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Article de revue

Lorsque l’institution supposée combattre les maltraitances devient maltraitante !

Pages 65 à 72

1 Le code de l’action sociale et des familles encadre, en partie, la prise en charge des usagers du secteur social et médico-social, et plus spécifiquement le respect de ces personnes dans l’article 7 de la loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale :

2 « L’exercice des droits et libertés individuels est garanti à toute personne prise en charge par des établissements et services sociaux et médicosociaux. Dans le respect des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, lui sont assurés : 1) Le respect de sa dignité, de son intégrité, de sa vie privée, de son intimité et de sa sécurité [1] ;… ». De plus, dans l’article 12 de l’arrêté du 8 septembre 2003 relatif à la charte des droits et libertés de la personne accueillie, mentionnée à l’article L.311-4 du code de l’action sociale et des familles, nous retrouvons la mention du respect de la dignité de la personne et de son intimité : « Le respect de la dignité et de l’intégrité de la personne est garanti. Hors la nécessité exclusive et objective de la réalisation de la prise en charge ou de l’accompagnement, le droit à l’intimité doit être préservé [2]. » Ainsi, la loi prévoit le respect de l’espace privé, mais laisse toute liberté quant à l’interprétation et la mise en application.

3 Travailler dans le milieu du social demande de savoir-faire preuve d’empathie tout en trouvant la bonne distance, nous essayons chaque jour d’accompagner au mieux les personnes accueillies avec les moyens mis à notre disposition. Leurs parcours sont souvent chaotiques. En tant qu’éducateur ou futur éducateur, on pense que l’institution est là pour les « protéger », et non pour reproduire les maltraitances qu’ils ont pu subir, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’enfants.

4 Au cours de mes trois années de formation d’éducatrice de jeunes enfants, j’ai été amené à voir l’enfant comme une personne et non comme un objet. J’ai aussi pu appréhender l’importance de la référence. Ainsi, j’ai découvert des structures dans lesquelles le bien-être de l’enfant est au cœur du projet et des pratiques, s’appuyant notamment sur les travaux du docteur Pikler (David et Appell, 2014). L’enfant est un être sensible qui sent et comprend ce qui l’entoure. Les professionnels utilisent plusieurs outils afin d’avoir l’adhésion de l’enfant dans son accompagnement. Notamment, l’observation pour connaître l’enfant et pouvoir ainsi s’appuyer sur ses capacités et adapter la prise en charge à ses besoins. Ainsi que la verbalisation des actions afin de donner à l’enfant l’opportunité d’anticiper et de participer. La référence permet aux professionnels d’avoir une connaissance accrue des enfants et de leur capacité. Cela leur offre une stabilité et leur permet de créer ainsi une relation privilégiée. La recherche par les professionnels de l’adhésion de l’enfant lors des soins semble transformer ces temps en moments de plaisir et d’échanges. Ainsi, l’enfant et le professionnel apprennent à se connaître, créant une relation privilégiée. Sans forcer l’enfant et en respectant ses désirs, le professionnel verbalise ses actions et s’appuie sur ses acquis.

5 La question du respect de l’intimité physique des enfants tient une place importante dans le quotidien des professionnels intervenant auprès du jeune enfant. En effet, sa prise en charge, induit, de fait, d’entrer dans son intimité. Afin d’être le moins intrusif possible et de respecter les ressentis de l’enfant, il est donc important de penser les moments de change et de soin. Il s’agit de limiter le nombre de personnes qui sont amenées à pratiquer ces actes, et de leur donner le maximum d’intimité en les pratiquant à l’abri des regards (ce n’est pas un spectacle auquel chacun peut être convié). L’enfant va ainsi assimiler la notion de pudeur. Il l’acquiert progressivement en grandissant, avec la prise de conscience de son propre corps. La société incite à observer, à cacher ou à montrer certaines parties du corps ou certaines informations sur la vie privée. Cela définit la pudeur, ainsi elle sera différente en fonction du moment et de la culture. Les jeunes enfants aiment être nus, ils peuvent ainsi évoluer librement, sans entraves. Les adultes vont leur apprendre à préserver leur intimité, à se protéger du regard de l’autre. Au cours de leur développement, ils vont aller à la découverte de leur corps et apprendre que certaines choses se font en privé. Leur corps est leur propriété et avec l’acquisition de la propreté, l’adulte pénétrera de moins en moins dans leur intimité.

