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Article de revue

Éditorial

Approche plurielle en psychomotricité

Pages 5 à 16

1La psychomotricité a été initiée en France autour de Julian de Ajuriaguerra et de Mme Soubiran, qui créent, à l’hôpital Henri-Roussel, un service de rééducation psychomotrice. Une première formation débute en 1963 à la Salpêtrière avec la création d’un « certificat de capacité en rééducation psychomotrice » (Galopin, Guyton, 2003).

2En 1959, J. de Ajuriaguerra quitte la France pour Genève, où il est nommé professeur à la faculté de médecine. Dans le cadre de l’université, il crée en 1964 un diplôme de « rééducateur de la psychomotricité ». La première volée de diplômés sort, déjà, en 1966 (Wittgenstein Mani, 2007).

3Cette formation s’appuyait sur les perspectives théoriques développées par H. Wallon, relayées par J. de Ajuriaguerra. Les ressources propres au bassin romand ont permis d’incorporer à cette formation certains aspects de la rythmique développée par J. Dalcroze ainsi que les perspectives psychologiques et psychopédagogiques dérivées des travaux de P. Bovet, É. Claparède et J. Piaget.

4Dès cette date, des formations en psychomotricité fleurissent en France avec des perspectives qui pondèrent différemment les composantes théoriques de l’enseignement. Ces formations conçues à l’articulation de plusieurs champs théoriques reflètent le fait que le développement humain est le fruit d’un tissage de plusieurs dimensions, biologiques, physiques, sociales et émotionnelles. Par la suite, elles ont pu connaître des dérives, sources de tensions entre des « écoles » ayant des orientations différentes.

5Cette diversité aurait dû être reflétée dans ce texte par la participation active de Mme Geneviève Haag qui, par ses écrits, sa présence dans diverses institutions et ses rencontres avec des enfants est d’un apport essentiel pour la psychopathologie de l’enfant en général, et pour la psychomotricité en particulier. Les circonstances actuelles n’ont pas permis sa participation à ce texte, pourtant sa présence est perceptible dans la plupart des contributions de cet ouvrage. Restent deux compagnons, les auteurs de ce texte, qui vont, à leur manière, alimenter une réflexion à propos de la psychomotricité.

6Les différents axes du développement peuvent être détaillés et mis en articulation avec d’autres approches plus directement psychopathologiques qui semblent compatibles avec eux. C’est ainsi que nous pouvons décrire, à partir de la réflexion menée par l’un d’entre nous depuis de nombreuses années, une succession d’étapes à franchir, éclairées par une lecture psychopathologique qui se complexifie au fur et à mesure et permet ainsi de passer des premières représentations motrices et psychomotrices aux représentations psychiques et formelles. Dans cette approche plurielle, la psychomotricité acquiert toute la pertinence de sa spécificité, et les psychomotriciens trouvent la justification de leurs approches thérapeutiques.

7Les différents espaces que le bébé investit au cours de son développement peuvent se caractériser de la manière exposée ci-après (Bullinger, 2006).

8Le premier espace, l’espace utérin, a des caractéristiques sensorimotrices particulières. Les signaux sensoriels qui parviennent au fœtus entraînent le plus souvent des réactions toniques. Elles se manifestent par une extension de tout le corps, qui trouve un appui sur le placenta et la paroi utérine. Les réactions de l’enceinte, des contractions, vont amorcer un dialogue entre le fœtus et sa mère, assurant une posture globale en enroulement. Au sein de cet espace, on relèvera que l’activité orale (exploration, succion, déglutition) est déjà présente. Cette activité instrumentale exercée in utero va se révéler cruciale après la naissance. Au moment de la naissance, c’est l’espace oral qui va être investi.

9La naissance entraîne de nombreuses transformations des conditions de vie. Le nouveau-né doit assurer sa respiration et les échanges sanguins qui lui correspondent. Il doit passer d’une alimentation passive et continue par perfusion à une alimentation active et fractionnée. Il a perdu un contenant qui lui assurait un arrière-fond qui s’ajustait et contenait ses extensions. Il doit retrouver, dans ses interactions avec son milieu humain, les moyens de cette contenance qui assure les mises en forme indispensables aux activités alimentaires. Il faut considérer que le repas constitue une chaîne narrative. C’est la cohérence de cette séquence qui permet au bébé de régler sa conduite.

