1Michel-Louis Rouquette est né le 13 octobre 1948, à Béziers, d’une mère aveyronnaise et d’un père cévenol. Féru de lettres dès son plus jeune âge, il termine, en 1968, sa licence de psychologie à Montpellier. Deux petits événements (tout personnels au regard des « événements collectifs ») le marquèrent cette année-là. Tout d’abord, il prit conscience de son désintérêt pour la psychologie individuelle, qu’elle fût clinique ou non. Ensuite, sa relecture avide de Jules Verne lui révéla l’existence de structures de l’imaginaire – et, plus largement, de la pensée – susceptibles d’être « habillées », aussi bien dans le roman que dans la vie, de manière indéfiniment variée : personnages, situations, péripéties, décors, dialogues, ressorts de l’action. Chercher l’invariant, débusquer la règle ou décrire l’organisation devinrent alors pour lui des principes de méthode. Il n’y a jamais renoncé.
2Il s’ouvrit de ces intuitions à son professeur de l’époque, Michel Navratil, un rescapé du naufrage du Titanic, un homme doux et infiniment cultivé. Celui-ci l’écouta, l’approuva, l’encouragea et lui conseilla, pour finir, de faire une agrégation de philosophie, qui était à ses yeux la clé de l’accès à l’enseignement supérieur. Après un temps de réflexion, il se dirigea finalement vers la sociologie.
3À l’automne 1969, en même temps qu’il était recruté à Montpellier comme moniteur de statistiques, Jean Bouillut (issu du laboratoire de Robert Pagès) le recommanda auprès de Serge Moscovici pour une inscription en thèse à l’École des hautes études en sciences sociales. Cette rencontre devait être déterminante. Il n’avait pas, à vrai dire, de sujet, et c’est dans le train qui le conduisait à Paris qu’il eut l’idée, à l’occasion d’une lecture, de consacrer son travail à venir à l’étude d’une technique d’invention en groupe qui était alors à la mode : le brainstorming.
4Ce choix, au départ assez hasardeux, eut pour effet de l’accrocher durablement à deux thèmes : l’étude de la communication dans les groupes et la théorie des problèmes. Il lui fournit aussi le prétexte de son premier livre, que les Presses universitaires de France voulurent bien accueillir, en 1973, dans leur collection Que sais-je : « La créativité », réédité sept fois depuis, et traduit en quatre langues.
5Moscovici avait travaillé sur la créativité des groupes, précisément en termes de réseaux de communication et de types de problèmes, une dizaine d’années auparavant. Il ne s’y intéressait plus guère, mais il le dirigea avec la fermeté nécessaire pour lui éviter de s’égarer, et avec la bienveillance suffisante pour le laisser aller à peu près où il voulait.
6À Constance (Allemagne), en juillet 1971, à l’occasion d’une école d’été de psychologie sociale expérimentale, il fit la connaissance de Claude Flament, qui allait devenir son autre maître, et dont l’influence devait alimenter son moteur dialectique personnel : « il est plus important d’avoir des idées que des données », lui semblait-il entendre du côté de Moscovici ; et, de l’autre, l’écho de Flament lui renvoyait l’antienne « je suis incapable de penser valablement si je n’ai pas de données ». Toutes les thèses que M.-L. Rouquette a pu diriger, et tous les travaux qu’il a pu mener ensuite, ont résonné selon cette dialectique.
7C’est donc sous la direction de Claude Flament qu’il soutint sa thèse d’État, en 1980, à l’université de Provence, et dont l’essentiel sera publié en 1975, toujours aux Presses universitaires de France, sous le titre « Les rumeurs ».
8D’abord comme maître-assistant, puis comme maître de conférences et, enfin, comme professeur de psychologie expérimentale et cognitive, il sera, durant 27 ans, attaché à l’université de Montpellier (de 1970 à 1997) dont il dirigea le Laboratoire de psychologie sociale de 1992 à 1997. En 1998, il rejoindra l’Université Paris VIII (Saint-Denis) et le laboratoire de Rodolphe Ghiglione, puis, en 2003, intégrera l’Université Paris-Descartes et le Laboratoire de psychologie environnementale, à la tête duquel il succédera à Gabriel Moser, et qu’il dirigera jusqu’à sa retraite, en 2010.