6 Tout cela est à mon sens, transposable aux individus plus âgés, adolescents ou adultes, qui de par leur handicap peuvent être dépendant de l’autre pour les gestes du quotidien. Certains enfants, en raison de leur handicap, n’acquerront jamais l’autonomie nécessaire leur permettant de choisir ceux qui pourront pénétrer dans leur espace privé. Ils seront, jusqu’à la fin de leur vie, dans l’obligation de laisser ceux qui sont chargés d’accomplir ce qu’ils ne peuvent faire s’introduire dans leur intimité. Une relation intime se crée alors par nécessité. D’un côté, un individu dépendant des autres dans son quotidien, devant ouvrir son espace privé. Et de l’autre, un professionnel qui par son choix d’un métier se retrouve embarqué dans l’univers intime d’un tiers. Les personnes dépendantes n’ont pas d’autre choix que d’accorder leur confiance à ceux qui sont à leurs côtés. Cette intimité est de fait déséquilibrée. La personne dépendante se dévoile totalement à l’autre. Elle se met à nu au sens propre comme au sens figuré. Le professionnel connaît les détails de sa vie et la dévêt chaque jour, plusieurs fois dans la journée et pratique les soins sur ce corps « soumis ». Alors que le professionnel de par son statut et son rôle n’a pas à partager son intimité.

7 Dans cette relation, le toucher prend une part importante qui implique, de fait, les deux parties. En effet, on ne peut toucher l’autre sans se laisser toucher par lui. Comment composer avec l’interdit du toucher que la plupart des personnes acquièrent dès la plus tendre enfance ? Cet interdit, qui est fortement ancré dans la culture via notre éducation, protège contre les pulsions (agressives et sexuelles). Et comment, lorsque l’on est dépendant de l’autre depuis la naissance, acquérir cet interdit du toucher, lorsque le toucher fait partie intégrante du quotidien ? Le professionnel doit se défaire de cet interdit, pour ce faire, certains peuvent envisager ces gestes comme mécaniques, déshumanisés ou tout au moins dénués de sentiment. La personne dépendante semble alors devenir une « poupée » qui ne peut ressentir ou renvoyer d’émoi. Comme si seule l’intention du geste pouvait déterminer les émotions qu’il peut provoquer. Ayant tout cela en tête et forte de mes valeurs, je concevais les moments de soins dans l’échange, l’écoute et le respect de l’autre. Pourtant, au cours d’un stage, j’ai été maltraitante ! Certes, c’est l’institution qui, par manque de moyens et en raison d’une organisation des plus chaotique, génère de la maltraitance institutionnelle. Les professionnels au sein de cette structure ont le sentiment d’être malmenés, de n’être que des pions aux mains des cadres. Des pions sans volonté propre, interchangeables à souhait et que l’on presse jusqu’à épuisement. Leur quotidien semble parfois dénué de sens, rempli de demandes contradictoires. Ils semblent reporter de manière inconsciente cette maltraitance sur les enfants.

8 La professionnelle, qui en l’absence de ma tutrice m’accompagnait dans une prise en charge, m’a poussé à cette maltraitance. Mais le fait est là, cette jeune fille de 15 ans malgré tous les problèmes rencontrés par l’institution comptait sur nous pour être traitée avec respect. Nous avons beau défendre certaines valeurs, nous ne sommes jamais à l’abri d’un dérapage. En tant que stagiaire, je n’ai pas su ou pu soutenir cette enfant et lui éviter la violence d’un change. Pire encore, j’en ai été l’acteur !

