Problématique
1 Depuis l’origine de la Gestalt, le corps a toujours eu une place centrale, considérée comme inhérente à l’approche quels que soient les courants et les auteurs. Perls (1951) le premier y accordait une dimension essentielle.
2 Cependant, il m’est apparu que, au fil du temps, cette place accordée au corps a évolué et, en particulier, la façon dont il pouvait être considéré, évalué, « utilisé » au sein du travail thérapeutique. Delacroix (2012) nous parle d’intercorporalité et l’inscrit dans une perspective de champ, ce qui advient dans les entités corporelles en présence étant un effet de champ et, à ce titre, « utilisé » comme élément essentiel du travail en cours. On a ainsi beaucoup travaillé et réfléchi sur le corps senti, corps sentant, ressentis corporels, sensations et il me semble aujourd’hui que l’ensemble de la communauté s’accorde sur le fait qu’une approche gestaltiste n’existe pas pleinement sans cette dimension de travail.
3 Au travers de mes expériences et de mes échanges, il m’a semblé cependant que le corps bougeant, le corps en mouvement qui participe directement des mouvements de l’être en relation est peu pris en compte dans le travail thérapeutique. Pourtant, je crois que l’intérêt porté à ce corps bougeant, l’attention dirigée sur les mouvements des deux corps en présence dans la relation thérapeutique et le travail spécifique de cette dimension sont des ingrédients utiles à une thérapie qui permet l’unification de l’être. Je crois que cela permet d’accéder à une conscience de soi plus claire et plus dense, source de la sensation d’exister.
4 Il m’apparaît qu’un travail spécifique centré sur la mobilisation corporelle, avec la construction de sens qui s’articule autour, s’inscrit dans une approche gestaltiste globale. Et que, quel que soit le courant auquel on se réfère, cette dimension du travail thérapeutique pourrait constituer un dénominateur commun à la Gestalt contemporaine.
Particularités de la Gestalt dans son approche corporelle
5 Les pères fondateurs de la Gestalt ont inscrit celle-ci dans une vision holistique qui met au centre du travail l’unification de l’être, indispensable à l’émergence de la sensation de soi.
6 Le holisme, dans sa façon de penser l’univers, unit matière et vie pour former une totalité. Nous savons que cette totalité n’est pas l’addition des différentes parties mais la synthèse de ces parties qui la composent et, en même temps, la réaction nouvelle issue de cette synthèse. Il faut voir dans le holisme une notion de processus, de dynamique évolutive. Ce sont des unités processuelles dans lesquelles les parties sont unies et c’est cette union qui crée la continuelle nouveauté.
7 À l’origine, Perls et Goodman (1951) cherchent à proposer une théorie du soi et de son action créatrice, le soi étant une entité unitaire où corps et esprit ne sont pas en interaction mais sont un tout unique. Pour nous, gestaltistes, corps et esprit sont considérés comme un, représentant les aspects d’une même unité Corps/Esprit. Cette unité vient elle-même composer une unité plus large, l’unité Organisme/Environnement sur laquelle se centre notre travail thérapeutique.
8 Le corps organique est alors la matière de l’expérience du soi. Et si le travail thérapeutique passe par le regard porté sur le contact en cours, c’est avec la composante matérielle corporelle que ce contact et la présence au monde se manifestent. Robine (1994) souligne que, à l’échelle de l’organisme humain, le holisme prend en compte l’unité somatique « Corps/Esprit ». Ainsi, je peux repérer les manifestations du soi dans mon observation clinique : la voix, les gestes, la respiration, les mouvements manifestent l’individu, l’être dans son incarnation en contact avec son environnement. Il n’y a pas de champ s’il n’y a pas une unité corporelle pour en avoir conscience.
9 Le corps est indissociablement inclus dans l’expérience. Dans la rencontre avec mon patient, lui et moi vivons l’expérience en cours avec tous nos sens, toute notre matérialité. Le si répandu « ça me touche » rend compte de cette globalité.
