Pour 2015/4 N° 228

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Article de revue

Hommage à Edgard Pisani (1918–2016), co-fondateur de la revue Pour

Pages 6 à 13

Notes

  • [1]
    Jeunesse Agricole Catholique et Jeunesse Agricole Catholique des Femmes.
  • [2]
    École Nationale d’Ingénieurs des Travaux Agricoles, École Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts, École Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques Appliquées, Institut National de Promotion Supérieure Agricole, Institut National de Recherches et d’Applications Pédagogiques, École Nationale de Formation Agronomique.
  • [3]
    Pour lutter contre le décrochage scolaire, l’enseignement agricole a mis en place une recherche-action : « l’ancrochage » scolaire. Il s’agit de recueillir des données relatives aux conditions favorables à l’ancrage et à la persévérance scolaire (source : www.chlorofil.fr).
  • [4]
    Au cours de l’année 2017 nous fêterons les 50 ans de la revue dans un numéro qui permettra de revenir sur ces origines.
  • [5]
    Edgard Pisani, Agriculture, environnement et vie rurale (décembre 1979) « contributions », Grep, 48 pages.
  • [6]
    Ouvrage cité, pages 3-4.
  • [7]
    Ouvrage cité, pages 41-42.

1À la suite de la mort d’Edgard Pisani, le 20 juin 2016, de nombreux hommages ont été rendus tant au grand serviteur de l’État qui assuma de multiples fonctions et missions, qu’à l’homme politique humaniste dont les réflexions aboutirent à de nombreuses publications. La revue Pour se doit d’autant plus d’apporter sa contribution que sa création lui doit tout, et que son histoire, comme celle du GREP, l’association qui la publie, a été étroitement liée à son action.

2Dans l’hommage que nous voulons lui rendre, nous insisterons essentiellement sur son action en tant que ministre de l’Agriculture (1961-1966) et, tout particulièrement, sur l’œuvre accomplie en faveur du développement de l’Enseignement agricole. Nous reviendrons aussi sur la réflexion qu’il a poursuivie jusqu’à la fin de sa vie : que devrait être une agriculture capable de nourrir le monde de façon équitable ? Quelle gouvernance mondiale permettrait une agriculture respectueuse des paysans, de l’environnement et des peuples ? Nous conclurons en montrant avec ses propres mots sa clairvoyance sur les enjeux actuels de l’environnement et de la démocratie.

3Le plus souvent, de l’action d’Edgard Pisani en tant que Ministre de l’Agriculture, on retient d’abord les lois de modernisation qui marquèrent un virage essentiel dans l’évolution de l’agriculture française. Concernant leur élaboration et leur mise en œuvre, il faut insister sur le partenariat qu’il a su instaurer avec l’aile la plus jeune et la plus dynamique des représentants du monde agricole, et surtout avec cette génération de responsables fraîchement issus de la JAC et de la JACF [1]. L’impact de ces lois sur l’agriculture française est indéniable et, dans les temps qui suivirent leur adoption, largement positif. Avec le recul, on a souvent critiqué certains de leurs effets en raison, d’une part, de la place dominante prise par le modèle productiviste au sein des organisations professionnelles et, d’autre part, des effets pervers de la cogestion profession/administration que ces lois ont mise en place. Edgard Pisani ne fut pas le dernier à porter un regard critique sur ces dérives. Il n’en reste pas moins que leur premier résultat fut de contribuer rapidement à l’autosuffisance alimentaire, comme le fit aussi la politique agricole commune à la construction de laquelle il participa. Même si elles ont accompagné la disparition d’une grande part des fermes françaises, ces lois ont sans doute aidé au maintien du modèle de l’exploitation familiale.

4L’un des grands mérites d’Edgard Pisani est d’avoir compris qu’une transformation en profondeur de l’agriculture (et du monde rural) nécessitait un effort considérable dans le domaine de la formation… et l’effort entrepris sous son autorité fut réellement exceptionnel !

