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Article de revue

aHa Solitude

Pages 31 à 36

Notes

  • [*]
    Jacques Ruff est psychanalyste, membre de l’ecf.
  • [1]
    Freud S., « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin », Résultats, idées, problèmes, tome ii, Paris, puf, 1985, p. 266.
  • [2]
    Ibid., p. 243.
  • [3]
    Ibid., p. 244.
  • [4]
    Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre vi, « Le désir et son interprétation », leçon du 11 février 1959, inédit.
  • [5]
    Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre xvii, L’envers de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1991, chapitre ii.
  • [6]
    Actéon, lors d’une chasse, surprend la déesse Diane se baignant nue dans une source. Furieuse, elle le transforme en cerf, et Actéon meurt dévoré par ses propres chiens (cf. Ovide, Les Métamorphoses, Paris, Flammarion, 1993).
  • [7]
    Freud S., « La féminité », Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse, Paris, Gallimard, 1984, p. 173.
  • [8]
    Lacan J., « Conférence à Genève sur le symptôme », Le Bloc-notes de la psychanalyse, n° 5, 1985, p. 23.
  • [9]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xvii, L’envers…, op. cit., p. 107.
  • [10]
    Millot C., O Solitude, Paris, Gallimard, 2011.
  • [11]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xxiii, Le sinthome, Paris, Seuil, 2005, p. 144.
  • [12]
    Ibid., p. 146.
  • [13]
    Hudson W. H., Un flâneur en Patagonie, Paris, Payot, 2002.
  • [14]
    Cf. « Reponse de Jacques Lacan a une question de Marcel Ritter », Lettres de l’École freudienne de Paris, n° 18, 1976.
  • [15]
    Lacan J., « La Troisième », La Cause freudienne, n° 79, octobre 2011, p. 29.
  • [16]
    Lacan J., Le phénomène lacanien, conférence du 30 novembre 1974, tiré à part des Cahiers cliniques de Nice, 2011, p. 23
  • [17]
    Lacan J., « L’étourdit », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 465.
  • [18]
    Lacan J., Le phénomène lacanien, op. cit., p. 23.
  • [19]
    Ibid., p. 10.
  • [20]
    Poe E., « Une descente dans le maelström », Histoires extraordinaires, Paris, Flammarion, 1993.
  • [21]
    Cf. Lacan J., « L’étourdit », op. cit., p. 449-495.
  • [22]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xxiii, Le sinthome, op. cit., p. 37.

Le refus de la féminité pour les deux sexes

1Quel rapport y a-t-il entre solitude, devenir femme et fin de cure ?

2Dans son texte de 1937, « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin », Freud se pose la question de la fin de la cure. Son texte aboutit à un constat d’impasse bien connu : celui du roc de la castration qui s’enracine dans le « refus de la féminité » [1] pour les deux sexes. Cette formulation est étonnante car elle ne tient pas compte d’une autre conclusion du même texte, celle où Freud rappelle qu’une analyse doit assurer la domination sur les pulsions, bien qu’elle n’y parvienne que partiellement : il y a « presque toujours des manifestations résiduelles » [2], et « des restes des fixations libidinales antérieures qui peuvent être maintenues jusque dans la configuration définitive » [3]. Cette conception freudienne de la fin d’une analyse, référée au féminin, mais omettant le reste pulsionnel, met en évidence la butée freudienne.

3Lacan nous permettrait déjà une autre formulation, qui tient compte de la différence sexuelle : l’avoir sans l’être pour l’homme et l’être sans l’avoir pour la femme [4]. Mais ce n’est qu’avec un effort de formalisation et de logification qu’il avancera dans cette réflexion. C’est avec une écriture, celle du discours de l’hystérique [5], qu’il mettra en rapport ce qui était disjoint dans le texte de Freud.

Le discours hystérique et le refus du corps

4Partons du début de cette écriture, $/a, noyau hystérique de toutes névroses. $, le sujet du signifiant, désigne le manque-à-être, sujet vide de jouissance, agent du discours. Petit a, au contraire, désigne l’être actif, pulsionnel, ce reste dont nous parlions, que Lacan met en place de vérité. Cette écriture rend lisible l’opération qui travaillait le texte de Freud. Ainsi, le refus de la féminisation pour les deux sexes trouve sa vérité dans l’objet a.

