Notes
-
[1]
Lacan J., « La chose freudienne », Écrits, Paris, Seuil, 1966, p. 407.
-
[2]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, Paris, Seuil, p. 242.
-
[3]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 814.
-
[4]
Lacan J., Le Séminaire, La logique du fantasme, séance du 15 février 1967, inédit.
-
[5]
Ibid., séance du 21 juin 1967.
-
[6]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 817.
-
[7]
Lacan J., « La psychanalyse vraie, et la fausse », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 171.
-
[8]
Lacan J., « La signification du phallus », Écrits, op. cit., p. 691.
-
[9]
Ibid.
-
[10]
Ibid.
-
[11]
Lacan J., Le séminaire, livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil, 1998, p. 382.
-
[12]
Lacan J., « La psychanalyse. Raison d’un échec », Autres écrits, op. cit., p. 343.
-
[13]
Lacan J., « Réponse à des étudiants en philosophie », Autres écrits, op. cit., p. 211.
-
[14]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[15]
Lacan J., « Réponse à des étudiants en philosophie », Autres écrits, op. cit., p. 211.
-
[16]
Cf. sur ce point Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 229.
-
[17]
Lacan J., « Discours à l’École freudienne de Paris », Autres écrits, op. cit., p. 266.
-
[18]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[19]
Lacan J., « Allocution sur les psychoses de l’enfant », Autres écrits, op. cit., p. 366.
-
[20]
Lacan J., « De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité », Autres écrits, op. cit., p. 356.
-
[21]
Lacan J., « La direction de la cure », Écrits, op. cit., p. 637.
-
[22]
Ibid.
-
[23]
Lacan J., « Discours à l’École freudienne de Paris », Autres écrits, op. cit., p. 266.
-
[24]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[25]
Lacan J., Le Séminaire, livre X, L’angoisse, Paris, Seuil, 2004, p. 62-63.
-
[26]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 814.
-
[27]
Ibid., p. 152.
-
[28]
Ibid., p. 243.
-
[29]
Ibid.
-
[30]
Ibid., p. 248.
-
[31]
Lacan J., Le Séminaire, livre X, L’angoisse, op. cit., p. 65.
1Lacan n’hésita pas à situer Freud dans la « lignée [1] » des grands moralistes, rendant hommage à ceux-ci d’avoir su montrer le caractère déviant et scandaleux du désir. Mais il y aurait aussi à dire sur les fables de Lacan, sur Lacan-le-moraliste et pas seulement Freud, sur le style de Lacan affine aux paradoxes du désir, pour dire ces paradoxes. Et c’est pourquoi je m’appuierai sur une de ses fables, extraite de son séminaire Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse.
2Ici, une fable faite pour dire les paradoxes du désir dans la cure, ainsi que ses destins possibles. Le récit de la fable est en effet précédée de cette question : Que se passe-t-il quand le sujet commence à parler à son analyste ? Imaginons pour y répondre, propose-t-il, que le sujet s’en aille dîner au restaurant. Voici donc notre sujet renvoyé directement à la question de ce qu’il veut. Et que demandera-t-il à l’Autre ? Première réponse : le menu. C’est-à-dire, non pas un objet du besoin, mais des signifiants. « Le menu, c’est-à-dire des signifiants, puisqu’on ne fait que parler [2] ». À quoi Lacan ajoute alors, pour en venir à l’argument central de sa fable, une complication. « Eh bien ! il y a cette complication – c’est là ma fable – que le menu est rédigé en chinois. » Il poursuit : « Alors le premier temps, c’est de commander la traduction à la patronne. Elle traduit – pâté impérial, rouleau de printemps, et quelques autres. Il se peut très bien, si c’est la première fois que vous venez au restaurant chinois, que la traduction ne vous en dise pas plus, et que vous demandiez finalement à la patronne – conseillez-moi, ce qui veut dire – qu’est-ce que je désire là-dedans, c’est à vous de le savoir. » Voilà donc pour le premier temps de la fable, lequel nous enseigne déjà sur le paradoxe du désir.
3Pour le faire valoir, soulignons d’abord que par cette fable, Lacan ramène la demande dans l’analyse, à la structure de toute demande. Autrement dit, dans toute demande d’analyse il y a l’effet premier du langage sur le sujet, comme il y a dans toute prise de parole du sujet une demande d’analyse potentielle. En chaque cas, le sujet ne sait pas ce qu’il demande, quel désir porte sa demande. « Qu’est-ce que je désire là-dedans ? », se demande-t-il, éprouvant déjà que « c’est en tant qu’Autre qu’il désire [3] ». Or, il en va de même pour le cadre de l’analyse. Un sujet vient en analyse, remarquera plus tard Lacan, pour « savoir ce qu’il demande [4] ». Raison pour laquelle il demande en effet à « s’y retrouver [5] ».
