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Article de revue

Officier de Marine : une formation sans égale

Pages 25 à 31

Notes

  • [1]
    Appellation commune de l’École navale.
  • [2]
    Version 2018.0.
  • [3]
    Les officiers de marine servent dans leur domaine de spécialité au sein des 4 autorités organiques : Force d’action navale, Force océanique stratégique, Force aéronavale, Force des fusiliers-marins et commandos.
  • [4]
    L'Irenav est un laboratoire de recherche sur lequel s'adosse la formation scientifique.
  • [5]
    EPSCP-GE.
  • [6]
    C’est le CEMM qui exerce au nom du Minarm la tutelle de l’École navale, assisté par le DPMM.
  • [7]
    Nouvelle appellation de Télécom Bretagne.
  • [8]
    Nom d’usage donné aux élèves-officiers du cours de l’École navale.
  • [9]
    Élèves de classe préparatoire aux Grandes Écoles scientifiques.
  • [10]
    Les OM/SC embarquent depuis 2015 sur la mission « Jeanne d’Arc ».
  • [11]
    Porte-hélicoptères d’assaut dédié à la mission « Jeanne d’Arc » durant cinq mois. NDLR : nouvelle appellation des BPC de la classe « Mistral ».
  • [12]
    À l’exception des spécialités à sélection pour lesquelles la formation se poursuit : pilotes, commandos et plongeurs démineurs.
  • [13]
    USS John S. McCain et USS Fitzgerald.
  • [14]
    HnoMS Helge Ingstad.
  • [15]
    Cellule dédiée aux nouvelles formes de travail et d’apprentissage collaboratif.
  • [16]
    La diffusion n’est pas faite à l’EN en revanche le format similaire est recherché.

1 L’École navale est le creuset de la formation initiale des officiers qui servent dans la Marine nationale. Officiers de marine de carrière ou sous contrat, officiers spécialisés, volontaires officiers aspirants, officiers de la Marine… Tous passent en presqu’île de Crozon.

2 Chacun a un avis toujours très personnel sur la formation qui se fonde sur son expérience, telle qu’elle était, telle qu’il l’a perçue et telle qu’elle devrait être. La Baille [1] pourrait, à certains égards, donner l’impression d’un isolement géographique et d’un déphasage avec un monde et une Marine qui évoluent vite. Et pourtant, il suffit de laisser la bouée cardinale Pen Ar Vir dans le Sud, et d’entrer dans l’anse du Poulmic, pour constater que la réalité est tout autre.

3 L’École navale V18.0 [2] développe une stratégie ambitieuse pour innover au profit de la Marine nationale. Elle noue des collaborations avec les Grandes Écoles et les universités d’intérêt afin de maintenir l’excellence de la formation d’ingénieur de nos officiers. Elle développe des partenariats avec les entreprises de la Base industrielle et technologique de défense (BITD) et les acteurs du monde de la mer, en France comme à l’étranger, afin de demeurer au fait des enjeux maritimes de demain. La qualité de la formation initiale de nos officiers de marine est l’objectif ultime, qui doit permettre de délivrer un « produit » adapté aux besoins des forces [3].

Mise en perspective historique de la formation des officiers de marine

4 En 1945, l’École navale traverse la rade de Brest pour venir s’implanter à Lanvéoc, dans l’anse du Poulmic, sur le site d’une ancienne base d’hydravions. D’abord provisoire, ce choix s’est affirmé en 1965 avec l’inauguration par le général de Gaulle des bâtiments qui abritent aujourd’hui l’école. Ce sont d’abord les circonstances qui ont provoqué ce transfert. Les prestigieux bâtiments de Saint-Pierre n’étaient plus que ruines en 1945 et il fallait héberger dans l’urgence les nouvelles promotions d’élèves-officiers.

