Notes
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Programme de sociologie pragmatique, expérimentale et réflexive sur ordinateur.
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La citation du nom des auteurs de communication renvoie à quelques exceptions près aux Actes des Deuxièmes entretiens distribués aux participants (Les 2es Entretiens de la psychologie, 2, 3, 4 novembre 2006, Paris, FFPP, 2006). Toutefois, il est arrivé que les premiers auteurs de certaines communications soient absents lors des Entretiens. Dans ce cas, c’est le nom de la personne présente et réalisant la communication qui est cité, ici, en premier auteur.
1Synthétiser les interventions relatives à la psychologie sociale et la psychologie du travail lors des Deuxièmes entretiens de la psychologie (du 2 au 4 novembre 2006) nous a confrontées à la question de savoir à quelle spécialité de la psychologie affecter une communication lorsque, par exemple, un psychologue clinicien traite du monde du travail en s’appuyant sur les travaux d’un psychosociologue. Cette difficulté renvoie aux limites et aux frontières des disciplines de la psychologie et, au-delà, de l’unité de la psychologie.
2Nous avons pris le parti d’utiliser les notes prises lors des entretiens eux-mêmes ainsi que les résumés tels qu’ils ont été édités pour la manifestation de 2006. Les résumés relatifs à ces disciplines ont été analysés à l’aide d’un logiciel d’analyse textuelle (Prospéro [1], Chateauraynaud, 2003). Pour mieux saisir leurs spécificités et tendances éventuelles, ils ont été comparés à ceux de 2004. En vue de notre synthèse, 49 et 33 communications ont été prises en compte, respectivement, pour chaque année. Elles ont été choisies car elles se référaient de façon explicite à des concepts relatifs à la psychologie sociale ou à la psychologie du travail et à l’ergonomie. Une réflexion sur la totalité de cette rencontre scientifique de 2006 est également menée, en dehors des clivages disciplinaires. En conclusion, seront abordées les façons dont le groupe professionnel des psychologues s’interroge sur ses pratiques et sa place dans la société, réflexion liée à la construction de son identité.
La psychologie sociale et du travail aux deuxièmes entretiens de la psychologie
3Les communications de 2006 relatives à la psychologie sociale et à la psychologie du travail ont porté sur une diversité d’objets d’étude. Les communications de psychologie du travail ont analysé entre autres, la situation de chômage des cadres (F. Gutnik [2]), le caractère menaçant des recherches en psychologie en entreprise pour les ressources humaines (C. Lafforet), la représentation identitaire du groupe professionnel des infirmières (S. Guillen), les risques psychosociaux en entreprise (L. Limon, M. A. Perrey), les cadres et leur personnalité (C. Lourenço), le recrutement et les tests (D. Coste, M.A. Laouénan, A. Maizière), l’accompagnement personnalisé (C. Adinsi), les carrières professionnelles (I. Méténier).
4Les communications relevant plutôt de la psychologie sociale ont été organisées principalement en cinq symposiums, à savoir deux symposiums issus de la psychologie culturelle centrés sur le corps (G. Vinsonneau) et les conflits (I. Plivard) ; deux symposiums dans le domaine de la psychologie environnementale, portant sur les risques environnementaux et sanitaires (K. Weiss) d’une part, l’incivilité et l’insécurité urbaines (E. Sautkina, M. Robin) d’autre part ; un symposium sur les méthodes quantitatives et qualitatives (R. Balez, M. Dargentas).
