Notes
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[1]
Michel Duffour, secrétaire d’État au patrimoine et à la décentralisation culturelle de 2000 à 2002.
-
[2]
Fabrice Lextrait, Friches, laboratoires, fabriques, espaces intermédiaires… Une nouvelle époque de l’action culturelle, la Documentation française, 2001.
-
[3]
Collectif, Le Manifeste des Tiers-Lieux, http://movilab.org/index.php?title=Le_manifeste_des_Tiers_Lieux
-
[4]
Président de la Fondation Crédit coopératif
- [5]
-
[6]
Bernard Latarjet Conseils, en partenariat avec le Labo de l’ESS, Rapprocher la culture de l’économie sociale et solidaire, Fondation Crédit coopératif, 2017.
-
[7]
Alain Lipietz, L’opportunité d’un nouveau type de société à vocation sociale, Rapport au Ministère de l’Emploi et des affaires sociales, 2001.
-
[8]
La Coopérative Tiers-Lieux base, par exemple, la définition de son projet sur un ADN fondé sur communauté/territoire/processus https://coop.tiers-lieux.net/tierslieux/typologies-definition/
- [9]
-
[10]
Raphaël Besson, L’hypothèse des tiers-lieux culturels, https://theconversation.com/lhypothese-des-tiers-lieux-culturels-92465, 2018.
-
[11]
David Vallat, Que peut-on apprendre des tiers-lieux 2.0 ? XXVIe conférence de l’AIMS, Juin 2017.
-
[12]
Garrett Hardin, La tragédie des communs, Presses universitaires de France, 2018. (Réédition de 1968)
-
[13]
Antoine Burret, Tiers-lieux… et plus si affinités, Fyp éditions, 2015.
-
[14]
Christine Balaï, Pratiques culturelles à l’horizon 2030, Laboratoire LISE du CNAM - Ville de Paris, 2012.
-
[15]
La 27e Région, Design des politiques publiques, la Documentation française, 2010.
-
[16]
André Gorz, Misères du présent, richesse du possible, Éditions Galilée, 1997.
En 2001, Fabrice Lextrait, dans son rapport remis à Michel Duffour [1], décrivait les nombreuses initiatives, projets culturels et artistiques, lieux, espaces d’expérimentation et de pratiques comme de nouveaux laboratoires de l’action culturelle. Il proposait la prise en compte, l’attention à ces « nouveaux territoires de l’art » dans les politiques culturelles et artistiques. Aujourd’hui, les tiers-lieux semblent s’inscrire dans cette filiation, mais quel regard Fabrice Lextrait porte-t-il sur cette évolution, ces nouvelles pratiques, sur les conditions de leur développement et leur impact sur les politiques culturelles et les différentes mutations sociétales ?
1L’Observatoire – Le concept de « tiers lieu » est aujourd’hui repris dans de nombreuses politiques culturelles territoriales. Comment analysez-vous cette approche depuis le rapport « Une nouvelle époque de l’action culturelle » remis à Michel Duffour en 2001 [2] ?
