Couverture de RSG_231

Article de revue

Rôle de l'image dans l'acquisition des compétences par le recours au marché de contrôle d'entreprises

Pages 127 à 130

Notes

  • [12]
    http://www.lentreprise.com

1 Dans le cas où les compétences de l’entreprise ne répondent plus aux exigences de la concurrence, le recours au marché de contrôle d’entreprises est l’un des mécanismes par lequel l’entreprise peut renforcer le potentiel compétitif de ses compétences (N. Gasmi, 2007). Il faut souligner que, dans toutes opérations de croissance externe, l’acquéreur peut toujours bénéficier des compétences de la cible. Mais ce bénéfice pourrait être déterminant (nouvelle technologie, nouveau système organisationnel, etc.) ou secondaire pour l’acquéreur. La réussite de l’opération de croissance externe n’est pas mécanique et de facto, l’acquisition des compétences en recourant à ce type de marché ne l’est pas non plus. N. Gasmi (2007), souligne que cette réussite est conditionnée d’une part, par la disponibilité de la cible au moment où l’acquéreur le souhaite et, d’autre part, par sa capacité à réussir l’intégration des compétences de la cible. J. Ballet et A. Carimentrand (2008), soulignent que, certes, la réussite de l’opération dépend de ces deux conditions, mais l’image de la cible est considérée dans certaines opérations comme un critère important. Pour justifier cette condition, les deux auteurs ont appuyé leur analyse sur l’exemple du secteur des cosmétiques : cas de L’Oréal. Certes, l’image de la cible joue un rôle important, mais elle ne constitue pas un critère systématique explicite dans le choix de la cible, dans toutes opérations de croissance externe. D’ailleurs, J. Ballet et A. Carimentrand (2008), l’ont implicitement mentionné en soulignant que « ce facteur semble relativement important dès lors que l’acquisition se réalise sur un segment de marché dit responsable ». De plus, si l’image est considérée comme étant l’un des critères de choix de la cible, les raisons de ce choix sont très diverses. L’objet de notre article est d’apporter un complément d’analyse théorique sur le degré d’importance de la prise en compte de l’image comme critère de choix de la cible dans une opération de croissance externe. Nous développerons d’abord des éléments portant sur l’importance de l’image dans un marché de produits. Ensuite, nous analyserons le cas de l’importance de l’image dans un marché de contrôle d’entreprises.

1. Image et marché de produits

2 L’image est un concept multidimensionnel. J.M. Décaudin (2003), distingue cinq types d’image : image d’entreprise (dénommée aussi image institutionnelle ou corporate), de produit, de marque, de magasin et de point de vente, et image de prix. Pour simplifier, nous allons définir les images de produit, de marque et d’entreprise (corporate). L’image du produit permet d’individualiser celui-ci par rapport à la concurrence (T.A. Swartz, 1983 ; T.J. Reynolds et J. Gutman, 1984 ; H. Deighton, 1985). La marque est un ensemble de produits ou de lignes de produits qui portent le même nom ou le même identifiant (L. Richard, 1998) et elle se situe au-delà d’un simple indicateur puisqu’elle fournit une information au service marqué, un réseau de sens, une histoire, un univers, en un mot, une identité (B. Heilbrunn, 1997). L’image de marque est la valeur ajoutée d’une marque, combinant des valeurs réelles, des idées reçues, des sentiments affectifs, des impressions objectives et/ou subjectives, conscientes et/ou inconscientes (J.M. Lehu, 1996). Enfin, en ce qui concerne l’image corporate ou d’entreprise, de façon générale, elle s’apparente à l’idée qu’une entreprise donne ou cherche à donner d’elle-même (H. Nyssen, 1971). Souvent, l’image de l’entreprise concentre les images de ses produits, de sa marque, des prix de ses produits, etc.

