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Article de revue

L’édition en cours des œuvres de Martin Buber

Pages 449 à 455

Notes

  • [*]
    Dominique BOUREL, Directeur de recherche, CNRS, Centre Roland Mousnier (Sorbonne, Paris IV), 1 rue Victor Cousin F-75230 PARIS ; courriel : dominique.bourel@paris-sorbonne.fr
  • [1]
    Martin Buber : Werkausgabe (=MBW), Gütersloh : Gütersloher Verlagshaus, 2001 sq. (21 volumes prévus).
  • [2]
    Voir le tout récent Matthias Morgenstern/Reinhold Rieger (Hrsg.) : Das Tübinger Institutum Judaicum. Beiträge zu seiner Geschichte und Vorgeschichte seit Adolf Schlatter, Stuttgart : Franz Steiner, 2015 (= Contubernium. Tübinger Beiträge zur Universitäts- und Wissenschaftsgeschichte, 83).
  • [3]
    Voir la traduction française du court texte de Benjamin dans WB : Sur Kafka, édité et présenté par Christophe David et Alexandra Richter, Paris : Nous, 2015, p. 291-292.
  • [4]
    On trouvera une liste des traductions françaises de Buber en appendice de notre Martin Buber. Sentinelle de l’humanité, Paris : Albin Michel, 2015, p. 796-797.
Stéphane Moses
Berlin Paris Jérusalem
In memoriam

1L’édition des œuvres de Martin Buber (1868-1965) avance avec alacrité. Le cinquantième anniversaire de sa mort qui a donné lieu à plusieurs colloques en Israël et en Allemagne est une bonne occasion pour faire une sorte de rapport d’étape.

2Buber né à Vienne, élevé à Lemberg, étudia dans plusieurs universités européennes (Vienne, Leipzig, Berlin, Zurich) puis soutint son doctorat à Vienne en 1904. Après une année à Florence espérant boucler une Habilitation sur la Renaissance, il résidera à Berlin (1906-1916) puis à Heppenheim en Hesse (1916-1938) avant de rallier Jérusalem où il enseignera à l’université hébraïque qu’il avait imaginée dès 1902. À l’issue du second conflit mondial et de la Shoa, il arpente l’Europe, surtout l’Allemagne, voyage trois fois aux USA et acquiert une renommée quasi planétaire. Traduit dans une trentaine de langues, il mena sa longue vie de recherche et de labeur, inséparable d’une vie de militant, pour le sionisme culturel, la réconciliation avec les Allemands, le débat avec les mondes chrétiens et surtout l’inlassable tentative de dialogue avec les Arabes.

3Il était difficile de penser à des œuvres complètes tellement il a publié, articles, préfaces, rééditions, adaptations, traductions de toutes les tailles depuis des opuscules de quelques pages à des gros ouvrages, parfois même très techniques couvrant une grande partie de l’histoire de la culture juive et européenne.

4En 1962, la conférence des ministres des cultes de tous les Länder finança trois volumes de Werke reprenant souvent des éditions fondées sur ses propres exemplaires, des rééditions améliorées de la main même de Buber. La répartition était simple : écrits sur la philosophie, la Bible et le hassidisme (Lambert Schneider, Kösel Verlag, Heidelberg-München, 1962-1964). Puis, sous la direction de Grete Schaeder, une édition en trois volumes de la correspondance publiée entre 1972-1975 (Lambert Schneider, Heidelberg), fournissait une sélection des meilleures pièces dans un Nachlass de près de 50 000 missives !

5Un projet commun d’une nouvelle édition entre l’Académie des sciences d’Israël – dont Buber fut le premier président – et celle de Berlin-Brandebourg, fut initié par Paul Mendes-Flohr et Peter Schäfer : le premier, professeur émérite à l’université hébraïque de Jérusalem et actuellement enseignant à l’université de Chicago, est le meilleur spécialiste de Buber qu’il a beaucoup publié. Peter Schäfer, actuel directeur du musée juif de Berlin après avoir dirigé le département études juives de la FU de Berlin puis enseigné à Princeton et titulaire du prestigieux Leibniz-Preis, est le nestor des études juives.

