Résumé
Cesser d’opposer prévention et soin ; mieux articuler l’hyperspécificité médicale avec des principes d’hygiène traditionnels ; faire appel à la responsabilité du « cyberpatient » : revenant sur ses nombreuses expériences de médecin spécialiste de la Santé publique, Michèle Froment-Védrine dégage les lignes de force de ce qui pourrait être, en France, une grande politique de santé.