Toucher c’est contacter
10 J. vient me voir, envoyé par son dermatologue, pour un eczéma sévère qui ne guérit pas. La dermatologue gestaltiste que je suis est convaincue que les processus de contact se manifestent au niveau corporel et que cette peau qui ne remplit pas sa fonction barrière a à voir avec une porosité de la frontière-contact. Physiologiquement trop perméable, elle laisse entrer le dehors et sortir le dedans, entraînant irritation, démangeaisons, difficultés relationnelles.
11 Il faut peu de temps pour que J. fasse part de ses difficultés et notamment avec sa mère qui a toujours su mieux que lui ce qu’il devait faire et penser.
12 Et il lutte en permanence avec un problème de confluence qu’il nomme très joliment sans l’identifier : « le monde extérieur me pénètre et m’envahit… quand c’est trop, c’est comme si tout sort de moi, que je ne peux pas contenir…, je ne sais pas ce qui est bien pour moi ».
13 Généralement, J. me signifie qu’il se sent menacé par ce manque de frontière en partant dans un discours où je n’arrive plus à le suivre.
14 Au cours d’une séance, après un moment où il semble mis en difficulté par ce qui vient de se passer sans pouvoir me le signifier, il se tait et dans son silence, je vois qu’il suit le contour de ses doigts avec son pouce, signalant pour moi qu’il cherche à marquer sa limite contre le risque d’envahissement. Je lui propose de le faire, moi, avec mon doigt : il me tend sa main et je suis avec mon doigt, précisément, avec une pression ferme, le contour de sa main. J. me dit : « je sens plus ma main quand c’est vous qui le faites » percevant ainsi mieux la frontière-contact.
15 Dans les séances suivantes, je repère au fil de nos échanges : – « lire ne me suffit pas, j’ai besoin de toucher les choses pour les sentir »
16 – « j’ai besoin de contact »
17 Et la plus jolie pour moi :
18 – « j’ai besoin d’être touché pour me sentir exister »…
19 Un jour d’été, il arrive en bras de chemise, lui qui n’a jamais montré ses bras remplis d’eczéma, il me dit : « cette année, c’est chouette, c’est la première fois que je me fais bronzer ! ».
20 Pour J. (comme pour nous tous !) le toucher corporel et le toucher émotionnel se confondent. Il se sent exister quand il est touché : ma main qui appuie fermement sur la sienne lui faisant sentir ma présence, lui faisant expérimenter l’autre dans sa différenciation. Ce toucher-là restaure la frontière-contact et restaure la barrière cutanée.
21 Il est vrai que le langage et l’utilisation de mots peinent à transcrire cette unité mais on peut pressentir que la mobilisation corporelle s’intègre au travail du processus de contact, celui-ci étant au cœur du travail thérapeutique. Pour Robine (1994), ce qui est travaillé en thérapie est l’unité « Organisme/Environnement », les deux unités somatiques en présence (patient et thérapeute) créant le champ. Le ça émergent pour chaque organisme est issu de la situation créée par la rencontre.
22 Ce qui se crée dans le champ est fait de deux expériences mêlées, y compris sensorielles, organiques. Un des éléments constitutifs du champ est fait du soi incarné.
23 Ainsi, lorsque je focalise, à un moment donné, le travail sur la mobilisation corporelle, j’ai conscience que le contact est à l’œuvre. La proposition de mobilisation qui émerge alors donne accès au déploiement du processus en cours.
24 De même que l’étude d’un point précis de grammaire donne un sens à ma phrase, me centrer à un moment donné sur le mouvement corporel permet d’approcher le sens de l’expérience.
25 En l’inscrivant dans la relation, je place ce travail corporel au centre de la situation thérapeutique. C’est le soi incarné qui est en relation et le corps est le lieu de l’expérience du contact. L’expérimentation du contact se vit donc aussi à travers le corps. L’expérimentation du self en action est portée par la matière organique, incluant le corps en mouvement dans le contact.
26 L’unification de l’être, qui donne à percevoir que le soi est corps, que le Soi/Corps est Un, permet la perception et le vécu complet de l’expérience. C’est à travers cette unité que l’organisme perçoit sa relation avec l’environnement.
27 Le déploiement du processus de contact est porté par le déploiement du processus corporel. Toute interruption ou perturbation du contact est forcément inscrite dans le vécu corporel.
