En 1956, Jung proposait d’intégrer la musique au travail analytique, celle-ci touchant à un matériel archétypique profond. À la condition d’une oreille désencombrée des représentations, un travail analytique à partir de la substance sonore que sont les mouvements vocaux de l’analyste et de l’analysant en séance, peut se dérouler. Conduisant à une forme de régression particulière à l’espace sonore, elle permet qu’une capacité rythmique vivante s’organise à partir de ce qui n’était qu’un chaos sonore.
MOTS-CLÉS
- Archétype de la temporalité
- Capacité rythmique
- Écho
- Empreintes
- Musique
- Régression sonore
- Synchronicité
- Tempo
- Traces
- Voix
Abstract
In 1956, Jung suggested music be integrated into analytic work, because it touches on deep archetypal contents. If one’s ear is unencumbered by representations, analytical work can depart from the sound substance constituted by the vocal movements of the analyst and analysand during a session. Leading to a particular form of regression of the sound environment, this material makes it possible to structure a living rhythmic capacity on the basis of what used to be sound chaos.
Mots-clés éditeurs : Écho, Archétype de la temporalité, Régression sonore, Musique, Capacité rythmique, Empreintes
Date de mise en ligne : 28/11/2012
https://doi.org/10.3917/cjung.136.0073Cet article est en accès conditionnel
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