4Seulement en quoi dans cette demande, se serait-il perdu ? Pour y répondre, suivons cette complication que Lacan introduit dans sa fable : le menu est rédigé en chinois. De quoi préciser sa thèse : non seulement le sujet se nourrit des signifiants, mais il s’agira là des signifiants de la langue de l’Autre. Dans sa demande le sujet devra s’aliéner aux signifiants de l’Autre. Or voilà bien ce qui causera sa perte, disons encore avec Lacan, son évanouissement. À cela, deux raisons, conjointes l’une à l’autre. La première, qui se produira dans le champ du signifiant, est ce qu’écrit le mathème $. Dans sa demande à l’Autre, le sujet « s’évanouit [6] », pour la raison déjà qu’il devra s’y représenter par un signifiant auprès d’un autre signifiant, c’est-à-dire y disparaître, pour n’y subsister que comme effet du signifiant. D’autre part s’y ajoutera ce que, s’aliénant ainsi aux signifiants de l’Autre, le sujet éprouvera comme perte, cette fois de jouissance. En effet, entre ce qu’il demandait nommément, un objet, et cette « demande sans objet [7] », inconditionnelle, qu’est la demande d’amour, le sujet fera nécessairement dans la réponse de l’Autre, l’expérience d’une perte. T’avais promis, reprochent les enfants à leurs parents, quand c’est bien le symbolique lui-même qui causera cette déception, structurale.
5Il y a donc cette perte qui s’impose au sujet, entre sa demande de satisfaction et sa demande d’amour. Je passe alors à la façon dont le désir, de là, surgira comme paradoxe. Pour l’isoler, Lacan souligne tout d’abord que le désir va consister en un renversement. De l’inconditionnel de la demande, nous passons à cette condition « absolue [8] » qu’est le désir. Qu’est-ce à dire ? Lacan aura fait valoir comment la demande d’amour institue le tout pouvoir de l’Autre, en même temps qu’elle abolit [9] la particularité des objets, les ramenant tous au rang de « preuve d’amour [10] ». Mais c’est qu’il faut ici donner à ce terme choisi de Lacan, abolition, tout son poids, pour souligner son effet de retour, dans le réel. À savoir quoi ? Le désir, indestructible.
6Nous trouverons alors dans le désir, le renversement de ces deux dimensions de la demande : ce qui était là aboli, et ce qui était là puissance. Le désir se verra en effet constitué de la particularité retrouvée de l’objet devenu objet cause, même si perdu, et d’autre part l’« abolition [11] » de la dimension de l’Autre, quand le désir lui, ne demande rien à personne. Ainsi, à la politesse de la demande, répond l’impolitesse du désir. La première aliénait le sujet au désir de l’Autre. Comment on demande ? Répètera-t-on à l’enfant, dans l’attente de l’entendre enfin lâcher son S’il te plaît. Désir de l’Autre à quoi s’opposera désormais l’exigence du désir du sujet : J’aime ça et pas autre chose. Où le désir révèle sa structure : déterminé, et séparateur. Deux dimensions que regroupe cette expression de Lacan, « condition absolue ».
7Ainsi, nous avions indiqué en quoi le sujet, dans sa demande, se perdait. Nous voyons ici comment il se trouve, à l’appui même de ce qu’il avait d’abord perdu. Renversement du désir, faisant passer de la perte première, à cette « puissance de la perte pure ». Seulement, ajoutons-y alors que le sujet s’y trouve… divisé, par cet objet. Là vient en effet le paradoxe du désir, que cette expression de « condition absolue » incluait aussi. Lacan y reviendra encore en 1967, évoquant cet « absolu du manque à quoi s’accroche le désir [12] ». Autrement dit, non pas ce « manque absolu [13] » qui selon Sartre le ferait « passion inutile », mais bien « manque d’un objet ». Manque d’un objet, c’est-à-dire un manque « unique, spécifié [14] », causant le désir, mais dont il est « hors de question qu’on en mentionne l’objet [15] ». Produit par la demande, le désir sera causé par un objet, in-nommable [16]. « L’inarticulable du désir [17] », voilà donc le paradoxe du désir. Autrement dit, l’objet a est l’« objet paradoxal [18] ». D’où son nom, d’objet a [19]. Raison pour laquelle aussi, chaque satisfaction de la demande, qui pourtant porte et produit le désir [20], lui dérobera [21] son objet. Et c’est pourquoi aussi, pour subsister dans cette demande, le désir visera toujours Autre chose, paradoxe, que ce que le sujet demandait nommément comme objet. À la table de l’Autre, le sujet névrosé fera donc le difficile. « Ces névrosés, quels délicats [22] ».