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10Durant toutes ces années, ses activités de publication ont été inlassables. Si l’on s’en tient aux seuls dix-sept ouvrages publiés, les thématiques qu’ils abordent peuvent frapper par leur diversité apparente. Mais, qu’il s’agisse de l’étude des rumeurs (1975, 1992), de la psychologie politique (1988, 1994a), des chaînes magiques (1994b), de la mémoire sociale (1997), des communications de masse (1998), des représentations sociales (avec Rateau, 1998 ; avec Garnier, 1999 ; avec Flament, 2003) ou de la propagande (2004), la visée scientifique reste la même : traiter les phénomènes collectifs comme des objets de science et, à ce titre, chercher à les décrire selon des propriétés formelles, repérables empiriquement et finement mesurables ; expliciter les règles de fonctionnement de la « pensée sociale » (2009), non pas au regard comparatif des normes de la pensée scientifique, mais en l’abordant selon ses particularismes et ses invariants propres, dans toutes ses formes de manifestation.
11Cet objectif lui permit de développer des points de vue novateurs, qui entraînèrent dans son sillage plusieurs travaux de collaborateurs et d’étudiants : étudier les rumeurs sous la forme d’un syndrome, rendre compte de la pluri-qualification des modalités de la pensée sociale à l’aide d’une formalisation en Schèmes cognitifs de base, développer le rôle de l’implication personnelle et en proposer un modèle d’analyse, considérer la part affective des manifestations collectives au travers de la notion de « nexus » ou, encore, élucider les canevas de raisonnement spécifiques au fonctionnement structural des représentations sociales. Il était de ces chercheurs en sciences sociales qui sont de véritables locomotives de recherches et de pensées, promoteurs permanents d’idées neuves, riches et fécondes.
12Mais il faisait aussi partie de ceux qui ont su promouvoir ces idées au-delà des frontières. Professeur invité de façon régulière au Canada (Montréal, Québec), au Brésil (Rio de Janeiro, Sao Paulo, Natal), au Mexique (Mexico, Puebla), en Colombie (Medellin), en Italie (Rome, « La Sapienza ») ou en Europe de l’Est (Iasi), il bénéficiait, partout, d’une immense réputation scientifique et de l’affection sincère de tous ceux qui l’ont rencontré. Car, au-delà de ses qualités scientifiques, Michel-Louis Rouquette se distinguait aussi par ses qualités humaines. Doux, affable, bienveillant et doué d’un sens de l’humour fin et profond, il sut s’attirer l’amitié intense et indéfectible de plusieurs de ses collègues et anciens étudiants.
13Ce cercle lié à ses activités scientifiques ne constituait, toutefois, que la partie émergée d’un immense iceberg culturel. Sa profonde connaissance de l’histoire, de la littérature, des sciences humaines et sociales et de la philosophie était vertigineuse. Spéléologue et archéologue amateur, passionné par les armes et leur histoire, qu’il connaissait de façon extraordinairement précise, par les monnaies, qu’il collectionnait scrupuleusement aux quatre coins du monde, par l’architecture ou encore par la poésie, à laquelle il consacra plusieurs recueils sous le nom de Michel-Louis Brumaire, l’étendue de ses passions et les connexions qu’il établissait entre elles ne peuvent que forcer l’admiration. Car, au-delà de simples marottes, il a toujours considéré ces activités comme des moyens à part entière de comprendre et d’étudier les « rouages et les nuages » de la pensée humaine, selon l’expression de Karl Popper qu’il affectionnait tant.
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15Fasciné par l’Amérique du Sud et par la qualité des travaux scientifiques qu’il y voyait se développer, il s’y rendit souvent. Il en épousa même officiellement l’une de ses ressortissantes en la personne de Consuelo Marinho, son épouse, native de Rio de Janeiro, pour laquelle nous avons une pensée particulièrement émue.
16Les liens scientifiques et affectifs de Michel-Louis Rouquette avec le Mexique étaient, eux aussi, puissants et profonds. Sans eux, ce dossier du Bulletin de psychologie n’aurait pas pu voir le jour. Et il aurait été profondément heureux de le voir paraître.