5 Une fois passée l’urgence de la reconstruction, ce sont des considérations opérationnelles et pédagogiques qui ont guidé les choix de la Marine pour l’école de ses officiers. Lorsque la décision est prise en 1957 de s’installer au Poulmic, trois leçons essentielles sont retenues des conflits récents auxquels la Marine a été associée. La première, frappée du sceau de l’évidence, est que l’École navale forme des marins. Il fallait donc que les élèves puissent accéder directement à un plan d’eau libre, abrité des vents dominants, et permettant des évolutions en toute sécurité. La Seconde Guerre mondiale avait par ailleurs mis en avant le rôle essentiel de l’aéronavale : Lanvéoc disposait d’une base d’hydravions et de toutes les installations nécessaires à leur mise en œuvre. Enfin, en Indochine, les marins avaient également dû combattre à terre. Dès lors, il paraissait évident que les futurs officiers devaient disposer de vastes espaces naturels pour pratiquer les exercices d’infanterie. La presqu’île de Crozon était tout indiquée pour satisfaire ce besoin.

6 Capables d’agir sur mer, sur terre et dans les airs, les marins formés à partir de la deuxième moitié des années 1960 allaient suivre une instruction marquée par un double objectif pédagogique qui marque encore l’esprit de la formation des officiers de Marine. Un impératif pour les chefs militaires d’alors, nourris de l’expérience des conflits passés : former des hommes doués d’esprit critique, de capacités d’analyse, d’une réelle personnalité, capables de s’insérer dans une équipe et de commander. L’organisation pédagogique est alors fondée sur la responsabilisation et la volonté de lutter contre toute forme de conformisme intellectuel et moral. Le rôle des cadres de contact, encadrant de petits groupes, est souligné. Parallèlement, la qualité de la formation académique est très sensiblement améliorée. Dès 1965, la formation humaine est renforcée ainsi que la formation scientifique tandis que les enseignements de spécialité sont progressivement renvoyés après la formation initiale.

7 Cette impulsion donnée en 1965 n’a depuis jamais été remise en cause. Bien au contraire, les évolutions de la formation initiale, tout en conservant l’esprit qui l’anime, ont contribué à la mettre en phase avec les exigences de la Marine, tout en élevant l’école au niveau des meilleurs standards de l’enseignement supérieur et de la recherche. Ce fut le cas à la fin des années 1990 avec l’inauguration en 2000 de l’Institut de recherche de l’École navale (Irenav) [4]. Au cours des années 2000, les transformations de la durée de la scolarité aboutirent finalement à l’intégration de la mission « Jeanne d’Arc » dans le cursus de formation diplômant à partir de 2010. Les évolutions qui se dessinent aujourd’hui s’inscrivent dans la dynamique d’une école façonnée par l’histoire, dont les principes pédagogiques sont guidés par des valeurs fortes, et qui s’efforce en permanence de résoudre une équation complexe, celle qui consiste à assurer l’employabilité immédiate de ses élèves sur un très large champ (officier, marin, ingénieur), tout en développant chez eux les compétences qui leur permettront de s’adapter tout au long de leur carrière, sans rien céder à la qualité académique de la formation.

Établissement public

8 L’EN V18.0 a changé son « système d’exploitation » depuis le 1er janvier 2017 en devenant un Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel sous la forme de Grand Établissement [5]. Sous les ordres d’un directeur général, toujours amiral, l’École navale est sous tutelle du Minarm [6] et possède désormais un statut similaire à celui de l’École polytechnique, et, depuis peu, de l’École de l’Air. Cet « upgrade » logiciel ne modifie pas la raison d’être de l’École navale : la formation de marins militaires.

9 Cette évolution permet en revanche de s’affirmer comme pôle d’excellence maritime. Le nouveau statut améliore l’intégration de l’école dans l’écosystème de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’École navale est à présent capable de nouer directement des alliances afin d’agréger les capacités de recherche avec des laboratoires partenaires. Elle peut devenir à ce titre une tête de pont de la Marine dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche, dans le monde académique en général.

10 Depuis 2014, une chaire « cyberdéfense des systèmes navals » rassemble l’IMT Atlantique [7], Naval Group et Thales sur une thématique essentielle à la sûreté des opérations navales. Fin 2018, une chaire « résilience & leadership », portée par l’École navale, l’Université de Bretagne occidentale et en partenariat avec l’Université de Rennes 1, était inaugurée. D’autres sujets intéressant la Marine et les Armées apparaissent et pourraient donner lieu à des chaires, outils dynamiques de coopération de recherche permettant des retombées pertinentes dans la formation des marins.