5À côté de thématiques classiques en psychologie sociale et en psychologie du travail (stress, conflit, discrimination, qualité de vie, justice, environnement, santé…), les Deuxièmes entretiens ont été marqués par la présence de certains objets directement en prise avec des préoccupations sociales, comme les incivilités, les nuisances, le corps, la religion et l’accompagnement personnalisé. Ainsi, les différentes interventions ont permis de saisir les incivilités tant du point de vue du contrôle social (N. Chaurand), que de celui du mode de gestion identitaire des incivilités (C. Castano, E. Sautkina, S. Amador, A. Casal), ou encore de différences de perception soit des incivilités (M. L. Félonneau, L. Lannegrand-Willems) soit du vol à la tire (E. Sautkina). Les nuisances, qu’elles soient environnementales ou plus largement sociales, ont été étudiées selon différents points de vue : la perception des nuisances sociales en milieu urbain, leur impact sur la santé et la qualité de vie ; les liens entre nuisances, stress et relations à l’environnement (M. Robin). Les variations du rapport au corps ont été abordées auprès de femmes cambodgiennes (S. Nann), japonaises (M. Gratigny) et de « femmes noires » selon les termes de l’auteur (C. Roche). Enfin, les communications relatives à la religion ont traité cet objet en étudiant les modalités d’affiliation à l’islam (I. Plivard), ou la représentation sociale de l’incinération selon l’appartenance religieuse (M. Dargentas). Ces différents thèmes nous semblent exemplaires de la façon dont ces disciplines s’emparent d’objets d’actualité pour enrichir, développer des thématiques déjà existantes dans le champ.
6Pour étudier ces objets, les intervenants ont mobilisé différents modèles théoriques. Deux champs conceptuels émergent des interventions : l’étude de la pensée de sens commun et celle de l’identité.
7Le premier s’articule autour de trois concepts phares : la perception, les normes sociales et la représentation sociale. Ainsi, les perceptions de la qualité de vie et des nuisances sont étudiées auprès de populations concernées par le projet de construction d’une station d’épuration (A. Casal). Sont aussi explorées la perception des nuisances sociales des habitants des grandes villes (M. Robin), la perception et l’évaluation de la pollution de l’air dans le logement (B. Bonnefoy, V. Rozec), la perception et l’évaluation de la menace d’une catastrophe naturelle (K. Weiss, D. Marchand, L. Colbeau-Justin) et la perception de la personnalité et de la culpabilité d’un accusé en fonction de la mise en scène du discours (V. Coppola, O. Camus). Du côté des représentations sociales, les objets étudiés sont, entre autres, le pardon personnel et familial (M. Akl), le corps (M. Gratigny) et la beauté (S. Nann), la tolérance des adultes envers les jeunes (M. L. Félonneau, L. Lannegrand-Willens), la mort et l’incinération (M. Dargentas) et le médicament (C. Jeoffrion). Toutes ces études visent à saisir la façon dont les groupes construisent et s’approprient des objets complexes signifiants pour eux, car en prise directe avec le monde dans lequel ils vivent.
8Tout un autre pan des interventions de 2006 a eu comme référent théorique l’identité, au sens large. En effet, on retrouve ici toutes les variations auxquelles a donné lieu ce concept, qu’il s’agisse du Soi, de l’estime de soi mais aussi d’identité sociale et de stratégies identitaires. Ainsi, la théorie de l’identité de Turner permet d’étudier les modes de gestion identitaires d’employés de la poste et de la Sncf face aux conduites inciviles (C. Castano, E. Sautkina, S. Amador, A. Casal). D’un autre côté, la dynamique identitaire de sujets souffrant de troubles psychiques graves est appréhendée par la perspective égo-écologique de M. Zavalloni (F. Pompidor, A. M. Costalat-Fourneau). L’appréciation de sa propre beauté corporelle est mise en relation avec l’estime de soi et l’identité (C. Roche). Enfin, les stratégies identitaires d’individus issus de l’immigration maghrébine de confession musulmane, ainsi que leurs modalités d’affiliation à l’islam sont étudiées (I. Plivard). Le plus souvent, il s’agit d’examiner comment des individus réagissent de façon identitaire à une même situation, ou bien comment des sujets comparables s’adaptent, en se référant à leur identité, à des situations différentes, et, moins souvent, comment des individus s’identifient à leur groupe d’appartenance pour en retirer une identité sociale positive.
9Ces deux champs théoriques, pensée de sens commun et identité, peuvent être conjointement utilisés pour comprendre les phénomènes étudiés. Toutefois, s’ils sont les plus présents, ils ne doivent pas occulter la présence des théories de la dissonance cognitive (N. Sanquirgo), de la soumission librement consentie (S. Halimi-Falkowicz, M. Marchand, A. Quadéri, R. V. Joule), de l’influence sociale (R. Finkelstein) et de la mémoire sociale (K. Weiss, D. Marchand, L. Colbeau-Justin).