3 La perception de l’image de l’entreprise se réfère souvent à un ensemble de valeurs : qualité des produits, compétences des salariés, service après vente, performance, respect du client, de l’environnement, des normes sociales, etc. La perception de l’image de l’entreprise et de la marque de ses produits par le consommateur résulte de deux sources. La première relève des informations qu’il a pu avoir lui-même en achetant et en consommant le produit (prix, qualité du produit, aménagement des magasins, etc.) et en étant en contact avec le personnel de l’entreprise (comportement des vendeurs et des responsables). La deuxième source, qui aide à percevoir l’image de l’entreprise, correspond aux différentes informations émises par certaines parties prenantes externes de l’entreprise (médias, associations, concurrents, etc.). Toutes ces informations peuvent conduire le consommateur à percevoir l’entreprise négativement ou positivement. Dans le marché de produits (biens et services), l’image est un point de repère ultime pour le consommateur (N. Hébert, 1987) et établit une relation symbolique entre lui et les produits (M. Solomon, 1983). Dans ce marché, l’entreprise utilise l’image pour différencier ses produits de ceux de la concurrence. En effet, si, traditionnellement, les entreprises mettent en avant les critères objectifs (tangibles) d’un produit (prix, robustesse, durabilité, fonctionnalité, etc.), la demande d’une différenciation basée sur la dimension symbolique (image) devient aussi importante. L’acte d’achat du consommateur est toujours influencé par les caractéristiques objectives du produit, mais, en fait il l’est aussi par sa dimension symbolique, c’est-à-dire par l’image perçue de l’entreprise et de la marque de ses produits. Avec la mondialisation de l’information et la diversité de l’offre, la demande en termes d’image tend à augmenter. De plus, le consommateur (surtout occidental) devient de plus en plus critique, exigeant et pleinement conscient de ses droits individuels et ses attentes ne se limitent plus à acheter un produit pour le consommer, mais il est aussi sensible aux dimensions symboliques de l’entreprise et de ses produits. La demande en termes d’image est aussi accentuée du fait de la montée de la consommation « engagée » (N. Gasmi et G. Grolleau, 2005). Ainsi, l’image est-elle une partie intégrante du processus de création de valeur pour l’entreprise et pour le client, qu’elle ne peut ignorer.

2. Image et marché de contrôle d’entreprises

4 Dans un marché de contrôle d’entreprises, l’image des cibles ne peut pas avoir la même importance et la même attention de la part de tous les acquéreurs, car ce marché fonctionne avec ses propres spécificités. En effet, le marché de contrôle d’entreprises se distingue de celui des produits par la spécificité de l’objet de transaction et de sa structure. Selon M.E. Porter (1982), le marché des firmes est un lieu où les vendeurs sont les détenteurs de firmes (cibles) et où les acheteurs (acquéreurs) sont des firmes qui entendent procéder à une acquisition. L’objet de transaction ou « produit » dans ce marché est une entreprise. Dans le marché de produits, l’acheteur intègre explicitement ou tacitement la dimension image dans son acte d’achat et cela, quelle que soit la motivation de son acte. Mais, dans le marché de contrôle d’entreprises, le degré d’intégration de l’image de la cible dépend surtout de la nature des compétences recherchées par l’acquéreur, des produits, de la marque, du marché de la cible. Le degré d’intégration de la dimension image de la cible dépend aussi de la nature des opérations de croissance externe : opérations opportunistes ou stratégiques.

A. Importance de l’image de la cible dans les opérations de croissance externe opportunistes.

5 Une opération est dite opportuniste quand l’acquéreur cherche à créer de la valeur par la revente de la cible en réalisant une plus-value financière (Strategor, 2005). Dans ce type d’opération, la bonne cible est celle dont le prix de cession permet à l’acquéreur de réaliser une plus-value lors de sa revente. La valeur de la cible est donc un critère fondamental pour l’acquéreur. Il existe de nombreuses méthodes pour rechercher un prix servant de base de négociations entre l’acquéreur et la cible. Les méthodes ordinairement appliquées s’appuient très souvent sur deux concepts fondamentaux, à savoir la valeur patrimoniale et la valeur de rendement de la cible (J.M. Tariant, 207).

