Couverture de ENJE_033

Article de revue

… Y aller…

Pages 27 à 35

Notes

  • [*]
    Ce texte est issu de l’intervention faite le 29 mars 2019 à Toulouse au séminaire animé par Michel Bousseyroux, Didier Castanet et Marie-José Latour, Qu’est-ce qu’une psychanalyse lacanienne ? (Saison II).
  • [1]
    J. Lacan, Le Séminaire, Livre VII, L’éthique de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1986, p. 368.
  • [2]
    J. Lacan, « Proposition du 9 octobre 1967 », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 254.
  • [3]
    Je dois cet énoncé, « ultime répétition », à Dominique Marin lors de la présentation du témoignage à Narbonne à son séminaire, le 23 janvier 2019.
  • [4]
    J. Lacan, « Lituraterre », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 15.
  • [5]
    J. Lacan, Le Séminaire, Livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1973, p. 248.
  • [6]
    J. Lacan, Le Séminaire, Problèmes cruciaux pour la psychanalyse, leçon du 5 mai 1965, inédit.
  • [7]
    R. Juarroz, Poésie et réalité, traduit de l’espagnol par J.-C. Masson, Paris, Lettres vives, 1987, p. 8.
  • [8]
    R. Juarroz, Treizième poésie verticale, édition bilingue, traduction de R. Munier, Ibériques Paris, José Corti, 1993, p. 168-169.
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1Tout d’abord, je voudrais dire que je suis particulièrement heureuse d’être là ce soir dans cette ville de Toulouse et si proche de Narbonne. Il y a des voyages, même les plus courts, qui sont à chaque fois imprégnés d’enthousiasme et d’une pointe d’émotion. Faire le trajet Narbonne-Toulouse et son retour fait partie pour moi de ceux-là. En effet, ce déplacement effectué pendant plusieurs années fait trace du chemin d’un troisième temps de cure jusqu’à sa conclusion avec un psychanalyste toulousain. Aujourd’hui, le voyage est moins fréquent, mais toujours enthousiasmant par les rencontres de travail avec les collègues et amis du collège clinique.

2Aussi, je dis un grand et chaleureux merci à Michel Bousseyroux, Didier Castanet et Marie-José Latour de m’accueillir à leur séminaire d’École pour y intervenir à partir de ma nouvelle fonction d’ae (analyste de l’École). C’est un troisième témoignage qui vient dans les suites de celui dit à Narbonne au séminaire de Dominique Marin et récemment de celui à Bordeaux au séminaire d’Albert Nguyên. Il s’étoffe et s’enrichit donc de ce qui s’y est attrapé lors de ces deux rencontres. Dans cette suite, ce soir, peut-être que dans mon propos pourront résonner quelques bouts de « savoirs » avec ce qui est mis au travail dans votre séminaire pour la deuxième année consécutive, « Qu’est-ce qu’une psychanalyse lacanienne ? ».

3*

4

… Points de suspension, les traces du chemin parcouru.
Y aller, la trace d’un pas.
… Points de suspension pour continuer les traces du chemin à parcourir.

L’instant d’y aller

5Il y avait de la hâte à faire la passe dans les suites de la fin de l’analyse. S’y engager s’est parlé comme une é-vidence à la dernière séance… Pourtant, le « pas-à-faire » a demandé quelque temps… C’était comme une attente, un affect de satisfaction de fin de cure qui peut-être voulait se prolonger… Une in-décision ?… Une prise de risque ?… Je ne sais… Je n’y pensais pas vraiment… En effet, c’est à n’y pas penser que ça s’est passé, au hasard d’une contingence, dans un moment de désêtre.

6Ainsi, entre la fin de l’analyse et la demande de passe, presque un an se sera écoulé. Ce pont entre ces deux moments aura confirmé de s’y risquer. Le pas décisif se fait au sortir du visionnage du film 120 battements par minute de Robin Campillo, par une résonance en lien avec mon histoire. Un scénario à propos de l’engagement d’Act Up dans les années 1990 pour combattre le mépris envers les personnes atteintes du sida ou séropositives. Mais c’est bien au-delà du récit du film qu’une rencontre se produit, à l’insu du sujet.

7En un éclair, je reste saisie par trois lettres, H.I.V…, Ah (j).IV. Et c’est dans la fulgurance de ce dire lié au désir que s’écrit la demande de passe. Quelques mois après, la rencontre avec les deux passeurs s’engageait.

Le temps qu’il faut… et ses contingences

8Le parcours de la cure, même s’il se trace de plusieurs « tranches » et de différents analystes, s’effectue d’un seul procès pour l’analysant. Pour ma part, mon analyse a cheminé avec deux analystes et en trois temps.