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18En cinq petits mois, de juillet à novembre 2011, la mort fit son œuvre. Trop tôt. Bien trop tôt. Michel-Louis Rouquette est décédé à Béziers le 30 novembre 2011. Il venait d’avoir 63 ans. Il avait encore tellement à faire.
19Une large partie de cette courte biographie est une adaptation que nous avons réalisée d’une note autobiographique, rédigée par Michel-Louis Rouquette lui-même à l’occasion de la parution de son dernier ouvrage : « La pensée sociale ».
20En voici un extrait, pris dans son intégralité, qui constitue selon nous un parfait résumé de ses questionnements, de sa culture et de sa posture scientifique au sein de la psychologie sociale.
« J’aurai consacré ma vie à une discipline incertaine et cependant nécessaire : la psychologie sociale. Nécessaire parce que la question du rapport de l’individu à la société se pose à toute pensée depuis que la théologie est devenue lettre morte. L’obsession de la relation particulière entre la créature et son Créateur (ou plus tard, dans sa version romantique, l’exaltation de la confrontation entre l’homme et la Nature) pouvait masquer le rôle contraignant de l’histoire et laisser intacte, inentamée, inaliénable, la superficie du Moi : j’avais toujours quelque chose à sauver – ou à perdre, c’est égal ; toujours un dialogue à entreprendre ou à raccommoder. Un espoir à projeter, un pardon à implorer, une place à prendre, une question sincère à poser. Mais tout cela n’a plus cours. Nous sommes devenus sceptiques à l’égard de nous-mêmes et confiants dans les institutions. Ce sont désormais celles-ci qui importent, qu’il s’agisse de les défendre, de les amender, de les contrôler, de les enrichir ou de les subvertir. De la création scientifique à l’industrie du loisir, la contribution de chacun n’est plus guère qu’un point au sein d’un réseau complexe. Quelle peut être alors la place propre de l’individu dans la genèse, la dynamique et la transformation, lente ou brutale, des collectifs qui nous tiennent ?
« La littérature a depuis longtemps perçu, résumé, illustré tout cela. L’admirable épisode de Fabrice à Waterloo devrait ouvrir tous les traités de psychologie sociale : au fil de ses trajets sur le champ de bataille, le jeune homme voit tout (le sang, la mort, la bravoure, le feu), il ressent tout (l’exaltation, l’étonnement, la colère, la peur), et il ne comprend rien ; il doute de l’importance d’un affrontement dont il ne saisit pas l’ensemble et dont la signification politique lui échappe ; il passe à l’âge d’homme en même temps qu’un monde s’effondre et il croirait presque, au bout du compte, avoir simplement traversé un parc d’attractions. La vérité du corps, la fiction du moi, les tourbillons du hasard, les enchaînements de causalité et les logiques de connaissance ne coïncident pas.
« On voit que la notion même de psychologie sociale est en un certain sens contradictoire, à tout le moins paradoxale. Et de là vient l’incertitude dont je parlais en commençant. S’il ne s’agit que de montrer “la présence des individus même dans la chose sociale la plus massive, la présence de la collectivité même dans les contacts individuels les plus fugitifs ” (c’est une formule d’Aron dans La sociologie allemande contemporaine), passe encore. Mais cette aimable circularité se borne à renvoyer dos à dos les deux pôles créateurs de tension. Il n’y a vraiment pas de quoi satisfaire l’esprit. Le difficile est de sortir de cette platitude œcuménique sans verser dans le dogmatisme de l’un ou l’autre bord et sans rien sacrifier des évidences empiriques que nous savons aujourd’hui produire ou reproduire en laboratoire. Je ne suis pas certain, loin s’en faut, qu’on y soit arrivé souvent dans ma discipline. […] »
Les articles qu’il nous a confiés, publiés de 1972 à 2011, nous semblent traduire fidèlement le double ancrage d’une activité de chercheur, attaché à la lecture psychosociale des faits tant dans leurs manifestations actuelles, que dans le déchiffrement de leurs soubassements historiques et épistémologiques. Nous gardons un souvenir ému des relations amicales et chaleureuses qu’il savait établir et de l’élégance de sa réserve. Nos pensées les plus chargées de sympathie vont à son épouse, Consuelo Marinho, et à son père.