6 La valeur patrimoniale représente la valeur réelle des actifs (terrains, bâtiments, stocks, etc.) que possède l’entreprise, moins ses dettes. Mais cette méthode ne tient pas compte de la valeur de rendement de l’entreprise, c’est-à-dire de la valeur de ses ressources intangibles qui ne figurent pas dans son bilan. Ces ressources peuvent correspondre au potentiel de développement de l’entreprise, à sa part de marché, sa clientèle, son savoir-faire, sa localisation géographique, son métier, sa notoriété, son image et celle de la marque de ses produits, etc. Par conséquent, pour apprécier la valeur globale de l’entreprise, il faut prendre en considération sa valeur patrimoniale et sa valeur de rendement. La valeur patrimoniale d’une entreprise est facile à chiffrer car elle est réalisée à travers des informations tangibles que contient son bilan. Mais, la valeur de rendement est difficile à chiffrer car, d’une part, elle concerne l’évaluation des ressources intangibles et, d’autre part, ces ressources ne figurent pas dans le bilan. Ces ressources peuvent avoir des éléments positifs ou négatifs qui ont un effet direct et indirect sur la capacité de l’entreprise à générer des profits futurs stables. Dans le cas où ces ressources sont appréciées positivement, elles généreront un goodwill (survaleur) pour l’entreprise ; dans le cas contraire, un badwill (sous valeur).

7 Dans une opération de croissance externe opportuniste, l’image de la cible joue donc un rôle prépondérant dans l’évaluation de la cible, car elle est considérée comme une ressource stratégique, c’est-à-dire une ressource difficilement imitable, à remplacer ou à substituer (M.E. Porter, 1991 ; J.B. Barney, 1991) et donc une capacité à créer de la valeur. Dans ce type d’opération, l’acquéreur visera des cibles qui présenteront plus spécifiquement des faiblesses dans leur potentiel : mauvaises perspectives de marché et image négative de la cible (produit inadapté et de faible qualité, non respect des normes environnementales ou/et sociales, service après-vente défaillant, difficulté financière, etc.). L’image négative procurera un badwill à la cible, que l’acquéreur peut utiliser pour négocier un prix d’achat inférieur à celui de sa valeur patrimoniale.

8 Durant la période post acquisition, l’acquéreur s’attèlera à améliorer les compétences et la qualité des produits de la cible, à valoriser certains de ses actifs physiques et, par conséquent à construire une image positive de la cible. La cible peut ainsi augmenter sa valeur patrimoniale mais aussi sa valeur de rendement en créant un goodwill à travers l’amélioration de son image. Désormais, elle peut être vendue à un prix supérieur au prix d’achat et l’acquéreur réalisera une plus-value financière. Certaines sociétés ou hommes d’affaires se sont spécialisés dans ce type de stratégie opportuniste de croissance externe. On trouve parmi eux l’homme d’affaires français Bernard Tapie dans les années 1980, ou certaines sociétés d’investissement comme Butler Capital Partners créée par Walter Butler. Depuis sa création en 1991, Butler Capital Partners s’est spécialisée dans le rachat d’entreprises en difficulté souffrant d’une mauvaise image. Cette société investit en fonds propres dans ces entreprises (prise de contrôle par prise de participation) pour ensuite les redresser. Dès que l’entreprise acquise retrouve un potentiel compétitif, elle est mise sur le marché de contrôle d’entreprises pour être cédée à un prix permettant de créer une plus-value significative. Butler Capital Partners a à son actif plusieurs redressements d’entreprise : groupe publicitaire BDDP, société informatique Thomainfor (ex-filiale de Thomson CSF), transporteur routier Giraud International, restaurants et brasseries Flo [12].

