Couverture de LCPP_002

Article de revue

Du jugement

Pages 117 à 125

Notes

  • [1]
    V. N. Smirnoff, « Le mot de la fin », Topique, N° 18, Éditions EPI, 1977.
  • [2]
    J.-C. Rolland, Le discours intérieur, conférence APF, mars 2000.
  • [3]
    J.-C. Rolland, Guérir du mal d’aimer, Gallimard, 1998.
  • [4]
    S. Freud, (1900), L’interprétation des rêves, PUF, 1967, Ch. VI, p. 291 et p. 416.
  • [5]
    S. Freud, (1937), « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin », Résultats, idées, problèmes, II, PUF, 1985.
  • [6]
    J.-B. Pontalis, « Non, deux fois non », Perdre de vue, Gallimard, 1988.

1Les lois de l’analyse conduisent à délaisser les processus intellectuels et à ôter aux jugements une part de leur valeur réflexive. La réalité matérielle est, dans la cure, désinvestie au profit de la seule réalité psychique. Son déroulement dépend d’ailleurs de la qualité de séparation de ces deux champs. Mais il est des moments de l’analyse où les frontières sont floues et où les territoires se mêlent nécessairement : ainsi de l’engagement du traitement, du temps de l’interprétation et de la terminaison de la cure. Je ferai l’hypothèse qu’une part des difficultés théoriques et pratiques que posent ces événements de l’analyse est liée à la valeur psychique accordée au jugement qui préside aux décisions.

2Au début, l’analysant acquiesce aux conditions du traitement et essentiellement à son insu ; il accepte d’engager sa parole dans le champ d’une écoute qui se soutient de la certitude de n’y trouver que remémoration ou répétition. Car l’acquiescement de l’analyste est d’accepter la demande d’un patient, d’énoncer le cadre dans lequel la cure se déroulera et de soumettre le discours entendu aux lois régissant l’atemporalité du désir inconscient. C’est là son terrain spécifique : tout ce que l’analysant a vécu s’y transporte pêle-mêle ; le discours se développe comme un paysage fantastique. Freud illustre ce phénomène par la métaphore de la croissance de Rome : il imagine que, comme l’appareil psychique, cette ville a conservé intacte et distincte la totalité des monuments qui se sont succédés sur un même site – le Palazzo Caffarelli, le temple de Jupiter Capitolin et les constructions étrusques.

3En 1913, Freud introduit « Le début du traitement » par une autre métaphore, celle du jeu d’échecs. Pour l’un et l’autre, le jeu d’échecs et l’analyse, le début et la fin de la partie sont les seuls moments qui peuvent être décrits et qui obéissent à quelques règles. Mais la comparaison avec « le noble jeu d’échecs » cesse : pour ce qui concerne l’analyse, les règles, dès qu’elles sont dissociées du plan particulier de la cure, de sa référence au transfert et à l’inconscient, ont la caractéristique de paraître « mesquines », voire absurdes comme le serait, pour le bon sens d’un touriste contemporain, un plan de Rome où tous les monuments, de toutes les époques, dans chacun de leurs états, figureraient interpénétrés. Le désir inconscient, par la pression qu’il exerce aussi bien que par les résistances qu’il suscite, commande à tout ce qui se produit dans la cure, le discours qui s’y déploie, comme les décisions qui s’y prennent – acquiescement ou refus. Le oui et le non ne peuvent prétendre à y être de pures opérations du jugement.

