Eugène Delacroix, tout en se livrant à son art, tient un Journal, afin d’y noter ses impressions. Sorte d’aide-mémoire, celui-ci lui permet, ainsi que sa Correspondance, de retranscrire sur la toile ce qu’il a ressenti en entendant un air de Rossini ou une musique sacrée. L’écriture nourrit sa peinture qui se fait de la sorte pragmatique et mnémonique. Elle le mène surtout aux sources de l’art de ses maîtres à travers le souvenir d’un voyage inoubliable au Maroc.
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