2Fabrice Lextrait – Lorsque nous avons travaillé, avec Michel Duffour, à la formulation de la problématique de l’étude, nous avons ensemble insisté sur le refus total de catégorisation, de label et de concept. Les fondements politiques, sociaux et artistiques sur lesquels nous avons travaillé posaient comme principe la singularité et la pluralité des démarches que nous souhaitions analyser et accompagner. Quand je lis, dans le Manifeste des Tiers-Lieux [3], qu’« un Tiers-Lieu ne se définit pas par ce que l’on en dit mais par ce que l’on en fait… », qu’« un Tiers-Lieu ne se crée pas, qu’il se révèle », que « le Tiers-Lieu est un bien commun entretenu par et avec un collectif dans un cadre de confiance où des individus hétérogènes se réunissent pour travailler et explorer », en générant « un langage commun et réappropriable entre des mondes différents et parfois contradictoires » et en développant « une approche intelligente de la gouvernance »… je retrouve des éléments de langage que nous avions, et peux citer des centaines d’aventures s’inscrivant dans cette démarche. Mais attention ! Aujourd’hui, trois risques majeurs existent et sont inquiétants. Le premier est que l’artistique, privé de moyens, soit de moins en moins présent dans les tiers-lieux. Le deuxième est que les tiers-lieux servent d’alibi à de multiples opérations – notamment d’aménagement – et qu’on ne leur consacre pas les moyens nécessaires à leur construction concrète et symbolique. Le troisième est que je ne crois pas qu’il soit juste d’employer le terme de « concept » pour les tiers-lieux. Les tiers-lieux sont des pratiques. Les tiers-lieux culturels et artistiques incarnent en ce sens, la « culture du quotidien » d’André Gorz, des lieux, des projets ou « des relations sociales qui favorisent le respect et l’entretien du bien commun ». Si nous n’y prenons pas garde, les tiers-lieux vont être l’objet d’instrumentalisations institutionnelles publiques et privées correspondant à une précarisation sociétale grave. Si Oldenburg définissait souvent le tiers-lieu comme un espace intermédiaire c’est qu’il avait sans doute lu Peter Handke, pour lequel l’espace intermédiaire naissait entre les coques de deux cargos, permettant à des embarcations plus légères, plus maniables, de se faufiler et de s’ouvrir sur l’horizon. Le tiers-lieu ne doit pas être un refuge.
3L’Observatoire – Les espaces des tiers-lieux deviennent de véritables enjeux urbains, de réappropriation patrimoniale et historique des territoires, de reconversion et de transition économique. Ces espaces sont attribués et répartis entre acteurs sur des projets, parfois pour un temps déterminé. Mais laissent-ils suffisamment de place à l’espace vide, « blanc », de la rencontre artistique imprévue, de la co-construction, d’une nouvelle écriture de projets croisés ? S’ouvrent-ils suffisamment sur l’espace public, sur le projet urbain à l’échelle d’un territoire plus vaste ?
4F. L. – Auparavant, les friches étaient des délaissés que nous investissions, et nous n’avons cessé de dire aux propriétaires fonciers qu’ils commettaient une erreur politique et patrimoniale dans cet abandon. Petit à petit, par la force de conviction des opérateurs culturels, par des éclairages internationaux et par un renouvellement de l’encadrement immobilier des grands groupes, la situation s’est retournée. La SNCF, par exemple, dans des conditions qu’il faudrait parfois interroger, met à disposition, pour le travail artistique et pour des événements festifs, des entrepôts vides en attente de reconversion. Le sujet est souvent de savoir comment, une fois ce sujet immobilier traité, l’économie de ces projets se structure. Il n’y a plus d’emplois aidés, il n’y a plus de politique de la ville, il n’y a plus de fonds d’innovation alors comment financer les actions et le travail artistique ? Les espaces blancs chers à Georges Aperghis existent, mais les caisses sont vides. Pourquoi ne militerions-nous pas pour l’instauration d’une nouvelle taxe « 1 % locaux vides » qui permettrait que des artistes, de jeunes entrepreneurs, des sans-abris ou de jeunes agriculteurs urbains produisent ces tiers-lieux culturels, pour des durées définies contractuellement, en contribuant à un nouveau produit intérieur et parfois à la future programmation de ces fonciers !
5La programmation des « nouveaux fonciers » est d’ailleurs un registre à prendre en compte en tant que tel. Les tiers-lieux qui s’inventent dans le cadre d’opérations urbaines telles que Réinventer Paris, Gren’de projet, Inventer la Métropole, Quartiers Libres, XXL… suscitent, chez les développeurs-investisseurs-promoteurs, une attention particulière à l’intégration de process culturels à leurs propositions. Il y a là un terrain d’investigation que des opérateurs d’une nouvelle génération investissent mais souvent sans moyens. Les initiatives remarquables de ces dernières années telles que Yes We Camp, Plateau Urbain, Ground Control sont dans des économies de grandes précarités. Une réflexion profonde devrait avoir lieu, portée par la puissance publique, sur le mode de production de l’urbain d’aujourd’hui, qui pourrait être bien plus nourri par ces projets artistiques associant les populations.
