Faut-il croire aux bienfaits sublimatoires de la maladie ? Tout dépend chez le sujet créateur de l’articulation conflictuelle de deux formes de sublimation, la sublimation d’exception et la sublimation ordinaire, dont une lecture de Freud permet de faire l’hypothèse.Les propositions sont ici argumentées à partir de divers exemples tirés de la littérature et de la peinture.
- création
- maladie
- pulsion de mort
- pulsion de vie
- sublimation d’exception
- sublimation ordinaire
Should we believe in the sublimatory benefits of illness?
Should we believe in the sublimatory benefits of illness? In the creative subject, everything depends upon the conflictual relationship between two forms of sublimation, exceptional sublimation and ordinary sublimation—a hypothesis I advance based on a reading of Freud, and support with various examples taken from literature and painting.
- creation
- illness
- death drive
- life drive
- exceptional sublimation
- ordinary sublimation
Mots-clés éditeurs : pulsion de vie, sublimation ordinaire, pulsion de mort, création, sublimation d’exception, maladie
Date de mise en ligne : 01/12/2020
https://doi.org/10.3917/rfps.058.0057Cet article est en accès conditionnel
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