9 Marie est une jeune fille de 15 ans, elle souffre d’hypoplasie du corps calleux. Elle ne s’exprime que par des cris et des mouvements du corps. Ainsi, lorsqu’elle n’est pas d’accord, elle peut utiliser des gestes compréhensifs (comme arrêter un geste avec ses mains, croiser les jambes…). C’est une jeune fille très en retrait, la plupart du temps elle reste assise sur le canapé de l’unité, qui est son lieu de vie, sans bruit, sans mouvement, le regard dans le vide. On pourrait presque l’oublier.

10 Cela faisait un peu plus d’une semaine que je me trouvais sur l’unité, j’avais été en observation, assise la plupart du temps sur le canapé aux côtés de Marie et d’autres enfants. Je restais sur l’espace de vie avec les enfants qui marchaient et ceux dont la toilette avait été faite, nous écoutions des comptines, ce qui était l’occasion de nommer certaines parties du corps. J’avais pour mission de les « contenir » pendant que les professionnels s’occupaient des autres. D’une certaine façon, Marie m’avait adopté, elle réagissait à mes mouvements au sein de l’unité ou me collait (comme pour entrer en moi). En fin de semaine, elle me suivait lorsque je changeais de pièce, en m’agrippant. Le matin, lorsque j’arrivais, elle se levait et me prenait dans ses bras en sautillant, poussant de petits cris. Alors tout naturellement, lorsqu’une professionnelle m’a demandé quel enfant je souhaitai prendre en charge pour le reste de mon stage, j’ai proposé Marie. Toutefois, ce stage était mon premier contact avec des enfants polyhandicapés et le monde du handicap de manière générale. J’ai donc demandé à cette professionnelle de m’accompagner lors du premier change. De plus, en formation d’éducateur de jeunes enfants, j’étais davantage habituée aux moins de trois ans qu’aux adolescents. J’avais peur de mal faire, d’une certaine façon d’être maltraitante. Avoir une professionnelle à mes côtés me rassurait. Je pensais pouvoir apprendre de son expérience, de ses pratiques. J’imaginais qu’elle pourrait me guider dans l’accompagnement de cette enfant que je connaissais peu et dont elle s’était si souvent occupée. Comme tout stagiaire nouvellement arrivé, je cherchais, dans un sens, un modèle sur lequel m’appuyer.

11 La sieste était finie, je suis donc allée chercher Marie dans sa chambre. Je lui ai expliqué que j’allais m’occuper d’elle. Je lui ai demandé de venir avec moi pour changer sa protection. Elle m’a tout de suite suivi. Nous sommes entrées dans la salle de bain. Elle avait fait des selles et avait joué avec. En attendant la professionnelle, j’ai donc commencé par l’aider à se laver les mains. La professionnelle est entrée, a ouvert la porte en grand et l’a bloquée avec une cale. Ensuite, j’ai aidé Marie à enlever son pantalon, puis je lui ai enlevé sa protection. Marie était debout face aux meubles, les jambes croisées. La professionnelle était debout à côté d’elle sur sa gauche. J’étais à sa droite, debout un gant de toilette à la main. Tout en lui parlant, je l’ai nettoyé comme j’ai pu, mais elle en avait partout sur les parties génitales. Me trouvant derrière elle, je verbalisai chacun de mes gestes afin qu’elle ne soit pas surprise. La professionnelle demandait à Marie de ne pas bouger, sur un ton énervé et peu rassurant. « Arrête de bouger Marie ! Mais Marie ce n’est pas possible, tu dois arrêter tout de suite ! » Ses paroles me mettaient mal à l’aise, je me disais « Ce n’est pas grave si elle bouge, ça n’entrave en rien mon action… » Mais je n’osai le dire tout haut. La professionnelle semblait pressée d’en finir. Puis elle m’a demandé de la nettoyer devant. Je l’ai alors questionné sur la marche à suivre.

