Couverture de EP_017

Article de revue

Entre les adultes et l'enfant

Pages 47 à 53

English version

1 Septembre 1932, lors du XIIe congrès international de psychanalyse, à Wiesbaden, Sandor Ferenczi fait son exposé « sulfureux », intitulé Confusion de langue entre les adultes et l’enfant, sous-titré « Le langage de la tendresse et de la passion ».

2 La langue et le langage sont au premier plan chez ce précurseur de Lacan, qui fut le premier à pointer l’importance de la métaphore et de la métonymie, et qui fut le premier à souligner la nécessité de ne pas respecter ce que déjà certains vénéraient (ou révéraient ?) sous l’expression de « respect du cadre ». N’avait-il pas montré qu’un cheval pouvait remplacer le divan ou le fauteuil, en cas de guerre, et qu’un simple soldat pouvait remplacer l’analyste quand il s’agit d’analyser, ou plus exactement d’inviter un commandant à réaliser son analyse, même si la durée de la séance est variable, deux heures certains jours, cinq minutes seulement quand l’attaque ennemie est imminente.

3 Freud s’était opposé à la lecture de ce texte au moment du congrès et aucune revue psychanalytique ne l’avait publié ; Jones s’était employé à l’étouffer : la censure analytique avait exercé ses effets, le refoulement. Il convenait de ne plus parler de cet article diabolique !

4 Alors traduisons et lisons ce texte scandaleux qui parle de la tendresse (côté enfant) et de la passion (côté adulte). Texte scandaleux qui fait la différence entre la zärtlichkeit et la Leidenschaft. Zart veut dire « tendre, délicat, sensible, affectueux ». Leiden, c’est « souffrir », la passion (Leidenschaft) fait souffrir.

5 Ferenczi revient sur la nécessité de tenir compte du « facteur traumatique » si injustement négligé dans la pathogénèse des névroses. Clinicien avant tout, il décrit ce qui se passe chez quelques patients qui, après une amélioration sensible de certains symptômes, commencent à se plaindre d’angoisse nocturne, de cauchemars pénibles, « la séance d’analyse dégénérant, chaque fois, en crise d’angoisse hystérique »… « Le résultat qu’on espérait durable ne l’était pourtant pas et, le lendemain matin, le malade se plaignait à nouveau d’une nuit effroyable, la séance d’analyse devenant une nouvelle répétition du trauma. Pendant un certain temps, je me consolais de cet embarras en me disant, comme de coutume, que le patient avait de trop fortes résistances, ou qu’il souffrait d’un refoulement dont il ne pouvait prendre conscience et se décharger que par étapes. »

Face à la répétition traumatique

6 Que fait alors Ferenczi ? Il procède à son autocritique. Il fait son examen de conscience pour voir si, malgré sa bonne volonté consciente, il n’y a pas quelque vérité dans les accusations de ses patients qui lui reprochent d’être « insensible, froid, dur et cruel ». « Vite, aidez-moi, ne me laissez pas mourir dans la détresse ! »

