Dialogue 2002/4 no 158

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Article de revue

Dans le contexte d'un placement familial

Les grands-parents captateurs ou abusifs ou les ratés de la transmission de la fonction parentale chez certains grands-parents

Pages 77 à 84

1Les grands-parents ont généralement une image paisible, réconfortante, très positive. Pourtant, comme les mères abusives, les grands-parents abusifs existent, et plus qu’on ne le croit.

2Dans ma pratique de psychologue au sein d’un placement familial, j’ai pu en rencontrer un certain nombre. Dans ce contexte, il y a eu une décision judiciaire de placement d’un enfant dans une famille d’accueil, mais les parents continuent de jouir de l’autorité parentale et l’article 375.1 et 375.2 du Code civil précise : « S’il est nécessaire de placer un enfant hors de chez ses parents, ceux-ci conservent un droit de correspondance et un droit de visite. Il en est de même pour les grands-parents. Le juge en fixe les modali~tés et peut même, si l’intérêt de l’enfant l’exige, décider que l’exercice de ces droits ou de l’un d’eux sera provisoirement suspendu. Toute décision doit être expliquée aux parents et doit être aussi écrite, car elle rappelle le cadre de la loi et les interdits sociaux aux parents. Les père et mère dont l’enfant a donné lieu à une mesure d’assistance éducative conservent sur lui l’autorité paren~tale et exercent tous les attributs qui ne sont inconciliables avec l’application de la mesure. »

3Les grands-parents ont eux aussi des droits : recevoir leurs petits-enfants, correspondre avec eux, jouir d’un droit de visite dans les institutions où ils sont accueillis, avec l’accord du juge. Mais ils ne peuvent pas prendre de décision concernant leurs petits-enfants sans l’accord des parents.

4Or, j’ai souvent remarqué, lors des entretiens avec les grands-parents qui venaient voir leur petit-fils ou leur petite-fille au service de placement, que, par le passé, ils avaient eu tendance à évincer les parents et à se substituer à eux dans l’éducation de leurs petits-enfants. Ces grands-parents se compor~tent comme si leurs fils ou fille avait été déchu de sa place de père ou de mère.

5Que s’est-il passé dans ces familles pour aboutir à une telle confusion ?

6On constate que les grands-parents dont nous parlons ici ont vécu des trau~matismes graves, par exemple la guerre, quand ils étaient eux-mêmes enfants ou adolescents. Ils ont eu peur et faim, ils ont souvent perdu des membres de la famille proche – père, mère, oncle, frère ou sœur… Ces pertes et souf~frances précoces ont pu être à l’origine de troubles de la personnalité, puis de dysfonctionnements de la relation avec leurs enfants.

7Quant aux parents actuels d’enfants placés en famille d’accueil, le nombre croissant d’entre eux qui présentent des maladies mentales (névrose narcissique, psychose, conduite sadique et masochiste) m’ont conduite à m’interroger sur les relations conflictuelles qu’ils ont pu avoir avec leur père et mère – liées notamment à la confusion des rôles, des places et des fonc~tions dans la famille – et à me poser des questions sur ce qui est arrivé aux grands-parents.

La confusion des places et des fonctions

8Dans ces familles, j’ai observé qu’existe une relation fusionnelle, une non-différenciation des générations, qui semble se transformer, à la seconde génération (celle des parents), en une relation mortifère, qui fluctue constam~ment entre l’amour et la haine. La grand-mère a tendance à usurper la place de sa fille (fils) et à la (le) disqualifier dans son rôle de mère ou de père. Le petit-enfant devient alors le centre des enjeux familiaux. La grand-mère tend à se l’approprier.

Le fils désigné de la grand-mère

9Dans les familles où j’ai noté une telle confusion de générations, un des enfants a souvent été désigné dans la fratrie comme « mauvais ». Ses parents (les actuels grands-parents) se montrent déçus de ce qu’est devenu ce fils ou cette fille, alors que le ou les autres enfants ont plutôt mieux réussi leur vie. « Ils ont un bon travail, une famille équilibrée », disent-ils. À l’inverse, le fils ou la fille « désigné » a raté sa scolarité, a fugué, a toujours posé « pro~blème »…

10La plainte des grands-parents se focalise alors sur l’incapacité de leur fils ou fille d’être un bon parent. Ils sont persuadés qu’il ou elle est incapable d’élever son ou ses enfants. Ils estiment qu’eux seuls (les grands-parents) seraient à même d’occuper cette place, puisqu’ils donnent l’exemple d’un modèle familial réussi et toutes les apparences d’une solide expérience.