12 En effet, comment nettoyer quelqu’un contre son gré ? Marie signifiait clairement qu’elle ne désirait pas être touchée, elle croisait les jambes et me repoussait sans cesse. Elle m’a alors dit : « Je vais la tenir et toi tu dessers ses jambes et tu nettoies. Par contre, il faut faire vite, elle n’aime pas ça. » Elle l’a donc enserré et je me suis exécutée sans broncher. Après tout, je n’étais que stagiaire ! Pendant tout le temps qu’a duré cette toilette, je me suis sentie gênée, je n’ai pas prononcé un mot. La professionnelle la tenait fermement et répétait sans cesse « Force le passage ! », « Vite ! Vite ! » Et à l’attention de Marie « Pourquoi bouges-tu autant ? On est des filles, on ne va rien te faire, tu n’as rien à craindre ! » Ou encore : « C’est pour ton bien ! » Et à mon adresse : « Si on ne lave pas correctement, il y a des risques d’infection. » Marie criait et se débattait !

13 Après cette scène, je me suis promis, plus jamais cela ! Quelles que soient les circonstances, rien ne peut justifier une telle prise en charge. J’étais en colère contre moi pour ne pas avoir réussi à exprimer mes ressentis. Par la suite, j’avoue avoir fui la prise en charge de Marie. Le lendemain, j’ai accompagné un autre enfant à l’extérieur. En rentrant, j’ai proposé de le suivre jusqu’à la fin de mon stage. Toutefois, le manque de personnel m’a conduite à changer Marie à d’autres reprises. Je l’ai fait seule, sans contention et la porte fermée. Je lui ai parlé pendant tout le change. Je lui ai proposé le gant afin qu’elle se lave seule avec mon aide, mais elle a refusé. J’ai tenté de ne pas la brusquer, de rester à son écoute. Je ne comprenais pas toujours ce qu’elle tentait de me dire. Mais, tout s’est bien passé, elle desserrait légèrement les jambes, juste assez pour que le gant accomplisse sa tâche.

14 Entrer dans l’intimité d’un adolescent, même si son handicap l’a conduit toute sa vie à dépendre de l’autre et l’accepter dans son espace intime, me semble davantage empreint de crainte et d’appréhension. Certes, ils ont une certaine habitude du regard de l’autre et des mains de l’autre qui effectuent les gestes qu’ils ne peuvent faire. Mais les modifications subies par le corps au moment de la puberté entraînent de nouveaux désirs, de nouvelles émotions qui existent malgré le handicap. Même si beaucoup, parents et professionnels, ont des difficultés à imaginer les personnes polyhandicapées comme des êtres sexués capables d’éprouver du désir pour autrui, cela est une réalité avec laquelle les professionnels doivent composer. Comme tous les adolescents, ils vont à la découverte de leur corps, mais ils font preuve de beaucoup moins de pudeur, plus comme pourrait le faire un enfant de trois ans. Il n’est donc pas rare que certains expriment leur désir en se masturbant publiquement ou en se frottant aux autres. La puberté et son chapelet d’émotions les habitent tout autant que les autres adolescents. Le nier ne les rendra pas moins sensibles. Faire une toilette à une autre personne n’est pas un acte anodin en soi. Il l’est d’autant moins lorsqu’il est pratiqué sur des individus qui n’ont pas le choix, qui peuvent se sentir piégés dans un corps dont ils ne maîtrisent pas toujours les mouvements.

15 Le témoignage de Marcel Nuss sur son adolescence me semble mettre des mots sur le vécu de Marie et bien d’autres, qui eux ne peuvent exprimer leurs ressentis. Au cours d’un colloque au Parlement européen de Strasbourg en avril 2007, il évoque ses émotions d’adolescent, parle de ces moments partagés qu’il a parfois vécus comme des « viols involontaires » de son intimité. Il est polyhandicapé depuis la naissance et n’a pas d’autre choix que d’accepter l’autre dans son intimité sexuelle. Il partage son sentiment d’avoir été dépossédé de son propre corps par les personnels qui le prenaient en charge. À leurs yeux et en raison de ses handicaps, il semblait être un adolescent dépourvu de désir sexuel. Lorsqu’il partage ses émotions avec les professionnelles qui l’accompagnent, celles-ci le fuient ce qui le plonge dans un sentiment de honte.

