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Article de revue

Macron et l’Algérie : l’amorce d’une véritable réconciliation ?

Pages 37 à 46

Notes

  • [*]
    Yahia H. Zoubir est professeur de relations internationales et directeur de recherches en géopolitique à la Kedge Business School (Marseille). Il a publié plusieurs ouvrages sur le Maghreb, dont le dernier : North African Politics : Change and Continuity (New York, Londres, 2016).
  • [1]
    Voir l’ouvrage de référence de Robert Jervis : Perception and Misperception in International Politics, Princeton, New Jersey (Princeton University Press), 1976.
  • [2]
    Cité dans Le Monde, 17 juin 2000.
  • [3]
    Cf. l’article de l’auteur, « Errements dans les relations France-Algérie », Maghreb-Machrek, 2008/3, n° 197, pp. 31-38.
  • [4]
    Nicole Grimaud, « Éléments pour l’interprétation des relations France-Algérie, ou à chaque président son Algérie… », Maghreb–Machrek, 2008/3, n° 197, pp. 61-66.
  • [5]
    L’auteur remercie le premier ambassadeur de France en Algérie, Jean-Noël Jeanneney, d’avoir apporté cette précision concernant l’utilisation du terme « repentance » par la radio algérienne en 1963.
  • [6]
    Libération, 15 février 2017.
  • [7]
    Le Point, 22 novembre 2016.
  • [8]
    Le Monde, 19 décembre 2012.
  • [9]
    Le Monde, 27 mars 2007.
  • [10]
    J.-P. Tuquoi, Paris-Alger, Couple infernal, Paris, Grasset, 2007, p. 26.
  • [11]
    « Pour l’ANDI, les investissements français en Algérie “restent faibles malgré les nouvelles opportunités” », Maghreb Émergent, 20 avril 2017.
  • [12]
    À l’heure où nous imprimons, ce déplacement était soumis à l’agenda du président Bouteflika (ndlr).

1Depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962, les relations entre l’Algérie et la France ont toujours été marquées par ce que l’on appelle dans le lexique anglo-saxon des misperceptions, ces fausses idées que l’on se fait de l’autre et qui relèvent d’un domaine étudié en psychologie [1]. Comme le concept de perception, la misperception se veut la réalité du conflit, une réalité difficile à inverser. Les conflits d’intérêts, en particulier, sont perçus comme impossibles à résoudre, chaque partie étant convaincue que toute action tentée par l’autre vise, en priorité, à attenter à ses propres intérêts. Lorsqu’une partie tente de convaincre l’autre de ses bonnes intentions, celles-ci sont paradoxalement interprétées comme une confirmation de la mauvaise foi et de la mauvaise intention de l’autre, qu’il soit un adversaire ou même un partenaire. D’où la difficulté d’établir des relations saines s’il n’existe pas de gestes concrets et de dialogue franc débarrassés des sous-entendus et des non-dits qui ne font qu’alimenter la misperception entre les deux partenaires. En fait, quelle que soit notre compréhension de ce que nous « mispercevons », ou de ce que notre adversaire est en train de « mispercevoir », nous devons montrer de l’empathie pour l’autre.

2Le terme de « partenaire » n’est pas choisi ici par hasard car l’Algérie et la France demeurent des partenaires et, même si elles ont des difficultés à se comprendre, sont dans l’impossibilité de divorcer. L’histoire, la géographie, la politique, les liens familiaux et amicaux, les échanges économiques et commerciaux, les relations culturelles, les menaces communes ne sont que quelques-uns des facteurs tangibles qui composent ce partenariat. En d’autres termes, les deux pays sont condamnés à s’entendre. Le président Houari Boumediene l’avait formulé avec justesse en 1974 : « Les relations entre la France et l’Algérie peuvent être bonnes ou mauvaises, en aucun cas elles ne peuvent être banales ». Et c’est à juste titre que son ancien ministre des Affaires étrangères et actuel président de la République, Abdelaziz Bouteflika, déclarait un an après son élection à la tête de l’État, en 1999, que « l’Algérie veut entretenir des relations extraordinaires, non banales, pas normales, exemplaires, exceptionnelles avec la France »[2]. Rien de plus logique, compte tenu de l’interpénétration des deux sociétés. Plus encore, les dimensions historique, géographique et culturelle sont des référents pérennes, tout particulièrement en ce qui concerne l’Histoire, ce qui faisait dire à Houari Boumediene que « la page d’Histoire avec la France, on la tourne, mais on ne la déchire pas ».

