Couverture de PSYT_163

Article de revue

Prise en charge de la mère toxicomane. Sélection bibliographique

Pages 67 à 75

Pour commencer…

1Venne M. et Morissette P., Parentalité, alcool et drogues. Un défi multidisciplinaire, Sainte-Justine, Éditions du CHU, 2010.

2Que vivent les enfants quand leurs parents consomment des substances psychoactives ? Quels sont les éléments essentiels à évaluer ? Est-il possible de passer de consommatrice à mère de façon réussie ? Quels facteurs peuvent aider ou nuire à l’engagement des partenaires de mères consommatrices ? Quelles sont les stratégies offertes aux parents consommateurs pour les soutenir dans leur rôle et protéger les enfants de la maltraitance ? Quel est le rôle de l’intervenant auprès du tribunal ? L’objectif de cet ouvrage est de fournir des informations scientifiques et cliniques répondant aux questions que se posent les professionnels du réseau de la santé et des services sociaux et du réseau communautaire dans leur travail au quotidien auprès de parents consommateurs et de leurs enfants.

3Simmat-Durand L., Grossesse avec drogues : entre médecine et sciences sociales, Paris, L’Harmattan, 2009.

4Ce livre aborde la façon dont les femmes toxicomanes vivent leur grossesse, les représentations dont elles font l’objet, leurs conditions de vie quand la précarité s’ajoute à l’addiction. Les enquêtes de terrain explorent la prise en charge des enfants (ou souvent leur absence de prise en charge), leur devenir, avec parfois un handicap physique, social ou scolaire.

5« Femmes et addictions », BEH, 10 mars 2009.

6Ce numéro du Bulletin épidémiologique hebdomadaire présente, entre autres, une brève revue de la littérature internationale (sexe, genre et risques), fait un point statistique sur les pratiques addictives des femmes, et s’intéresse aux caractéristiques sociales des consommatrices de drogues à l’adolescence.

7Collectif, « Pharmacodépendance aux opiacés, grossesse et parentalité », Le Flyer, 2003, (Hors série n°1), 1-75.

8Les sept textes réunis présentent tour à tour les données de la littérature concernant les modalités de prescription et de surveillance d’un traitement de substitution par la méthadone chez la femme enceinte ; l’importance du rôle des généralistes dans la prise en charge de ces femmes ; une importante bibliographie commentée sur le syndrome de sevrage des nouveau-nés ; une enquête rétrospective auprès de cinq centres de soins de la région Aquitaine portant sur les conditions de grossesse et d’accouchement et sur le devenir de la relation mère-enfant ; et enfin une expérience de suivi et d’accompagnement pluridisciplinaire à Montpellier. Ce numéro est accessible gratuitement sur internet : http://www.rvh-synergie.org/documents/FLYERGROSSESSE.pdf

9Simmat-Durand L., « Grossesse et drogues illicites », Déviance et Société 1/2002, vol. 26, pp. 105-126.

10Cet article, accessible gratuitement en ligne, fait le point sur la question de la grossesse et des drogues. Très complet, il aborde les conséquences des consommations sur le fœtus, les représentations de la grossesse des femmes et leur prise en charge. URL : www.cairn.info/ revue-deviance-et-societe-2002-1-page-105.htm.

11Ferraro P., La grossesse et les drogues, Paris, PUF, 1998.

12Il s’agit du petit livre de la collection « Que sais-je ? » consacré au sujet.

Les représentations des professionnels soignants

13Lejeune C. et Simmat-Durand L., Grossesse et substitution. Enquête sur les femmes enceintes substituées à la méthadone ou à la buprénorphine haut dosage et caractéristiques de leurs nouveau-nés, OFDT, 2003.