L’enseignement agricole

5C’est une loi du 2 août 1960 (son décret d’application du 20 juin 1961 puis son projet de loi de programme déposé le 21 juin 1962 près d’un an après l’arrivée d’Edgard Pisani au ministère de l’agriculture) qui fonde de façon ambitieuse, novatrice et visionnaire, l’ensemble du système de formation englobant dans un même texte l’enseignement technique et l’enseignement supérieur agricoles, et les plaçant d’emblée dans leur pleine dimension, à équivalence avec l’éducation nationale tant pour les formations et les diplômes, que pour les personnels. Un texte de loi court (une page et demie du JO) qui concentre l’essence des principes sur lesquels Edgard Pisani conçoit l’appareil de formation des ruraux, et leur promotion sociale dans une société en pleine évolution.

6Ces fondements et les spécificités qu’il y introduit, notamment son articulation avec le monde professionnel, son inscription dans les actions d’animation et de développement rural, la création d’un enseignement socio-culturel, ont conduit ce système de formation et ses principes jusqu’à ce jour, et constituent toujours sa richesse et son exemplarité.

7Il affiche la volonté de promouvoir au plus haut niveau la jeunesse rurale en traitant dans un seul texte l’ensemble des formations scolaire, professionnelle, supérieure – et des établissements – centre de formation, collège, lycée, et enseignement supérieur, dans une même logique de parcours de formation.

8

« L’organisation de l’enseignement et de la formation professionnelle agricoles, soit au cours de la scolarité obligatoire, soit au-delà, doit permettre à tous les élèves le passage à un niveau supérieur d’études et de formation professionnelle dès lors qu’ils sont aptes à en bénéficier. »

9On notera que les femmes ont leur place dans ce dispositif, au-delà des collèges féminins, et de la mixité dans les lycées, avec la création de l’École Nationale Féminine d’Agronomie.

10Une loi-programme suivra pour concrétiser budgétairement de façon massive la construction des établissements. La décennie 60 a vu la construction de lycées dans tous les départements (seuls 3 établissements seront construits après 1970). L’enseignement supérieur a été structuré et les décrets de création des ENITA, ENGREF, ENSSAA, INPSA, INRAP, ENFA [2], se succéderont à un rythme soutenu (11 décrets entre 1963 et 1968 et 2 au cours de la décennie suivante).

11Le décret d’application du 20 juin 1961 organise l’enseignement agricole à tous les niveaux, en inscrit les principes dans la durée, et développe, par ailleurs, le principe même de toute la conception de ce système de formation, toujours considéré aujourd’hui comme riche et original :

12

« L’enseignement agricole doit, par une association intime des formations générales et professionnelles, permettre à ses élèves d’atteindre un niveau de culture générale comparable à celui des autres catégories socio-professionnelles. Il ne s’agit pas de juxtaposer des recettes professionnelles à une formation générale, mais d’obliger l’élève à mêler dans ses réflexions les connaissances et le métier en vue d’ouvrir son esprit et de le rendre capable d’acquérir sans cesse de nouvelles connaissances et de s’adapter en permanence à des situations changeantes ».

13Cet enseignement agricole, créé il y a plus de 50 ans, est toujours porteur de ces valeurs et de ces principes, et si l’histoire a pu faire évoluer les formes juridiques des établissements, et leur articulation avec d’autres organismes, collectivités territoriales, universités, etc., les principes fondateurs énoncés par les textes ci-dessus restent toujours d’actualité et constituent toujours les points forts de l’enseignement agricole.

14Un autre ancien ministre de l’Agriculture, qui vient, lui aussi de disparaître, Michel Rocard, a conduit la mutation institutionnelle de l’enseignement agricole dans le cadre de la décentralisation, à partir de 1984, sans remettre en cause ses principes fondateurs, et dans la continuité des valeurs initiées par Edgard Pisani ; valeurs qui sauront encore démontrer leur pertinence au cours des prochaines décennies.