9Les deux premières tranches se sont presque succédé. Elles remontent à ma vie de jeune adulte et à ma première rencontre avec la psychanalyse sur le lieu professionnel, qui a orienté l’adresse faite à un analyste, lacanien, et cela par simple contingence, une chance donc. Néanmoins, pas tout est hasard et l’intérêt pour les mots, les langues et la lecture aura désigné le choix vers cet analyste à partir de la résonance équivoque de son nom entre le sonore et l’écrit.

10La première tranche est celle d’une cure analytique que l’on dit à visée thérapeutique. Cette cure a pu dévaloriser la jouissance qui s’exprimait dans une douleur de la pensée de la mort, un symptôme d’exclusion et une propension à se faire l’objet de l’Autre et des autres.

11Elle aura dénoué le fantasme infantile « j’ai sauvé mon père », construit des paroles entendues familiales. Un jeune père appelé à combattre en Algérie et qui réchappe d’une embuscade mortelle par la permission accordée à la suite de la venue au monde de sa deuxième fille.De plus, des effets de dissipation de la honte, de la haine, de la tristesse et de l’angoisse se sont faits au cours de ce trajet d’une dizaine d’années, laissant possible une rencontre amoureuse durable.

12C’est aussi dans ce temps de cure, de la rencontre avec Freud et Lacan que quelque chose d’une éthique à « ne pas céder sur son désir [1] » se révèle et se tisse avec ce qui s’y est attrapé de la langue espagnole des grands-parents maternels. Une transmission qui noue l’éclat de la poésie avec le sombre de l’histoire espagnole, de la guerre civile à la Retirada, le chemin de l’exil des républicains espagnols. Un étrange contraste entre le paysage lumineux des mots de Lorca et Machado, pour ne citer qu’eux, et celui de la noirceur des exactions franquistes.

13Après ce terme, que je nommerais plutôt une interruption, le désir de savoir ne voulait pas en rester là et la question du passage à l’analyste s’est fait jour. Je continuais alors pendant trois ans encore avec le même analyste à creuser et à faire des tours/trous avec cette question. C’est dans ce temps-là que l’idée d’un choix d’école ou d’association de psychanalyse a germé. Choix alors qui ne s’est pas fait, car je ne voulais pas faire celui de l’association dont était membre mon psychanalyste. Pour autant, je n’allais pas voir ailleurs. L’idée est donc restée en suspens… longtemps. Enfin, sûrement le temps qu’il me fallait.

14Je continuais donc à avancer presque tranquillement avec maintenant la pensée de refaire un bout de chemin analytique. Il n’y avait pas seulement l’idée d’un choix d’école resté en suspens, mais aussi quelque chose de mon analyse resté en plan, non fini. Un terme qui avait été posé par le départ de l’analyste dans une autre ville trop lointaine, mais point de conclusion. Cela avait laissé, dans l’après-coup d’un affect de satisfaction, un vécu d’abattement de ne pas être allée au bout de la cure et de ne pas avoir décidé de sa conclusion.

15Presque sortie de ce temps de suspension, je continuais à marcher en direction d’une troisième tranche. Sur le chemin, dans cet entre-deux, la rencontre brutale avec le réel est venue arrêter le mouvement par la perte radicale de mon compagnon de vie depuis vingt ans. Un entre-deux, hors temps, figé et immobile qui allait faire trace dès la reprise du parcours vers la fin de l’analyse… et l’expérience de la passe…

16L’adresse au deuxième psychanalyste s’est articulée de manière différente puisqu’elle s’est faite auprès d’un membre de l’École, alors que je venais d’entrer aux Forums. Le transfert était déjà là, il avait cheminé à partir d’une journée de travail en commun sur Federico Garcia Lorca.

17Bien décidée, avec cet analyste-là, à aller au bout de la cure, quitte à se risquer à l’horreur de savoir. L’orientation de ce troisième temps a donc cheminé vers sa conclusion. Mais pour cela il y avait encore à continuer le tour des dits et y creuser la langue encore et encore pour y arriver. Les franchissements et les é-preuves qui ont été en jeu dans l’analyse et la passe s’articulent autour du signifiant, de la langue, de la lettre et de l’écriture.

18Voici la lecture de ce cheminement avec quelques fragments extraits de savoir.

Les marques de l’infantile

19Confiée un temps aux grands-parents maternels, ses premiers mots s’ébauchent en espagnol. Cette langue s’imprègne avec l’environnement coloré et libertaire de l’intérieur et le grave de la dictature qui rôde à l’extérieur. Le retour en France auprès des parents et de la sœur aînée, malgré une ambiance « aimante », est vécu avec tristesse par la petite fille. Elle se tait. La parole s’éteint ici et se réanime là-bas au rythme des allers-retours rituels. Un entre-deux-langues, un entre-deux-ports. Elle ne savait plus où était sa langue, en exil de lalangue.