5Ce discours permet de rappeler d’autres points en rapport avec notre sujet. Le savoir produit, S2, est impuissant à rendre compte de a. Cette béance entre S2 et a, niée inlassablement, maintient la croyance en un Autre sans faille qui détiendrait le savoir sur ce qu’est La femme qui cause le désir de l’homme. Le fantasme pourrait apporter ce savoir. Malheureusement, il n’est que le semblant dont l’homme s’arrange pour suppléer au réel du non-rapport sexuel. En pensant jouir du corps d’une femme, c’est en fait de son organe, dit Lacan, dont il jouit. De toute façon, par rapport à la revendication obstinée d’un savoir sur cette jouissance absolue qu’elle croit atteignable, les hommes ne peuvent être que des petits joueurs. Ils n’offrent qu’une jouissance comptable. En exhibant un désir insatisfait, $, qui peut aller jusqu’au refus de tout partenaire, c’est en fait une jouissance qui s’exhibe : celle de croire que ce savoir est possible. Actéon pourrait apporter une illustration comique [6]. Supposons qu’il existe un homme tel qu’Actéon qui approcherait de Diane, la vérité toute nue, au-delà du voile. Qu’obtiendrait l’hystérique ? Elle aurait affaire, dit le récit, à quelqu’un qui aurait perdu la parole puisqu’il en serait resté tout bête.

6Le début du discours hystérique nous enseigne que l’hystérie est un abri. Déjà, dans les Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse, en 1932, Freud écrivait que : « sous l’influence de l’envie du pénis la petite fille est expulsée de la liaison à sa mère et elle se hâte d’entrer dans la situation œdipienne comme dans un port » [7]. L’abri du port phallique, $, même insatisfaisant, lui permet de se protéger non seulement d’une fixation ravageante à la mère mais aussi de se garder des risques de la haute mer pulsionnelle, petit a. Le ravage n’est donc pas tant du côté du phallus que du rapport à l’objet petit a. C’est la thèse de Lacan : « Contrairement à ce qu’on croit, le phallocentrisme est la meilleure garantie de la femme. Il ne s’agit que de ça. La Vierge Marie avec son pied sur la tête du serpent, cela veut dire qu’elle s’en soutient. » [8]

7N’est-ce pas ce qui porte Lacan à préférer parler de « refus du corps » plutôt que de refus de la féminité ? En effet, le sujet hystérique est « celui qui se refuse à s’en faire le corps » [9], à se faire le corps de la jouissance. Elle n’a pas de corps puisqu’elle doit passer par celui d’un homme auquel elle s’identifie pour maintenir son questionnement.

8Cette écriture, $/a, pourrait s’illustrer d’une anecdote soufie : un cavalier allait de village en village, en pleine nuit, à bride abattue. Il réveillait les habitants de chaque bourg, pour leur demander s’ils avaient vu son cheval. Personne n’osait lui répondre qu’il était assis dessus tellement c’était évident. De même, l’hystérique cherche sa féminité alors que celle-ci la porte. Ne suffirait-il pas qu’elle consente à un petit déplacement : le passage de cet objet de la place de vérité à la place de l’agent ? En somme, la vérité ignorée, c’est-à-dire le reste pulsionnel refusé, en passant de dessous à dessus, offre à celle qui y consent une assise toute différente.

9C’est ainsi que la question de la féminité rencontre le discours de l’analyste. Lacan fait du consentement, de cette plasticité à se faire cause du désir d’un autre, le point de rapprochement entre la position féminine et celle du psychanalyste. C’est là la première raison du titre. Le H d’hystérie est entre un objet a refusé et un objet a consenti comme condition d’accès à la position féminine. Mais il y a une deuxième raison. Lacan, dans son effort d’écriture, fait un pas de plus. Il sort de la logique des discours pour reprendre cette question avec les nœuds. La lettre grand H marque le partage entre deux élaborations de l’objet petit a. Y adjoindre Solitude n’est pas uniquement un rappel du livre récent de Catherine Millot [10]. Les nœuds construisent un corps en référence à la solitude.