6Après trois volumes excellents, c’est désormais l’université de Düsseldorf et le Professeur Bernd Witte qui, avec Paul Mendes-Flohr, président aux destinées d’une édition qui devrait compter un peu plus de vingt volumes : à l’heure où nous écrivons ces lignes, après les manifestations du 50e anniversaire de sa mort (2015), 15 ont déjà vu le jour. C’est aussi cette université, « Heinrich Heine-Universität » qui héberge désormais une Buber-Forschungsstelle très active et compétente.

7On doit à Bernd Witte bien connu des germanistes, pour des éditions de Christian Furchtegott Gellert et de Franz Hessel, le Goethe-Handbuch ainsi qu’un très bel ouvrage, Jüdische Tradition und literarische Moderne. Heine, Buber, Kafka, Benjamin (München, Carl Hanser, 2007). Rappelons qu’il fut lecteur puis maître-assistant à la Sorbonne entre 1967 et 1972 et fut longtemps le président de l’Internationale Walter Benjamin-Gesellschaft (sa biographie Walter Benjamin est parue en 1988, Paris, Le Cerf) et donc parfaitement au fait de la culture juive allemande.

8Les volumes suivent un découpage thématique, ce qui n’a pas manqué de fâcher quelques puristes attachés à la chronologie. L’avantage étant que chaque volume est confié à un/une ou deux expert/es : en effet, la somme de disciplines (philosophie, exégèse biblique, histoire intellectuelle, politologie, sinologie, sociologie) nécessaires à établir les textes et à les commenter est conséquente ; la galaxie Buber recrute bien entendu dans tous les pays.

9Il est difficile de choisir quelques volumes, d’autant plus que les germanistes auront beaucoup à glaner dans ces ouvrages parfaitement annotés et introduits avec des index et une bibliographie topique au sujet.

10Le tome préparé par Martin Treml offre les Frühe kulturkritische und philosophische Schriften (vol. 1, 2001, 396 p.) ouvert par le discours du jeune Buber lors de sa Bar mizwa le 8 février 1891. On y trouve aussi son premier article sur la littérature de Vienne (publié en polonais), des textes sur Schopenhauer, Nietzsche, Brunner et le célèbre Daniel. Gespräche von der Verwirklichung (1913) encore largement scellé. Le catalogue des cours qu’il a suivis pendant ses études mériterait à lui seul une belle étude.

11C’est à Barbara Schäfer qu’on doit les Frühe jüdische Schriften (vol. 3, 2007, 498 p.). Ce travail est d’autant plus remarquable qu’il est fondé sur une excellente connaissance de l’histoire du sionisme allemand puisque la très savante éditrice participa aux œuvres complètes de Theodor Herzl (Briefe und Tagebücher, 7 volumes 1983-1996, Berlin, Propyläen). On y trouve des écrits de circonstances sur J.L.Perez, S.J.Agnon mais surtout ses interventions tenues lors des congrès sionistes, ceux qui traitent de la « renaissance juive », Völker, Staaten und Zion, lettre contre Hermann Cohen (1917) ainsi que les célèbres « Trois discours sur le Judaïsme » de Prague, prononcés en 1909 et 1910 puis publiés en 1911 et qui furent le manifeste d’une génération de juifs allemands et européens. Enfin des textes concernent la Palestine puisqu’il s’attacha très tôt à ce pays et aux possibilité de s’y installer. Il y vivra définitivement à partir de 1938. Son petit opuscule rédigé avec Chaim Weizmann et Berthold Feiwel sur Eine jüdische Hochschule (1902) est offert en annexe.

12Une mention spéciale doit être accordée aux Schriften zur chinesischen Philosophie und Literatur (vol. 2/3, 2013, 479 p.) comprenant les écrits sur le tao qui a beaucoup occupé Buber lequel n’hésitait pas à convoquer le lecteur de chinois de l’université de Francfort pour refaire certaines traductions. Il l’a enseigné à plusieurs reprises. C’est donc à une sinologue, Irene Ebert, que fut confié ce travail délicat !