14Cette enquête revient sur quelques idées reçues en matière de traitement par substitution des femmes enceintes. Correctement pris en charge de façon pluridisciplinaire, le traitement par substitution ne péjore pas spécifiquement le pronostic des grossesses. D’une façon générale, les complications néonatales et plus encore les situations aboutissant à des séparations mère/enfant paraissent avant tout liées à d’autres facteurs sociodémographiques, plus qu’à l’abus spécifique de substances psychoactives. Rapport accessible gratuitement sur Internet : http://www.ofdt.fr/ofdtdev/live/publi/ rapports/rap03/epfxclj7.html

15Luttenbacher C., « La mère toxicomane et l’enfant : incidence des représentations sur la prise en charge », Psychotropes, 1998, 4, (2), 21-34.

16La maternité d’une femme toxicomane génère des peurs chez les professionnels. Peurs liées principalement à l’interférence de représentations conflictuelles entre la maternité et la toxicomanie. Des représentations sociales différentes peuvent être à l’origine de pratiques professionnelles parfois contradictoires. La connaissance et la confrontation de ces représentations peuvent aider à démythifier la problématique de la toxicomanie et permettre une prise en charge plus adaptée.

L’évolution de la prise en charge des mères toxicomanes

17Lamant G., Maternité et opiacés : vers une meilleure prise en charge des mères toxicomanes et de leurs enfants, Mémoire de DESU toxicomanies, Université de Paris VIII, 2005

18Structuré en trois parties, ce travail présente tout d’abord la problématique d’une grossesse sous opiacés, puis présente la méthodologie de l’étude conduite auprès des patientes rencontrées en milieu hospitalier (femmes majeures, consommant de l’héroïne, ou sous traitement de substitution, enceinte ou venant d’accoucher). Enfin, suite à ces entretiens, l’auteur évoque les améliorations souhaitables dans la prise en charge de ces personnes.

19Lejeune C., « L’évolution des modalités de prise en charge des femmes enceintes toxicomanes et de leurs enfants », Le Courrier des Addictions, 2002, 4, (1), 25-26.

20La prise en charge des femmes toxicomanes enceintes a fait l’objet de réflexions et d’une évolution du travail des équipes soignantes. Elle se fonde sur une bonne coordination entre soignants et réseaux extérieurs ville-hôpitaux, une prise en charge pluridisciplinaire du suivi de la grossesse et du séjour en maternité, avec un accompagnement psycho-social et obstétrical, la prise en compte des risques de la toxicomanie pour le fœtus et la prescription de traitements de substitution par la méthadone ou la buprénorphine.

21Chanal C., Toubin R.M., Benos P., Mazurier E., Misraoui M., Clutier J., Boulot P. et Molenat F., « Prise en charge des femmes enceintes toxicomanes au CHU de Montpellier : résultats périnatals et psycho-sociaux », La Lettre du Gynécologue, 2001, (265), 40-43.

22La grossesse chez une femme toxicomane était jusqu’à ces dernières années une situation redoutée des services de gynécologie-obstétrique : absence de suivi, taux élevé de prématurité, troubles du comportement et de la communication, incertitude quant aux effets des drogues sur le fœtus, délaissement des nouveau-nés, inquiétude pour leur devenir, fréquence des placements judiciaires précoces, malaise des professionnels. Au CHU de Montpellier, une cellule « parentalité et usage de drogues » s’est constituée à l’initiative d’une sage-femme hospitalière. La création d’une « unité de soins en berceau » a permis la surveillance et le traitement des nouveau-nés sur place et a favorisé, de ce fait, l’instauration des liens affectifs précoces. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’impact d’une cellule « parentalité et usage de drogues » sur l’adhésion des patientes au suivi proposé, de mesurer les effets de la prise en charge périnatale sur les données obstétricales, pédiatriques, sociales et psychologiques ainsi que sur l’instauration des liens précoces parents-enfants.

23Connan L., Ayoubi J.-M., Thene M., Charitat H. et Damase-Michel C., « Prise en charge obstétricale d’une femme enceinte toxicomane », in Société française de médecine périnatale, Handicap d’origine périnatale. Grossesse et toxicomanie. La prématurité avant 33 semaines : premiers résultats d’EPIPAGE, Rueil-Malmaison, Arnette, 2001, 81-88.