Le corps n’a de statut respectable que de ce nœud

10On peut être surpris par l’évidence avec laquelle Lacan fait entendre, en 1977, que c’est l’hystérie qui l’a amené aux nœuds. Pourtant, l’hystérie fut bien dès le départ de la psychanalyse la voie royale pour aborder la jouissance du corps. Mais avec les nœuds, Lacan ne part plus du sujet désirant, $, qui trouve son complément dans l’objet a. Il part d’une jouissance du corps, non pas celle du corps du miroir ni celle qui est prise dans les défilés du signifiant, mais celle qui se produit du seul fait que la vie en nous est affectée par le langage. Il y a de ce point de vue une biologie lacanienne, comme l’a formulé Jacques-Alain Miller. Le fait d’avoir un corps, la corporisation, est le résultat de l’incidence du langage sur l’organisme. Le langage parasite le savoir naturel de l’organisme et produit un effet de jouissance sur le corps. Cet effet de jouissance constitue le nouveau paradigme. On ne peut donc plus se contenter de parler du ravage chez une femme à partir de l’identification des acteurs et agents incontournables que sont un homme et une mère. Le ravage est dû essentiellement à l’incidence du langage sur le corps, à son effet de jouissance.

11On s’était orienté pour l’hystérie sur le sens du symptôme. Quand Lacan aborde l’hystérie par les nœuds, il nous dit que le sens est du chiqué. C’est une autre manière de reprendre le mensonge hystérique. Les nœuds sont un « appui à la pensée » [11] pour sortir de nos représentations du corps qui ne tiennent pas compte du réel. Le corps nécessite une approche par un « composé trinitaire » [12] : imaginaire, symbolique et réel. D’autre part, le corps comme les nœuds résultent d’une opération à produire. Il ne suffit pas de naître pour avoir un corps. De même, l’image statique du nœud, son visuel, fait oublier la fabrication du nœud lui-même, c’est-à-dire le fait de lier ensemble trois catégories qui n’ont pas de rapport entre elles. Autrement dit, le rapport au corps, à ce corps qui se jouit, le rapport d’une femme à son corps donc, ne sera jamais simple.

12Le nœud est une écriture qui se libère du sens et d’une référence à la vérité propre à la clinique du désir. Le sens, la jouissance du sens, n’est sur le nœud qu’une des trois jouissances qui advient de l’incidence du langage sur le corps. Il y a la jouissance phallique, à l’intersection R / S, hors de l’imaginaire mais articulée au langage. C’est là que nous pouvons situer l’enseignement lacanien sur l’abri du phallocentrisme. L’imaginaire du corps prend appui sur le phallus hors corps, comme la Vierge Marie sur le serpent. Mais, c’est en fait avec la jouissance de l’Autre, à l’intersection I / R, que nous avons une précision nouvelle. Autant les deux jouissances précédentes mettaient en rapport la jouissance avec le symbolique, autant celle-ci est hors du symbolique. Elle n’est pas communicable et rend celle qui l’éprouve étrangère à elle-même. C’est là que Lacan situe la différence entre la position hystérique et la position féminine. Cette jouissance de l’Autre serait spécifique aux femmes. Qu’elle ne soit pas communicable peut produire un effet de solitude angoissante, un égarement, mais aussi un effet d’allégement du poids des mots, du parasitage langagier. Trouver un espace où s’alléger du poids des mots qui divisent (ce que ne veut pas l’insatisfaction hystérique), c’est savoir quitter l’abri du port phallique, l’appui sur l’impuissance du père ou sur le corps de l’Autre femme, pour des terres inconnues. C. Millot fait référence au livre de William Henry Hudson, Un flâneur en Patagonie[13]. Les espaces infinis de la Patagonie donnent l’image d’une solitude vaste et apaisée.