B. Importance de l’image de la cible dans les opérations de croissance externe stratégiques.

9 Dans une opération stratégique, l’acquéreur, à travers l’acquisition de la cible, cherche à créer de la valeur avec des synergies par transfert de ressources, de marché ou des synergies financières (L. Capron, P. Dussauge et W. Mitchell, 1998 ; Strategor, 2005). Dans ce type d’opération, l’acquéreur vise souvent un ensemble combiné d’objectifs (K.D. Brouthers, P. van Hastenburg et J. Van Den Ven, 1998) dont certains sont prioritaires. Le degré de prise en compte de la dimension image comme critère de choix de la cible dépend de la nature des objectifs prioritaires visés par l’acquéreur. Sans être exhaustif, nous exposons quatre cas sur ce degré de prise en compte de l’image de la cible dans une opération de croissance externe. Le premier cas correspond au cas où l’acquéreur est en déficit d’image dans certains produits ou marchés géographiques. L’opération de croissance externe permet à l’acquéreur de s’approprier des compétences de la cible dont l’image est positive afin de combler son déficit d’image. Le recours au marché de contrôle d’entreprises donne donc la possibilité à l’acquéreur de valoriser sa ressource image à l’aide de celle de la cible pour que cette ressource devienne stratégique et joue son rôle dans le processus de création de valeur.

10 Le deuxième cas correspond au cas où les activités et les compétences de l’acquéreur sont positionnées dans des secteurs où certains éléments de son image (qualité des produits, respect de l’environnement, savoir-faire, etc.) constituent une source réelle de différenciation. Pour étendre la gamme de ses marques, l’acquéreur cherche à prendre le contrôle des cibles qui ont une image de marque similaire aux siennes. Dans ce type d’opération, l’acquéreur, dans son choix de la cible, doit respecter le phénomène de congruence entre les marques de la cible et les siennes. Les auteurs qui travaillent sur la notion de congruence dans l’extension de marque utilisent souvent le terme de « fit », de similarité. E.M. Tauber (1988), emploie « fit » quand le consommateur accepte le nouveau produit et pense que cette extension est logique. C.W. Park, S. Milberg et R. Lawson (1991), utilisent « fit perçue », soit le processus de catégorisation par lequel on juge le fait que le produit aille bien dans sa catégorie (« suitability »). Quels que soient les termes utilisés, le sens commun de la congruence est le fait que deux entités aillent bien ensemble. Dans ce cas, nous trouvons par exemple certaines opérations de croissance externe réalisées par le groupe L’Oréal. J. Ballet et A. Carimentrand (2008), soulignent que, depuis 2006, le groupe développe une diversification vers le segment de marché responsable : rachat de la parapharmacie new-yorkaise Kiehl’s, des laboratoires Episkin et SkinEthic spécialisés dans les essais sur les peaux artificielles, de Body Shop, etc.

11 Le troisième cas correspond à l’opération de croissance externe où l’acquéreur et la cible instrumentalisent leur image pour faire aboutir ou échouer une opération de croissance externe. En effet, l’acquéreur peut instrumentaliser sa bonne image pour « séduire la cible » afin que celle-ci accepte de se laisser acheter. Par exemple, cela concerne l’opération de prise de contrôle du groupe chinois Wahaha, qui est leader des boissons en Chine, par le groupe Danone. Danone est perçue par Wahaha comme un groupe moderne, puissant financièrement et ayant une bonne image. L’image de Danone a été l’un des éléments qui a contribué à la concrétisation de l’opération de regroupement et ainsi, permis au groupe Wahaha, en déficit d’image et de notoriété, de mieux s’implanter et de couvrir le marché chinois. La cible peut aussi instrumentaliser l’image de l’acquéreur pour faire échouer l’opération d’acquisition. Par exemple, au début des négociations de l’opération de prise de contrôle d’Arcelor par Mittal Steel, les dirigeants d’Arcelor ont essayé d’empêcher cette opération en utilisant l’argument de mauvaise image de Mittal Steel. Cet argument repose sur le bas de gamme des produits de Mittal Steel par rapport à ceux d’Arcelor qui sont de haute gamme. Ils ont aussi essayé de vendre l’idée que Mittal dispose d’un management ne respectant pas les normes et les standards européens en termes sociaux, sécuritaires et environnementaux.