13Les ekstatische Konfessionen (vol. 2/2, 2012, 383 p.) signalent la grande compétence de Buber en manière d’histoire comparée des religions. Le texte est établi en tenant compte du manuscrit et des corrections de Buber sur son exemplaire. On sait qu’il connaissait très bien les différentes mystiques (ayant rédigé sa thèse sur Nicolas de Cues et Jacob Boehme en 1904). Il offre un panorama qui traverse les siècles et la géographie d’Hildegard de Bingen à Rama Krischna, de Plotin à Margarethe Ebner sans négliger l’Espagne, l’Italie et la France jusqu’à Anna Katherina Emmerich. L’éditeur (David Groiser) peut suivre le principe de sélection puis les choix définitifs d’un des ouvrages les plus connus de Buber.

14On sait qu’il fut toute sa vie préoccupé par les questions d’éducation ; ainsi le volume de Juliane Jacobi, Schriften zu Jugend, Erziehung und Bildung (vol. 8, 2005, 469 p.) est-il très précieux notamment par son Rede über das Erzieherische donné au troisième congrès pédagogique international de Heidelberg (1925) en présence de plus de 400 délégués et de près de 500 participants portant sur « le développement des forces créatrices chez l’enfant ». Les questions d’éducation pour adultes et de la formation permanente n’ont pas quitté Buber qu’il s’agisse de former la jeunesse au judaïsme pendant le République de Weimar, par exemple au Lehrhaus de Franz Rosenzweig, d’animer la résistance spirituelle au nazisme jusqu’en 1938 en Allemagne puis d’aider à intégrer le million de réfugiés qui arriva dans le jeune État d’Israël. Il est aujourd’hui mis à contribution dans ce pays lors des discussions portant sur ces questions.

15On attachera aussi un prix particulier aux Schriften zur Bibelübersetzung attribué judicieusement à Ran HaCohen (vol. 14, 2012, 363 p.). Buber à publié une extraordinaire traduction de la Bible en allemand avec son ami Franz Rosenzweig qui fut un événement lors de sa parution en 1925. Alors que la « Bible Juive » n’était pour l’exégèse chrétienne qu’un « Ancien Testament », ils souhaitèrent la rendre au peuple qui l’avait composée et reçue et méditée depuis des siècles. Aussi firent-ils un travail sur la langue allemande afin de faire entendre de l’hébreu ! En effet les Juifs ne la connaissaient pour la plupart que dans l’allemand de Luther ! Les cahiers sortirent régulièrement jusqu’en 1929, année de la mort de Rosenzweig. Buber la continua tout seul bien plus tard à Jérusalem. Ce volume très érudit présentent les textes rédigés pour défendre des choix de principes et de traductions face aux objections venues de plusieurs camps, orthodoxes, libéraux…, sa traduction est désormais disponible en livre de poche en quatre volumes à la Deutsche Bibelanstalt (1992) après avoir été rééditée… dix fois ! Inutile de préciser qu’on possède l’exemplaire annoté de Buber et même ses corrections d’épreuves car il n’a cessé de travailler sur cette œuvre !