À l’origine, des recrutements variés, toujours de qualité

11 La majorité des officiers de marine sont recrutés via les classes préparatoires aux Grandes Écoles scientifiques, sur le concours commun Centrale-Supélec. Avec environ 1 600 candidats par an aux écrits du concours (pour 79 admis en 2019), la sélectivité assure de disposer d’excellents profils, appelés à servir avec un statut de carrière.

12 Il est également possible aux étudiants de sept écoles partenaires renommées (École centrale de Nantes, École nationale supérieure des Arts et Métiers, ENSTA Brest, ENSTA ParisTech, IMT Atlantique, ISAE-Supaéro, Centrale-Supélec) de postuler pour un double cursus en quatre ans. L’aboutissement est l’obtention d’un bi-diplôme de l’École navale et de leur école d’origine. Entre deux et cinq élèves-officiers débutent ce cursus chaque année. Ces officiers servent ensuite huit ans minimum dans la Marine.

13 D’autre part, un « graduate program » forme, en un an, 35 à 40 officiers de marine. Minorité (relative) au sein d’une majorité de bordaches [8] à laquelle ils sont incorporés, les officiers de marine sous contrat (OM/SC) embarquent sur la mission « Jeanne d’Arc », réel facteur d’attractivité pour ce programme et de légitimité pour ces officiers formés plus rapidement. Le recrutement de ces officiers est fait pour moitié en interne, et pour moitié sur des profils de niveau licence ou master, majoritairement mais non nécessairement scientifiques.

14 Enfin, le programme des élèves français en formation à l’École navale allemande (Efena) incorpore chaque année deux élèves français (niveau baccalauréat) pour suivre un cursus de cinq ans à Mürvick puis Hambourg, avant d’être réintégrés sur la mission « Jeanne d’Arc » avec leurs camarades de l’École navale.

15 Au total, ce sont bientôt 125 officiers de marine français qui seront diplômés chaque année au retour de la mission « Jeanne d’Arc » avant d’être tous affectés dans une unité opérationnelle.

La formation d’officier de marine : un alliage élaboré

16 Pour être pleinement employable, l’officier de marine doit simultanément être : un chef militaire capable de tirer le meilleur de ses hommes, un marin capable de prendre l’ascendant sur mer et un ingénieur capable maîtriser des systèmes technologiquement complexes.

Chef militaire

17 Le niveau des crises dans le cadre desquelles la Marine nationale se déploie ne cesse d’augmenter depuis le début des années 2000. Pour répondre à cette intensité croissante des engagements opérationnels, l’élève-officier est aujourd’hui préparé physiquement et mentalement.

18 Physiquement, le dépassement de soi et la connaissance de ses limites s’ajoutent au traditionnel programme de sport universitaire des Grandes Écoles. Grâce à des séquences d’aguerrissement régulières et progressives, l’élève apprend à endurer et à tenir dans la durée.

19 Pour servir une Marine d’emploi, à la tête de marins professionnels, le besoin d’avoir des hommes et des femmes capables est prégnant. Capables de convaincre, capables de fédérer, capables de prendre du recul et de disposer d’une intelligence de situation. Ce volet large de la formation est développé par le département « Formation humaine et militaire » de façon théorique et pratique. Si l’expression orale n’est généralement pas la qualité première des jeunes taupins [9], la qualité des prestations lors du jury de fin de campagne « Jeanne d’Arc » montre le chemin parcouru en trois ans. Ces jeunes gens apprennent, notamment au contact de l’équipe d’encadrement militaire composée d’officiers et d’officiers-mariniers, tous issus d’unités opérationnelles. Par leur exemple et leur présence soutenue, ils cadrent et stimulent les élèves-officiers. L’objectif est de les préparer à servir, de les élever chacun à leurs meilleurs niveaux, et de les évaluer sur leurs capacités à suivre les multiples spécialités envisageables.