28 Le processus corporel dans cette unité Organisme/Environnement est le mouvement qui « exprime », le mouvement qui met à l’extérieur l’expérience sensorielle du ressenti. C’est la composante motrice de l’émotion. C’est aussi la matérialité de la modalité de contact de l’individu avec son environnement. Il s’agit des mouvements du corps, ce qui est vécu dans la matière corporelle du sujet au cours du processus de contact. La mobilisation corporelle équivaut à la mobilisation psychique. Le ressenti corporel n’est pas le seul témoin du contact, c’est le corps bougé qui rend compte également du processus de contact en cours.
29 Ainsi, la remobilisation psychique ne peut se faire pleinement sans mobilisation corporelle. Expérimenter le contact ne peut se vivre sans expérimenter le corps.
Les processus corporels : engagement dans le champ.
30 L. me raconte depuis de nombreux mois que « tout va bien même si les autres ne (la) comprennent pas, qu’ (elle est) trop différente mais c’est pas grave »… jambes croisées, sourire figé. Ça me laisse effectivement dans une étrange incompréhension faite d’un mélange d’indifférence et d’ennui, l’agacement n’est pas loin. J’aurais envie qu’elle s’arrête de parler, de m’expliquer, je ressens le besoin que ça se relâche et qu’on respire ensemble. Je lui demande si elle pourrait imaginer se reposer un peu sur moi. Elle penche la tête de côté : « oui, comme ça ». Je lui propose de l’expérimenter « pour de vrai »… elle vient s’asseoir par terre près de moi et pose sa tête sur mes genoux… rien ne se passe.
31 – Y a t’il une partie de vous que vous contractez encore ?
32 – le ventre.
33 – et si vous essayez de le relâcher ?
34 – …
35 L. se met alors à pleurer avec des gros sanglots sonores et à déverser un flot de larmes.
36 Pleurer nécessite un relâcher du ventre qui permet au diaphragme de se mobiliser. Pour vivre l’expérience dans sa totalité, il est nécessaire pour L. de se relâcher dans son ventre pour laisser les sanglots monter. Mais L. n’a jamais eu de lieu pour poser sa tête et pleurer son chagrin de se sentir si seule. Contracter son ventre lui permet d’éviter les sanglots et ainsi de ressentir ce chagrin immense. Elle fait l’expérience, en se relâchant, sur moi et dans son corps, d’accéder à son chagrin et de reconnaître sa solitude dans ma présence.
37 Selon Goodman pour qui le contact est l’expérience primordiale, toute situation est contact. Mais ce contact Organisme/ Environnement n’est pas seulement la réponse à un besoin de l’organisme : par le contact, je me change et l’environnement change par mobilisation conjointe à la frontière-contact. Ce contact « active » des processus engrangés qui font le vécu intérieur de chaque individu, fruit de ses expériences passées, constitutif de ses représentations de lui-même et du monde, fondement de son être au monde. Les deux organismes en présence actualisent leurs propres modalités de contact dans la rencontre.
38 Je crois que la conscience de soi, la sensation d’exister sont dans la sensation d’unicité de soi. L’expérience d’un contact plein et pleinement satisfaisant est vécue lorsque j’ai conscience d’engager tout mon être. L’unification de l’organisme permet la perception et le vécu complet de l’expérience en cours. Lorsque je travaille les processus corporels, j’inclus le mouvement corporel au sens de l’expérience, j’inscris corporellement l’expérience émotionnelle.
Reconnaître la nature corporelle du cycle du contact et de ses interruptions
39 Nous venons de voir que le vécu corporel est une composante du contact lui-même. Sans élaboration ni mise à la conscience des modalités de contact corporelles, il ne peut y avoir de travail thérapeutique unificateur.
40 Si le thérapeute peut puiser dans l’émergence du ça, réceptif à toute la palette corporelle qui le constitue, cela reste bien souvent inaccessible au patient.
41 Je suis donc attentive à développer chez lui sa capacité à orienter sa conscience sur le corps senti et ressenti. Alors, nous pouvons partir en exploration du corps mouvant, se mouvant au sein de la relation, à l’occasion de la rencontre patient/thérapeute.