Ouvrages
- Rouquette (Michel-Louis). – La créativité, Paris, Presses universitaires de France, 1973 ; 2e édition, 1976 ; 3e édition, 1981 ; 4e édition, 1989 ; 5e édition refondue, 1995 ; 6e édition, 1997 ; 7e édition, 2007 ; traductions : portugais (Lisbonne, 1976) ; espagnol (Argentine, Buenos Aires, 1977) ; japonais (Tokyo, 1984) ; turc (Istanbul, 1989 ; Ankara, 2007).
- Rouquette (Michel-Louis). – Les rumeurs, Paris, Presses universitaires de France, 1975 ; trad. espagnol, Las rumores, Argentina, Buenos Aires, El Ateneo, 1977.
- Rouquette (Michel-Louis), Guimelli (Christian). – Méthodologie expérimentale des sciences humaines, Paris, Nathan, 1979.
- Rouquette (Michel-Louis). – La psychologie politique, Paris, Presses universitaires de France, 1988 ; 2e édition revue, 1995.
- Rouquette (Michel-Louis). – La rumeur et le meurtre. L’affaire Fualdès, Paris, Presses universitaires de France, 1992.
- Rouquette (Michel-Louis). – Sur la connaissance des masses. Essai de psychologie politique, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1994 ; trad. roumain, Despre cunoasterea maselor, Ias¸i, Polirom, 2002.
- Rouquette (Michel-Louis). – Chaînes magiques. Les maillons de l’appartenance, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1994.
- Rouquette (Michel-Louis). – La chasse à l’immigré. Violence, mémoire et représentations, Sprimont, Mardaga, 1997.
- Rouquette (Michel-Louis) (coord.).– L’exclusion : fabriques et moteurs, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 1997.
- Rouquette (Michel-Louis). – La communication sociale, Paris, Dunod, 1998 ; trad. italien, La comunicazione sociale, Rome, Borla, 2001.
- Rouquette (Michel-Louis), Rateau (Patrick). – Introduction à l’étude des représentations sociales, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1998.
- Rouquette (Michel-Louis), Garnier (Catherine). – La genèse des représentations sociales, Montréal, Éditions nouvelles, 1999.
- Garnier (Catherine), Rouquette (Michel-Louis) (coord.).– Représentations sociales et éducation, Montréal, Éditions nouvelles, 2000.
- Flament (Claude), Rouquette (Michel-Louis). – Anatomie des idées ordinaires. Comment étudier les représentations sociales, Paris, Armand Colin, 2003.
- Rouquette (Michel-Louis). – Propagande et citoyenneté, Paris, Presses universitaires de France, 2004.
- Rouquette (Michel-Louis) (coord.).– Ordres et désordres urbains, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 2006.
- Rouquette (Michel-Louis). – La pensée sociale, Toulouse, Érès, 2009 ; trad. roumain, Gîndirea sociala, Ias¸i, Polirom, 2010.
Chapitres d’ouvrage
- Rouquette (Michel-Louis). – Les communications de masse, dans Moscovici (S.) (coord.), Introduction à la psychologie sociale, t. 2, Paris, Larousse, 1973, p. 214-244.
- Rouquette (Michel-Louis). – La pensée sociale, dans Moscovici (S.) (coord.), Introduction à la psychologie sociale, t. 2, Paris, Larousse, 1973, p. 299-327.
- Rouquette (Michel-Louis). – Les communications de masse, dans Moscovici (S.) (coord.), Psychologie sociale, Paris, Presses universitaires de France, 1984, p. 495-512.
- Rouquette (Michel-Louis). – Articles : Diffusion ; Foules ; Opinion ; Propagande ; Propagation ; Psychologie des masses ; Psychologie politique ; Rumeurs, dans le Grand dictionnaire de la psychologie, Paris, Larousse, 1991.
- Rouquette (Michel-Louis). – Une classe de modèles pour l’analyse des relations entre cognèmes, dans Guimelli (C.) (coord.), Structures et transformations des représentations sociales, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1994, p. 153-170.
- Rouquette (Michel-Louis), Guimelli (Christian). – Sur la cognition sociale, l’histoire et le temps, dans Guimelli (C.) (coord.), Structures et transformations des représentations sociales, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1994, p. 255-266.