4C’est ainsi que, de son côté, l’analyste sait que son acquiescement pour le commencement d’une cure est chargé d’ignorance. Par son accord, il manifeste une part encore inconnue de lui, cette part qui ne lui a tout simplement pas permis de dire non[1] à cette demande. Il sait aussi que le dévoilement de cette part-là de lui-même, dans son « discours intérieur » [2], est l’enjeu du parcours contre-transférentiel de cette cure-là. Au commencement d’une cure, il y a la situation compliquée de deux acquiescements asymétriques et simultanés : celui du patient qui ne sait pas qu’il va tout mettre en œuvre pour refuser le déroulement de ce qu’il pense accepter ; celui de l’analyste qui tente déjà d’accepter ce qui se refuse encore obscurément en lui. Cette disposition particulière se paye, pour chacun, du sacrifice de sa capacité de jugement. À chaque début de cure se répéterait le même mouvement de transgression des catégories intellectuelles de la pensée et du jugement que celui qui présida à l’invention de l’analyse, quand Freud découvrit que la réalité de la séduction incestueuse devait être subordonnée à la réalité et à la force du fantasme. Cette transgression s’impose à l’analyste comme la condition même de la cure, condition à laquelle il doit se soumettre parce qu’elle le « transcende », comme l’écrit J.-C. Rolland qui ajoute, à propos de l’inexorable temporalité des séances, que les analystes sont soulagés d’en confier la prescription aux institutions d’où elle leur revient comme « une norme aussi peu interrogeable que le fut la mort quand l’humanité en confiait le pouvoir à ses dieux [3] ».

5L’écoute analytique délaisse donc la capacité de jugement du patient. Tout ce que celui-ci énonce, dès la première rencontre, son oui au commencement de la cure (ou son non tout aussi bien), ses commentaires sur le temps, l’argent ou sa position sur le divan, le récit de sa plainte, de l’histoire de ses symptômes, ou de ce qu’il attend de sa cure, tout cela, pour l’analyste, perd sa valeur de processus secondaire, tout cela est entendu comme déplacement de la vie sexuelle infantile dans la situation transférentielle. Aussi le début d’une cure est-il bien plus que la mise en place d’un dispositif : elle ouvre à une rencontre spécifique où s’incarnent les désirs inconscients qui la précèdent et la dépassent. Les conditions propres au dispositif analytique ne font pas l’objet de l’analyse : imposées à l’analyste et à l’analysant, en elles-mêmes inanalysables, elles sont repoussées aux confins de la réflexion métapsychologique où elles rejoignent d’autres réalités comme la réalité événementielle. Elles se situent hors du champ de l’analyse et hors du champ du jugement.

6Dans la suite du traitement, la capacité de juger – et sa conséquence, la connaissance – ne restent pas moins désavouées dans le processus analytique. Cela se manifeste particulièrement au moment où le patient accepte ou non (c’est-à-dire : juge) l’interprétation qui lui est donnée. Dès 1913, Freud note que l’énoncé d’une vérité que l’analyste connaît (ou devine), sans que le patient l’ait encore admise dans le transfert, au mieux ralentit un peu le processus, au pire augmente massivement les résistances. Derrière ce oui impur ainsi extorqué, le refoulement reste agissant, renforcé par le jugement et la logique des processus secondaires, ses premiers alliés.

7Cette question de la valeur à accorder au jugement dans le processus analytique est au centre du texte de 1925 sur « La négation », et il lui donne toute son ampleur et sa profondeur. Dans ce texte ce n’est pas, comme en 1913, l’acceptation de l’interprétation par l’analysant qui est envisagée – comme si cet accord était définitivement entendu comme venu de la conscience et sans pertinence perlaborative ; Freud s’intéresse ici au refus de l’interprétation. Il énonce ce constat qu’il ne peut y avoir de non venant de l’inconscient et qu’il faut bien se soumettre au fait, qu’avec le non, c’est un contenu de représentation refoulé qui se fraye une voie jusqu’à la conscience. Ainsi, lors de la levée du refoulement par l’interprétation, découvrant ce qu’il ne savait pas savoir, le patient ne peut que le refuser et, en même temps, dire qu’il l’avait toujours su. La subversion des repères de la réalité commune n’épargne ni le oui du fait de l’ambivalence naturelle du psychisme humain, ni le non qui se révèle être marqué du désir inconscient.