Les processus corporels : gymnastique gestaltiste ?
42 H. me raconte comment le manque de confiance qu’elle ressent doit être corrélé au manque d’attention de ses parents dans son enfance.
43 La description somatique de son expérience lorsqu’elle m’en parle est : « je sens une boule agitée dans le creux de la poitrine qui monte dans la gorge et qui reste bloquée ». Le ton est calme. Extérieurement je la vois les mains croisées sur les cuisses, les jambes étendues, pieds croisés.
44 Mon expérience corporelle est une tension musculaire globale et une poussée de mes pieds sur le sol. Je lui fais part de cette sensation et lui propose ce mouvement de montée/descente des pieds qui soulèvent les jambes. En me regardant en biais, elle maugrée : « on fait de la gymnastique maintenant ?...», je perçois sa colère sourdre… Je l’encourage à essayer. Au bout d’un moment, H. se redresse en décroisant les bras et en poussant sur le tronc, la voix forte, me dit : « ça m’énerve, ça me met en colère ».
45 La mobilisation des jambes dans un mouvement de poussée sur le sol permet à H. de compléter la perception de son émotion et de la percevoir clairement comme étant de la colère. Elle peut la relier, dans le dialogue qui suit, à ce besoin d’attention qui lui a tant fait défaut.
46 Tous les mouvements corporels témoignent du processus de contact en cours. Ainsi, sont présents dans le champ tous ces mouvements de contact. Je peux donc observer le processus de contact à travers les mouvements corporels y compris, évidemment, les miens.
47 Ruella Frank (2012), à travers la description de six mouvements fondamentaux, nous rappelle que tous les mouvements sont des mouvements du champ, qu’il n’y a d’appui ou de poussée ou de relâcher que s’il y a une contre-poussée de l’environnement et que donc, la mobilisation corporelle ne peut se faire que dans le contact avec l’environnement.
48 Les six mouvements fondamentaux décrits par Ruella Frank sont :
- yield (se laisser porter) : apporte et autorise le soutien de l’environnement ;
- push (pousser) : la poussée permet de se séparer de l’autre en l’incluant dans l’expérience ;
- reach (aller vers) : aller au delà de soi-même dans un mouvement à la rencontre de l’environnement ;
- grasp (saisir) : inclus et contient ce que l’on est allé chercher ;
- pull (tirer à soi) : donne la capacité d’incorporer l’environnement en vue de l’assimiler ;
- release (relâcher, laisser aller) : nécessaire au retrait afin de pouvoir se tourner vers une nouvelle expérience.
50 Kepner (1998), quant à lui, propose un cheminement du travail avec une mise en évidence pas à pas des « équivalents » processuels dans le déroulement d’un cycle. Il envisage une réappropriation dans un travail qui unifie vécu corporel et vécu émotionnel.
51 Quand je propose une expérimentation qui explore le mouvement j’ai à l’esprit que, pour qu’une émotion soit clairement ressentie, elle doit réunir ses trois composantes :
- somatique, faite de manifestations corporelles observables par le sujet ou l’extérieur (rougeurs, transpiration, tension musculaire, modification de la respiration).
- cognitive qui est la conscience de ce que le sujet vit.
- motrice, constituée d’une mobilisation corporelle visant une mise en mouvement de l’émotion ou du désir émergent (repli, fuite, agression, embrassade…).
53 Quand une de ces dimensions manque, la perception de l’expérience est incomplète.
54 Et donc, en l’absence de mobilisation corporelle, l’émotion ou le désir ne peuvent pas être perçus clairement par le sujet et le processus de contact sain est entravé.
55 Cependant, je crois qu’une des principales difficultés du travail thérapeutique est de ne pas « brûler les étapes », et de laisser tout le temps nécessaire et les silences avec, pour que se déploie le « ça de la situation », pour que ce qui est en train d’advenir ait le temps et l’espace pour se déployer, pour ne pas se jeter dans une attitude comportementaliste qui viserait un changement sans conscience.