13Chaque jouissance est un composé binaire externe à une catégorie. L’objet a, au centre du nœud, est le seul lieu qui comporte les trois dimensions et sur lequel se branchent ces trois jouissances. Lacan dira que cet objet a est un trou fermé et fera l’analogie avec l’ombilic du corps. C’est donc autour de cet objet a que s’ombilique le corps de chacun et que se creuse une différentiation des jouissances qui adviennent au corps comme énonciation vivante. Cette nouvelle approche [14] ne fait plus de l’objet a le reste de l’opération symbolique comme dans les paradigmes précédents. Le langage ne peut que mentir sur cette jouissance centrale, cette lalangue de jouissance – que les jouissances qui la bordent peuvent seulement cerner, serrer, densifier.

La solitude : se réduire à son corps

14Deux interventions de Lacan, entre octobre et novembre 1974, développent cette nouvelle approche de l’objet a. La première a lieu à Rome, la deuxième à Nice. À Rome, dans « La Troisième », il met à nouveau en rapport l’angoisse et l’objet a. « L’angoisse, justement, se situe ailleurs que la peur dans notre corps. C’est le sentiment qui surgit de ce soupçon qui nous vient de nous réduire à notre corps. » [15] Nous réduire à notre corps, corps dont le noyau serait l’objet a au centre du nœud, voilà ce qui serait la nouvelle formulation de l’angoisse qui ne trompe pas pour repérer la jouissance. Mais l’objet a n’est plus un objet hétérogène qui ferait intrusion dans le corps symbolique ou imaginaire. Ce n’est plus l’angoisse productrice d’un objet cause du désir, objet séparé, prélèvement corporel, à chercher dans l’Autre ou à s’en débarrasser dans l’Autre par le transfert. L’objet a, comme composé ternaire au centre du nœud produit un sentiment qui surgit d’un soupçon. Le soupçon indique que nous n’en avons pas une preuve directe ni une certitude mais une présomption. C’est l’ombre d’un soupçon comme on dit. Il ne peut en résulter qu’un « senti-ment » [16] qui rappelle qu’on s’embrouille avec les nœuds. Ce composé ternaire troue les appuis habituels. De plus, parler de soupçon à propos de cet objet a indique bien que nous avons affaire à quelque chose de réduit. Un soupçon de quelque chose, ce n’est en effet pas grand-chose, c’est ici un soupçon de corps.

15D’autre part, le fait de se réduire, indique, par la forme du verbe réfléchi, que ce n’est pas quelqu’un d’autre qui nous réduit. Pour l’entendre du point de vue d’une femme, ce n’est pas un homme qui la réduirait à son corps. C’est au terme d’une analyse qu’elle se réduirait elle-même à ce point. En somme, plus on identifie ces trois jouissances, plus se réduirait et se densifierait ce point central. Plus ce point central se serrerait, moins il servirait à l’Autre et plus il servirait au mode de jouissance propre à ce corps. Se réduire, c’est n’être que ça. C’est un « tu es cela » qu’on se dit à soi-même. C’est en somme obtenir par ce serrage un soupçon de « substance » [17] qu’elle n’a plus à attendre de l’Autre. Ce soupçon de nous réduire à notre corps en rapport avec l’objet a est donc à distinguer de la jouissance de l’Autre dont on se serait contenté pour spécifier la jouissance d’une femme. C’est comme s’il fallait, pour aborder le corps qui se jouit, celui d’une femme nommément, faire encore la différence entre les jouissances construites sur un mode binaire et ce noyau de jouissance à caractère ternaire.