8* *

9*

10Comment alors la décision de la fin de la cure pourrait-elle être un pur non ou un pur oui, si le refus ou l’acceptation d’une interprétation, tout au long de son déroulement, sont déjà des oui ou des non impurs, ayant perdu toute qualité intellectuelle et ayant acquis une charge fantasmatique maximale ? Inévitablement là encore la capacité de jugement ne peut qu’être désavouée. Dans son article de 1913, Freud énonce le principe simple et élémentaire selon lequel le patient est libre d’interrompre le traitement à sa guise. Mais on connaît le changement de valeur que subit le jugement du patient, dès qu’on évalue ce jugement à l’aune du processus analytique : aucune représentation ne s’y apure jamais de la nécessité de servir à la répétition des motions sexuelles infantiles. Le travail de l’analyse permet de révéler, puis d’élaborer ce poids de la répétition que l’expression du désir de finir manifeste encore, transférentiellement, au cours de chaque traitement. Ce désir sert les forces du refoulement. Certes, les cures paraissent se dérouler dans la perspective d’un moment aporétique où le désir de terminer pourrait, idéalement, intérioriser les diverses dimensions psychiques de la séparation. Ce désir de terminer reste un non que l’analysant oppose au processus analytique – un désir qui appartient exclusivement à la réalité, qui ne s’incarne pas dans un projet temporel.

11Les cures se terminent pourtant parce que l’analyste y acquiesce. La difficulté a changé de camp, c’est à l’analyste que revient la tâche d’un jugement. Le conseil dont Freud assortit ce constat ne fait que repérer l’impasse dans laquelle se trouve l’analyste : il précise en effet que celui-ci pourra envisager l’opportunité de la fin du traitement et accéder à la demande du patient quand il jugera ne pas devoir la guérison à la suggestion et quand le transfert sera entièrement dissous. Freud paradoxalement laisse penser qu’il y aurait une fin naturelle de l’analyse. Il laisse penser que vient un temps où le transfert, entièrement liquidé, entraînerait, dans sa défaite, l’état morbide, un temps où il n’y aurait plus de transfert, donc plus de résistances et, de façon naturelle, plus d’analyse, un temps où la décision de l’analyste échapperait à toute suspicion d’être un acte contre-transférentiel. Sur cette illusion d’une fin idéale accomplissant une séparation sans rupture qui reconduit l’illusion d’une analyse idéale, sans restes transférentiels, sans transfert de transfert, Freud reviendra ultérieurement. Il n’empêche qu’elle reste tenace dans le quotidien de la pratique analytique.

12Et ce fantasme de fin naturelle prend, là, divers aspects qui vont de l’idéalisation d’une fin heureuse à la crainte d’une rupture prématurée. L’annonce par le patient, en séance, de sa décision d’arrêter l’analyse vient ordinairement dénoncer ce fantasme ; c’est là une de ces paroles que l’analyste n’entend pas toujours avec l’attention également flottante habituelle car, dès sa profération, elle opère une rupture dans l’écoute analytique qui l’entend moins comme un projet que comme une manifestation massive de la résistance, voire la menace d’une victoire du refoulement… La poursuite de l’analyse n’est rendue possible qu’à la condition de retrouver le fantasme inconscient qui la porte et d’installer cette apparente décision dans le cours des pensées propre au processus. L’interprétation du rêve sert, là, de modèle. Un non apparaît au décours d’une cure comme apparaît la pensée « ce n’est qu’un rêve » quand elle s’insinue au cœur même du processus onirique. On sait qu’une telle pensée, fruit du travail de la censure, vise à faire perdre à ce qui a été rêvé sa valeur de rêve, mais que, jusqu’au possible réveil par un sentiment pénible, elle garde, dans le rêve, sa fonction de réalisation du désir [4] : ou bien elle confère au rêve « un contenu de figuration de vérité, de souvenir véritable » et indique alors le souhait que cela n’ait pas eu lieu ou bien elle sert le désir de dormir quand le désir du rêve devient trop manifeste.