11Le jugement critique des grands-parents est souvent lapidaire. Certains vont jusqu’à souhaiter adopter leur petit-fils ou fille, marquant le désir, si cet acte était officialisé, de la déchéance légale de leur fils ou fille en tant que parent. Dans leur fantasme, ce fils ou fille deviendrait le frère ou la sœur de son propre enfant, car il aurait les mêmes parents.

12J’ai pu être témoin d’une telle adoption des petits-enfants par leurs grands-parents. Acte qui va à l’encontre de la reconnaissance de la succession des générations, de l’ordre et de la fonction symbolique que doivent occuper les parents.

« Tout le monde compte sur moi »

13Cette vignette clinique éclaire la nature et l’origine de la souffrance parentale et la substitution de la place de mère par la grand-mère.

14À l’admission d’un enfant au centre de placement familial, il est d’usage que le directeur de l’établissement reçoive en priorité les parents, pour leur présenter le cadre institutionnel ainsi que les règles de fonctionnement. Mais ce jour-là, pressé par le temps et les vacances scolaires imminentes, et sou~haitant que les présentations soient faites avant les congés, le directeur décide de réunir, pour le premier contact, tout le monde à la fois : l’ensemble des personnes et des intervenants sociaux concernés par la situation de Jean-Michel, 12 ans. On n’avait donc pas d’abord reçu le père. Étaient présents l’enfant, sa grand-mère (chez qui il avait passé le week-end), son père, l’édu~catrice du foyer où il vivait depuis deux ans, l’éducatrice et la psychologue du placement familial, ainsi que la famille d’accueil pressentie pour garder le jeune garçon.

15La mère de Jean-Michel avait disparu, personne ne savait où elle était.

16Le directeur du service était absent. Nous avions brûlé les étapes et nous nous retrouvions là réunis autour d’une table, ce qui donna lieu à un véritable psy~chodrame. Le père de Jean-Michel était en colère. Il se montrait réticent à l’idée que son fils quitte le foyer de jeunes où il avait déjà passé deux ans pour aller dans une famille d’accueil qu’il ne connaissait pas. Il admettait pourtant que son fils restait très infantile pour ses 12 ans, donc qu’il pourrait encore bénéficier d’un cadre familial pour grandir.

17Devant ce nouveau contexte de séparation d’avec son petit-fils, la grand-mère ne cessait de pleurer, car elle l’avait élevé petit, quand il avait entre 4 et 8ans, période marquée d’un conflit important entre le père de Jean-Michel et sa seconde épouse. Plus tard, de 10 à 12 ans, l’enfant avait été placé dans un foyer de l’Aide sociale à l’enfance.

18Une fois apaisée, la grand-mère nous fit la requête de garder des contacts directs avec l’assistante maternelle, de visiter son domicile pour savoir où logerait dorénavant son petit-fils et de recevoir tous les week-ends Jean-Michel chez elle.

19Le père, lui, ne revendiquait rien. Il ne pouvait héberger son fils, car il vivait dans un studio trop petit avec sa compagne et il n’y avait plus de place pour ce grand garçon. Il protégeait en revanche sa mère, en insistant sur le fait qu’elle avait besoin de voir Jean-Michel, qu’elle considérait comme son propre fils.

20La grand-mère renvoyait cependant des paroles blessantes à son fils sur son incapacité d’élever ses enfants : « Que veux-tu, voilà où tu en es, tu as trois enfants qui vivent soit avec leur mère soit chez leur grand-mère, et celui-ci qui a atterri à la DASS ! Quelle honte ! Tu n’es pas un père, tu es resté un adolescent irresponsable ! Je ne comprends pas, moi je me suis sacrifiée pour mes enfants tout en travaillant, j’ai élevé ensuite le tien pendant quatre ans et je continue de garder les filles de ta sœur… D’ailleurs, je reçois mes six autres petits-enfants à la maison… Même après la mort de ton pauvre père, j’ai continué à travailler, et toi tu n’es même pas capable de t’occuper de ton fils… Heureusement que je suis là, car tout le monde compte sur moi, on ne peut pas se permettre de vieillir… » Et le père de Jean-Michel de projeter son agressivité sur son fils :
« Alors, Jean-Michel, tu restes muet, comme d’habitude ! Tu ne dis jamais rien, tu es renfermé sur toi-même. Tu vois, tu fais pleurer ta grand-mère ! »

21Le jeune garçon, atteint par les paroles de son père qui faisaient écho à celles de sa grand-mère, restait sidéré, mais il extériorisa son émotion en devenant rouge d’angoisse.