3Si les relations entre les deux pays n’ont été ni ne peuvent être ordinaires, il existe des deux côtés de la Méditerranée des tentatives répétées de banaliser les rapports franco-algériens, avec l’objectif affiché de dépassionner les relations bilatérales tandis que le but inavoué de cette approche semble d’ordinaire de chercher à contourner le défi d’une refondation audacieuse des relations entre les deux pays. L’instrumentalisation de leurs relations obéit à des considérations de politique intérieure et souvent à des contraintes indépendantes de la volonté des responsables des deux États, car il arrive qu’elle se perpétue alors même que les relations entre les deux capitales sont excellentes [3].

4Emmanuel Macron sera-t-il le président français qui réconciliera l’Algérie et la France ? Certains affirment que chacun de ses prédécesseurs a eu « son Algérie » [4] ; Macron aura-t-il aussi la sienne ? Si oui, en quoi sera-t-elle différente de celle des autres ? En arrivant au pouvoir, ceux-ci ne tenaient-ils pas, eux aussi, des propos annonciateurs d’une réconciliation véritable qui jetterait les bases d’un partenariat exceptionnel ? S’il est difficile de prévoir ce que seront les relations à l’avenir entre les deux pays, on peut d’ores et déjà avancer que les premiers pas du président Macron ont été perçus favorablement en Algérie car, avant même son élection, il a été plus loin que ses prédécesseurs sur la question de la mémoire, l’une des principales pierres d’achoppement dans les relations algéro-françaises.

La question de la mémoire, une plaie encore à vif

5Depuis fort longtemps, les Algériens réclament que la France présente ses excuses pour les atrocités commises durant la période coloniale (1830-1962). Précisons toutefois que les Algériens n’ont pratiquement jamais demandé la « repentance » de la France. Ce terme a été utilisé non par les autorités algériennes, mais par Nicolas Sarkozy alors qu’il était ministre de l’Intérieur. Une seule exception côté algérien : en 1963, un an après l’indépendance, lorsque la radio algérienne « exige » de la France qu’elle fasse sa « repentance » (touba) pour les crimes commis en Algérie [5]. En février 2017, lors de son séjour à Alger, trois mois avant son élection à la présidence française, Emmanuel Macron a évoqué la question de la mémoire de façon radicale, prenant le risque d’offusquer une partie de la classe politique française de droite comme de gauche. Le candidat Macron déclarait alors : « Je pense qu’il est inadmissible de faire la glorification de la colonisation (…) J’ai toujours condamné la colonisation comme un acte de barbarie. La colonisation fait partie de l’Histoire française. C’est un crime contre l’humanité ». Il a parlé d’excuses à présenter aux Algériens, une initiative que les hommes politiques français ont toujours refusé d’entreprendre. E. Macron a cependant écarté toute repentance culpabilisatrice et refusé qu’on « tombe dans la culture de la culpabilisation, sur laquelle on ne construit rien »[6].

6Cette position a été bien accueillie par les Algériens ; pourtant quelques mois auparavant, en novembre 2016, le candidat d’En Marche avait tenu un discours plus classique, ne s’écartant pas des positions de la classe politique française qui évoque les aspects « ombres et lumières » de la colonisation. « Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie »[7]. Cette versatilité dans les discours suscite la suspicion en Algérie quant aux véritables intentions du président français. En d’autres termes, les Algériens attendent de voir comment les déclarations sur la colonisation se traduiront dans les faits. François Hollande n’avait-il pas évoqué en décembre 2012, devant le Parlement d’Alger, « les souffrances que la colonisation a infligé au peuple algérien » et critiqué le système colonial « profondément injuste et brutal », tout en précisant qu’il n’était pas venu en Algérie faire repentance ou présenter des excuses [8] ? Pour les Algériens, peuple et dirigeants confondus, les responsables français refusent de s’excuser pour les méfaits de la colonisation alors même qu’ils n’ont pas hésité à le faire sous d’autres cieux. Le président Jacques Chirac avait dénoncé la violence coloniale à Madagascar en 1947 [9] ; il avait aussi encouragé la reconnaissance par l’État français du génocide arménien, mais toujours omis toute référence aux méfaits de la colonisation en Algérie.

