Au cœur de la fable économique règne la prétendue loi d’airain de la monnaie, via la dette. Mais ce récit-là comporte des variantes historiques qui dévoilent les degrés de liberté du politique par rapport à la contrainte économique. Au passage, les mésaventures de l’euro en disent long sur les illusions d’une vision technocratique de la « construction » européenne.