16Les plus novateurs pour le judaïsme sont bien entendu Die Erzählungen der Chassidim, car Buber aujourd’hui encore est considéré comme le redécouvreur de cette mystique juive née en Pologne au XVIIIe siècle, décimée par la Shoa et aujourd’hui encore d’une surprenante revitalité de par le monde. C’est le même éditeur (18, 1-2, 2015, 1299 p.) qui s’en est chargé avec érudition et compétence. Il avait aussi signé la préparation de Gog und Magog. Eine Chronik (vol. 19, 2009, 303 p.). On connaît les critiques vives de Gershom Scholem à son encontre (lui-même contesté aujourd’hui par son successeur Moshe Idel). Ces deux volumes offrent une véritable réhabilitation de la science de Buber en la matière, pas très surprenante lorsque l’on se souvient qu’il a été scolarisé à Lemberg (aujourd’hui L’viv) après le divorce de ses parents à l’âge de trois ans jusqu’à son retour comme étudiant à Vienne en 1896 (l’année de la publication de L’État des Juifs). Cette édition profite aussi du nouvel engouement pour la mystique juive et le hassidisme dont Buber fut un des promoteurs en Europe. On attend avec impatience une nouvelle histoire de ce mouvement par une équipe animée par David Biale. C’est un des aspects positifs de la chute du mur et de la dislocation du glacis soviétique : en effet il est désormais possible, non seulement de conduire des recherches dans les bibliothèques de Pologne et de toute la Mitteleuropa, mais encore nous disposons aujourd’hui d’une génération de savants juifs possédant toutes ces langues slaves ! Des collections d’ouvrages et de manuscrits restèrent cachées durant le nazisme et le communisme et ne furent retrouvées qu’après 1989 ! Il faut aussi noter que Buber fut aidé dans cette tâche par son épouse Paula Buber (1877-1958), elle-même auteure sous le nom de Georg Munk d’une œuvre qu’on redécouvre aujourd’hui. Cette figure mériterait d’ailleurs une belle monographie. Née à Munich dans une famille catholique, elle fut d’abord institutrice puis la secrétaire, (et la maîtresse) d’un gourou célèbre Omar Al Rashid Bey (en réalité Helvig Arnd) et de son épouse Hélène Böhlau. C’est Thedor Lessing qui l’emmène à Zurich pour des études de Germanistik en 1899 où y étudie le jeune Martin Buber. Ils ne se sépareront plus et auront deux enfants avant de se marier en 1907. Convertie, elle rédigera des articles sionistes puis des romans à clefs.

17C’est justement sa petite fille, la sociologue Judith Buber-Agassi qui s’est chargée de l’édition des Schriften zur Psychologie und Psychotherapie (vol. 10, 2008, 313 p.). Ce volume traite de la polémique avec Carl Gustav Jung, offre une transcription du débat avec Carl Rogers mené le 18 avril en 1957 à l’université du Michigan. Pourtant voisin de Freud à Vienne, Buber n’aimait pas la psychanalyse et s’en est expliqué plusieurs fois. On trouve aussi des extraits d’ouvrages comme Le Problème de l’homme (1943) ou du Chemin de l’homme selon la doctrine hassidique (1948) ainsi qu’un choix de lettres avec Ludwig Binswanger et Hans Trüb.

18Buber s’est très tôt intéressé aux rapports entre le judaïsme et le christianisme. Scolarisé (en polonais) dans un lycée de Lemberg, il assistait tous les jours à la prière dans sa classe. C’est Karl-Joseph Kuschel, professeur à l’université de Tübingen et longtemps directeur de l’Institut de recherche œcuménique et interreligieuse de cette université qui fut chargé du volume des Schriften zum Christentum (vol. 9, 2011, 504 p.). On trouve bien entendu les actes de la polémique venimeuse avec Gerhard Kittel de 1933 mais aussi son grand livre sur la question des rapports entre ces deux confessions, Deux manières de croire (1950), ainsi que le discours en mémoire de son ami Leonard Ragaz du 6 décembre 1945. Les lettres avec Karl Thieme montrent sa volonté de se rapprocher des chrétiens allemands immédiatement après la guerre. Les rapports précis de Buber avec l’Allemagne après la guerre sont un chantier très prometteur. Il est régulièrement invité à Tübingen, [2] apparaît dans un séminaire de Gerhard von Rad à Heidelberg, intervient à Berlin, etc.