7S’il existe une unanimité entre le gouvernement et le peuple algériens, c’est bien sur ce sujet : nul ne souscrit à l’idée selon laquelle la colonisation française en Algérie se voulait être une « mission civilisatrice » et que son objectif était le bien du peuple algérien. La question est évidemment de savoir si et pourquoi Emmanuel Macron serait différent de ses prédécesseurs. Il semblerait que les Algériens aient fort apprécié sa déclaration sur la colonisation d’autant plus que, même s’il a substitué a posteriori à l’affirmation de « crimes contre l’humanité » les termes moins juridiques de « crimes contre l’humain », il n’a pas retiré ses propos lorsqu’ils ont déclenché un tollé de réprobation de la part de la droite française. Cette position lui a déjà valu le titre d’« ami de l’Algérie » et une popularité d’autant plus grande qu’il était sévèrement critiqué par la classe politique en France.

8Il est cependant clair que les Algériens attendent de voir comment cette position se concrétisera dans l’avenir. Une analyse des messages officiels algériens montre bien que c’est sur cette question qu’Alger le jugera, et de sa sincérité que « le partenariat d’exception » à construire dépendra. Ainsi le discours d’Abdelaziz Bouteflika du 4 juillet 2017, à la veille de la célébration du 55e anniversaire de l’indépendance, contenait-il un message on ne peut plus explicite sur cette question de la mémoire : « L’Algérie et la France ont engagé la construction d’un partenariat d’exception qui se doit d’être mutuellement bénéfique et qui gagnera en sérénité et en élan dans une reconnaissance des vérités de l’Histoire. De tels rappels ne sont porteurs d’aucune haine, même si notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier, la France », a rappelé le président algérien. Une confirmation, s’il en était besoin, que les déclarations de Macron n’auront de valeur que si elles sont suivies de mesures concrètes. Il est difficile de prédire si le nouveau président français pourra, contrairement à ses prédécesseurs, surmonter les résistances internes qui ont empêché l’achèvement du « partenariat d’exception ». Comme l’a si bien dit un journaliste du Monde, « entre l’Algérie et la France… les poignards ne sont jamais loin. Comme chien et chat, les deux pays s’observent depuis 1962, soupçonneux et méfiants, dans l’attente du coup de patte qui viendra relancer la brouille et mettre à nu les plaies mal cicatrisées »[10].

Un partenariat d’exception

9Candidat puis président, Macron insiste sur le partenariat d’exception qu’il souhaite créer entre l’Algérie et la France. Lors de sa visite à Alger, en février 2017, le candidat à la présidence française précise qu’il envisage la création de projets communs dans trois secteurs prioritaires : l’éducation et la formation, l’économie, la culture. Sachant que la Chine est devenue le premier partenaire commercial de l’Algérie ces quatre dernières années, Macron a bien évidemment mis l’accent sur les projets économiques qui seraient mutuellement avantageux. Algérie et France devraient travailler ensemble pour conquérir les marchés européens, africains et même mondiaux. Il y a chez le président français une volonté de créer un axe Paris-Alger qui engloberait les divers secteurs géopolitique, économique et industriel de leurs relations. Il a montré un intérêt particulier pour le secteur des énergies renouvelables, en particulier le solaire où l’Algérie, a-t-il précisé, a « le plus grand potentiel au monde » et dans lequel les entreprises françaises pourraient jouer un rôle important – perspective attrayante s’il en est pour les Algériens qui souhaitent réformer leur économie et pour la France qui a proposé de les accompagner dans ce dessein.