10On peut identifier les éléments suivants : le repas est initié par une appétence et une tension liées à l’état interne de l’organisme. Les éléments olfactifs permettent, par leur gradient, d’orienter le nourrisson vers la source. La conduite de capture est faite d’une extension du buste qui trouve son appui sur le porteur, l’ouverture de la bouche précède le mouvement du buste et de la tête vers l’avant en direction du sein. Si l’appui postural est adéquat, l’activité d’exploration et de succion peut s’engager. Le repas va alors se dérouler jusqu’à la satiété, et les interactions avec le porteur vont donner sens à la séquence. Le défaut de l’appui va transformer la conduite de capture en une conduite d’agrippement qui entraîne un recrutement tonique diffusant dans tout l’organisme. Le besoin de tenue est tel que cette conduite inhibe les conduites d’exploration et de succion. L’agrippement mobilise et fige les moyens instrumentaux, supprime l’espace que les coordinations faisaient exister. Ne reste qu’un « collé à ». Le sentiment d’existence ne semble tenir qu’à ce contact. Un arrière-fond est indispensable pour qu’un espace d’actions instrumentales se déploie et se spécifie, faisant exister l’espace oral comme zone d’échange et de contact. La maîtrise de l’espace oral préfigure par ses exigences de mise en forme et de coordination une bonne partie de la suite du développement. Outre les situations de repas, retrouver les positions en enroulement va également être crucial pour l’endormissement et pour les situations de dialogue avec le milieu humain. L’étape suivante du développement concerne l’espace du buste. L’équilibre entre la musculature du plan antérieur assurant la flexion et la musculature du dos assurant l’extension stabilise le buste. Le rôle de la respiration (le tonus pneumatique) comme moyen transitoire de maintien de la posture s’estompe. Cet équilibre crée les conditions pour que le système visuel focal trouve un appui (un arrière-fond) permettant de quitter sa fonction fovéale d’agrippement pour, à travers les coordinations avec le système visuel périphérique, donner lieu à une activité d’exploration. C’est un moment du développement où l’on voit l’activité oculomotrice passer d’un mode de fonctionnement à l’autre en fonction des appuis extérieurs offerts. Les praxies oculomotrices, permettant une activité d’exploration, sont dépendantes de cet appui postural. À défaut, les agrippements visuels se substituent au manque d’arrière-fond et entraînent une tenue figée du bébé.

11L’espace du torse est réalisé par la coordination des espaces gauche et droit du corps. Dans cette coordination, la bouche joue un rôle crucial de relais pour inscrire l’espace oral dans l’espace de préhension.

12La constitution de l’axe corporel, qui rend possible les rotations du buste, transforme également le rôle des mains. Les dissociations toniques entre les côtés gauche et droit du corps vont permettre aux mains des activités différenciées de coopération qui relaient le rôle explorateur de la bouche. Les défauts de cette coordination vont retentir sur la zone orale, qui aura peine à quitter son rôle de moyen d’exploration et de relais. L’élaboration des praxies manuelles et la délimitation de l’espace de préhension vont être entravées. Tout se passe comme si l’espace oral avait « absorbé » l’espace de préhension. Les agrippements que l’on observe à ce niveau concernent les deux mains, qui se rassemblent comme pour retenir les deux moitiés du corps. Les rôles des deux mains ne sont pas différenciés et peuvent donner lieu à des activités de manipulation compulsives d’où les finalités instrumentales sont absentes.

