Dans la série des ouvrages qui nous préparent à fêter le 500e anniversaire de la naissance de Thérèse d’Avila, cette introd. à ses œuvres, signée de son meilleur connaisseur espagnol actuel, en est au 5e vol., redécoupé et adapté il est vrai, pour la traduction française. La préface du père D.-M. Golay rappelle les écrits les plus connus (la moitié à peine de l’œuvre conservée) et introduit aux « autres écrits ». Dans notre volume, c’est Thérèse écrivain qui est approchée d’abord (son apprentissage de l’écriture, ses premiers écrits, son style, les autographes…), puis les œuvres plus courtes : relations, exclamations, poésies, réponse à un défi, « vejamen », constitutions (seule publication de son vivant), manières de visiter un monastère et enfin, recueil d’environ 500 lettres conservées. Un excellent chapitre final tente le diagramme de cet épistolaire, tandis que les annexes proposent la chronologie des écrits et une (trop) courte analyse graphologique, à partir de l’idéogramme IHS. Le corpus scriptorum thérésien a donc reçu sa passionnante approche générale — N. Hausman scm
Amphiloque, évêque d’Iconium (Konia) en Lycaonie, est un illustre méconnu à l’ombre de ses grands maîtres et amis Basile de Césarée et les deux Grégoire, de Nazianze et de Nysse, au iv
e s. C’était un admirable prédicateur, maîtrisant l’art de persuader. Ses homélies pour les temps liturgiques et sur certains textes évangéliques demeurent des modèles que Michel Bonnet, ancien prof. d’histoire à l’Univ…
Cet article est en accès conditionnel
Acheter cet article
2,00 €
Acheter ce numéro
15,00 €
S'abonner à cette revue
À partir de 100,00 €
Accès immédiat à la version électronique pendant un an
4 numéros papier envoyés par la poste