12 Enfin, dans certaines opérations, l’image ne constitue pas un critère stratégique dans la motivation de croissance externe, car les objectifs recherchés n’exigent pas explicitement ce critère comme élément de choix de la cible. En effet, à travers la croissance externe, l’acquéreur va chercher à s’approprier les compétences très spécifiques de la cible (compétences liées aux besoins et au fonctionnement des clients, etc.) pour s’implanter sur un marché donné. Même si l’image de la cible est mauvaise, l’acquéreur peut prétendre que sa stratégie de prise de contrôle est aussi un moyen d’améliorer l’image de la cible. Cette amélioration peut être perçue positivement par toutes les parties prenantes de la cible et surtout par ses clients. Ce cas est très présent dans les opérations de prise de contrôle des entreprises publiques des pays anciennement socialistes (pays de l’Est de l’Europe, Chine) en quête d’un acquéreur lors de leurs opérations de privatisation. Compte tenu du déficit chronique d’image de ces entreprises, leur acquisition par des groupes occidentaux constitue une réelle opportunité pour qu’elles puissent se doter d’une image d’entreprise moderne et offrir des produits répondant aux standards de qualité de ceux des pays développés. Ceci permet aussi de gagner la confiance des clients locaux.

Conclusion

13 Le marché du contrôle d’entreprises est considéré comme étant l’un des mécanismes par lequel les entreprises peuvent améliorer le potentiel compétitif de leurs compétences. Pour cela, l’acquéreur doit trouver la « bonne cible ». Si le critère des compétences de la cible est central, néanmoins, son image peut aussi jouer un rôle déterminant. Dans le marché de produits, l’image joue un rôle de plus en plus déterminant, car le consommateur intègre la composante symbolique du produit dans son acte d’achat. Par contre, dans le marché de contrôle d’entreprises, l’image de l’entreprise, en tant que « produit » de transaction, ne peut constituer un élément de différenciation entre entreprises cibles concurrentes dans toutes les opérations de croissance externe. Le degré de la prise en compte de l’image de la cible et de sa finalité est spécifique à des catégories d’opérations de croissance externe. Dans le cas où ces opérations sont de nature opportuniste, l’acquéreur cherche à identifier des cibles en déficit d’image, ce qui lui garantit des plus-values financières en les revendant avec une image redressée et positive. Si les opérations de croissance externe sont de nature stratégique, la dimension image n’a pas la même finalité. De ce fait, sa prise en compte comme critère du choix de la cible dépend des objectifs prioritaires recherchés par l’acquéreur. Dans le cas où l’acquéreur s’inscrit dans l’acquisition des compétences des cibles pour étendre ses marques et où le consommateur est sensible au phénomène de la congruence des marques de la cible et de l’acquéreur, la prise en compte de l’image des marques devient un facteur-clé. Pour les entreprises en déficit d’image, dans certains segments de marché, le recours au marché de contrôle peut constituer aussi un moyen d’acquérir une entreprise ayant une bonne image dans ses segments afin de résoudre ce déficit. Les pistes théoriques de réflexion que nous avons développées sur le degré d’importance de l’intégration de la dimension image de la cible dans une opération de croissance peuvent être approfondies au cas par cas, avec des approches comparatives pour mieux identifier et comprendre les sources réelles de création de valeur de cette intégration pour l’entreprise mais aussi pour le client.

L’on peut retrouver l’intégralité de cet article sur notre nouveau site www.larsg-revue.com
et sa version imprimée avec les résumés anglais et espagnols dans le numéro 223 de notre revue.
The complete article is available on our new site www.larsg-revue.com
and its printed version, with summaries in English and Spanish, is in the issue 223 of our journal. Puede encontrar la versión completa de este artículo en nuestro nuevo sitio web www.larsg-revue.com
y su versión impresa con los resúmenes en inglés y español en el número 223 de nuestra revista.