13Dans des situations de motricité globale, ce clivage entre les espaces gauche et droit du corps s’observe au niveau de la répartition tonique. Un des hémicorps est plus tonique sans que l’on puisse objectiver de base neurologique à cette différence. Normalement, c’est la coordination qui, progressivement, harmonise l’état tonique des deux hémicorps. Sans elle, les deux parties du corps ont une existence quasi indépendante : lors de la marche, un des bras peut être en chandelier alors que l’autre a un ballant normal. Si l’on impose à l’enfant de marcher sur des cibles placées au sol, on peut observer qu’un seul pied prend en compte la spatialité de la tâche, l’autre jambe maintient l’équilibre et ne se place pas en avant de l’autre. Tout se passe comme si un hémicorps était abandonné relativement à ses implications spatiales. Finalement, l’espace du corps se construit par une coordination entre le haut et le bas de l’organisme. Les capacités de redressement et de rotation qui se sont mises en place facilitent l’investissement du bassin. Son enroulement par un schéma de flexion (qui atteint son maximum entre 6 et 10 mois) permet une mobilisation des membres inférieurs dans leurs fonctions d’exploration et de portage du corps. Cette mobilisation du bassin, outre la capacité d’instrumenter le bas du corps, crée les conditions d’un contrôle progressif des sphincters. On constate la concomitance de cette maîtrise des sphincters avec la capacité pour le bébé de marquer nettement son opposition et d’avoir des colères orientées. Cette élaboration instrumentale du corps rend possible la maîtrise des relations spatiales dans l’espace des déplacements. Les agrippements que l’on observe à ce niveau sont du type « collé à » avec une différence de tonus importante entre les moments où l’enfant est au contact de l’adulte et s’abandonne sur le plan tonique et les moments où il est seul et se recrute par des cocontractions importantes. Ce mode de régulation par tout ou rien se retrouve parfois au niveau du contrôle des sphincters.

14Le défaut d’investissement du bassin entraîne une grande laxité de l’articulation de la hanche. Cette faiblesse tonique empêche les membres inférieurs de jouer complètement leurs rôles d’exploration et de portage. Tout se passe comme si les signaux issus des membres inférieurs étaient ignorés, rendant impossible un ajustement tonique, postural et praxique du bas du corps.

15Si l’on se place dans une perspective de développement, on constate que ce sont les moyens sensorimoteurs en cause à chaque étape du développement qui donnent lieu à des conduites particulières d’agrippement quand les appuis sont déficients : agrippement oral, visuel, manuel, corporel.

16Sur le plan instrumental, les troubles praxiques suivent le même décours. La sévérité des troubles est à relier à l’espace concerné. Pour nous, les troubles les plus sévères sont ceux liés à l’espace oral. Ils vont traverser tout le développement en perturbant l’alimentation, les coordinations gauche-droite, le langage… Mais si le développement du bébé au cours du stade sensorimoteur passe les différentes étapes qui viennent d’être rappelées, il est intéressant d’en faire une lecture complémentaire en appui sur la psychopathologie freudienne, et plus largement psychodynamique. Il nous apparaît que des rapprochements sont désormais possibles.