6L’Observatoire – La création du statut de micro-entrepreneur dans la Loi de modernisation de l’économie, en 2008, a entraîné l’émergence de nombreux auto-entrepreneurs, le développement de start-up dont la singularité, l’isolement, le niveau de ressources, nécessitent des espaces d’accueil que les tiers-lieux ont offert. Mais quelle capacité ont ces lieux à créer des projets de vie, de création, d’interrogation sociale et politique véritablement collectifs, collaboratifs, bien au-delà d’une attribution d’espaces de travail ?
7F. L. – Quand nous avons étudié, pour le rapport remis à Michel Duffour, les différentes pratiques dans les espaces de travail partagés, nous avons facilement identifié une catégorie de lieu où la mutualisation d’idées et de services se limitait à la réalisation du « double des clefs » de la porte d’entrée. Il est évident qu’avec l’amplification de ce mouvement qui attribue souvent des espaces de travail chaises/tables/connexions, la limitation du projet commun à de la mutualisation technique est forte. Hugues Sibille [4] spécifie très bien que l’intérêt politique dans ces lieux est de « transformer l’emploi et de redonner du sens au travail car la mutualisation d’espaces n’est pas tout : il faut aussi s’intéresser à la réponse que ces lieux peuvent créer par la coopération et la co-construction. C’est pour cette raison que tout espace de coworking n’est pas un tiers-lieu : il y faut un vrai esprit collectif [5] ». Contrairement à un rapport récent qui annonce qu’il faut « rapprocher la culture de l’économie sociale et solidaire [6] », les activités culturelles alternatives nourrissent l’économie sociale depuis toujours et ce sont ces liens qu’il faut cultiver. Imaginons ce qui aurait pu se produire si le travail que Michel Duffour, alors Secrétaire d’État à la décentralisation culturelle, avait entrepris, avec le Secrétaire à l’Économie Solidaire Guy Hascoët en 2001 et son proche conseiller l’économiste Alain Lipietz [7], avait pu se développer
8L’Observatoire – Les nouvelles technologies, fab labs, constructions techniques marquent ces espaces, mais comment amplifier la rencontre avec les disciplines artistiques esthétiques et briser le développement en silo des uns et des autres ?
9F. L. – Un tiers-lieu artistique et culturel doit avoir, dans son ADN [8], un principe de mixité. Cette mixité doit, bien évidemment, être entendue politiquement au sens large, mais elle doit impérativement prendre en compte les disciplines artistiques. La pluridisciplinarité est vitale à la création artistique aujourd’hui. Le drame de notre système culturel est le cloisonnement. Il faut faire exploser les « pôles ». Il est très important que des structures, dont le fondement est le travail sur les nouvelles technologies, « associent les communautés, réseaux et collectifs de la médiation numérique, des arts et des cultures numériques, de l’économie créative et de l’économie sociale et solidaire [9] » et les acteurs sociaux. Les localisations des tiers-lieux sont, en ce sens, déterminantes car une mise en réseau sociétale doit pouvoir être possible pour permettre à ce que des écritures disciplinaires se croisent et pour garantir que les publics les plus divers puissent pratiquer ces outils et ces propositions. Pour éviter le développement en silo, les questions de localisation doivent, bien entendu, être analysées en fonction de chaque contexte : la grange abandonnée ? Le rez-de-chaussée commercial sans fonction ? L’usine en friche ? Le nouveau bâtiment culturel communal ? Outre cette réflexion, le plus important va porter sur la nature des propositions qui permettront d’ouvrir le projet aux problématiques locales.
10L’Observatoire – Certains voient dans ces lieux l’affirmation et le retour en force de l’éducation populaire, souvent par opposition aux institutions, labels du secteur culturel. Comment l’affirmation, la structuration de ces initiatives peuvent être véritablement prises en compte par les collectivités, l’État, sans les enfermer dans une nouvelle norme ?
