Cet article porte, à travers l’histoire de vie d’une femme algérienne, sur les manières dont on peut survivre au désastre, en survivant à ses peurs. Tout en mettant en évidence le poids de ces dernières sur le corps, il rend compte de la transformation et du déplacement des peurs d’un régime d’anticipation à un régime de narration. Ainsi, l’auteure donne à voir une autre géographie des peurs qui, incarnées dans et par des corps sexués, dessinent des espaces de pouvoir fluctuants, laissant deviner une tension permanente entre assujettissement et formation des subjectivités.
Mots-clés
- désastre
- peurs
- violence
- sexe
- déplacement
- corps
Mots-clés éditeurs : violence, sexe, corps, désastre, peurs, déplacement
Date de mise en ligne : 03/11/2019
https://doi.org/10.3917/cas.007.0131Cet article est en accès conditionnel
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