22Face à la souffrance exprimée par tous les membres de la famille, nous sommes intervenues pour recadrer l’entretien, rassurer les uns et les autres, repréciser la place de chacun, le fait que c’est au père et non à la grand-mère que revenait l’autorité parentale et que, malgré l’amour qu’elle lui portait, Jean-Michel n’était pas le fils de sa grand-mère et ne le serait jamais. Ses parents resteraient prioritaires, c’est eux qui avaient l’autorité parentale, c’était écrit dans la loi.

Les parents mal jugés

23Cette situation est typique de la plupart des entretiens parents/grands-parents auxquels nous assistons dans notre service. Nous y percevons l’agres~sivité et les projections destructrices de la grand-mère à l’égard de son fils, la dévalorisation de sa place de père au profit de la toute-puissance grand~maternelle.

24Pourtant, les grands-parents sont souvent considérés par les intervenants sociaux et judiciaires comme les garants de la structure familiale restante. Ils font figure de piliers de la famille. On ne se pose pas la question de savoir pourquoi ils ont considéré ce fils ou cette fille comme un « mauvais enfant » et ensuite comme un « mauvais parent ». Et, lors de la procédure judiciaire (enquête sociale, psychologique) qui précède la décision du juge de placer un enfant dans un foyer ou dans une famille d’accueil, les grands-parents sont rarement repérés comme pathogènes ou porteurs d’une pathologie.

25Pour des parents comme ceux de Jean-Michel, nous pouvons imaginer les effets destructurants de la disqualification qu’ils ont vécue de la part de leurs parents, d’abord en tant que fils ou fille, puis en tant que père ou mère. Ces parents dénigrés par leurs ascendants vivent là un renforcement de leurs échecs et de leurs défaillances, qui se trouvent stigmatisés sur deux registres : le registre légal, puisque le juge a décidé de les séparer de leur enfant, et le registre familial affectif.

Histoire de la grand-mère de Jean-Michel

26Afin de mieux comprendre ces phénomènes de répétition pathogène de la parentalité, je propose d’analyser des éléments de l’histoire de la grand-mère de Jean-Michel.

27Madame M. a élevé ses quatre enfants tout en travaillant comme ouvrière en région parisienne. Elle a aujourd’hui huit petits-enfants et une de ses filles vit près de chez elle. Elle garde souvent les trois enfants de sa fille, dont elle s’occupe en grande partie.

28Sa belle-fille, la mère de Jean-Michel, jeune femme décrite comme très perturbée, a quitté le père et n’a pas souhaité reprendre contact avec ses deux enfants. La petite sœur de Jean-Michel vit chez la grand-mère maternelle. Jean-Michel a d’abord été tiraillé entre ses deux grands-mères, puis il est allé vivre avec son père, qui entre temps s’était remis en couple et avait eu un autre fils.

29Mais ce nouveau couple va se séparer et la mère obtiendra la garde de son enfant. Jean-Michel retourne alors vivre quelque temps chez sa grand-mère paternelle. Celle-ci ne veut pas le garder. Son père ne peut lui non plus assurer son éducation, et Jean-Michel se retrouve au foyer de la DASS. La grand-mère ne s’en étonne pas, car elle considère son fils comme un adoles~cent irresponsable.

30La grand-mère nous raconte qu’elle-même a perdu sa mère lorsqu’elle avait 3 ans, brutalement décédée d’une infection généralisée à 26 ans, en laissant trois enfants en bas âge. C’est son père et sa grand-mère qui les ont élevés.

31La famille était pauvre. Le père de Madame M. était ouvrier agricole et travaillait beaucoup. Madame M. n’alla à l’école que jusqu’à 12 ans. Elle dut aider à la ferme à 13 ans. La vie était rude pendant la guerre et sous l’occu~pation. Elle se souvient des privations et de la peur au ventre qui tenait la famille aux aguets.

32Elle décrit sa grand-mère comme très autoritaire. « Elle donnait des ordres à tout le monde, à mon père aussi. C’était une Gorgone. »

33À 13 ans, un autre drame secoue sa vie : son père meurt d’une crise car~diaque. Elle devient ainsi orpheline de père et de mère. Il lui faut continuer de travailler pour ramener de quoi vivre à la maison. Il y a la grand-mère et les frères et sœur à nourrir.

34De génération en génération, ce sont les grands-mères qui éduquent les enfants de leurs fils.

35Madame M. n’a guère eu d’enfance, plongée dans le deuil de sa mère morte prématurément, laissant un vide difficile à combler.

36Elle n’aura pas d’adolescence, car, à peine sortie de l’enfance, elle subit un nouveau deuil, la mort de son père. Les coups traumatisants de la vie l’obligent à grandir trop vite pour assurer la survie de sa famille.