16 Ce terme de « viol involontaire » peut paraître exagéré pour certains, toutefois je le trouve fort à propos, ces termes venant parfaitement qualifier ce que j’ai éprouvé lors de ce moment avec Marie. La différence majeure est que je me trouvais de l’autre côté, celui où la fuite est possible. Fuir un acte, certes involontaire, mais néanmoins conscient, pas sur le moment, mais rap idement après, en m’occupant d’un autre adolescent, c’est fait naturellement. Ma fuite n’a pas été réfléchie, j’ai juste profité d’une opportunité qui s’offrait à moi d’accompagner un autre enfant. Pourtant, après réflexion, même si cet accompagnement s’est fait sans cris et sans manifestations de refus de sa part et plutôt dans la douceur, si cet adolescent pouvait parler il exprimerait peut-être la même chose que Marcel Nuss ! En effet, malgré toutes mes précautions, j’ai pu sentir sa gêne chaque matin au moment de la toilette, surtout des zones génitales. Quelques jours plus tard, j’ai essayé d’en parler avec la professionnelle. Je l’ai questionnée sur la prise en charge de Marie en général ; sur ce qui pourrait être mis en place afin de rendre ce moment moins angoissant, autant pour Marie que pour la personne qui s’occupe d’elle. Mais pour elle, l’accompagnement de Marie, tel que je l’avais vécu, semblait être le seul possible. Que dire ? Comment exprimer son sentiment de mal-être à quelqu’un qui ne semble pas voir la maltraitance subie par cette enfant ? En presque trois ans de formation, c’est la première fois que j’attendais avec impatience le groupe d’analyse des pratiques. Même si je m’en étais saisi plus d’une fois, jamais je n’avais eu autant envie et surtout besoin de partager ! Certes, nous ne vivons pas dans le pays des Bisounours, mais rien ne me préparait à cette situation et encore moins à mon absence de réaction. Et je suis loin d’être la dernière à parler lorsque je ne suis pas d’accord.

17 Nous travaillons avec l’humain alors ne laissons pas nos valeurs et notre humanité au vestiaire. La routine du quotidien ne doit pas nous faire oublier la raison de notre présence aux côtés des personnes accueillies. Si jamais, un jour, à nos yeux, ils devenaient des objets dont la volonté nous est indifférente, si le quotidien et ses contraintes devaient prendre le pas sur notre empathie, alors ce jour là, changeons de métier. Un ordinateur, un bureau et une chaise devraient convenir pour une reconversion.

18 Être stagiaire n’est pas facile. Sommes-nous légitimes pour questionner, par notre mal-être, la pratique des professionnels, sans que ceux-ci se sentent jugés ?

Bibliographie

Bibliographie

  • Anzieu, Didier, Le moi-peau, Paris, Dunod 2000.
  • Birraux, Annie, L’adolescent face à son corps, Paris, Albin Michel 2013.
  • David, Myriam et Appell, Geneviève, Lóczy ou le maternage insolite, Toulouse, Érès 2014.
  • Jeanne, Yves (dir.), Corps à coeur, Toulouse, Érès 2014.
  • Mucier, Nicolas « De la difficulté à se représenter l’enfant sexué », in La lettre de l’enfance et de l’adolescence, n° 58, 2004.
  • Nuss, Marcel (fondateur de CHA) Compte-Rendu : « Dépendance physique : intimité et sexualité » colloque au parlement européen 27-28 avril 2007. http://www.paratetra.apf.asso.fr/spip.php?article218 (consulté le 10 mai 2016).

Mots-clés éditeurs : maltraitance, Intimité, respect, handicap

Mise en ligne 25/07/2016

https://doi.org/10.3917/graph.054.0065
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