20 In fine, c’est bien la mission « Jeanne d’Arc » qui transforme les élèves-officiers devenus alors officiers-élèves, en jeunes officiers aptes à servir dans leurs unités d’affectation. Cette mission École d’application des officiers de Marine (EAOM) est un modèle ayant évolué mais dont les fondamentaux sont éprouvés. Malgré le désarmement du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc en 2010, la mission a perduré en gagnant un lien direct et concret avec les opérations. Ce passage obligé pour tout officier de marine [10] assure la synthèse des apprentissages, par des mises en pratique en adossant la formation à la réalité opérationnelle. Lorsque le PHA [11] accoste fin juillet après cinq mois de mer, les EV2, bientôt EV1, sont employables dans leurs spécialités [12].

Marin

21 Les enjeux de sécurité de la navigation restent d’actualité. Dans les derniers dix-huit mois : deux frégates américaines [13] ont été endommagées provoquant la mort de dix-sept marins, une frégate norvégienne [14] a coulé. Opérer en environnement maritime reste un exercice complexe. Il s’agit non seulement d’être capable de naviguer en sécurité mais surtout d’être en mesure de prendre l’avantage sur l’adversaire, en s’appuyant sur un sens marin aiguisé.

22 L’École navale forme au socle de connaissances et de compétences permettant la délivrance d’un certificat de chef du quart. Par l’apprentissage de la manœuvre et de la navigation, les élèves apprennent à travailler sur mer. Pour cette formation maritime, la Marine nationale dispose d’un modèle unique, envié par nos alliés et ayant fait ses preuves : huit bâtiments écoles, deux bâtiments d’instruction à la navigation, deux bâtiments d’instruction à la manœuvre, deux goélettes, une dizaine de voiliers, une passerelle de frégate légère furtive, une passerelle de PHA et des instructeurs venant des forces et appelés à y retourner. Les EV1 affectés savent faire évoluer un bâtiment de combat en sécurité même s’il leur reste à développer des compétences plus poussées liées aux différents domaines de lutte (air, surface, sous-marin, guerre électronique en particulier).

Ingénieur

23 La Marine reste une armée éminemment technologique, avec des unités opérationnelles, toutes dotées de systèmes élaborés techniquement et notamment un parc nucléaire important de douze réacteurs. L’objectif de la formation scientifique délivrée à l’École navale demeure d’armer les élèves-officiers pour comprendre. Il ne s’agit pas de former des experts mais bien des ingénieurs capables de comprendre les systèmes complexes, pour les employer et les optimiser.

24 Concrètement, cette formation est rythmée par des projets d’envergure croissante. L’objectif est de favoriser la responsabilisation et l’autonomie des élèves qui mettent en pratique l’enseignement théorique acquis lors d’études de projets de systèmes embarqués. L’Irenav est chargé de ce volet de formation. Vingt-cinq enseignants-chercheurs, y forment et accompagnent les élèves. L’Irenav, grâce au statut d’Établissement public, possède la manœuvrabilité nécessaire pour rester attractif et compétitif dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cette formation scientifique des élèves-officiers participe à la supériorité technologique recherchée, facteur majeur de la supériorité militaire sur mer.

Une pédagogie qui s’adapte aux nouvelles générations

25 L’École navale adapte ses méthodes d’apprentissage : pédagogie innovante dans des learning lab[15] dédiés, création par les élèves de cours en version MOOC (Massive Open Online Course) [16] pour leur apprendre en enseignant, virtualisation des travaux pratiques… Toutefois, l’attente majeure de ces futurs officiers reste de comprendre pour adhérer. Les cadres de contact et les équipes d’enseignement ont ce rôle fédérateur par l’exemple et par les mots qui résonnent auprès de ces jeunes gens, nés encore au XXe siècle… entre 1997 et 1999.

Une formation qui oblige

26 À la différence de leurs camarades de Grandes Écoles civiles, les élèves-officiers connaissent, dès l’incorporation, « l’entreprise » qui va les employer. Cette évidence rend très spécifique la formation à l’École navale. Elle favorise une évolution radicale des jeunes gens, entre l’arrivée à la gare de Brest un jour de septembre pour l’incorporation et, trois ans plus tard, le jour de l’accostage du PHA.

