Cet article tente de faire un lien entre la forme prise par la mémoire et l’espace psychique dans lequel cette mémoire se constitue. En l’occurrence, une différenciation se doit d’être faite entre une mémoire dont la permanence se fonde sur des processus introjectifs dans un monde en trois dimensions et une mémoire dite « adhésive », dont la permanence ne se fonde que sur une inscription en surface. Cette étude associe la trace mnésique bidimensionnelle à la pratique du tatouage, comme l’illustre une présentation clinique mettant en évidence les éléments traumatiques vécus par une patiente et ses répercussions non seulement dans la constitution de son identité mais en partie également dans la forme prise par sa mémoire.
Mots-clés
- Adhésivité
- espace psychique
- identification introjective
- représentation
- trace mnésique
Mots-clés éditeurs : représentation, espace psychique, trace mnésique, Adhésivité, identification introjective
Mise en ligne 26/04/2022
https://doi.org/10.3917/cohe.248.0062Cet article est en accès conditionnel
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