L’ambivalence de la notion de vulnérabilité nuit à son intérêt, qui est d’une part de faire contrepoids à l’exaltation de l’autonomie quand il s’agit du malade, et d’autre part de mettre l’accent sur la sensibilité nécessaire du soignant pour apprécier correctement la singularité des situations. Elle amoindrit la puissance thérapeutique, laquelle intègre comme une de ses composantes essentielles une puissance de recevoir et pas seulement celle d’agir sur un malade-patient.
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