7 Hélas, la situation analytique, la séparation « divan-fauteuil » ne lui permet pas d’intervenir comme il conviendrait pour sécuriser le patient, par un « contact affectif confirmant et sécurisant ». Ferenczi le reconnaît : « C’est là que nous nous heurtons à des résistances non négligeables, non pas celles du patient, mais nos propres résistances. Nous devons avant tout être analysés tout à fait bien, et connaître à fond tous nos traits de caractère déplaisants… afin de nous attendre à presque tout ce que les associations de nos patients peuvent contenir de haine et de mépris cachés. Ceci nous conduit au problème de savoir jusqu’où a été l’analyse de l’analyste, problème qui prend de plus en plus d’importance. Il ne faut pas oublier que l’analyse en profondeur d’une névrose exige presque toujours plusieurs années, tandis que l’analyse didactique habituelle ne dure souvent que quelques mois, ou un an à un an et demi, ce qui peut aboutir à la situation impossible que, peu à peu, nos patients sont mieux analysés que nous. Du moins ils présentent des signes d’une telle supériorité, mais sont incapables de l’exprimer verbalement. Ils tombent dans une extrême soumission, manifestement à la suite de l’incapacité ou de la peur dans laquelle ils se trouvent de nous déplaire en nous critiquant. Une grande part de la critique refoulée concerne ce que l’on pourrait appeler l’hypocrisie professionnelle. Nous conseillons poliment le patient quand il entre, nous lui demandons de nous faire part de ses associations, nous lui promettons, ainsi, de l’écouter attentivement et de consacrer tout notre intérêt à son bien-être et au travail d’élucidation ». Mais, en réalité, nous ne sommes pas présents affectivement, c’est du « paraître » et nous n’avons qu’un « faux contact » : parlez, je vous écoute ! C’est une caricature de présence. D’ailleurs, la règle analytique est bien claire : « neutralité bienveillante. » Ce terme de « neutralité », qui est une invention des traducteurs, doit être dénoncé comme une véritable trahison de la psychanalyse, tout comme la règle du « dire toutes les pensées… idées… associations d’idées ». Freud parlait de wohlwollen – « bienveillance » –, alors pourquoi inventer cette neutralité qui n’existe pas dans les textes de Freud ? Et quand il demande d’exprimer (ausdrücken) tout ce qui « tombe dedans » – allen Einfällen, (ce qui est un germanisme intraduisible) pourquoi introduire le fait de « parler » ou de « dire des idées ». Voilà comment on intellectualise l’analyse, en prononçant les pensées à la place du sentir !

Une présence bienveillante

8 Ce que Ferenczi n’ose pas réaliser, c’est le « contact » – die Berührung –, puisque pour Freud le « toucher » est au service de la sexualité. Lisez les Trois Essais…, qui font du toucher un « plaisir préliminaire » après le plaisir de voir – la Schaulust. Nous ne sommes pas loin du « quand on touche, on couche ! » Il suffit de lire la traduction de Totem et tabou où, dans le second chapitre, le mot Berührung (qui apparaît soixante-quinze fois) est systématiquement déprécié par tous les traducteurs, pour comprendre que ce terme est un refoulé freudien essentiel.

9 À quels parents ferez-vous croire, chers amis analystes de stricte obédience, que prendre son enfant dans ses bras pour le sécuriser, est dangereux, et peut le provoquer, l’exciter sexuellement, alors que nous le voyons chaque jour, s’apaiser et s’endormir ?

10 Ferenczi ne supportait plus l’hypocrisie professionnelle, et demandait à l’analyste de se remettre en question, de reconnaître ses erreurs, s’il voulait gagner la confiance de ses patients.

11 « Si nous gardons une attitude froide et pédagogique, même en présence d’un patient en ophisthotonos, nous brisons le tout dernier lien qui nous rattache à lui. Le patient sans connaissance est effectivement dans une transe, comme un enfant qui n’est plus sensible au raisonnement, mais tout au plus à la “bienveillance maternelle”. » Et ici, c’est le mot Freundlichkeit qu’utilise Ferenczi (Freund veut dire « ami »).

« Si cette bienveillance vient à manquer, il se trouve seul et abandonné dans la plus profonde détresse, c’est-à-dire justement dans la même situation insupportable qui, à un certain moment, l’a conduit au clivage psychique, et finalement à la maladie. Il n’est pas étonnant que le patient ne puisse faire autrement que de répéter exactement, comme lors de l’installation de la maladie, la formation des symptômes déclenchés par connotation psychique. Les patients ne sont pas touchés par une expression théâtrale de pitié, mais je dois dire seulement par une authentique sympathie. Je ne sais pas s’ils la reconnaissent au ton de notre voix, au choix de nos mots, ou de tout autre manière. Quoi qu’il en soit ils devinent de manière extralucide, les pensées, les émotions de l’analyste. Il ne me semble guère possible de tromper le malade à ce sujet, et les conséquences de toute tentative de duperie ne sauraient être que fâcheuses. »
Ce que nous savons maintenant, c’est que notre attitude froide et neutre réalise un véritable traumatisme quand le patient revit son traumatisme, puisque nous l’abandonnons à son « revécu », en le laissant dans une carence totale de relation affective : à ce moment les mots ne sécurisent pas, il faut une présence sécurisante qui se manifeste « main-tenant » dans l’adjacence affective.