20Redoublé par la perte d’amour et la pensée de la mort, cet affect de tristesse enfoui depuis l’enfance fait retour. Au-delà de l’affect, qui colle même à la peau, « tristesse » est un signifiant qui traverse toute la cure.

21Dans le transfert, se déploient des questions et des adresses à l’analyste pour tenter de se défaire de la faute et de la lâcheté morale attenantes à la tristesse. L’idée de la mort est forte et se confond parfois avec le désir, le désir pur d’Antigone. Les contingences extérieures de l’horreur convergent avec les séances… Un combat parfois silencieux, parfois ravageur entre céder et ne pas céder sur son désir.

22Mais les mots ratent toujours, il y a un impossible à dire, un indicible, et le désir n’est pas toujours « rose ». Je m’en remettais à l’Autre avec des formulations à l’endroit de l’analyste autour du savoir, jusqu’à ce que j’entende l’équivoque : « J’en-Jean sait rien-c’est rien », qui ouvre un entre-aperçu de l’inconsistance de l’Autre. Une vacillation, un saisissement, un éprouvé, mais qui relance le désir.

23Advient un dire de l’analyste, « Ne pas laisser à l’Autre la charge de là où vous allez », qui fait interprétation et oriente la cure vers l’acte de séparation par une série de séquences. La quête de la vérité s’apaise et se tourne vers le désir de savoir.

Un réel teinté de tristesse en noir et blanc

24J’apparais dans un rêve vêtue de blanc et noir et comme en plein hiver. L’analyste n’est pas visible mais présent. Une Autre femme derrière moi me dérange par son léger habillement, un foulard jaune dans les cheveux. Elle est dans un espace carnavalesque. Je m’éloigne d’elle et fais le choix d’aller vers le noir et blanc, la couleur de la tristesse. L’analyste n’est plus là… Il y a là une orientation, une détermination du sujet vers le réel, si peu coloré d’ailleurs aussi, et qui ne prend plus appui sur l’Autre. Dans le rêve, l’Autre femme. Un blanc et noir qui provoque une déchirure dans le transfert, un aperçu de la faille du sujet supposé savoir. Le rêve pointe un moment de « virage où le sujet voit chavirer l’assurance qu’il prenait de ce fantasme [2] ».

La clé

25Vers la fin de la cure, un autre rêve vient comme répondre à ce qui est au travail à ce moment-là. « Comment quitter ce lieu et l’analyste, comment finir, comment le décider ? » « Qu’est-ce qui reste après ? » Le transfert est entamé, il est autrement, mais quid de la destitution du sujet supposé savoir ?

26L’analyste et l’analysante sont sur un long canapé chacun à un bout. Il active une télécommande qui projette sur l’écran des formules mathématiques. Je n’y comprends rien ! Puis, il tend une clé que je prends et il dit « à tout à l’heure ». Dans dix minutes. Impossible, je dois prendre un train. Sur le quai de la gare, munie de la clé, je reste préoccupée qu’il ne puisse pas ouvrir et au final je garde la clé. Je comprends que c’est de mon côté que ça se passe.

Décomposition vers l’acte de séparation

27Moment de passe, franchissements, chute du sujet supposé savoir, mais ça ne suffit pas. Il y a encore la question de la tristesse qui ne cesse pas de se répéter. Une jouissance tout aussi utile qu’encombrante.

28D’y revenir encore et encore, advient un moment crucial dans la cure. « Une répétition ultime [3] » pour toucher un bout de réel, et cette fois-ci pas ratée. Sur le divan ça interroge, ça veut savoir cette tristesse… jusqu’à l’épure.

29Tristesse et s’ajoute un ?, un point d’interrogation mais qui appelle encore un Autre qui réponde.

30Tristesse ?, puis coupure du mot, acte : Triste est-ce ?, ça change, ça s’allège mais il y a toujours du sens.

31Triste S, S triste, une affirmation : le point d’interrogation disparaît, l’Autre s’évanouit, reste le S.

32Le S comme initiale du prénom et fin du nom. Une décomposition jusqu’à la lettre de jouissance qui nomme le sujet réel. Une lettre mobile hors sens, une écriture, qui laisse au mot « triste » le poids du sens. « La lettre comme conséquence, et du langage, de ce que […] l’habite qui parle [4] », dit Lacan dans « Lituraterre ».

33S triste comme marque sinthomatique, l’orientation que « vise le désir de l’analyse, celui d’obtenir la différence absolue [5] ».

34S1, de « la marque du signifiant sur l’être vivant d’où le désir surgit [6] ».

35Enfin, S, ce bout de réel in-traitable.