11F. L. – Raphaël Besson a bien noté que « ces différents lieux culturels ont en commun de sortir d’une vision élitiste et diffusionniste de la culture et des savoirs, pour s’intéresser aux acteurs informels et aux espaces de la vie quotidienne [10] ». La question à se poser aujourd’hui, en même temps que « comment ? » est « quand ? ». Quand les collectivités et l’État vont-ils vraiment penser des politiques publiques en ce sens ? Et plus encore, dans ce double sens : imaginer un fonds dédié à ces lieux – ce qui est nécessaire – mais aussi et surtout réorienter nos financements de base vers ces pratiques et ces lieux. David Vallat [11] rappelle, dans une contribution récente, que ces pratiques collaboratives peuvent être rapprochées de la notion de commons, ressource commune inscrite dans une gestion commune. Il y a bien, aujourd’hui, dans le domaine culturel et artistique « une tragédie des biens communs [12] » à laquelle de nombreux acteurs de la société civile, dont des artistes essayent de répondre.
12Les sociétés coopératives d’intérêt collectif sont, dans ce domaine, des organisations qui nourrissent et cultivent un principe d’organisation différent de celui qui mine le champ culturel. Les tiers-lieux, ces espaces intermédiaires, cultivent les commons lorsqu’une gestion commune des ressources est organisée, lorsqu’une gouvernance appropriée est mise en place, lorsqu’un débat démocratique est travaillé, lorsque droits civiques et sociaux sont défendus. Mais là encore, attention ! Il ne faut pas que la diffusion du concept de tiers-lieu légitime le recul et le repli des politiques publiques. Les collectivités publiques doivent être des « acteurs des tiers-lieux ». Elles peuvent, par exemple, faire partie des sociétés coopératives. Si les friches et les lieux intermédiaires se sont développés, ce n’est en aucune façon parce que leurs acteurs pensent qu’il ne faut « plus rien attendre de l’homme politique et de la supposée incarnation de l’intérêt général par les gouvernements [13] ». Je ne pense pas que cette idéologie des tiers-lieux, proposée par Antoine Burret, selon laquelle « Internet serait le meilleur moyen de se passer de l’État » corresponde à ce qui se construit dans ces espaces. Les tiers-lieux culturels sont des lieux de production, de diffusion et de rencontres où toute une population (artistes, producteurs, médiateurs, publics, etc.) s’essaie au travail du « commun », avec le soutien (insuffisant) des politiques publiques. « Les tiers-lieux doivent être des espaces d’émergence et de créativité [14] » certes, mais ils doivent aussi être des espaces de création. Il ne s’agit pas de mettre la création plus haut dans l’échelle de valeur, mais de combiner des démarches différentes pour qu’elles s’entrecroisent. C’est ainsi que « la rencontre, le partage, la collaboration, la fertilisation croisée entre différents publics, seront des vecteurs potentiels de créativité et d’émergence de nouveaux possibles et d’innovation, favorisant la créativité, l’initiative et le partage [15] ».
13L’Observatoire – Quelle est la place possible à l’instituant, à l’innovation sociale, environnementale, représentée par ces lieux dans les politiques culturelles ?
14F. L. – Dans nos sociétés occidentales, la seule place possible, aujourd’hui limitée, de l’instituant est d’investir les espaces intermédiaires en connivence avec les institués pour briser les politiques publiques catégorielles qui atomisent la société publique. N’oublions pas que quelques générations se sont battues pour que ces institutions existent et que, même si le fait du prince n’a jamais été absent des grandes bibliothèques comme des philharmonies, nous avons un héritage qui a permis un réel (mais insuffisant) maillage. Aujourd’hui, si nous ne réussissons pas à créer des tiers-lieux dans les institutions, à susciter des espaces intermédiaires dans des programmations, à mettre en friche des politiques culturelles nous aurons définitivement abandonné l’espace public au marché. Mais là encore, attention ! Il ne faut pas laisser des institutions phagocyter ces émergences. Elles ne peuvent pas initier des projets qui ne sont que des alibis à leurs consommations institutionnelles, elles doivent être à l’écoute de chaque contexte singulier pour générer de nouvelles écritures et de nouvelles pratiques.