27 L’environnement privilégié du site du Poulmic induit une maturité accélérée des jeunes bordaches et l’encadrement militaire y inculque rapidement la rigueur comme les codes et usages de la Marine nationale. Les élèves-officiers sont très tôt professionnalisés en étant orientés dès la deuxième année vers des filières « Énergie », « Opérations » ou « Mécanique aéronautique ». Cette différenciation complexifie la formation, mais elle est nécessaire du fait des acquis multiples et particularisés dans un temps de formation limité.

28 Enfin, détachés des préoccupations de recherche d’emploi post-diplomation, les élèves s’attachent à acquérir les compétences nécessaires à leurs futurs métiers que sont l’excellence en toute chose, et la prise de responsabilités progressive à l’École sous le regard bienveillant et stimulant de l’encadrement.

Le jour d’après

29 Se projeter à dix, vingt ou trente ans n’est pas forcément naturel pour les élèves, et cela l’est d’autant moins pour les promotions actuelles. Ce n’est pas un manque de patriotisme ou une forme de pusillanimité mais plutôt un besoin d’essayer et une appropriation décomplexée de la mobilité professionnelle. Un des défis d’aujourd’hui est probablement la fidélisation, davantage que l’attractivité.

30 Les officiers de marine de carrière ont vocation à servir longtemps, du fait de l’investissement de formation initiale important, mais également en raison de processus exigeants d’acquisition de compétences professionnelles. Tous les chefs d’état-major de la Marine ont, un jour, été EV2. Si les bordaches sont ainsi engagés à servir pour une carrière longue et les officiers sous contrat pour une période initiale plus courte, tous sont cependant sélectionnés et formés sur des aptitudes leur permettant d’assumer des postes à responsabilité et ils sont attendus comme chefs de service cinq ans après la sortie de l’École.

31 ***

32 Alors que le plan Mercator prépare la marine de 2030, les EO de la promotion 2018 seront les commandants des bâtiments de combat de premier rang entre 2040 et 2045. Dire que l’École navale les prépare à affronter les défis de 2040 serait abusif. En revanche, la formation initiale délivrée vise à leur fournir les clés de compréhension d’un monde complexe et aux évolutions rapides. Ils sont instruits pour combattre en environnement maritime. Ils sont sollicités pour développer une intelligence de situation et s’adapter en respectant la forme tout en ayant du fond. Ils apprennent à agir en officiers avec une capacité d’analyse et de proposition. En définitive, ils marchent dans les pas de leurs illustres aînés, en regardant vers l’horizon.


Mots-clés éditeurs : formation, ingénieur, pédagogie, commander, marin

Date de mise en ligne : 17/02/2020

https://doi.org/10.3917/rdna.817.0025

Notes

  • [1]
    Appellation commune de l’École navale.
  • [2]
    Version 2018.0.
  • [3]
    Les officiers de marine servent dans leur domaine de spécialité au sein des 4 autorités organiques : Force d’action navale, Force océanique stratégique, Force aéronavale, Force des fusiliers-marins et commandos.
  • [4]
    L'Irenav est un laboratoire de recherche sur lequel s'adosse la formation scientifique.
  • [5]
    EPSCP-GE.
  • [6]
    C’est le CEMM qui exerce au nom du Minarm la tutelle de l’École navale, assisté par le DPMM.
  • [7]
    Nouvelle appellation de Télécom Bretagne.
  • [8]
    Nom d’usage donné aux élèves-officiers du cours de l’École navale.
  • [9]
    Élèves de classe préparatoire aux Grandes Écoles scientifiques.
  • [10]
    Les OM/SC embarquent depuis 2015 sur la mission « Jeanne d’Arc ».
  • [11]
    Porte-hélicoptères d’assaut dédié à la mission « Jeanne d’Arc » durant cinq mois. NDLR : nouvelle appellation des BPC de la classe « Mistral ».
  • [12]
    À l’exception des spécialités à sélection pour lesquelles la formation se poursuit : pilotes, commandos et plongeurs démineurs.
  • [13]
    USS John S. McCain et USS Fitzgerald.
  • [14]
    HnoMS Helge Ingstad.
  • [15]
    Cellule dédiée aux nouvelles formes de travail et d’apprentissage collaboratif.
  • [16]
    La diffusion n’est pas faite à l’EN en revanche le format similaire est recherché.

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