10Une réflexion méthodologique est aussi fréquemment présente dans les communications analysées. Un symposium s’est entièrement focalisé sur l’usage des méthodes dans une perspective intégrative, en évoquant des dimensions théoriques, épistémologiques, idéologiques et déontologiques, que ce soit autour de l’expérimentation et des biais d’attente expérimentale (R. Balez), de l’intérêt des questions ouvertes post-expérimentales pour l’étude de la dissonance cognitive (N. Sanquirgo), de la richesse de la méthode indirecte de l’entretien des instructions au sosie (L. Scheller), de l’archivage des entretiens de recherche pour pouvoir les ré-analyser (M. Dargentas, B. Madiot), et de l’utilisation conjointe des méthodes qualitative et quantitative (G. Richard, V. Aebischer). Cette dernière dimension a été reprise lors de la communication sur des représentations sociales du médicament (C. Jeoffrion).
11Les méthodes les plus souvent citées sont les méthodes qualitatives, ce qui correspond à une préoccupation actuelle et majeure en psychologie sociale (Jodelet, 2003). Il s’agit, par exemple, de définir la spécificité et l’intérêt des méthodes qualitatives pour étudier les conflits (I. Plivard). La question méthodologique a aussi émergé lors des débats suivant certaines présentations. On interroge l’opérationnalisation de certains objets (le pardon – M. Akl –, le toucher – S. Halimi-Falkowicz et coll.), ou encore la démarche méthodologique du chercheur (analyse de la reproduction de stéréotypes – C. Adinsi).
12Toutes ces communications de psychologie sociale et du travail s’inscrivent dans une tradition de recherche qui octroie une place de choix au contexte social, culturel et/ou historique autour d’un objet d’étude. Cette démarche permet de concevoir les processus à l’œuvre dans la vie sociale. Comparer les corpus de 2004 et de 2006 peut dans ce cadre être intéressant, dans la mesure où peuvent être repérées des évolutions, des stabilités, tant du point de vue des objets de préoccupation des chercheurs que des processus et de la méthodologie qu’ils mobilisent pour comprendre le monde social.
Comparaisons des corpus 2006 et 2004 pour la psychologie sociale et la psychologie du travail
13Les corpus 2006 et 2004 portant sur la psychologie sociale et la psychologie du travail font ici l’objet d’une analyse comparative au moyen du logiciel Prospéro. Ainsi, les problématiques théoriques et empiriques, l’intérêt accordé aux objets pourront être saisis dans leur évolution.
14Du point de vue des objets étudiés, le monde du travail (travail, emploi, chômage, ré-insertion, accompagnement personnalisé, etc.), l’environnement et le cadre de vie (environnement, écologique, riverains, etc.) ainsi que certaines questions sociales et politiques (incivilité, vol, vol à la tire, stress, conflit, discrimination, insécurité, contrôle social, etc.) sont plus présents en 2006 qu’en 2004. On se pose également plus de questions sur l’apport des psychologues du travail dans les milieux professionnels et sur les implications idéologiques et politiques de leur exercice en 2006 qu’en 2004.
15À l’inverse, l’univers médical (prévention, médical, malades, maladies, corps médical, approche épidémiologique), celui des liens à autrui (famille, relations familiales et relations personnelles), le développement de l’individu (vieillissement), les conditions de travail (précarité) ainsi que la sexualité sont plus présents en 2004 qu’en 2006 (citons les symposiums « Psychologie de la santé sexuelle » d’A. Giami, et « De la hiérarchie du masculin/féminin » d’A. Houel, organisés en 2004).
16Certains objets sont spécifiques au corpus de 2006 comme les nuisances, les incivilités, la religion, l’accompagnement personnalisé. En revanche, aucun résumé de 2006 ne fait mention de la télévision, du genre, du management.