15L’Observatoire – Vous souligniez, en 2001, la nécessité d’une reconnaissance de la diversité des expériences et, surtout, l’expérimentation d’une nouvelle politique publique. L’institutionnalisation progressive des tiers-lieux ne risque-t-elle pas d’épuiser la diversité des expériences et formater un nouveau pan des politiques publiques ? Comment maintenir le foisonnement d’initiatives, de créativité, d’expérimentation par de nouveaux modes de gouvernance, par le décloisonnement permanent, la transversalité artistique et culturelle des projets, l’implication des habitants d’un territoire ?
16F. L. – L’institutionnalisation progressive n’est pas un mal ! C’est l’enfermement, le repli, qui le sont ! L’institué peut être instituant s’il s’en donne les moyens et s’il défend les principes démocratiques. Les financements des tiers-lieux ne doivent être ni une ligne dans une directive ministérielle, ni une rubrique dans un budget municipal, ni un alibi dans une spéculation foncière. Les moyens publics et privés que nous devons consacrer aux tiers-secteurs peuvent préfigurer, « au-delà de la société salariale en voie de disparition, une société autre, dans laquelle le travail rémunéré n’est plus le facteur d’intégration principal et où le politique et le sociétal ne sont plus subordonnés à l’économique mais le priment [16] ». Les tiers-lieux devraient être au cœur des nouvelles politiques publiques. Chaque fabrique, chaque squat, chaque friche, chaque espace intermédiaire, est un territoire physique et/ou symbolique où peuvent se construire les écritures connectées à la société contemporaine. C’est en associant des publics et des populations, en mixant des disciplines, en investissant des espaces publics, au sens habermassien, que les tiers-lieux révolutionnent nos sociétés.
Notes
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[1]
Michel Duffour, secrétaire d’État au patrimoine et à la décentralisation culturelle de 2000 à 2002.
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[2]
Fabrice Lextrait, Friches, laboratoires, fabriques, espaces intermédiaires… Une nouvelle époque de l’action culturelle, la Documentation française, 2001.
-
[3]
Collectif, Le Manifeste des Tiers-Lieux, http://movilab.org/index.php?title=Le_manifeste_des_Tiers_Lieux
-
[4]
Président de la Fondation Crédit coopératif
- [5]
-
[6]
Bernard Latarjet Conseils, en partenariat avec le Labo de l’ESS, Rapprocher la culture de l’économie sociale et solidaire, Fondation Crédit coopératif, 2017.
-
[7]
Alain Lipietz, L’opportunité d’un nouveau type de société à vocation sociale, Rapport au Ministère de l’Emploi et des affaires sociales, 2001.
-
[8]
La Coopérative Tiers-Lieux base, par exemple, la définition de son projet sur un ADN fondé sur communauté/territoire/processus https://coop.tiers-lieux.net/tierslieux/typologies-definition/
- [9]
-
[10]
Raphaël Besson, L’hypothèse des tiers-lieux culturels, https://theconversation.com/lhypothese-des-tiers-lieux-culturels-92465, 2018.
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[11]
David Vallat, Que peut-on apprendre des tiers-lieux 2.0 ? XXVIe conférence de l’AIMS, Juin 2017.
-
[12]
Garrett Hardin, La tragédie des communs, Presses universitaires de France, 2018. (Réédition de 1968)
-
[13]
Antoine Burret, Tiers-lieux… et plus si affinités, Fyp éditions, 2015.
-
[14]
Christine Balaï, Pratiques culturelles à l’horizon 2030, Laboratoire LISE du CNAM - Ville de Paris, 2012.
-
[15]
La 27e Région, Design des politiques publiques, la Documentation française, 2010.
-
[16]
André Gorz, Misères du présent, richesse du possible, Éditions Galilée, 1997.