10Concrètement, Alger se demande si les investissements français, aujourd’hui relativement peu importants, vont augmenter sous la nouvelle présidence. Depuis 2002, la France a investi dans un total de 165 projets en Algérie (hors hydrocarbures) pour un volume financier de 342 milliards de dinars (environ 340 millions d’euros), affirme Salim Branki, directeur d’études à l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI). [11] Les responsables algériens souhaitent que les opérateurs français soient plus présents, regrettent que nombreux soient les entrepreneurs étrangers qui se font une fausse idée de l’Algérie – méconnaissant les réformes entreprises comme le Code des investissements et la diversification de l’économie – et ont surtout pris conscience que les hydrocarbures ne sont plus déterminants dans la politique de réforme. Des deux côtés de la Méditerranée, on estime que le climat est favorable à un partenariat exceptionnel à tous les niveaux. La visite annoncée du président Macron en Algérie [12] devrait nous en dire davantage sur les divers projets à valeur de test pour l’avenir. Nul ne doute de la bonne volonté des deux partenaires pour bâtir cette coopération, mais le chemin pour y parvenir ne sera pas exempt d’embûches et de malentendus. L’affaire du Sahel en est un exemple concret.

Les rapports franco-algériens et les conflits régionaux

11La volonté de surmonter les malentendus propres aux relations entre les deux pays risque d’achopper sur les questions géopolitiques dans la région du Sahel et en Libye, sans oublier celle du Sahara occidental – autant d’affaires qui feront indubitablement apparaître les antagonismes entre les deux capitales.

12En 2013, l’Algérie avait aidé la France dans son intervention au Mali en lui laissant libre accès à son espace aérien. Mais la présence militaire française continue aux frontières méridionales de l’Algérie créée inévitablement des appréhensions. Emmanuel Macron qui, a montré un intérêt particulier pour le Sahel, a amorcé une politique qui gêne dans une certaine mesure la stratégie algérienne dans cette région. Malgré ses échanges avec Abdelaziz Bouteflika, le président français a sévèrement critiqué la politique algérienne au Mali, déclarant (le 19 mai 2017, ndlr) qu’il aurait « une exigence renforcée à l’égard des États du Sahel, mais aussi de l’Algérie » et précisant qu’on ne pouvait manifester de faiblesse à l’égard de groupes terroristes « quelles que soient les raisons politiques domestiques ». Il ne fait aucun doute qu’il visait par ses propos la relation qu’entretient l’Algérie avec le leader touareg d’Ansar Eddine, Iyad Ag Ghaly. En effet, il semble que les Algériens estiment avoir besoin de ce dernier pour arriver à une solution négociée au Mali qui n’exclurait que les groupes expressément dits terroristes. Certes, Ag Ghaly est proche d’Aqmi (al-Qaïda au Maghreb islamique, ndlr), mais il est aussi très ancré dans la communauté touarègue et pourrait servir de médiateur dans l’application du plan de paix signé à Alger en mai-juin 2015, un plan que la France souhaite voir appliquer dans les meilleurs délais.

13Cette déclaration publique de Macron a froissé les autorités algériennes qui ont investi des moyens considérables pour pacifier le nord du Mali. La politique de la France est autre. Elle a mis sur pied une force régionale composée de troupes tchadiennes, maliennes, mauritaniennes, burkinabées et nigériennes (le G5-Sahel) avec pour objectif la lutte contre les groupes jihadistes. Si le Conseil de sécurité a salué la création de cette force régionale africaine, il ne lui a pas délivré de mandat d’intervention militaire à cause de l’opposition des États-Unis, soutenus en cela par la Grande-Bretagne, pour des raisons principalement financières. À la France, quelque peu embourbée dans cette région, cet enlisement coûte cher. Or, la doctrine sécuritaire de l’Algérie rejette quant à elle toute participation à une force militaire conjointe, surtout lorsque celle-ci sort du cadre africain et a, de surcroît, été mise en place par l’ancienne puissance coloniale. Les décideurs algériens voient donc d’un mauvais œil la création du groupe G5-Sahel qui, selon eux, vise à isoler l’Algérie, d’autant plus qu’ils savent que rien ne peut se faire sans eux dans cette zone.