16À Nice, Lacan avançait encore ceci : « l’homme […] aime son image comme ce qui lui est le plus prochain, c’est-à dire son corps. Simplement son corps, il n’en a strictement aucune idée. Il croit que c’est moi. Chacun croit que c’est soi. C’est un trou. Et puis dehors, il y a l’image. Et avec cette image, il fait le monde. » [18] L’approche du corps par l’objet a comme trou, comme triple trou, éloigne définitivement du narcissisme et de la logique du manque. Lacan ajoutait encore ceci : « ce dont il s’agit dans l’effet de toute culture, au fond du fond du tourbillon, je veux dire ce qui fait cause – eh bien, c’est un déchet. […] Être un déchet est ce à quoi aspire sans le savoir quiconque est un être parlant » [19]. En effet, l’objet a comporte non seulement un trou, par sa dimension symbolique, mais aussi une consistance imaginaire qui peut en effet prendre la figure d’un tourbillon qui aspire. C’est comme si ces trois dimensions se mettaient à tourner pour produire un tourbillon. C’est l’effet aspirant d’un tourbillon, d’un vortex, nœud d’angoisse et de jouissant, illustré par le texte d’Edgar Poe, « Une descente dans le maelström » [20], auquel se réfère C. Millot dans O Solitude. Mais Lacan indique qu’à l’imaginarisation de l’objet a par le tourbillon, il faut ajouter la dimension réelle de l’objet. C’est par le déchet, soit ce qui chute de toute utilité pour l’Autre, que Lacan l’aborde. On peut y trouver un accent taoïste au sens où le sage veut être cet arbre qui ne sert à rien. Il ne veut pas être un arbre utile pour l’Autre. Si une femme peut à un moment aspirer à ne servir à rien, c’est parce qu’elle aspire à faire un lien autre. Elle peut en effet tenter d’y parvenir pour peu que son partenaire, s’il lui assure le semblant de l’abri phallique qui la fait désirable, consente aussi à ce que cette Autre jouissance puisse ex-sister[21]. Si le « corps n’a de statut respectable […] que de ce nœud » [22], on pourrait avancer alors qu’une femme aura d’autant plus droit au respect qu’elle aura consenti à s’approcher parfois de ce moment qui la réduit à son corps.

Notes

  • [*]
    Jacques Ruff est psychanalyste, membre de l’ecf.
  • [1]
    Freud S., « L’analyse avec fin et l’analyse sans fin », Résultats, idées, problèmes, tome ii, Paris, puf, 1985, p. 266.
  • [2]
    Ibid., p. 243.
  • [3]
    Ibid., p. 244.
  • [4]
    Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre vi, « Le désir et son interprétation », leçon du 11 février 1959, inédit.
  • [5]
    Cf. Lacan J., Le Séminaire, livre xvii, L’envers de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1991, chapitre ii.
  • [6]
    Actéon, lors d’une chasse, surprend la déesse Diane se baignant nue dans une source. Furieuse, elle le transforme en cerf, et Actéon meurt dévoré par ses propres chiens (cf. Ovide, Les Métamorphoses, Paris, Flammarion, 1993).
  • [7]
    Freud S., « La féminité », Nouvelles conférences d’introduction à la psychanalyse, Paris, Gallimard, 1984, p. 173.
  • [8]
    Lacan J., « Conférence à Genève sur le symptôme », Le Bloc-notes de la psychanalyse, n° 5, 1985, p. 23.
  • [9]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xvii, L’envers…, op. cit., p. 107.
  • [10]
    Millot C., O Solitude, Paris, Gallimard, 2011.
  • [11]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xxiii, Le sinthome, Paris, Seuil, 2005, p. 144.
  • [12]
    Ibid., p. 146.
  • [13]
    Hudson W. H., Un flâneur en Patagonie, Paris, Payot, 2002.
  • [14]
    Cf. « Reponse de Jacques Lacan a une question de Marcel Ritter », Lettres de l’École freudienne de Paris, n° 18, 1976.
  • [15]
    Lacan J., « La Troisième », La Cause freudienne, n° 79, octobre 2011, p. 29.
  • [16]
    Lacan J., Le phénomène lacanien, conférence du 30 novembre 1974, tiré à part des Cahiers cliniques de Nice, 2011, p. 23
  • [17]
    Lacan J., « L’étourdit », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 465.
  • [18]
    Lacan J., Le phénomène lacanien, op. cit., p. 23.
  • [19]
    Ibid., p. 10.
  • [20]
    Poe E., « Une descente dans le maelström », Histoires extraordinaires, Paris, Flammarion, 1993.
  • [21]
    Cf. Lacan J., « L’étourdit », op. cit., p. 449-495.
  • [22]
    Lacan J., Le Séminaire, livre xxiii, Le sinthome, op. cit., p. 37.
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