olivier, 2011.

1Ceux qui ont traversé un traumatisme majeur, ou qui en ont hérité, ne peuvent, bien souvent, en parler [1]. Leur silence peut découler de la crainte de réveiller la souffrance et le trouble mal dépassés, de déstabiliser l’équilibre, plus ou moins satisfaisant, qu’ils ont fini par trouver, de susciter le malentendu, le rejet, la pitié ou le voyeurisme des autres et de dégrader l’image que ceux-ci ont d’eux. Mais, au-delà, leur silence témoigne du vide que l’événement, excessif et inintégrable dans leur psychique, a creusé en eux.

2Je m’appuierai sur l’expérience des enfants atteints d’une maladie grave [2]. Mais leur expérience nous apprend beaucoup sur celle des adultes qui traversent ou ont traversé des situations-limites de ce que l’homme peut supporter. Le silence y occupe une place importante. Si nous voulons les accompagner, les aider à traverser cette épreuve ou se déprendre de ses effets traumatiques, parfois durables, il est souhaitable d’en connaître la diversité, d’en comprendre les raisons, les causes, le sens. Faute de quoi, nous risquons le malentendu, les paroles intrusives ou à contretemps, qui témoignent de notre incompréhension et de la distance qui nous séparent d’eux, qui nous discréditent comme interlocuteurs, qui les enferment un peu plus dans le sentiment de leur solitude et de leur détresse incomparables.

Les éléments de l’expérience traumatique

La douleur

3Excessive, aux limites du supportable, elle écrase toute capacité de pensée, toute disponibilité au dialogue, elle enferme dans son monde. De ce corps replié sur lui-même, cherchant la position qui la calmera, ne s’échappent que des pleurs et des plaintes. Si la douleur dure, ils céderont la place au silence, ponctué de cris, expression brute du corps, qui ne sont pas des paroles. Ininterprétables, mais ne trompant pas, ils ne peuvent qu’être entendus et ressentis. Ce n’est que plus tard, quand la douleur s’apaisera, que l’enfant pourra dire « j’ai eu mal », comme auparavant il disait « j’ai peur d’avoir mal, j’espère que je n’aurai pas mal ».

La sidération

4Le silence peut témoigner de son incapacité à comprendre ce qui lui arrive, à mettre en ordre ses pensées et ses émotions, à trouver les mots pour les exprimer. Ou de l’écrasement de toute pensée par l’événement, excessif par sa violence, son exceptionnel : il fait effraction dans le corps et le psychique, bouleverse les repères et le sentiment de sécurité dans l’ordre du monde et dans la société. Dans cette sidération se mêlent la peur, la surprise scandalisée, l’incompréhension, l’éclatement des repères qui structuraient jusqu’alors sa vie, ses relations aux autres, le sentiment de son identité et de sa valeur. Vole en éclats la croyance qu’il a mise dans la toute-puissance de ses parents, dont il attend qu’ils le protègent de tout malheur. Mais quand la douleur, bien traitée, s’apaise, il reprend contact avec la totalité de son corps, retrouve sa parole et sa relation aux autres. Pour l’aider à sortir de la sidération, il importe de maintenir sa présence authentique et, le temps nécessaire, de porter seul le dialogue sans pour autant chercher à combler le silence, qui est à respecter. Le forcer à parler serait exercer une violence insupportable qui redoublerait le traumatisme. Il faut bien plutôt essayer d’imaginer sa parole dans le dialogue à une voix, sachant bien pourtant qu’il garde sa part d’inconnu et d’opacité, précieuse et nécessaire quand elle n’enferme pas. Ce sont notre silence gêné, ou nos paroles de convention, artificielles, qui font mal. En tenir compte nous évite le sentiment d’inutilité et d’impuissance à l’aider, lui évite le renfermement en lui-même, une fois perdue sa confiance dans les autres.

5Il faut l’aider à retrouver ses repères, à refaire le parcours entre ses habitudes d’être et de penser et l’exceptionnel de sa situation présente ou de l’événement traumatique. Cela passe par la récupération pas à pas de son corps : son image de corps, le sentiment de sa cohérence et de sa consistance, de sa forme préservée, le fait d’y habiter, de n’y être pas étranger, aussi étrange qu’il soit devenu [3]. Aussi par celle du sentiment de sa place dans sa famille et dans la société, hors toute culpabilité : les autres ne lui en veulent pas de l’inquiétude, de l’émotion, du bouleversement dans leur vie qu’il apporte, il n’en est pas responsable. Dans un second temps il faudra, avec optimisme raisonnable et lucidité, parler des éventuelles séquelles et des aménagements nécessaires et possibles.