17Les successions évoquées sous forme d’espaces différenciés devenant progressivement plus complexes au fur et à mesure du développement présentent l’avantage de la compatibilité entre les deux champs en question. En effet, si l’on considère que chacun d’entre eux est un espace délimité par les potentialités que présente le bébé à cet instant de sa trajectoire vitale, il peut être utile de parler à ce propos en termes d’investissement de ces étapes. Bien sûr, une des questions en suspens reste le statut des inscriptions et des traces de la vie anténatale. Mais nous savons désormais que, quel que soit le statut de ces « souvenirs », une mémoire les retient et cela va permettre de fonder une différenciation perçue par le bébé entre avant et après sa naissance. C’est ainsi que le fœtus nourri en continu, enceint du muscle utérin et baignant dans le liquide amniotique, va percevoir des sensations en rapport avec cette niche écologique qui le contient. Et sur un plan pulsionnel, il est possible de parler des investissements que le bébé va faire de sa nouvelle vie aérienne. En effet, en naissant, il va perdre l’« entourance » du muscle utérin et le dialogue tonique qu’il avait déjà amorcé avec lui. N’étant plus entouré, il va avoir une tendance forte à se détendre, à se lancer dans la nouvelle atmosphère qu’il découvre. Cela donnera une grande importance à la notion d’arrière-plan, cet objet qu’il a connu avant la naissance et qu’il va rechercher et trouver dès après sa naissance, à tout le moins dans les bons cas. Et c’est en appui sur cet objet d’arrière-plan primaire (Grotstein, 1980) qu’il pourra « envisager » celle qui, lui confiant son sein, le nourrit désormais. Mais dès avant cette première situation structurante pour le bébé, ses sensations vont être soumises à un différentiel qui n’est pas sans conséquences sur la suite des événements : les sensations prénatales en ce qui concerne la pesanteur, la pression sur le corps et le nourrissage par voie sanguine sont remplacées par de nouvelles sensations dues à une pesanteur hors du liquide amniotique, à une pression sur l’ensemble de son corps qui a notablement décru, et à un nourrissage qui va devenir séquentiel et relativement actif pour le bébé. Dans cette perspective, les psychanalystes intéressés par cette période importante ont suggéré que le travail spécifique de psychisation de ces émotions et sensations nouvelles était pour une part dû à ce qui en était dit et montré aux parents pour leur bébé, qui, encore trop petit, ne peut décrypter seul ce qu’il est en train de traverser : la pesanteur qui pourrait le faire chuter est contrebalancée par l’attention des personnels de la maternité et des parents qui vont lui opposer une force exactement inverse, à peu près équivalente à la tenue que l’utérus exerçait pour le fœtus. La force des bras qui vont le porter, la fonction phorique (Delion, 2000), va devenir la référence pour le bébé, et constituer pour lui une sorte d’étalon de la bien-portance. Cet élément qui passe trop inaperçu est la matrice de l’attachement sécure dans lequel le bébé va se développer ultérieurement. Mais, à côté de ce premier élément fondamental, un deuxième va intervenir dont la signification doit être repérée : la section du cordon ombilical. Il ne s’agit pas de la fétichiser, mais plutôt d’en faire l’indice d’une étape symboligène intéressante. Cela revient à dire au bébé, en s’adressant à ses parents : « Jusque-là, tu étais nourri sans que tu y contribues, puisque c’était le circuit materno-placento-fœtal qui le faisait pour toi. Mais, maintenant, tu viens de découvrir que les effets de la pesanteur étaient différents, tu as crié dès que tes poumons se sont remplis d’air pour la première fois, et cela va te permettre de devenir autonome sur le plan respiratoire. Mais en ce qui concerne ton nourrissage, tu vas devoir y participer un peu. Voilà le sein de ta maman, il te faut le téter pour te nourrir. Sinon tu ne pourras pas survivre. » Cette manière de comprendre cette étape est utile, surtout pour comprendre les suivantes. Car, dès que le bébé se met à téter – et quand il ne le fait pas, cela devient un problème rapidement crucial –, il prend en main quelque peu son existence. On va voir dès lors les événements tourner pour lui autour de sa sphère orale. L’espace oral devient une étape incontournable. L’investissement de la sphère orale va se faire tel que décrit précédemment, mais, en fonction de l’histoire de chaque famille, la découverte du monde par les particularités de cet espace va forcément influer sur le développement de l’enfant. Tel enfant connaîtra des difficultés de nourrissage parce que la relation interactive est infiltrée d’angoisses du fait des expériences pénibles de la mère, tandis que tel autre traversera au contraire cette étape sans autre forme de procès. Vers la fin de cette longue période orale va se produire, à l’instar de la limitation symboligène ombilicale, une « castration orale » (Dolto, 