56 Le piège est exactement le même dans tout travail des processus de contact, qu’il soit verbal ou corporel. On sait que trop de mots, trop vite énoncés, ferment la voie à l’émergence de l’émotion qui prend forme en présence de deux êtres et rend compte de l’expérience en cours. De même, une proposition trop rapide de mobilisation corporelle risque de couper l’accès au sens de l’expérience.
57 Le processus corporel dans l’unité Organisme/Environnement est le mouvement qui exprime (met à l’extérieur) l’expérience sensorielle du ressenti. Ce sont les modalités corporelles mises en œuvre au cours du processus de contact. Le travail de ces processus corporels, en explorant la nature corporelle des fonctions de contact, permet une réappropriation et une unification du soi. Il inclut ainsi les modalités de contact de l’organisme avec son environnement.
58 Dans cette équivalence entre mobilisation corporelle et mobilisation psychique, il m’est donc possible d’observer les mêmes interruptions de contact utilisant les mêmes modalités de contact. Repérables dans une observation phénoménologique, ces résistances ou modalités de contact se travaillent de façon spécifique dans un cheminement qui s’inscrit dans le cours du travail thérapeutique lui-même.
59 Tous les mouvements de contact étant présents dans le champ, c’est au sein de la relation qu’émergent toutes ces modalités et que le thérapeute, par son awareness et sa propre capacité à se relâcher sur l’environnement, met en conscience ces mouvements. Je peux alors proposer à mon patient des expérimentations corporelles afin de déployer ce qui est là, ténu et parfois minuscule.
Conclusion
60 Il apparaît ainsi que c’est au sein de la relation que se vit l’expérience corporelle. De même que l’on « s’apparaît à l’occasion d’un autre » (Robine, 2004), le mouvement corporel émerge à l’occasion de la rencontre et prend son sens au sein de la relation. Dans l’attention que je porte à ce qui se passe dans l’ici et maintenant de la rencontre, en m’incluant dans le champ de l’expérience en cours, j’inscris pleinement la proposition d’une exploration des processus corporels dans une expérience de contact. Gardant à l’esprit que le mouvement transcrit l’être en relation, je suis pas à pas le processus en cours, acceptant l’incertitude et accueillant l’inattendu.
61 Mais travailler le corps, travailler avec le corps, travailler sur le corps… comment dire ? Même si la façon de nommer n’est pas partagée par tous, cette approche unifiée de l’être humain est bien le fondement de la Gestalt-thérapie et l’objectif vise bien le changement de l’individu dans sa totalité.
62 En mettant l’accent sur la manière dont l’individu fait l’expérience de son être physique, en explorant le sens de cette expérience corporelle, ce travail très spécifique à la Gestalt, sans s’abstraire de toutes les autres composantes de la relation thérapeutique, est une porte d’accès indispensable à la globalité. Loin de diviser, d’introduire de nouvelles divergences, cet axe de travail devrait être fédérateur et pourrait bien être l’élément commun à tous les courants qui traversent notre communauté.
Bibliographie
Bibliographie
- DELACROIX J.M. : De corps à corps, in Actes de la journée d’étude du 24 novembre 2012, Champ G, Roubaix.
- FRANK R., LA BARRE F. : La première année… et le reste de la vie. L’exprimerie, Bordeaux, 2012.
- KEPNER J. : Le corps retrouvé en psychothérapie. Retz, Paris, 1998.
- MASQUELIER-SAVATIER C. : La Gestalt-thérapie. InterEditions-Dunod, Paris, 2008.
- PERLS F., HEFFERLINE R., GOODMAN P. (1951) : Gestalt-thérapie. L’exprimerie, Bordeaux, 2001.
- ROBINE J.M. : Le holisme de J.C. Smuts., in revue Gestalt n°6, SFG, Paris, 1994.
- ROBINE J.M. : S’apparaître à l’occasion d’un autre. L’exprimerie, Bordeaux, 2004.
- VANOYE F. : La Gestalt Thérapie du mouvement. Vuibert, Paris, 2005.
Mots-clés éditeurs : vignettes cliniques, mouvement, gestalt-thérapie, processus corporels
Mise en ligne 21/01/2016
https://doi.org/10.3917/gest.047.0055