13* *

14*

15Aux commencements de la pratique de l’analyse, Freud et ses élèves se posaient régulièrement la question de la durée des cures, question où se diluaient les questions plus essentielles de la fin de l’analyse ou de sa terminaison. Ils avaient le souci d’éviter une cure trop brève qui aurait privé le patient d’une guérison profonde ou une cure trop longue qui l’aurait maintenu dans une dépendance maladive. Jamais résolue, cette question hante les textes cliniques, plus particulièrement ceux où Freud la relie au transfert ; elle est toujours aussi urgente en 1937 quand il écrit « Analyse avec fin, analyse sans fin » [5]. Mais la question s’est déplacée : il est bien trop simple, précise-t-il, de résumer la terminaison de la cure à une suppression du dispositif, « quand l’analyste et le patient ne se rencontrent plus pour l’heure de travail analytique » ; il est encore plus fallacieux de penser qu’une interruption, décidée par l’analyste (ou par le patient), est une (bonne) fin d’analyse. Ce qui importe selon lui, c’est une réflexion non pas sur la terminaison de la cure, mais sur le destin du processus. Il revient sur sa décision autoritaire, vingt-cinq ans auparavant, de terminer la cure de « l’homme aux loups ». Il crut avoir obtenu une fin précipitée mais heureuse et la guérison durable de son patient qui « retrouva toutes les connexions qui semblaient nécessaires à la compréhension de sa névrose passée et à la maîtrise de sa névrose présente ». On peut voir dans cette citation la nostalgie des commencements où l’analyste espérait vaincre l’amnésie à la seule force de ses interprétations, lever le refoulement du fantasme inconscient et rendre conscient le conflit psychique. La nostalgie d’un temps où étaient concevables un combat loyal contre la résistance, une pleine assurance des décisions et une séparation claire du oui et du non.

