Président de la communauté urbaine de Bordeaux et l’un des initiateurs du club « Les Métropolitaines », Vincent Feltesse relève un paradoxe. Des pratiques «métropolitaines », indissociables de mobilités (qui ne se réduisent pas aux seuls transports), sont à l’origine de reconfigurations territoriales. Mais la classe politique résiste à l’idée de leur donner une représentation effective. Est-il possible d’en sortir ?