Bibliographie

  • Ballet A. et Carimentrand J., (2008), « L’acquisition des compétences par le recours au marché de contrôle d’entreprises : Le cas du marché des cosmétiques responsables », Revue des Sciences de Gestion,
  • Barney J.-B. (1991), « Firm ressources and sustained competitive advantage », Journal of Management, Vol. 17, n° 1, pp. 99-120.
  • Brouthers K.D., van Hastenburg, P. and Van Den Ven J., (1998), « If most mergers fail why are they so popular ? », Long Range Planning, 31 (3), pp. 347-353.
  • Capron L., Dussauge P. and Mitchell W., (1998), « Resource redeployment following horizontal acquisitions in Europe and North America, 1988-1992 », Strategic Management Journal, 19 (7), pp. 631-661.
  • Deighton H., (1985), Rhetorical Strategies in Advertising, Advances in Consumer Research, n° 12, pp. 432-43.
  • Décaudin Jean-Marc, (2003), La communication marketing, Édition (3e) Economica.
  • Gasmi N., (2007), « L’acquisition des compétences par le recours au marché de contrôle d’entreprises : une source d’avantage concurrentiel », Revue des Sciences de Gestion, n° 204, pp. 129-135.
  • Gasmi N. et Grolleau G., (2005), « Les stratégies de Nike face à la controverse éthique relative à ses sous-traitants », Revue Française de Gestion, Vol. 31, n° 223, pp. 67-73.
  • Hébert N., (1987), L’entreprise et son image, Dunod.
  • Heilbrunn B., (1997), Marque, Encyclopédie de Gestion, 2e édition, Economica.
  • Lehu J.-M., (1996), Praximarket, M.P. de Monza.
  • Nyssen H., (1971), Lexique du Marketing, Paris : Delpire.
  • Park C.W., Milberg S. et Lawson R. (1991), « Evaluation of brand extensions : the role of product feature similarity and brand concept consistency », Journal of Consumer Research, 18, September, pp. 185-193.
  • Porter, M.E., (1991), « Towards a Dynamic Theory of Strategy », Strategic Management Journal, Vol. 12, pp. 95-117, (1991).
  • Porter M.E., (1982), Choix stratégiques et concurrence, Economica, Paris.
  • Richard L., (1998), « Stratégies de marques et concepts de marques », Décisions Marketing, N° 13, pp. 17-35.
  • Reynolds T.J. et Gutman J., (1984), « Advertising is Image Management », Journal of Advertising Research, n° 24 (1), pp. 27-37.
  • Solomon M., (1983), « The Role of Products, as Social Stimuli : A Symbolic Interactionism Approach », Journal of Consumer Research, 10, December, pp. 319-29.
  • Strategor, (2005), Structure, décision et identité, 4e Édition Dunod.
  • Swartz T.A., (1983), « Brand Symbols and Message Differentiation… Viable Tools For Products Differentiation ? », Journal of Advertising Research, n° 23 (5), pp. 59-64, 1983,
  • Tauber E.M., (1988), « Brand leverage : strategy for growthin a cost-control world », Journal of Advertising Research, August-September, pp. 26-30.
  • Tariant J.M., (2007), Guide pratique pour reprendre une entreprise, Eyrolles Editions d’organisation.

Date de mise en ligne : 01/05/2011

https://doi.org/10.3917/rsg.231.0127

Notes

  • [12]
    http://www.lentreprise.com

Domaines

Sciences Humaines et Sociales

Sciences, techniques et médecine

Droit et Administration

bb.footer.alt.logo.cairn

Cairn.info, plateforme de référence pour les publications scientifiques francophones, vise à favoriser la découverte d’une recherche de qualité tout en cultivant l’indépendance et la diversité des acteurs de l’écosystème du savoir.

Retrouvez Cairn.info sur

Avec le soutien de

18.97.14.83

Accès institutions

Rechercher

Toutes les institutions