16Depuis, insidieusement avec l’analyse du masochisme, plus fermement avec la découverte de la pulsion de mort, Freud s’est plié à la nécessité de prendre en compte, gisant au cœur du vivant, agissant au sein de l’analyse, « un principe d’anti-vie, une force de l’inconnu qui ne se laisse pas connaître, pas entendre, pas saisir » [6]. L’article de 1937 témoigne du chemin parcouru et du changement de paysage : « C’est à juste titre que nous avons attribué cette force qui s’accroche entièrement à la maladie et aux souffrances, au sentiment de culpabilité et au besoin d’autopunition et que nous l’avons située dans les relations du moi avec le surmoi. Mais il ne s’agit là que de la partie liée psychiquement par le surmoi et qui devient ainsi connaissable, d’autres éléments de la même force doivent – libres ou non – jouer on ne sait où. » En repensant vingt-cinq ans plus tard à la cure de « l’homme aux loups » et d’autres patients difficiles dont les traitements avaient été entrecoupés d’interruptions plus ou moins longues, Freud admet que le processus de fin de la cure fait partie du déroulement même de l’analyse. Comme la pensée « ce n’est qu’un rêve » fait partie du rêve, tant que celui-ci dure, avec sa charge mêlée de remémoration, de désir et de censure, le « non pour finir », qu’il provoque ou non la rupture de l’analyse, reste d’abord, tant que celle-ci dure, la marque du refoulement qui se dresse contre le retour imminent du refoulé. Quelle que soit la transformation qui se produise pour le sujet, la guérison définitive n’y est jamais assurée. Les cures restent, pour les patients, des cures incomplètes et, pour l’analyste, des cures interminables, pour autant que l’un et l’autre tolèrent l’idée que la complétude est un fantasme qui repose sur un déni de la mort et de la sexualité.
* *
*
Isolons une forme typique d’interruption de l’analyse : le patient annonce sa décision d’arrêter sa cure, alors que la névrose de transfert est loin d’avoir disparu, ou qu’elle condense désormais la totalité du conflit psychique, plusieurs années de traitement ayant ainsi résolu l’essentiel des symptômes. L’analyste sait que l’analyse n’est pas terminée, mais il sait aussi que cet acte de refus, de la part de ce patient-là, équivaut à un progrès dans ses capacités de reconnaissance des motions pulsionnelles libidinales et agressives, demeurées jusqu’alors refoulées. Ce passage à l’acte témoigne, paradoxalement et de façon maniaque, de l’acquisition d’une capacité de négation. La reconnaissance de l’attachement transférentiel et son rejet se disent dans un même mouvement ; un fantasme infantile refoulé est perçu dans le même temps où il est refusé.
On est, ici, au plus près du processus de jugement décrit par Freud : une idée incidente émerge et est rejetée parce que jugée déplaisante. Il ne se produit pas de gain quantitatif – il n’y a pas d’extension du moi aux dépens du ça – mais un progrès qualitatif : une part du moi acquiert la capacité de maîtriser les mouvements pulsionnels d’amour et de haine, en surplombant, d’un autre point de vue, la vie psychique et en envisageant son propre clivage. Il y a levée du refoulement, sans acceptation du refoulé. Le passage à l’acte a, en somme, restauré l’action motrice dont l’ajournement supportait jusque-là le travail même de la pensée. Par ce subterfuge, l’analyse, comme le dit Freud, est « victime de son succès » : en lui révélant les forces pulsionnelles qui le menacent, le transfert donne au moi les moyens d’agir conformément à son souhait, tout en se dégageant de la répétition. Cependant, du fait de cet ajournement de la pensée, l’analyse reste incomplète.
Aussi, dans cette situation singulière, il nous faut reconnaître la complicité inconsciente, dans le déni, qui conduit l’analyste à ne pas ramener cet acte sur le terrain de la remémoration, ce qui permettrait au patient de poursuivre son analyse. Il ne peut, dans ces circonstances-là, que laisser partir son patient avec une sorte d’acquiescement mezza voce qui organise cette décision sous l’enseigne d’un accomplissement de désir. Il en est ainsi quand, entendant le patient lui parler de la fin de la cure et évoquer une date, il acquiesce, in petto, au manifeste du discours, ou encore quand, au cours d’une séance d’une analyse déjà avancée, analyste et patient partagent la pensée qu’elle sera « la dernière ». Il s’agit là d’authentiques moments de rupture car, au cœur même de la cure, se glisse la réalisation d’un commun accord. Le commun accord fait cesser la disjonction qu’opère l’écoute spécifique de l’analyste qui sépare le discours manifeste de son ancrage dans l’actuel, lui rend accès à ses sources inconscientes et oppose la temporalité discursive à l’atemporalité de l’inconscient. Le commun accord est un oui échangé, une communauté de perception qui réunit l’analyste et son patient dans l’accomplissement d’un désir incestueux inconscient.
Seul le sentiment d’étrangeté qui se développe, en ce point, chez l’analyste atteste que ces temporalités psychiques ne coïncident pas et que viennent se heurter là des régimes de pensée incompatibles. C’est un trouble autant qu’une difficulté, comme lorsque s’aménagent des passages entre les mondes de la veille et du rêve, entre les mondes des vivants et des morts. Alors que jusque-là, et pour que la cure ait lieu, les choses dernières, mort et sexualité, étaient déléguées à l’institution, ce trouble indique à l’analyste que fait retour ce qu’il avait engagé de lui-même et refoulé, de son désir, de son rapport à la mort dans son oui du début de la cure.

Notes

  • [1]
    V. N. Smirnoff, « Le mot de la fin », Topique, N° 18, Éditions EPI, 1977.
  • [2]
    J.-C. Rolland, Le discours intérieur, conférence APF, mars 2000.
  • [3]
    J.-C. Rolland, Guérir du mal d’aimer, Gallimard, 1998.
  • [4]
    S. Freud, (1900), L’interprétation des rêves, PUF, 1967, Ch. VI, p. 291 et p. 416.
  • [5]
    S. Freud, (1937), « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin », Résultats, idées, problèmes, II, PUF, 1985.
  • [6]
    J.-B. Pontalis, « Non, deux fois non », Perdre de vue, Gallimard, 1988.
bb.footer.alt.logo.cairn

Cairn.info, plateforme de référence pour les publications scientifiques francophones, vise à favoriser la découverte d’une recherche de qualité tout en cultivant l’indépendance et la diversité des acteurs de l’écosystème du savoir.

Avec le soutien de

Retrouvez Cairn.info sur

18.97.9.170

Accès institutions

Rechercher

Toutes les institutions