L’enseignement socio-culturel

15Non content d’amorcer un développement massif de l’appareil de formation agricole – pour les jeunes et pour les adultes – Edgard Pisani, en étroite collaboration et complicité avec Paul Harvois, y introduisit une innovation de taille : l’enseignement socio-culturel. Ce fut une idée de génie et une rude bataille… Cette innovation allait devenir une spécificité essentielle de l’enseignement agricole et devait l’aider à s’ouvrir sur le monde et, tout d’abord, sur les territoires où il s’implantait. Ce projet, venu tout droit du monde de l’Éducation populaire, portait en lui une vision révolutionnaire de la pédagogie et du rapport de l’établissement et de la communauté éducative à son environnement.

16L’enseignement socio-culturel n’est pas issu d’une discipline universitaire qui ferait l’objet d’un cursus académique classique, à l’université par exemple : voilà qui déroute ! Il faut venir dans un lycée agricole et voir un enseignant d’ESC en action pour réaliser pleinement la complexité des tâches passionnantes qu’il mène et l’ambition qu’il porte. L’ESC, c’est en premier lieu une « pratique » qui a un impact fort dans la vie du lycée. On la nommera pour simplifier : « animation socio-culturelle ». L’enseignant/animateur qui a la charge de la conduire a un temps dégagé (plusieurs heures semaines) qui ne se traduit pas par un temps de face-à-face pédagogique conventionnel avec des élèves, mais par un temps passé avec et à côté des élèves, souvent le mercredi après-midi ou le soir autour d’un projet éducatif culturel. Les élèves sont sollicités pour monter des projets réels qui leur tiennent à cœur et qui peuvent prendre des formes multiples et étonnantes : monter une radio dans le lycée, organiser un concert en invitant la population, organiser des expositions, s’initier à la photographie d’art, visiter des musées… On reconnaît bien ici les standards de la pédagogie de projet mais aussi l’idée d’émancipation et d’ouverture propre à l’éducation populaire. Cette pratique ouvre les élèves et le lycée vers son territoire, vers les acteurs locaux, vers les citoyens. Quand elle est brillamment réalisée, elle marque durablement la vie des élèves. Elle « ancroche [3] » les adolescents dans leur formation et les fait grandir. Souvent les anciens conservent un souvenir ému de ces années passées. Il y a souvent le « foyer » du lycée et l’association culturelle (ALESA) qui servent de support pour réaliser ces actions qui se renouvellent sans cesse tout au long de l’année. La posture de l’enseignant est atypique : il accompagne les élèves et ne cherche pas à monter les projets à leur place. C’est en second lieu une matière qu’on pourrait maladroitement qualifier de bi (tri)valente car elle est au croisement des sciences humaines et sociales. Elle est enseignée traditionnellement en classe avec un référentiel de compétences et d’évaluation. Enfin, l’ESC est la « mère » qui porte l’approche pluridisciplinaire si chère à l’enseignement agricole. Souvent associé aux modules reliant plusieurs disciplines (de type étude de milieu, diagnostic d’exploitation ou de territoire, module santé et développement durable…), l’enseignant d’ESC est souvent, par son profil si atypique, celui qui impulse, fédère et provoque ce type de progression pédagogique en motivant et irriguant par ses idées ses collègues. Le portrait est certes un peu idéalisé mais il n’est pas si éloigné de la réalité. Cette avancée révolutionnaire est toujours d’actualité. Elle doit être conservée, protégée et valorisée car 50 années passées montrent qu’en face des redoutables enjeux éducatifs actuels, sa présence est plus que jamais essentielle.

17La réalisation de ce projet a rendu nécessaire la création d’outils spécifiques pour sa mise en œuvre, son accompagnement et, en particulier, la formation de ses acteurs. C’est dans ce but que le duo Pisani-Harvois envisagea la création d’une structure associative apte à les aider. Ainsi naquit le GREP (à l’origine Groupe de Recherches et d’Éducation pour la Promotion) en 1964 qui créa la revue Pour en 1967 [4].