19Sous le titre de Schriften zum Messianismus (vol. 15, 2014, 743 p.), on trouve les grands livres de commentaires bibliques La Monarchie de Dieu (1932, ouvrage réédité augmenté en 1936) et les quelques parties publiées qui devaient constituer un volume intitulé Der Gesalbte. En effet Buber souhaitait rédiger un grand œuvre sur le messianisme juif selon sa conception d’une histoire théopolitique Il faut savoir gré à Samuel Hayim Brody d’avoir remplaçé l’éminente buberlogue Francesca Albertini de Potsdam, responsable du volume, décédée à la tâche. Il a trouvé aussi le protocole d’un groupe de travail animé par Buber sur des extraits du livre de Samuel datant de 1928. Les Frühe religionswissenschaftliche Schriften (vol. 2,1, 2013, 538 p.) offre pour la première fois la thèse de Buber Zur Geschichte des Individuationsproblems (Nicolaus von Cues und Jacob Boehme), non éditée à l’époque mais que nous pouvons déjà lire désormais en anglais et en italien. On annonce même une traduction française chez Beauchesne. La thèse soutenue en 1904 était sous-dirigée par Friedrich Jodl et Laurenz Müllner de l’université de Vienne. Franz Rosenzweig en avait proposé quelques pages dans le recueil d’hommages à Buber pour ses 50 ans en 1925, petit volume qui n’avait pas échappé à Walter Benjamin ! [3] Ce volume rassemble des textes de Buber sur le mythe et la mystique avec des pages sur Gustav Landauer et les introductions des livres sur le Kalevala et les Quatre rameaux du Mabinogi. Les « Trois discours » de Berlin (hiver 1927-1928) concerne ses rapports conflictuels avec le groupe d’Oskar Goldberg ; le texte sur la « science des religions » atteste des plans répétés de Buber pour fonder un Institut des sciences des religions à l’université hébraïque. Les deux textes les plus importants du volume sont à notre avis : « Communauté ancienne et nouvelle » (été 1900) et « L’Esprit de l’Orient et le Judaïsme » (1915). Pour lui les Juifs doivent être un pont entre Orient et Occident. Après la déclaration Balfour (1917), il se méfiera d’un État fondé à l’ombre des fusils anglais. On retrouvera aussi l’intervention de Buber lors du la première réunion des sociologues allemands (19-22 octobre 1910) à Francfort.

20Ces volumes sont remarquables autant par le soin apporté à leur réalisation que par les textes choisis qu’ils permettent de lire ou de relire avec tous les commentaires et index requis. Il est aussi appréciable que les responsables de cette édition aient fixé la fin de cette entreprise dans un délai proche.

21Espérons que cet effort provoque des recherches aussi en France où Buber a été régulièrement et très bien traduit depuis 1925. Il connaissait excellemment notre langue dès son enfance et participa en 1913 en tant que Dramaturg à la célèbre première de l’Annonce faite à Marie dans le mythique Théâtre de Hellerau. Il y rencontra alors Paul Claudel. On se souvient que le Je et Tu (1923) fut disponible en français en 1938 grâce à Geneviève Bianquis et… Gaston Bachelard, connu à Pontigny. Il a été l’objet de plusieurs ouvrages dus à Robert Misrahi (1968), Theo Dreyfus (1968) et beaucoup plus récemment Maurice Ruben-Hayoun (2013). On attend la thèse de François Prolongeau à soutenir en Sorbonne sur ce penseur. [4]

Notes

  • [*]
    Dominique BOUREL, Directeur de recherche, CNRS, Centre Roland Mousnier (Sorbonne, Paris IV), 1 rue Victor Cousin F-75230 PARIS ; courriel : dominique.bourel@paris-sorbonne.fr
  • [1]
    Martin Buber : Werkausgabe (=MBW), Gütersloh : Gütersloher Verlagshaus, 2001 sq. (21 volumes prévus).
  • [2]
    Voir le tout récent Matthias Morgenstern/Reinhold Rieger (Hrsg.) : Das Tübinger Institutum Judaicum. Beiträge zu seiner Geschichte und Vorgeschichte seit Adolf Schlatter, Stuttgart : Franz Steiner, 2015 (= Contubernium. Tübinger Beiträge zur Universitäts- und Wissenschaftsgeschichte, 83).
  • [3]
    Voir la traduction française du court texte de Benjamin dans WB : Sur Kafka, édité et présenté par Christophe David et Alexandra Richter, Paris : Nous, 2015, p. 291-292.
  • [4]
    On trouvera une liste des traductions françaises de Buber en appendice de notre Martin Buber. Sentinelle de l’humanité, Paris : Albin Michel, 2015, p. 796-797.
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