Le mâl(e) espagnol. Retrouvailles avec lalangue

36L’extraction du S, le délestage du poids du sens, l’insignifiance de la tristesse provoquent légèreté et enthousiasme… Et il faut croire que ça ne suffit pas, encore un tour…

37Quelques séances avant la conclusion, surgit un point de rencontre avec le réel, un quelque chose d’étranger, d’« extime », et qui pourtant se loge au plus intime du sujet. Un dire saisissant fait irruption : « Ça ne me gêne plus d’être espagnole. » Comment prononcer chose pareille de la langue qui anime le sujet ?

38Et c’est de ce dire que l’effrayant, le triste et le mal s’éprouvent, côté espagnol. D’y avoir été aussi, au carnaval, à la corrida, dans les camps…, de s’y reconnaître aussi avec la part sombre et étrangère. Dire le mâl(e) espagnol, c’est terrible… c’est ça… Faire avec l’in-traitable.

39C’est là, dans ce moment, que le signifiant espagnol « estupida » (estoupida), entendu dans l’enfance, fait retour et dans lequel y avait été reconnu le mot « toupie », surnom donné par le père. Cette fois-ci, se passer de l’équivoque « Es tu pida » : c’est ta demande. Et au-delà du sens y retrouver le S au croisement de deux langues : S-toupie.

40L’analyse est terminée mais encore quelque temps pour décider de la conclusion…

La décision de conclure

41C’est par hasard, dans la suite d’une intervention de l’analyste lors d’une conférence, donc hors cure, que la conclusion se décide. Un moment loin du contenu et du propos tenu. J’entends, mais ça n’a plus de sens, ça n’est plus qu’un son. L’analyste est devenu une voix.

42L’analyse arrive là à son point de conclusion. Au cours de la dernière séance, le désir de faire la passe s’y est dit, re-dit : « Faire la passe, peut-être… Pourquoi peut-être ?… »… Y aller… !

43*

44Voici ce dont j’ai voulu témoigner aujourd’hui, des points vifs qui ont opéré dans le parcours singulier d’une psychanalyse pour arriver au bout. À son terme, il y a eu cette formidable et intense expérience de la passe et de la rencontre avec les passeurs. D’y aller… restent les points de suspension d’après, qui veulent désigner le chemin de ce qui pourra se transmettre de quelques points cruciaux de la psychanalyse à partir de ma fonction d’analyste de l’École durant les trois ans à venir.

45C’est avec les mots de la poésie que je souhaite terminer ce soir. Pas ceux de Federico Garcia Lorca ou d’Antonio Machado, mais ceux aussi éclatants de Roberto Juarroz. Ce poète argentin qui a creusé la langue avec sa « poésie verticale » pour aller jusqu’à sa profondeur. « La poésie est une tentative risquée et visionnaire d’accéder à un espace qui a toujours préoccupé l’homme : l’espace de l’impossible, qui parfois semble aussi l’espace de l’indicible [7]. »

46

Hoy tengo casi todas las palabras.
Pero me faltan casi todas.
Cada vez me faltan màs.
Apenas si puedo unir éstas que escribo
Para decir el resto de ternura
y el hueco de temor
que se esconden en la ausencia de todo,
en la creciente ausencia
que no pide palabras.
O pide tal vez una :
la única palabra que no tengo
y sin embargo no me falta.
Aujourd’hui j’ai presque tous les mots.
Mais presque tous me manquent.
À chaque fois ils me manquent plus.
À peine si je peux unir ceux-ci que j’écris
pour dire le reste de tendresse
et le creusement de peur
qui se cachent dans l’absence de tout,
dans l’absence croissante
qui ne demande pas de mots.
Ou peut-être en demande un :
le seul mot que je n’ai pas
et qui pourtant ne me manque pas [8].

Notes

  • [*]
    Ce texte est issu de l’intervention faite le 29 mars 2019 à Toulouse au séminaire animé par Michel Bousseyroux, Didier Castanet et Marie-José Latour, Qu’est-ce qu’une psychanalyse lacanienne ? (Saison II).
  • [1]
    J. Lacan, Le Séminaire, Livre VII, L’éthique de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1986, p. 368.
  • [2]
    J. Lacan, « Proposition du 9 octobre 1967 », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 254.
  • [3]
    Je dois cet énoncé, « ultime répétition », à Dominique Marin lors de la présentation du témoignage à Narbonne à son séminaire, le 23 janvier 2019.
  • [4]
    J. Lacan, « Lituraterre », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 15.
  • [5]
    J. Lacan, Le Séminaire, Livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, Paris, Seuil, 1973, p. 248.
  • [6]
    J. Lacan, Le Séminaire, Problèmes cruciaux pour la psychanalyse, leçon du 5 mai 1965, inédit.
  • [7]
    R. Juarroz, Poésie et réalité, traduit de l’espagnol par J.-C. Masson, Paris, Lettres vives, 1987, p. 8.
  • [8]
    R. Juarroz, Treizième poésie verticale, édition bilingue, traduction de R. Munier, Ibériques Paris, José Corti, 1993, p. 168-169.
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