Moderniste… et auto-critique

18Si les nombreuses fonctions qu’occupa par la suite Edgard Pisani l’éloignèrent souvent de l’agriculture, celle-ci ne sortit jamais de ses préoccupations. Esprit libre et non dogmatique, il a pris ses distances avec la doxa productiviste largement dominante au sein des organisations professionnelles agricoles. Et dépassant la problématique agricole nationale, c’est au niveau mondial qu’Edgard Pisani a poursuivi sa critique du productivisme et des politiques agricoles qui l’appuient.

19Il est rare qu’un homme politique ayant exercé de grandes responsabilités soit aussi un intellectuel courageux de haut vol. Edgard Pisani en était un. Il a été dit que notre ancien ministre a porté la modernisation de l’agriculture en inventant avec la profession une politique publique et des outils (toujours opérationnels) visant à orienter et à accélérer la modernisation de l’agriculture française pour renforcer son caractère productiviste. Durant les années soixante, ce fut un grand succès. Avec perspicacité, il a très tôt noté les dérives du modèle de développement agricole qu’il avait contribué à mettre en place. En observateur perspicace, il a pointé assez vite les problèmes de désertification des campagnes liés à la concentration et à l’agrandissement continus des exploitations agricoles subventionnées par les aides publiques. Humaniste, il a perçu le drame humain mais aussi le problème d’aménagement du territoire qui était lié à cette modernisation : la France comptait des fermes de plus en plus grandes en surface dans des campagnes de plus en plus vides avec des mégalopoles en extension. Il a eu le courage de dénoncer un travers de ce modèle agricole : la destruction d’emplois. Il a également perçu que le système de subvention à l’exportation des produits agricoles européens détruisait les agricultures vivrières des pays en développement en réduisant à la misère la petite paysannerie indigène, aggravant ainsi les inégalités nord-sud. Enfin, avec d’autres, il a alerté les citoyens sur l’impact environnemental de cette agriculture devenue « hors sol ». Durant toute la fin de sa vie, il a su donner de sa personne, pour nous alerter sur les méfaits du modèle actuel. Peu ont eu cette lucidité et ce courage, cette honnêteté intellectuelle aussi de se dire un jour « on a peut-être été trop loin, je me suis trompé ».

La clairvoyance d’un sage…

20Pour illustrer la sagesse de notre co-fondateur et sa clairvoyance des défis à venir, concluons notre hommage par ses propres mots écrits en 1979 dans une publication du Grep intitulée « Agriculture, environnement et vie rurale » [5], où il synthétisait un certain nombre de ses écrits et interventions. Nous reprenons ici deux extraits prophétiques concernant les enjeux environnementaux et démocratiques actuels, au cœur des défis des nouvelles générations :

…sur l’environnement

21Il nous faut constater que les équilibres naturels, parfois compromis par les hommes ou les événements, se recréaient d’eux-mêmes jusqu’à présent. Les « outrages » que l’homme faisait subir à la Nature étaient effacés par la Nature. Il en est désormais autrement. Notre évolution technique et sociale détruit les équilibres naturels plus vite que la Nature ne peut les restaurer. La somme des initiatives individuelles, les disciplines que la société impose ou tente d’imposer ne suffisent pas, suffisent de moins en moins à résoudre le problème posé.

22S’il est un domaine où la somme des intérêts particuliers ne rejoint pas et ne semble jamais devoir rejoindre l’intérêt général, c’est bien celui de l’exploitation des richesses de la Nature par les individus : le maintien des biens de la nature parmi les biens marchands nous conduira à l’accélération des phénomènes menaçants dont nous sommes déjà les témoins.

23Et le risque ne frappe pas seulement celui qui est cause du désordre : la Nature apparaît comme un tout homogène et fermé où rien de ce qui est accompli n’est totalement indifférent. Sauf à mettre un gendarme derrière chaque citoyen ou plutôt derrière chaque propriétaire, il est impossible à la collectivité d’assumer ce qui est désormais sa fonction : la sauvegarde des équilibres, leur restauration afin que chaque génération puisse en bon dépositaire, transmettre la terre plus « belle » qu’elle ne l’a elle-même reçue. (…) Nous sommes pris dans une contraction dramatique :

  • il faut produire plus parce que des hommes ont faim et produire moins cher parce que ces hommes ne sont pas solvables ;
  • pour produire plus et moins cher, les techniques dont nous disposons nous conduisent à altérer ou à détruire le capital naturel hérité du passé et à compromettre l’avenir.