6Pour dialoguer avec lui, nous devons savoir utiliser le silence, le sien mais aussi le nôtre. Moment de respiration, il accompagne les rythmes de sa pensée et de la nôtre. Il peut témoigner de la fatigue ou du tarissement des idées et des mots. De ce silence, qui parfois dure longtemps, devient pénible, il n’y a aucune raison d’avoir honte et de le masquer par des paroles anodines, de réassurance et d’optimisme artificiels qui visent à combattre la peur du vide ou la crainte de rupture du dialogue si fragile. Nous en serions discrédités. Nous devons bien plutôt nous appuyer, raisonnablement, sur notre compétence et sur ce qui fut à l’origine de notre vocation de psychanalyste qui, bien souvent, a pris ses racines dans notre propre histoire personnelle et familiale. En être suffisamment conscient contribue à nous éviter de confondre notre interlocuteur silencieux et souffrant avec les personnages de notre histoire, dont nous restons encombrés.

Le silence peut avoir d’autres causes

7Les connaître évite les malentendus, les erreurs diagnostiques, l’inefficacité de l’aide attendue. Il faut penser aux causes physiques, telle la fatigue, ou cérébrales.

8Nous devons être attentifs, face à l’enfant, à deux attitudes négatives, qui peuvent coexister : projeter sur lui nos propres sentiments (contre les médecins, les responsables supposés de la situation, les autres, le malheur, etc.), être fascinés par un seul élément de sa situation. Être attentifs aussi aux pensées et aux sentiments que nous percevons chez l’enfant, ou que nous lui attribuons, autant qu’aux nôtres, car ces derniers peuvent gêner la justesse de notre regard, de notre écoute et de notre réflexion pour l’aider. Une telle relation entre nous, dans ce contexte, est épreuve de vérité pour lui : est-il à la hauteur de la situation ou se reconnaît-il faible et sans valeur ? Elle l’est aussi pour nous. Si nous reconnaissons dans cet enfant au corps et au psychique si atteints et changés celui que nous avons connu dans la plénitude de ses qualités et de son bonheur d’être, alors nous pouvons aider ses parents, face à lui, à se déprendre de leur sidération, à reconnaître en lui la permanence de son identité et de la place qu’il occupe toujours dans leur narcissisme et leur désir, à reprendre la relation de parole avec lui.

Le coma

9L’enfant dans le coma ne parle pas. Il peut grogner, râler, émettre des paroles incohérentes, rester silencieux et nous n’entendons que le souffle de sa respiration. Nous entend-il, quelle attitude avoir à ses côtés ? Nous avons tendance à rester silencieux, comme s’il dormait. Mais dans le coma, l’enfant conserve ses rythmes de veille et de sommeil. À certains moments, nous n’interrompons pas son silence de sommeil, à d’autres nous lui parlons ou nous parlons devant lui, normalement. Il entend notre voix, comme à travers un mur, il peut reconnaître son style et son rythme, sa musique, certains mots, percevoir nos émotions, notre obstination à lui parler. Ces syllabes, ces mots, resteront marqués en lui, il les reconnaîtra quand il les réentendra, les accrochera à ses souvenirs mais, fragmentaires, ils lui resteront énigmatiques, il ne saura qu’en faire ni dans quelle continuité, dans quel ensemble les inscrire. Pourront l’y aider ceux qui auront été présents à ses côtés, qui lui auront parlé, qui auront entendu ces paroles, et aussi vu ceux qui seront passés dans son champ de vision. Il importe de lui parler, de s’adresser à lui, non pour qu’il nous réponde mais pour qu’il reconnaisse notre voix, notre présence, et les mots que nous utilisons, pour parler de lui, pour lui parler, faute de quoi c’est le silence et la solitude qui prendront le dessus.

Le refus

10Le silence peut exprimer le refus et la révolte. Il faut trouver la juste distance, la juste attitude entre deux tentations contradictoires. S’y soumettre serait ressenti comme un désintérêt et un abandon, mais l’insistance excessive à le faire parler le serait comme un forçage insupportable, une incompréhension de sa situation, de ses attentes, comme la perpétuation d’une autorité parentale que la maladie a mise à mal. Le refus a de nombreuses causes. L’enfant peut avoir l’impression, parfois justifiée, que les adultes ne lui disent pas la vérité, ne répondent pas à ses questions, ne prennent pas au sérieux ses paroles, exigent trop de lui, n’acceptent aucun compromis. Il peut aussi tester leurs réactions, leur attachement à lui, leur croyance en la réussite du traitement. Leur parole est dès lors discréditée ; à quoi bon parler !

