Les classiques sont-ils heureux ou malheureux ? Ce qu’on continue à appeler le « classicisme » ne laisse pas de faire problème. En réponse à l’article de Jean Rohou sur « L’Anthropologie pessimiste des classiques » (RHLF, 2001, n? 6), cette note entend rappeler qu’on ne saurait réduire ce classicisme à un pessimisme sous peine d’en évincer bien des chefs-d’œuvre. Divers courants de pensée beaucoup plus roboratifs imprègnent aussi l’époque la plus glorieuse du règne de Louis XIV. C’est une écriture et un art, non une philosophie, qui fondent le « label ».
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