14Une question se pose : pourquoi le président français a-t-il voulu marginaliser l’Algérie au Sahel ? Les Algériens sont d’autant plus déconcertés par le fait qu’au début du mois de juillet, les ministres de l’Intérieur espagnol, portugais et marocain ainsi que l’ambassadeur de France en Espagne se sont retrouvés à Séville pour planifier une rencontre conjointe avec les pays du G5 avant la fin de l’année. Les Algériens ont notamment exprimé leur surprise face à la présence du Maroc, pays non sahélien. Emmanuel Macron n’ignore pas que les relations entre les deux pays voisins sont tendues et qu’une implication de Rabat dans les affaires sahéliennes avec l’appui de la France ne peut avoir qu’une influence négative sur les relations franco-algériennes. Pour les Algériens, cette affaire, ajoutée au soutien français aux thèses marocaines sur la question du Sahara occidental, ne fait que confirmer l’alignement français sur Rabat. Aux yeux de la majorité d’entre eux, l’ancienne métropole ne s’intéresse à l’Algérie que pour exploiter ses ressources. Les mêmes se souviennent qu’Emmanuel Macron a rompu dès la mijuin avec la tradition, instaurée par ses prédécesseurs, qui voulait qu’un chef d’État nouvellement élu se rende d’abord en Algérie avant d’effectuer une visite au Maroc.

15S’il est donc difficile d’imaginer ce que seront les relations franco-algériennes sous la présidence Macron, il est certain qu’il faudra beaucoup de volonté de part et d’autre pour dissiper les misperceptions qui ont de tout temps caractérisé les liens entre les deux pays. Il ne fait aucun doute non plus que le « partenariat d’exception » ne pourra se conclure qu’à partir d’une approche rationnelle de la mémoire et d’une politique qui tienne compte des intérêts géopolitiques et sécuritaires de l’Algérie dans son voisinage sahélien et libyen.


Date de mise en ligne : 03/10/2017

https://doi.org/10.3917/lcdlo.128.0037

Notes

  • [*]
    Yahia H. Zoubir est professeur de relations internationales et directeur de recherches en géopolitique à la Kedge Business School (Marseille). Il a publié plusieurs ouvrages sur le Maghreb, dont le dernier : North African Politics : Change and Continuity (New York, Londres, 2016).
  • [1]
    Voir l’ouvrage de référence de Robert Jervis : Perception and Misperception in International Politics, Princeton, New Jersey (Princeton University Press), 1976.
  • [2]
    Cité dans Le Monde, 17 juin 2000.
  • [3]
    Cf. l’article de l’auteur, « Errements dans les relations France-Algérie », Maghreb-Machrek, 2008/3, n° 197, pp. 31-38.
  • [4]
    Nicole Grimaud, « Éléments pour l’interprétation des relations France-Algérie, ou à chaque président son Algérie… », Maghreb–Machrek, 2008/3, n° 197, pp. 61-66.
  • [5]
    L’auteur remercie le premier ambassadeur de France en Algérie, Jean-Noël Jeanneney, d’avoir apporté cette précision concernant l’utilisation du terme « repentance » par la radio algérienne en 1963.
  • [6]
    Libération, 15 février 2017.
  • [7]
    Le Point, 22 novembre 2016.
  • [8]
    Le Monde, 19 décembre 2012.
  • [9]
    Le Monde, 27 mars 2007.
  • [10]
    J.-P. Tuquoi, Paris-Alger, Couple infernal, Paris, Grasset, 2007, p. 26.
  • [11]
    « Pour l’ANDI, les investissements français en Algérie “restent faibles malgré les nouvelles opportunités” », Maghreb Émergent, 20 avril 2017.
  • [12]
    À l’heure où nous imprimons, ce déplacement était soumis à l’agenda du président Bouteflika (ndlr).

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