37Elle qui a manqué si cruellement de mère va rapidement se marier, à 17 ans, quitter la campagne et créer à son tour une famille. Elle donnera nais~sance à quatre enfants. Peut-être tout ce petit monde-là pourra-t-il chasser les pleurs et les peurs de l’enfance ?

38Aujourd’hui, le traumatisme initial semble se répéter : une partie de ses petits-enfants sont eux aussi privés de mère. C’est le cas de Jean-Michel, qui ne voit plus sa mère. Et Madame M. élève les enfants de sa fille comme sa grand-mère l’a élevée. Ainsi se reproduisent les situations douloureuses. À la disparition prématurée de la mère de Madame M., l’abandon de Jean-Michel par sa mère fait écho.

39Madame M. a-t-elle vraiment pu faire le deuil de sa mère, puis de son père ? A-t-elle pu faire le deuil de la famille qu’elle a perdue, et qu’elle a récréée à travers ses enfants et ses petits-enfants ?

40La carence d’amour filial doublée d’un deuil maternel alors que la grand-mère avait 3 ans ont favorisé un repli narcissique et un besoin de faire des enfants pour se protéger et se renforcer en les gardant près d’elle. Son exis~tence a été jalonnée de drames : guerre et lutte pour la vie, mort d’un enfant à la naissance, maladie de son fils (le père de Jean-Michel), enfant chétif et physiquement fragile. Traumatismes de guerre et traumas affectifs répétés, Madame M. a supporté tous les coups du destin sans pouvoir les mentaliser. On peut penser que ses descendants ont reproduit à leur insu ce qui n’a pas été symbolisé par la grand-mère : le rejet et l’abandon de l’enfant à la géné~ration du père de Jean-Michel et la disparition de la mère de celui-ci dans la réalité. Donc, un abandon de fait.

41Les grands-mères « captatrices » ou « abusives » compensent leur manque d’amour et colmatent leurs angoisses à travers les enfants et les petits-enfants qu’elles élèvent de génération en génération. Elles se montrent tyranniques, harcèlent leurs enfants, protestent, accusent, demandent toujours plus, écrasent leur fils ou fille « désigné » de vindictes et de reproches, car ce qu’il fait ne correspond jamais à leur attente.

Les grands-mères mélancoliques

42Sur le plan psychopathologique, la perte précoce des parents peut expli~quer le déni de mort chez les grands-parents. K. Abraham a décrit le premier une des caractéristiques fondamentales de la mélancolie, l’ambivalence des sentiments d’amour et de haine. L’étiologie de la mélancolie remonterait à une dépression archaïque du sujet. Les blessures narcissiques, les frustrations précoces, les divers traumatismes dans l’enfance sont à relier au sentiment d’abandon, de solitude et de détresse qu’éprouve le mélancolique.

43Les adultes déprimés peuvent garder par la suite un surmoi rigide, tantôt protecteur, tantôt possessif, dont le tableau dominant est l’agressivité, véri~table vengeance contre l’objet d’amour perdu (la mère).

44Le processus de défense est essentiellement la projection, comme nous l’observons dans les relations mère-fils décrites dans ce récit.

Réassigner la place de chacun dans sa famille et sa génération

45Au placement familial, nous invitons les grands-parents à des entretiens réguliers avec leur fils ou fille. Dans le cas qui nous occupe ici, ces entretiens avec les parents et les grands-parents permettent de recueillir la plainte des uns et des autres et l’histoire douloureuse vécue par chaque génération. Ils nous font appréhender les raisons des souffrances subies et partagées, encou~ragent l’écoute mutuelle et permettent que les parents et les grands-parents se parlent « pour de vrai ».

46Après plusieurs rencontres, on assiste souvent à une bascule : l’agressi~vité de la grand-mère se transforme en empathie pour son fils ou fille et elle reconnaît dans la douleur de son enfant sa propre douleur. Cette double iden~tification lui permet de retrouver sa place de mère de ce fils ou de cette fille, et au fils ou à la fille d’être reconnu dans sa souffrance de père ou de mère à qui on a retiré son enfant.

47Les causes de ce retrait, leur anamnèse, les raisons psychologiques de la séparation familiale vont pouvoir être parlées. Nous allons œuvrer ensemble pour que les grands-parents retrouvent la parole pour transmettre non plus des pulsions mortifères et agressives, mais de la vie, au-delà des trauma~tismes et de leurs défenses de survie.

48Retrouver la mémoire, c’est aussi accepter le passé et réassigner la place de chacun dans sa généalogie.

Bibliographie

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Mots-clés éditeurs : traumatisme, confusion des rôles, Parentalité, transgénérationnel

https://doi.org/10.3917/dia.158.0077

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