17Ces présences et absences peuvent être analysées comme des glissements ou déplacements des préoccupations empiriques des chercheurs. La comparaison des deux corpus confirme, une nouvelle fois, que les Deuxièmes entretiens de la psychologie 2006 sont marqués par la présence de certains objets au cœur du débat social et politique. En effet, si en 2004, on emploie le terme générique de violence, en 2006 on parle d’incivilités et d’insécurité. De même, l’intérêt suscité par la qualité de vie en 2004 semble s’être transformé, en 2006, en une préoccupation sur les nuisances environnementales. Enfin, on peut se demander si le management ne cède pas du terrain à l’accompagnement personnalisé. Cependant, il faut manier ces résultats avec prudence et il conviendrait d’observer ces évolutions sur un temps beaucoup plus long.
18Sur le plan théorique, on observe aussi certaines différences. Ainsi, si on parlait de théorie de l’« engagement » en 2004, on parle plutôt de « soumission librement consentie » en 2006. D’autre part, certains concepts propres au corpus de 2004 comme le « faire-face » (S. Irachabal, L. Berger) sont absents en 2006. À l’inverse, les théories relatives au syndrôme d’épuisement professionnel (D. Lhuillier), au phénomène « pas de ça chez moi » (NIMBY) (A. Casal) et surtout à l’identité sociale et à l’estime de soi sont beaucoup plus présents en 2006 qu’en 2004.
19Pour terminer cette comparaison, il convient de souligner un changement quant aux formats de présentation des résumés des communications entre 2006 et 2004. Ils font plus référence à des concepts et des théories en 2006 qu’en 2004, les communicants emploient plus de verbes qui font référence à la démarche scientifique (comme prouver, valider, expérimenter, mettre en évidence, justifier…). Ce changement s’observe aussi quand on compare la totalité des résumés. Plusieurs hypothèses peuvent être formulées : les Entretiens sont-ils plus envisagés, par les psychologues, comme une manifestation scientifique en 2006 qu’en 2004 ? Les consignes de présentation ou les modalités des appels à communication peuvent-elles expliquer cette évolution (Torny et Trabal, 2006) ?
Réflexions et conclusion : pour une vue plus globale des deuxièmes entretiens de la psychologie
20Pour clore notre analyse, il nous semble pertinent de souligner en quoi cette manifestation est intéressante pour saisir un état de la profession et de son exercice.
21Nous avons noté la difficulté qu’il y avait d’associer, sans ambiguïté, une communication à une spécialité de la psychologie. Cette difficulté tient au fait qu’une des spécificités des entretiens de la psychologie est de réunir des praticiens. Tout en restant dans leur domaine de compétence, ils rendent compte de situations et de difficultés liées à l’exercice de leur profession. Ils peuvent notamment se heurter à la pensée de sens commun. C’est, par exemple, le cas du psychologue d’un service de psycho-oncologie, confronté à la représentation collective du cancer, représentation influant sur l’idée que se font les patients de leur avenir (I. Léger, N. Landry-Latte). D’autres font face à des phénomènes sociaux : tel le professionnel aux prises avec l’essor des sectes, l’essaimage de méthodes psychothérapeutiques douteuses (table ronde sur la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires de C. Katz, Mme Chalmeau) et qui se réfère à l’attrait collectif pour les phénomènes spirituels.
22De nombreux symposiums et communications ont été l’occasion de se questionner, aussi, sur la place du psychologue dans la cité. Par exemple, lorsque le psychologue voit son intervention rapportée par les médias, c’est la représentation sociale de la psychologie et du métier de psychologue qui lui est renvoyée et qui l’interroge mais, tout autant, les modalités d’élaboration et de circulation de ces informations (J. M. Coq ; D. Mehl). C’est à cette même représentation qu’un psychologue est confronté quand, par exemple, les pouvoirs publics essaient d’influencer son action, notamment dans des situations de crise et d’urgence (table ronde sur les crises et désastres). Dans d’autres situations, on parle de responsabilité professionnelle mais également d’image de la profession, comme lors du symposium sur les psychologues experts pour la justice (symposium d’A. Andronikoff, M. C. Gély-Nargeot), ou celui à propos des chercheurs contribuant à des mesures politiques (rapport Inserm sur les troubles de conduite des jeunes enfants, table ronde de M. Carlier, R. Lécuyer). Dans tous ces cas, c’est la place, l’indépendance et le rôle institutionnel, politique et moral du psychologue et de la psychologie dans la société qui suscite la réflexion, au-delà des secteurs de la santé (table ronde de B. Guinot, M. J. Robineau, A. Létuvé), de l’Éducation nationale (table ronde de A. Barthélémy-Chaudoir, A. Morize-Rielland), du monde du travail en transformation (P. Cohen) ou de la recherche universitaire (symposium de M. Bastien, M. Carlier).