24La grossesse d’une femme enceinte toxicomane est une situation à risque pour la patiente et pour le fœtus. Les produits les plus dangereux sont la cocaïne, l’alcool et le tabac. L’héroïne et les opiacés posent moins de problèmes de toxicité fœtale. Le traitement de substitution par la méthadone ou le Subutex permet un suivi médical régulier de la grossesse et la disparition de la quasi-totalité des accidents obstétricaux. Seul le syndrome de manque du nouveau-né persiste mais ne pose pas de difficultés s’il est géré par une étroite collaboration entre la mère et l’équipe soignante. Tous les acteurs médico-sociaux doivent travailler en partenariat pour un accompagnement psychologique, médical et social de la femme toxicomane pendant la grossesse, l’accouchement et les premiers mois de vie de l’enfant.

25Lejeune C., « Le devenir des nouveau-nés de mères toxicomanes peut être amélioré », Abstract Pédiatrie, 2001, (152), 26-28.

26La prise en charge, précoce et pluridisciplinaire, des femmes enceintes toxicomanes, permet de réduire l’incidence des complications périnatales et de favoriser l’établissement d’une relation mère-enfant de qualité. Le syndrome de sevrage néonatal reste fréquent, sa gravité est variable, son traitement est mieux codifié. À long terme, le devenir de l’enfant dépend de la qualité de son environnement, un soutien psychosocial prolongé est indispensable.

27Rosenblum O., « Les enfants et leurs parents toxicomanes. Maternité et dépendance », Métiers de la Petite Enfance, 2001, (72), 19-22.

28La prise en charge médicale de la mère toxicomane, soutenue par un appui psychologique et social s’avère très tôt nécessaire. Ce soutien doit ainsi permettre, dans des situations souvent complexes et difficiles, de préserver l’établissement d’une relation mère-enfant. L’auteur expose dans cet article la maternité de ces mères qui vivent à la fois dans l’angoisse, la culpabilité et l’espoir.

29Franchitto M.-C., Peyrefort E. et Tellier G, « Toxicomanie, femmes enceintes et maternité : une nécessaire évolution de la prise en charge », Revue Documentaire Toxibase, 2000, (2), 1-12

30Cet article a pour objectif, à partir d’une revue de la littérature française, de faire l’état des lieux sur les femmes enceintes et les mères toxicomanes, sur les difficultés et les recommandations pour la prise en charge par les professionnels de soins. Une première partie de l’article propose des tableaux sur les risques obstétriques liés à la consommation des produits psychoactifs et sur les effets sur le fœtus et le nouveau-né. Sur le plan psychologique, la grossesse entraîne de nombreux bouleversements pour la future mère : espoir de réparation mais aussi retour d’une histoire familiale souvent difficile, culpabilisation. L’arrivée du bébé réactualise une angoisse d’abandon et brise souvent l’image de l’enfant idéalisé ce qui peut entraîner de sérieuses difficultés post-partum. La prise en charge des femmes enceintes toxicomanes en maternité doit permettre d’améliorer un diagnostic tardif de grossesse et le suivi prénatal. Les traitements de substitution (méthadone, buprénorphine) sont un outil essentiel pour mettre en place une prise en charge adaptée. Tout aussi essentiel est un suivi pluridisciplinaire associant différents professionnels de soins en réseau, même si cette approche se heurte encore à de nombreuses résistances chez les professionnels hospitaliers en raison de l’image négative de la mère toxicomane. L’exemple de l’équipe pluridisciplinaire de la maternité Port-Royal est développé. Accessible en ligne : http://www.hopital-marmottan.fr/spip/spip.php?article170.

31Gibier L., « La femme enceinte toxicomane : principes de prise en charge », Interventions, 1999, (68), 3-8.

32L’usage de drogues a des conséquences spécifiques sur la grossesse (problèmes posés par le manque, effets délétères de produits consommés) et réciproquement, la grossesse intervient comme un moment particulier dans le parcours de la femme toxicomane, offrant une parenthèse pour faire le point. L’auteur décrit les moyens et les objectifs spécifiques de la prise en charge au cours de cette période où il faut traiter la question de la prise de drogues tout en soutenant les compétences de la future mère et en prévenant les risques de rechute post-partum.