1984), c’est-à-dire une annonce faite au bébé qui a valeur de le projeter vers un progrès dans son développement : « Jusqu’alors, tu tétais ta maman ; maintenant tu vas pouvoir faire autrement, manger par toi-même ce que je te proposerai ; si je t’impose cela maintenant, c’est parce que je pense que tu en es capable, et que tu ne pourras pas continuer toute ta vie ce mode de nourrissage. » Et le bébé de tenter de manger autrement, et de quitter cette proximité avec sa mère. Dès lors, il va entrer dans une période stratégiquement importante, puisqu’il s’agit de parvenir à maîtriser sa musculature. Non seulement sa musculature sphinctérienne pour devenir propre, ce que son groupe social demande avec insistance, par exemple pour pouvoir aller à l’école, mais surtout pour bifurquer de son rapport antérieur avec l’objet concret et réel vers un rapport désormais plus représentationnel. Il a pu, vers la fin de sa première année, accéder à la préhension manuelle, puis se mettre debout et, au début de sa deuxième année, commencer à marcher. C’est dire que ces capacités neuromusculaires lui donnent un sentiment de toute-puissance infantile à son apogée. Mais si les parents dans cette période charnière ne tempèrent pas cet éveil des potentialités par une limitation progressive en fonction des possibilités de la vie sociale, le bébé peut en déduire qu’il est possible de continuer sur cette voie et avoir prise sur le monde uniquement au gré de ses désirs. La castration anale que Dolto proposait peut être généralisée sous la forme de « castration musculaire » pour indiquer l’importance du message à faire passer à l’enfant : « Tu peux utiliser ta force musculaire jusqu’à la limite de ce qui pourrait procurer du désagrément à ton voisin. » Comme ce « conseil » vient à point nommé pour aider l’enfant à se retenir de sa seule jouissance égocentrique, il est important de constater que cela coïncide avec une réorientation de ses capacités personnelles, qui peuvent être abordées sous l’angle de l’attention conjointe. En effet, c’est à cette période que l’enfant commence à mieux utiliser le pointage protodéclaratif (Bruner, 1968), qui lui permet de montrer à son parent un objet l’intéressant sans avoir le besoin de le posséder, mais simplement pour partager les émotions qu’il lui procure. Ce faisant, il se rend compte que ce partage à propos d’un objet lui apporte beaucoup de satisfactions en rapport avec le développement de sa curiosité infantile. Dans cette perspective, nous sommes fondés à dire que l’enfant a bifurqué vers le langage articulé dans une parole, laissant à certaines occurrences le plaisir de la possession de l’objet convoité, mais n’en faisant plus la seule source de satisfaction pour lui. Nous voyons ainsi que les étapes décrites précédemment, les maîtrises successives des espaces oral, du buste, du bassin, du bas du corps, sont autant de passages nécessaires qui donnent à l’enfant les moyens d’habiter son corps en relation avec son milieu, et de prendre possession du monde. Cependant, nous constatons qu’à chaque fois ces étapes peuvent être envahies par des données qui n’appartiennent pas seulement à l’enfant ou à ses parents, mais résultent d’une articulation subtile entre les deux, non seulement en ce qui concerne les grandes pathologies de l’enfant, mais également au regard des équilibres entre sa toute-puissance et la limitation opérée vis-à-vis d’elle par la fonction éducative parentale. Les approches sensorimotrices s’enrichissent ainsi d’une approche complémentaire apportée par l’éclairage psychopathologique, et l’exemple des convergences entre le développement présenté par André Bullinger et la grille de repérage clinique de l’évolution de l’autisme infantile traité proposée par Geneviève Haag (Haag et al., 1995) montre à l’envi que la voie est désormais tracée. Il nous reste à en écrire les pages suivantes en détail…

Bibliographie

  • Bruner J. (1968), Process of Cognitive Growth Infancy, USA, Clark University Press.
  • Bullinger A. (2006) « Approche sensorimotrice des troubles envahissants du développement », Contraste, 25, 125-139.
  • Delion P. (2000), l’Enfant autiste, le bébé et la sémiotique, Paris, PUF.
  • Dolto F. (1984), l’Image inconsciente du corps, Paris, Éditions du Seuil.
  • Galopin J., Guyton E. (2003), « La psychomotricité française », mémoire de diplôme d’État de psychomotricité, formation Pitié-Salpêtrière, université Pierre-et-Marie-Curie, Paris-VI.
  • Grotstein J. (1980), « Primitive mental states », Contemporary Psychoanalysis, 16 : 479-546.
  • Haag G., Tordjman S., Duprat A. et al. (1995), « Grille de repérage clinique des étapes évolutives de l’autisme infantile traité », Psychiatrie de l’enfant, 38 : 495-527.
  • Wittgenstein Mani A.-F. (2007), « La psychomotricité en Suisse romande : une histoire de mouvements », Évolutions psychomotrices, 19/78.

Date de mise en ligne : 15/11/2012

https://doi.org/10.3917/cont.028.0005

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