8J’en reviens alors à la table de notre fable, pour faire valoir à présent, ce que Lacan ajoute à la question de notre homme. « Qu’est-ce que je désire là-dedans ? » […] « C’est à vous de le savoir », poursuit-il. Et en effet, au lieu de l’Autre, non seulement le sujet sera divisé par ce qu’il désire, mais souhaitant s’y retrouver, pourra choisir de lui demander conseil, faisant de lui son répondant. Le menu entre les mains, le sujet en appellera alors à la demande de l’Autre, désirant que l’Autre lui demande de choisir ceci, ou cela, et feignant ainsi de faire de la demande de l’Autre l’objet même de son désir. Ainsi, le sujet névrosé est un qui non seulement demande le désir de l’Autre, mais qui conjointement, désire la demande de l’Autre. De là, Lacan pourra alors montrer ce que cette demande à l’Autre aura pour conséquence : l’amour de transfert, avec ce qu’il recèle de tromperie, voire de bassesse. La suite de la fable en sera l’illustration. « Qu’est-ce que je désire là-dedans, poursuit-il, c’est à vous de le savoir. Mais est-ce bien là en fin de compte, qu’il est censé qu’une situation aussi paradoxale aboutisse ? En ce point, où vous vous remettez à je ne sais quelle divination de la patronne dont vous avez vu de plus en plus gonfler l’importance, est-ce qu’il ne serait pas plus adéquat, si le cœur vous en dit, et si la chose se présente d’une façon avantageuse, d’aller un tant soit peu titiller ses seins ? Puisque ça n’est pas uniquement pour manger que vous allez au restaurant chinois, c’est pour manger dans les dimensions de l’exotisme. Si ma fable veut dire quelque chose, en conclut-il, c’est pour autant que le désir alimentaire a un autre sens que l’alimentation. »
9Ainsi, la supposition de savoir fera l’Autre agalmatique. La divination supposée de la patronne fera gonfler son importance, rembourrant son corsage de cet objet qui manquerait au sujet. Seulement, soulignons la tromperie que cet agalma constitue. D’une part le sujet, s’en remettant ainsi à l’Autre, tentera de faire passer l’objet cause du désir en objet visé par la demande. À savoir, cet objet a qui recèlerait en son sein le phallus. La demande du névrosé est la « demande du phallus [23] », faite à l’Autre. Le sujet supposera donc au lieu de l’Autre cet objet agalmatique, phi, qu’il lui suffirait alors de demander poliment. En effet, pour obtenir de l’Autre ce qui lui manque, le sujet feint de s’offrir à lui. Il accommode son image idéale i(a) au regard de ce que l’Autre en I(A), pourrait ainsi désirer, et lui demander. Il se fera « objet aimable [24] ».
10Et puisque j’évoquais la politesse, pensons aux formules qui concluent idéalement les adresses à l’Autre, du type : « Bien à vous », « Vôtre ». Et pourquoi pas « Délicieusement vôtre », « Scopiquement vôtre », « À bon entendeur », jusqu’au moins poli : « Merde ». Au terme de ce développement, nous voyons donc s’isoler ce qui fait le leurre de la névrose, et qu’écrit la structure du fantasme : croire parvenir à l’objet (a), via l’image i(a). Tel est exactement le leurre par quoi le névrosé, en concluait Lacan, « couillonne tout le monde [25] » : l’Autre autant que lui-même. Dans cette tromperie de l’amour de transfert, le sujet se maintiendra en effet dans ce que Lacan nommait « la sujétion de l’Autre [26] », se faisant l’obligé de l’Autre, et sacrifiant imaginairement à cet Autre sa propre jouissance. Aussi la politesse du névrosé s’accompagne-t-elle de sa hantise de se faire avoir, pour ne pas dire baiser. D’où cette petite réserve que toujours il garde, sa castration. À la fin du repas, le névrosé vérifie la note.