Le traumatisme sexuel

12

« Qu’il me soit permis de vous entretenir de ce que cette relation plus intime avec le patient m’a fait comprendre. J’ai pu, tout d’abord, confirmer l’hypothèse déjà énoncée qu’on ne pourra jamais insister assez sur l’importance du traumatisme et en particulier du traumatisme sexuel comme facteur pathogène. Même des enfants appartenant à des familles honorables et de tradition puritaine sont, plus souvent qu’on osait le penser, les victimes de violence et de viol. Ce sont, soit les parents eux-mêmes qui cherchent un substitut à leur insatisfaction, de cette façon pathologique, soit des personnes de confiance membres de la même famille (oncles, tantes, grands-parents), les précepteurs ou le personnel domestique qui abusent de l’ignorance et de l’innocence de l’enfant.
L’objection, à savoir qu’il s’agissait de fantasmes de l’enfant lui-même, c’est-à-dire de mensonges hystériques, perd malheureusement de sa force, par suite du nombre considérable de patients en analyse, qui avouent eux-mêmes des voies de fait sur des enfants ».
(p. 129)
N’oubliez pas que Freud, tout comme Jung, Jones et Ferenczi étaient des hommes traumatisés sexuellement dans leur petite enfance. Vous comprendrez peut-être pourquoi Freud ne voulait pas entendre parler de cette « confusion de langue entre les adultes et l’enfant ». Mais « l’enfant terrible de la psychanalyse », en 1932, avant de mourir (1933), voulait aller jusqu’au bout de sa pensée : « Les séductions incestueuses se produisent habituellement ainsi : un adulte et un enfant s’aiment ; l’enfant a des fantasmes ludiques comme de jouer un rôle maternel à l’égard de l’adulte. Ce jeu peut prendre une forme érotique, mais il reste pourtant toujours au niveau de la tendresse. Il n’en est pas de même chez les adultes ayant des prédispositions pathologiques, surtout si leur équilibre ou leur contrôle de soi ont été perturbés par quelque malheur… Ils confondent les jeux des enfants avec les désirs d’une personne ayant atteint la maturité sexuelle, et se laissent aller à des actes sexuels sans penser aux conséquences. De véritables viols de fillettes à peine sorties de la première enfance, des rapports sexuels entre des femmes mûres et de jeunes garçons, ainsi que des actes sexuels imposés à caractère homosexuel, sont fréquents. »

13 Voilà, c’est dit, c’est scandaleux ! C’est ce qu’il faut étouffer ! Nier absolument. Pourquoi ce silence ? Ferenczi tente de comprendre : « Il est difficile de deviner quels sont le comportement et les sentiments des enfants à la suite de ces voies de faits. Leur premier mouvement serait le refus, la haine, le dégoût, une résistance violente. “Non, je ne veux pas, laisse-moi, c’est trop fort, ça me fait mal !” Et il y a une peur intense. Les enfants se sentent physiquement et moralement sans défense, leur personnalité encore trop faible pour pouvoir protester, même en pensée, la force et l’autorité écrasante des adultes, les rend (leur personnalité ou la peur ?) muets, et peut même leur faire perdre conscience. Mais cette peur, quand elle atteint son point culminant, les oblige à se soumettre automatiquement à la volonté de l’agresseur, à deviner le moindre de ses désirs, à obéir en s’oubliant complètement et à s’identifier totalement à l’agresseur. »