33Lejeune C., « Prise en charge des femmes enceintes toxicomanes et de leur nouveau-né : une révolution culturelle nécessaire », Interventions, 1997, (62), 3-8.

34L’auteur nous propose un regard sur l’évolution de la prise en charge des femmes toxicomanes et de leurs enfants. Il décrit l’expérience des équipes du service de la maternité et du service de néonatalogie de l’hôpital Louis Mourier de Collonges (92) et du Réseau Ville-Hôpital Toxicomanie ARES 92. Une enquête rétrospective, visant à évaluer les modalités de prise en charge en 1994, a abouti à un constat accablant en ce qui concerne le devenir des mères et de leurs enfants. Le constat de cette évolution défavorable a créé une prise de conscience et un fort désir de formation des équipes. Cette « révolution culturelle » a permis un changement dans les pratiques : prise en compte médicale de la dépendance des femmes toxicomanes, mise en confiance pour préparer l’accouchement et favoriser leur relation avec l’enfant, amélioration du suivi de la grossesse, et maintien prioritaire de l’enfant avec sa mère et son environnement familial.

35Chanal C., « Grossesse et substitution : prise en charge de la mère et de l’enfant à la Maternité », Penser la Méthadone, Journées d’études 22-23 novembre 1996, Montpellier, pp. 76-88, Réseau Ville Hôpital Toxicomanie Hérault, 1997.

36L’expérience du suivi des femmes enceintes toxicomanes dans une prise en charge avec traitement de substitution présente un maximum d’intérêts médicaux pour la mère et l’enfant, et surtout pour la relation mère-enfant. L’avantage social est d’éviter dans la majorité des cas un placement précoce de l’enfant. L’article détermine les éléments indispensables de la réussite du suivi de la prise en charge du couple mère-enfant.

37Guyonvarch M., Femmes enceintes : la génération « baby-shoot ». Rôle de la sage-femme dans la prise en charge de la maternité des toxicomanes, Mémoire Sage-femme, UFR Méd. Paris-Ouest, CHI Poissy, 1993.

38Étudier le rôle d’une sage-femme auprès des toxicomanes enceintes, dans un centre d’accueil ou en prison, fut la motivation première de ce travail. Dans un deuxième temps, nous nous sommes penchés sur les problèmes spécifiques que posait la maternité de la population toxicomane. Le mémoire s’articule en quatre parties : 1) itinéraire de la toxicomanie ; 2) survenue d’une grossesse dans le contexte de toxicomanie i.v. ; 3) rôle de la sage-femme : pendant la grossesse, pendant l’accouchement et le post-partum, dans la réinsertion maternelle et le devenir de l’enfant ; 4) les complications de la toxicomanie et leurs conséquences sur la grossesse.

Les centres spécialisés

39Tresse S., Garrigues N., Dejardin D., Royer J. et Feugere T, « L’accueil maman/bébé dans une structure d’alcoologie », Dépendances / GREAT, 2004, (23), 24-25.

40L’unité d’hospitalisation spécifique mère-enfant destinée aux mères dépendantes offre une possibilité de restauration ou de maintien du lien maternel à des femmes hospitalisées avec de jeunes enfants, mais reste une expérience suscitant de nombreuses questions sur la difficulté de ce type de prise en charge.

41Vabret F., Bouchard S., Rouhart I. et Davy A., « Psychopathologie de la femme enceinte alcoolique », Alcoologie, 1999, 21, (4), 487-491.

42Ce travail repose sur une réflexion axée sur la compréhension des particularités psychopathologiques de femmes alcooliques enceintes, au travers des difficultés que celles-ci peuvent ressentir, dans leur identité sexuelle, leur relation à leur propre corps, leur relation à leur mère, et dans les difficultés de la différenciation mère-enfant. De ces données sont dégagés des éléments pouvant servir à l’accompagnement des femmes alcooliques lors de leur grossesse, et ceci indépendamment du suivi obstétrical à proprement parler.