11Solution coûteuse, donc, que cette substitution de la demande au désir qui fait la névrose. En somme, le névrosé se donne « trop de mal [27] » pour sa satisfaction. D’où la question : qu’est-ce qu’à cette demande du sujet, l’analyste pourra répondre, qui soit autre que la suggestion, et qui permette de sortir de cette tromperie du transfert ? Je ne peux ici qu’indiquer le principe de cette réponse : maintenir la distance entre ce point idéal I(A), l’analyste, d’où le sujet peut se voir aimable, conforté dans son identification narcissique, et « le point où il se voit causé comme manque par a [28] ». Et cela pour quelle visée ? Une traversée de l’identification narcissique, afin de permettre au sujet de se séparer de cette demande à l’Autre, et de se reconnaître autrement. Ici, le sujet sera en effet invité à « se reconnaître [29] » non plus au point d’où il se voyait aimable, ainsi que le fantasme en fomentait le mirage, mais en ce point où « il se voit causé comme manque par a ».
12Je n’insiste pas plus, pour souligner seulement qu’ici le désir de l’analyste prend appui sur le paradoxe même du désir, opposant à la sujétion de la demande, l’« a-séparateur », et revenant ainsi au caractère originaire du désir. Il y aurait en cela une parenté entre ce que fait la structure du désir à son origine, et la visée de l’analyse. Les deux s’appuyant et vérifiant cette condition absolue du désir, où absolu veut bien dire, précisait Lacan, détachement. Mais alors, n’est-ce pas justement ce dont le désir de l’analyste lui-même donnerait le paradigme ? À savoir, un désir qui n’est pas « un désir pur », puisque déterminé par un objet. Mais aussi, un objet qui n’est pas nommable, articulable, si ce n’est par son effet de séparation, justement. Obtenir « la différence absolue [30] », dira Lacan à son endroit. De même, « L’analyste ne s’autorise que de lui-même », n’était-ce pas là une façon de dire cette séparation d’avec la demande ? De là enfin, quelles conséquences quant à l’amour ? S’opposant à toute idée de maturité génitale comme lieu du don, Lacan remarquait que : « ce qu’il faudrait lui apprendre à donner, au névrosé, c’est cette chose qu’il n’imagine pas, c’est rien [31] ». Voilà ce qu’il retient, et qui l’angoisse. Mais voilà aussi ce qui, s’il y consentait, pourrait peut-être faire l’amour un peu moins demandeur.
Mots-clés éditeurs : névrose, désir, demande
Date de mise en ligne : 01/12/2017.
https://doi.org/10.3917/chla.016.0039Notes
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[1]
Lacan J., « La chose freudienne », Écrits, Paris, Seuil, 1966, p. 407.
-
[2]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, Paris, Seuil, p. 242.
-
[3]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 814.
-
[4]
Lacan J., Le Séminaire, La logique du fantasme, séance du 15 février 1967, inédit.
-
[5]
Ibid., séance du 21 juin 1967.
-
[6]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 817.
-
[7]
Lacan J., « La psychanalyse vraie, et la fausse », Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 171.
-
[8]
Lacan J., « La signification du phallus », Écrits, op. cit., p. 691.
-
[9]
Ibid.
-
[10]
Ibid.
-
[11]
Lacan J., Le séminaire, livre V, Les formations de l’inconscient, Paris, Seuil, 1998, p. 382.
-
[12]
Lacan J., « La psychanalyse. Raison d’un échec », Autres écrits, op. cit., p. 343.
-
[13]
Lacan J., « Réponse à des étudiants en philosophie », Autres écrits, op. cit., p. 211.
-
[14]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[15]
Lacan J., « Réponse à des étudiants en philosophie », Autres écrits, op. cit., p. 211.
-
[16]
Cf. sur ce point Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 229.
-
[17]
Lacan J., « Discours à l’École freudienne de Paris », Autres écrits, op. cit., p. 266.
-
[18]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[19]
Lacan J., « Allocution sur les psychoses de l’enfant », Autres écrits, op. cit., p. 366.
-
[20]
Lacan J., « De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité », Autres écrits, op. cit., p. 356.
-
[21]
Lacan J., « La direction de la cure », Écrits, op. cit., p. 637.
-
[22]
Ibid.
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[23]
Lacan J., « Discours à l’École freudienne de Paris », Autres écrits, op. cit., p. 266.
-
[24]
Lacan J., Le Séminaire, livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, op. cit., p. 241.
-
[25]
Lacan J., Le Séminaire, livre X, L’angoisse, Paris, Seuil, 2004, p. 62-63.
-
[26]
Lacan J., « Subversion du sujet et dialectique du désir », Écrits, op. cit., p. 814.
-
[27]
Ibid., p. 152.
-
[28]
Ibid., p. 243.
-
[29]
Ibid.
-
[30]
Ibid., p. 248.
-
[31]
Lacan J., Le Séminaire, livre X, L’angoisse, op. cit., p. 65.