23À un autre niveau, les deux symposiums sur le code de déontologie (J. Camus, A. M. Fontaine, F. Coutou, F. L’Héritier) et la déontologie et l’évaluation à l’université (M. C. Mietkiewicz ; A. Létuvé ; M. C. Gély-Nargeot, M. J. Robineau), la communication à propos de la législation de la psychothérapie (P. Grosbois) attestent de la réflexivité de la profession de psychologues sur ses pratiques et ses acteurs. Cette réflexivité a aussi pris la formation comme objet de réflexion, que ce soit de façon globale (B. Schneider ; J. Doron) ou de manière plus précise avec les ateliers sur l’internationalisation de la formation (R. Lécuyer, V. Rogard, J. P. Bouchard), l’organisation des stages (M. Piolat et coll.), la validation d’acquis de l’expérience (symposium d’A. Pignault, E. Loarer ; symposium de C. Jeoffrion) et les liens entre formation et marché du travail (C. Leconte).
24Dans ce cadre, l’observation des paradigmes théoriques et méthodologiques dominants (M. Santiago), l’histoire de certains courants (P. Le Maléfan autour des sciences psychiques), l’histoire de la psychologie sociale dans les manuels (S. Delouvée, N. Kalampalikis, J. P. Pétard), ou l’hommage à J. F. Camus (symposium de R. Lécuyer) semblent attester de la volonté de ce groupe professionnel de se constituer une mémoire collective.
25Les deuxièmes entretiens de la psychologie ont été intéressants dans leur globalité pour les chercheurs et les praticiens affiliés à la psychologie sociale et à la psychologie du travail. Ces deux disciplines ont eu une présence plus marquée lors de ces deuxièmes entretiens que lors des premiers. Le nombre de communications dans ces disciplines est en effet plus élevé en 2006 qu’en 2004 et les cadres théoriques utilisés, en lien avec des préoccupations sociales, sont plus homogènes. Mais, au delà de la présence de ces deux spécialités, toute une réflexion semble s’élaborer autour de l’image et de l’exercice de la profession.
Bibliographie
Références
- Chateauraynaud (Francis).– Prospéro. Une technologie littéraire pour les sciences humaines, Paris, Éditions du CNRS, 2003. <http://prosperologie.org>
- Jodelet (Denise).– Aperçus sur les méthodologies qualitatives, dans Moscovici (S.), Buschini (F.), Les méthodes des sciences humaines, Paris, Presses universitaires de France, 2003, p. 139-162.
- Torny (Didier), Trabal (Patrick).– Le résumé de communication comme objet sociologique. Une analyse thématique, ontologique et littéraire à l’aide du logiciel Prospéro, dans Demazière (D.), Brossaud (C.), Trabal (P.), Van Meter (K.), Analyses textuelles en sociologie. Logiciels, méthodes, usages., Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2006, p. 23-79.
Notes
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[1]
Programme de sociologie pragmatique, expérimentale et réflexive sur ordinateur.
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La citation du nom des auteurs de communication renvoie à quelques exceptions près aux Actes des Deuxièmes entretiens distribués aux participants (Les 2es Entretiens de la psychologie, 2, 3, 4 novembre 2006, Paris, FFPP, 2006). Toutefois, il est arrivé que les premiers auteurs de certaines communications soient absents lors des Entretiens. Dans ce cas, c’est le nom de la personne présente et réalisant la communication qui est cité, ici, en premier auteur.