43Ebert J., Maternité et toxicomanie : approche clinique et proposition d’un type de prise en charge expérimentale, Mémoire C.E.S. Psychiatrie, Université Paris 6, 1988.

44Dans son mémoire de psychiatrie, le fondateur du centre Horizons présente son modèle de prise en charge globale de la mère toxicomane et de son enfant. Une équipe mixte pluridisciplinaire prend en compte à la fois la dimension toxicomaniaque, mais aussi la nécessité d’un temps de maturation des processus identificatoires à la mère et des relations précoces mère-enfant.

45Ebert J., « Maternité toxicomanie : pour un abord plus objectif, le centre Horizons », Interventions, 1988, (17), 45-50.

46L’auteur préconise de ne pas s’arrêter à la demande de sevrage. Celle-ci ne constitue pas une fin, mais une amorce de relation thérapeutique. Il convient également d’éviter la séparation mère enfant après la naissance. La création du centre Horizons vise à répondre de façon spécifique et adaptée à ce type de population. L’article présente les principes et objectifs du centre.

Autres approches (communautés thérapeutiques, groupes, réseau, suivi à domiciles…)

47Delacoux R., « Être mère et toxicomane, un vécu qui se partage : un groupe de mères », Thérapie familiale, 2003, 24, (2), 193-198.

48La Division d’Abus de Substances a mis en place un programme « Parentalité et Addiction ». Parmi les prestations proposées : « un groupe-mères », semi-ouvert, espace d’émergence de représentations, d’affects, de comportements en lien avec l’enfant. Il est à l’interface du soutien à la mère, de la prévention autour de l’enfant.

49Kalbfleisch E., Peltier C., Jojczyk B., Parisot L. et Courvasier P., « Une réflexion sur le suivi à domicile », Réseau Risque et Naissance, 2002, (10), 1-4.

50L’association Horizons a mis en place un groupe de travail sur le thème du suivi à domicile des patients. Cet accompagnement thérapeutique présente bien des particularités. L’intervenant confronté à une certaine solitude, accède directement à l’intimité du patient. Le numéro de cette Lettre donne la parole aux divers intervenants, travailleurs sociaux et psychologues qui y relatent leurs expériences de visites à domicile.

51Dentan A., Alvarez C. et Nicod B, « Un réseau d’accompagnement des mères toxicomanes et de leurs enfants », Dépendances, 2000, (11), 20-24.

52L’article retrace concrètement les préalables, les étapes et les résultats d’une démarche de collaboration inter-institutionnelle menée principalement entre le Groupe de travail « Personnes Ressources Petite Enfance » du Service de Protection de la Jeunesse et les services maternité et néonatalogie du CHUV de Lausanne. En ligne : http://www.sfa-ispa.ch/DocUpload/dep_11_dentan.pdf.

53Molle C., « Les femmes et les enfants dans la communauté thérapeutique », in Drogue et société d’aujourd’hui à l’an 2000, Actes du 14e Congrès des Communautés thérapeutiques, Montréal, Vamos et Corriveau, 1992, pp. 1183-1188.

54Les femmes toxicomanes subissent généralement davantage d’expériences dégradantes que les hommes (violences physiques, sexuelles, prostitution…). Les communautés de soins traditionnelles où les femmes sont en minorité s’avèrent inadaptées. Les communautés de soins spécifiques aux femmes permettent une démarche thérapeutique beaucoup plus riche.


Mots-clés éditeurs : addiction, prise en charge, personnel médical, mère, fœtus, substitution, nouveau-né, enfant, grossesse

Date de mise en ligne : 24/01/2011

https://doi.org/10.3917/psyt.163.0067

Domaines

Sciences Humaines et Sociales

Sciences, techniques et médecine

Droit et Administration

bb.footer.alt.logo.cairn

Cairn.info, plateforme de référence pour les publications scientifiques francophones, vise à favoriser la découverte d’une recherche de qualité tout en cultivant l’indépendance et la diversité des acteurs de l’écosystème du savoir.

Retrouvez Cairn.info sur

Avec le soutien de

18.97.14.81

Accès institutions

Rechercher

Toutes les institutions