11Le silence peut exprimer le refus de la maladie et du traitement, ou poser des questions cruciales : « M’aimez-vous, même malade ; me laissez-vous tout faire, abandonnant votre position de parents, acceptez-vous toute demande de ma part, sous prétexte que je vais mourir ; me comprenez-vous, même quand j’ai du mal à me comprendre ; suis-je toujours le même pour vous ? » Il faut alors rétablir la relation de confiance. Le silence exprime parfois l’extrême détresse, le pessimisme sans recours : à quoi bon parler dans une telle solitude, quand la mort est si proche !

La relation complexe aux autres

12Garder le silence, répondre n’importe quoi ou ce que l’autre veut entendre mettent celui-ci à distance, le découragent, protègent de sa curiosité ou de sa détresse, pour ne pas en être contaminé. Mais en est accentuée sa solitude et fragilisés des points d’appui qui lui seront nécessaires quand sa situation se sera aggravée. S’y ajoutera la culpabilité d’avoir rejeté ses parents et montré sa méfiance en leur capacité à l’aider. Mais est-il seul responsable de cette méfiance, de son enfermement dans la révolte stérile ? Ces situations sont fréquentes à l’adolescence, et leurs conséquences parfois dramatiques. D’où l’importance de les comprendre à temps.

Le silence et le retrait en soi-même

13L’enfant a parfois tendance à se replier en lui-même, non pour fuir le monde et les autres mais pour se retrouver, non pour se protéger mais pour faire l’expérience de la solitude en présence de l’autre. Il est important de distinguer cette nécessité des retraits de détresse, de dépression, de passivité, de rejet ou de fuite. La difficulté est de trouver la juste distance et la juste attitude. Trop distants, trop prudents, nous sommes inutiles ; trop proches, nous faisons effraction en lui. L’expérience, le savoir, l’intuition et l’empathie nous guident. Dans cette approche vers lui et son opacité, nous mobilisons aussi notre imaginaire (que peut-il ressentir, penser, éprouver ?) et nos fantasmes, dont nous devons être conscients pour qu’ils ne fassent pas écran entre nous quand ils suscitent des analogies trompeuses avec d’autres situations. Nous devons aussi être attentifs à comprendre le besoin que nous avons d’eux, ce qu’ils révèlent de nous, de nos peurs, de nos attentes, de nos croyances, de nos illusions et de nos certitudes.

14S’approcher de cet espace intérieur demande au psychanalyste un tact extrême et de l’audace [4], celle d’accepter tout ce que l’enfant fait résonner en nous d’émotions, de pensées, de souvenirs. Ainsi, nous pouvons l’accueillir authentiquement en nous. Il ne suffit pas de lui dire « parle, je t’écoute » pour être accepté par lui. C’est dans notre disponibilité commune à nous confronter à l’inconnu, à l’insupportable, à l’impensable, que nous pouvons nous approcher l’un de l’autre dans cet espace – où se mêlent la réalité et l’imaginaire, le conscient et l’inconscient – suscité par l’expérience de la maladie grave et de la mort possible.

15Le silence a rapport à la mort, ce grand silence qu’il tente d’apprivoiser. Au vide aussi. Mais il en existe plusieurs, qu’il importe de distinguer. Celui de la passivité et de la solitude, de l’absence de pensées et d’émotions, de la détresse qui n’attend plus rien de personne. Celui, au contraire, de plénitude quand l’enfant s’est décanté de tout ce qui l’encombrait, des préoccupations quotidiennes, du questionnement taraudant stérile, des connaissances qui furent parfois utiles, avant, dans une autre période. Il lui faut du courage pour ne plus s’accrocher à ses apparences, à ces images de lui auxquelles tiennent tant les autres ; pour accepter d’être tourné d’abord vers son espace intime et non plus vers l’extérieur et la société des autres, sans pour autant qu’il refuse d’y appartenir.

16Dans ce silence intérieur, l’enfant peut être pleinement lui-même, dans le temps qui lui reste. Les parents et les soignants prennent parfois ce silence pour un signe de courage exceptionnel, eux qui attendaient l’angoisse, l’agitation, les pleurs et la révolte, ce par quoi l’enfant continuerait de leur donner leur place, active, d’aide et de partage de détresse. Mais, face à ce silence qui ne leur demande rien, et pour échapper au sentiment de l’impuissance et de l’inutilité, ils sont tentés d’agir, dans des actions inutiles voire éprouvantes pour l’enfant, comme le stimuler ou l’amuser, artificiellement. Leur effort de le faire parler cherche autant à repousser la mort qu’à garder le sentiment de leur utilité. Mais l’enfant attend d’eux – de ses parents, de ses soignants – qu’ils acceptent simplement d’être, à ses côtés, ni spectateurs ou témoins paralysés par la détresse, ni activistes ; qu’ils acceptent de laisser ce silence pénétrer en eux.