Soumission à l’agresseur

14 C’est cela le drame : le sujet agressé s’identifie aussitôt à l’agresseur. Au « mépris de la vraisemblance », l’enfant s’identifie à ce qui l’a attaqué. Ferenczi citait toujours cet enfant de 3 ans qui, alors qu’il faisait pipi, avait été attaqué au niveau de son pénis par un coq : devenu muet (il ne proférait plus aucune parole !), il se contentait de pousser « des cris de coq », puis au bout de quelques semaines de poule, en même temps que son comportement imitait manifestement cet animal de basse-cour ; bel exemple de l’identification non conforme au génie de son sexe, que ce petit « homme-coq ».

15 À la Maison Verte, nous observons régulièrement que certains garçons, dont la mère est enceinte, souffrent de constipation opiniâtre, comme s’ils pouvaient eux aussi porter un bébé dans leur ventre. Et cette « sexuation » non conforme au génie de leur sexe, au mépris du sexe chromosomique, repose toujours sur l’absence de verbalisation par la mère du rôle du père : « Je n’aurais pas eu le plaisir de te mettre au monde, si ton papa ne m’avait pas donné tout ce qu’il faut pour que tu sois un beau petit garçon », phrase salvatrice, qui valorise leur « devenir homme ». Autrement, la pente est facile : se glisser dans la toute-puissance imaginaire maternelle.

16 Mais revenons encore à l’article de Ferenczi et à son étude des conséquences du « trauma » sexuel : « L’identification au partenaire adulte et l’introjection du sentiment de culpabilité de l’adulte. » Ce qui était interpsychique va devenir intrapsychique. « Le jeu, anodin jusqu’à présent, apparaît maintenant comme un acte méritant une punition. » Innocent et coupable, clivé définitivement, sa confiance dans le témoignage de ses propres sens en est brisée. S’y ajoute le comportement grossier de l’adulte, encore plus irrité et tourmenté par le remords, ce qui rend l’enfant encore plus profondément conscient de sa faute et encore plus honteux. Presque toujours l’agresseur se comporte comme si de rien n’était et se console avec l’idée : « Oh, ce n’est qu’un enfant, il ne sait rien encore, il oubliera tout cela. »

« Ce qui importe d’un point de vue scientifique, dans cette observation, c’est l’hypothèse que la personnalité encore faiblement développée réagit au brusque déplaisir, non par la défense mais par l’identification anxieuse et l’introjection de celui qui la menace ou l’agresse.
C’est seulement maintenant que je comprends pourquoi mes patients se refusent si obstinément à me suivre lorsque je leur conseille de réagir au tort subi par du déplaisir, comme je m’y serais attendu, par de la haine ou de la défense. Une partie de leur personnalité, le noyau même de celle-ci, est resté fixé à un certain moment et à un certain niveau, où les réactions alloplastiques étaient encore impossibles, et où, par une sorte de mimétisme, on réagit de façon autoplastique. On aboutit ainsi à une forme de personnalité faite uniquement de Ça et de Sur-Moi, et qui, par conséquent, est incapable de s’affirmer en cas de déplaisir ; de même qu’un enfant qui n’est pas encore arrivé à son plein développement, est incapable de supporter la solitude, s’il lui manque la protection maternelle et une tendresse considérable. »
Les enfants jouent avec l’idée de prendre la place du parent du même sexe, pour devenir le conjoint du sexe opposé. En réalité, ils ne voudraient, ni ne pourraient se passer de la tendresse et surtout de la tendresse maternelle. Si au moment de cette phase de tendresse, on impose aux enfants plus d’amour ou un amour différent de ce qu’ils désirent, cela peut entraîner les mêmes conséquences pathogènes que la privation d’amour jusqu’ici invoquée.

