Cette contribution participe du devoir de mémoire avec le rappel que le combat pour la santé des enfants est ancien et date des premières années qui ont suivi l’indépendance. Ce combat a été porté par de grandes figures dont les noms gagneraient à trouver inscription dans l’histoire de la médecine algérienne. Il invite à capitaliser les expériences et à donner sens aux actes de résistances passés en faisant lien avec les luttes d’aujourd’hui pour défendre le droit à la santé en général et ce droit pour l’enfant en particulier.
Notre choix a été de présenter sans concession et de mettre en lumière les enjeux politiciens à l’origine de la faillite progressive d’un système de santé rongé par une crise structurelle. Le seul objectif ici est de faire apparaître les incidences concrètes de la déroute du système de santé algérien dans la prise en charge de l’enfant.