Le silence d’après-coup

17Quand l’enfant guérit, que devient cette période si intense de sa vie ? Elle fait partie de sa vie privée et il n’a aucune obligation d’en parler, ni spontanément ni en réponse à ceux l’interrogent. Mais le silence est en général mal supporté par les autres, quand leur curiosité a été excitée pour une raison ou une autre, et il est préférable qu’il accepte le dialogue quand les questions ne témoignent pas de voyeurisme ou d’agressivité. Mais il n’est pas obligé de dire la vérité : la cicatrice qui attire le regard pourrait être celle d’un accident. Il faut l’aider à se préserver, mais aussi à distinguer les interlocuteurs : ceux qu’il ne verra qu’une fois, ceux avec lesquels la relation s’inscrit dans la continuité, est plus profonde, ceux sur lesquels il peut compter : il ne parlera pas à tous de la même façon, n’aura pas envers eux les mêmes attentes ou les mêmes gênes.

18Le silence peut découler aussi du sentiment persistant de la honte, celle de la dégradation physique, de la passivité inévitable, des pleurs et des révoltes, des faiblesses si contradictoires avec l’image du héros courageux qu’il pensait ou voulait être, que ses parents parfois lui demandaient d’être, ou encore d’avoir été « méchant » avec eux – de leur avoir reproché sa maladie ou de ne pas l’avoir assez aidé – ou avec son petit frère.

19Le silence doit rester non forcé, et témoigner de sa juste relation à l’événement et à l’histoire que l’enfant a vécus. Mais il peut découler de la volonté d’enfermer dans le passé cette période qui fut si dure mais aussi riche, de faire comme si elle n’avait pas eu lieu, par peur de réveiller les souvenirs, l’émotion et la souffrance non dépassés. Mais les souvenirs n’en reviennent pas moins, avec une obstination renforcée, et ils resurgissent quand un mot, une circonstance rappelle la maladie, pour une raison qui parfois reste énigmatique, ou quand une difficulté nouvelle réveille l’ancienne. C’est à partir du présent qu’il est possible d’aider l’enfant, ou ses parents, à réintégrer ce passé dans la continuité de son histoire et de son identité. Cela nécessite aussi de pouvoir apprivoiser la violence excessive de ce qui fut alors vécu, élément par élément si nécessaire, pour l’intégrer dans le psychique au même titre que tous les autres éléments qu’il a vécus dans sa vie, afin que cette période ne reste pas une page noire, illisible, enkystée en lui, étrangère à lui.

20Tous ces silences dans l’après-coup de la maladie nécessitent des interlocuteurs. Ils peuvent être ponctuels ou réguliers, mus par un intérêt authentique pour lui et non la curiosité égoïste, dans la tension entre le désir de savoir et la disponibilité à en être touchés et transformés, entre l’intérêt pour les aspects anecdotiques et celui pour l’expérience humaine qui a eu lieu. Ainsi, l’interlocuteur est le témoin de ce qu’a vécu l’enfant, l’aidant à en transmettre l’expérience à d’autres, et d’abord à ses parents, afin qu’il sorte de l’exceptionnel et retrouve sa place parmi les autres.

21Toutes ces questions ne sont pas spécifiques à l’enfant et à l’adolescent et se retrouvent chez les patients adultes traités pour une maladie grave ou ceux qui ont subi un événement excessif.

22Sortir du silence dans le dépassement du traumatisme, retrouver sa juste relation à l’événement, à son histoire, à soi-même et aux autres, tel est l’enjeu spécifique du dialogue psychanalytique, qui tient compte du présent autant que du passé, du conscient autant que de l’inconscient, de la réalité autant que de l’imaginaire.


Date de mise en ligne : 01/01/2019.

https://doi.org/10.3917/sigila.029.0071

Notes

  • [1]
    Préoccupation déjà ancienne, puisqu’une première manifestation en fut l’article « Sans Voix », paru dans Les Temps Modernes en 1989 (p. 514-515).
  • [2]
    Je me permets de renvoyer à deux de mes livres : Ne jette pas mes dessins à la poubelle. Dialogues avec Daniel, traité pour une tumeur cérébrale, entre 6 et 9 ans, Paris, Seuil, 1999 et Là-bas la vie. Des enfants face à la maladie, Seuil, 2010.
  • [3]
    Pierre Guyotat, Vivre, Paris, Denoël, 1984, p. 181-184.
  • [4]
    Je me permets de renvoyer le lecteur à mon dernier livre L’Enfant très malade, approché dans ses dessins, Paris, Éditions de l’Olivier, 2011.
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