17 Au cours de l’identification, un deuxième mécanisme peut apparaître : l’éclosion surprenante et soudaine, comme après un coup de baguette magique, des facultés nouvelles qui apparaissent à la suite d’un choc. Cela fait penser aux tours de prestidigitation des fakirs qui, à partir d’une graine, font pousser, apparemment devant nos yeux, une plante avec sa tige et ses fleurs. Une détresse extrême, et surtout l’angoisse de la mort, semblent avoir le pouvoir d’éveiller et d’activer soudainement des dispositions latentes, non encore investies et qui attendaient leur maturation en toute quiétude. L’enfant ayant subi une agression sexuelle peut soudainement, sous la pression de l’urgence traumatique, déployer toutes les émotions d’un adulte arrivé à maturité… On peut alors parler simplement, pour l’opposer à la régression, dont nous parlons d’habitude, de progression traumatique, ou de prématuration. On pense aux fruits qui deviennent trop vite mûrs et savoureux, quand le bec d’un oiseau les a meurtris ; et à la maturité hâtive d’un fruit véreux.

18 Et Ferenczi de rappeler le rêve typique du « nourrisson savant » où un nouveau-né, un enfant encore au berceau, se met subitement à parler et même à enseigner la sagesse à toute sa famille. La peur devant les adultes déchaînés, fous, en quelque sorte, transforme pour ainsi dire, l’enfant en psychiatre, pour se protéger du danger que représentent les adultes sans contrôle. Et Ferenczi de s’exclamer : « C’est incroyable, ce que nous pouvons vraiment apprendre de nos “enfants savants”, ces névrosés. »

19 Et bien sûr, Ferenczi le note : « Si cela venait à se confirmer, nous serions obligés, je crois, de réviser certains chapitres de la théorie sexuelle et génitale… Dans ma propre théorie de la génitalité, je n’ai pas tenu compte de cette différence entre la phase de tendresse et la phase de passion. »

20 Si l’on relit Les Trois Essais ou « les trois excès » freudiens sur la sexualité, qui ne tenaient aucun compte de la nécessité du contact affectivo-confirmant pour le développement de la sécurité de base de l’enfant, on peut comprendre pourquoi l’analyse n’a jamais développé la « sécurité de base » d’un patient. Ce n’est pas son but, me dira-t-on, mais pourquoi certains analysants, après deux ou trois analyses restent-ils tout aussi vulnérables et abandonniques ? Si vous acceptez que le patient sache ce qu’il lui faut vivre, et si vous l’accompagnez calmement, paisiblement, dans ce vécu de tendresse indispensable à son épanouissement affectif, alors il peut se libérer de ces engrammations négatives, imposées par ces abus sexuels. Et ces malheureux pédophiles, identifiés à leurs agresseurs, comment allez-vous les aider, si vous n’allez pas avec eux « au charbon de la souffrance », si vous n’êtes pas dans cette proximité affective haptonomique ? Il serait temps que les analystes s’intéressent, après Freud et Lacan, et avec Ferenczi, aux possibilités maturatives de la tendresse. Un siècle après le message freudien, allons-nous seriner le même catéchisme ? Est-il possible de dépasser le Père, « savoir s’en servir pour pouvoir s’en passer »… et prêter l’oreille de notre cœur à ceux qui ont souffert, et sont prêts, avec Frans Veldamn, à nous guider sur le chemin de cette naissance-renaissance de ce qui doit advenir ? Wo es war, soll ich werden, ce qui est à naître, à devenir, si nous sommes disponibles, à l’écoute du souffle de celui que nous accueillons.

Bibliographie

  • Ferenczi, Sandor. 1931. Psychanalyse 4, Paris, Payot, p. 125 à 135.
  • Veldman, Frans. 1999. Haptonomie. Science de l’affectivité, Paris, puf.

Mots-clés éditeurs : traumatisme, passion adulte, haptonomie, « sécurité de base »

https://doi.org/10.3917/ep.017.0047

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