24Faut-il laisser mourir des hommes aujourd’hui ou faut-il refuser vie aux générations futures ? « Des deux côtés mon mal est infini » disait le poète… Et pour nous, Français, avec notre territoire tel qu’il est et notre sous-sol tel qu’il n’est pas, nos besoins d’énergie et de matières premières, faut-il produire plus pour exporter plus, faut-il produire moins pour sauvegarder plus ?[6]

…et la démocratie

25La démocratie est la condition de la communauté. Non la démocratie électorale mais la démocratie du quotidien. L’homme moderne, si souvent nomade, façonné par mille instruments de solitude, ne s’intègre qu’aux cellules dont il peut influencer l’être et le faire.

26Au-delà du choix des délégués que sont les élus et qui demeure essentiel, il n’y a de démocratie vivante qu’à deux conditions :

  1. Il faut que tous les citoyens contribuent par l’expression de leurs critiques, de leurs besoins et de leurs rêves à la définition des ambitions collectives. Aujourd’hui les projets d’avenir sont élaborés par des ingénieurs, arrêtés par des initiés, puis livrés et comme imposés à l’opinion. Des procédures doivent être inventées et, plus encore, mises en pratique, qui permettent à chacun de s’exprimer aux différents moments de l’élaboration d’un projet. Consulter les citoyens lorsque le projet technique est prêt dans ses moindres détails, lorsque son financement est quasiment assuré, lorsqu’il ne s’agit plus que de dire oui ou non ? La démocratie du oui ou du non est une dictature, celle des services, celle des experts et des initiés.
  2. Pour qu’il y ait démocratie vécue, il convient que le projet naisse du besoin exprimé ou que l’opinion s’exprime sur son compte dès qu’apparaît l’idée qui le sous-tend ; il convient que les citoyens suivent pas à pas l’histoire d’une entreprise pour la comprendre et pour l’assumer. Il faut aussi que le citoyen devienne cogestionnaire, qu’il puisse du moins le devenir dans les limites et les conditions fixées par l’autorité élue. Ainsi du citoyen électeur, devenu ensuite citoyen donneur d’avis, progresserons-nous vers le citoyen responsable.

27Il n’y a pas de protection de la nature par la loi seule ; il n’y a pas d’aménagement du territoire par les décisions de financement seules ; il n’y a pas d’aménité du cadre de vie par le seul dessin de l’ingénieur. Il faut que chacun d’entre nous, individu, association, entreprise, institution locale, soit fait responsable de son environnement. Alors et alors seulement, après quelques hésitations peut-être, les choses iront autrement[7].

Notes

  • [1]
    Jeunesse Agricole Catholique et Jeunesse Agricole Catholique des Femmes.
  • [2]
    École Nationale d’Ingénieurs des Travaux Agricoles, École Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts, École Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques Appliquées, Institut National de Promotion Supérieure Agricole, Institut National de Recherches et d’Applications Pédagogiques, École Nationale de Formation Agronomique.
  • [3]
    Pour lutter contre le décrochage scolaire, l’enseignement agricole a mis en place une recherche-action : « l’ancrochage » scolaire. Il s’agit de recueillir des données relatives aux conditions favorables à l’ancrage et à la persévérance scolaire (source : www.chlorofil.fr).
  • [4]
    Au cours de l’année 2017 nous fêterons les 50 ans de la revue dans un numéro qui permettra de revenir sur ces origines.
  • [5]
    Edgard Pisani, Agriculture, environnement et vie rurale (décembre 1979) « contributions », Grep, 48 pages.
  • [6]
    Ouvrage cité, pages 3-4.
  • [7]
    Ouvrage cité, pages 41-42.
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