- Rouquette (Michel-Louis). – Le rôle de l’implication personnelle dans le syndrome de rumeur, dans Tacussel (P.) (coord.), Le réenchantement du monde. La métamorphose contemporaine des systèmes symboliques, Paris, L’Harmattan, 1994, p. 243-252.
- Rouquette (Michel-Louis). – Rumeurs, représentations sociales et délinquance, dans Abric (J.-C.) (coord.), Exclusion sociale, insertion et prévention, Saint-Agne, Érès, 1996, p. 23-31.
- Rouquette (Michel-Louis). – Représentations sociales et idéologie, dans Deschamps (J.-C.), Beauvois (J.-L.) (coord.), Des attitudes aux attributions, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1996, p. 163-173.
- Rouquette (Michel-Louis). – La leçon de lecture, dans Rouquette (M.-L.) (coord.), L’exclusion : fabriques et moteurs, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 1997, p. 11-19.
- Rouquette (Michel-Louis). – Représentations sociales, dans le Dictionnaire fondamental de la psychologie, Paris, Larousse, 1997.
- Rouquette (Michel-Louis). – La mirada sesgada. Ensayo sobre la incomprension de lo social, dans Uribe (F. J.) (coord.), Los referentes ocultos de la psicologia politica, Mexico, Universidad autonoma metropolitana, 1997, p. 153-207.
- Rouquette (Michel-Louis). – Representaçoes e praticas sociais : alguns elementos teoricos, dans Paredes Moreira (A. S.), Oliveira (D. C. de) (coord.), Estudos interdisciplinares de representação social, Goiânas, Editora AB, 1998, p. 39-46.
- Rouquette (Michel-Louis). – Les communications de masse, dans Moscovici (S.) (coord.), Psychologie sociale, Paris, Presses universitaires de France, 1998, p. 501-518.
- Rouquette (Michel-Louis). – Le pont Jacques-Cartier. Remarques sur les conditions de la genèse, dans Rouquette (M.-L.), Garnier (C.) (coord.), La genèse des représentations sociales, Montréal, Éditions nouvelles, 1999, p. 224-239.
- Rouquette (Michel-Louis). – Rumeurs et vérité, dans Reumaux (F.) (coord.), Les oies du Capitole ou les raisons de la rumeur, Paris, CNRS éditions, 1999, p. 163-165.
- Rouquette (Michel-Louis). – Représentations et pratiques sociales : une analyse théorique, dans Garnier (C.), Rouquette (M.-L.) (coord.), Représentations sociales et éducation, Montréal, Éditions nouvelles, 2000, p. 133-142.
- Rouquette (Michel-Louis). – Rumeurs et phénomènes de masse, dans Roussiau (N.) (coord.), Psychologie sociale, Paris, Press Editions, 2000, p. 329-339.
- Rouquette (Michel-Louis). – As representações sociais da educação e da cultura, dans Educaçao para todos : o desafio do terceiro milênio, Rio de Janeiro, Prefeitura do Rio, 2000, p. 227-230.
- Rouquette (Michel-Louis). – Retour aux foules, dans Buschini (F.), Kalampalikis (N.) (coord.), Penser la vie, le social, la nature. Mélanges en l’honneur de Serge Moscovici, Paris, Éditions de la MSH, 2001, p. 175-183.
- Rouquette (Michel-Louis). – Introduço ao estudo do conhecimento social, dans Paredes Moreira (A. S.) (coord.), Representaçoes sociais, Joao Pessoa, Editora universiteria, 2001, p. 31-48.
- Rouquette (Michel-Louis). – Prologo. Representacion social y ciudadania practica, dans Flores (F.) (coord.), Senderos del pensamiento social, Mexico, Ediciones Coyoacan, 2002, p. 7-13.
- RATEAU (Patrick), Rouquette (Michel-Louis). – Hier est aujourd’hui. Deux exemples d’actualisations des souvenirs, dans Laurens (S.), Roussiau (N.) (coord.), La mémoire sociale. Identités et représentations sociales, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2002, p. 97-106.
- Rouquette (Michel-Louis). – La matière historique, dans Moscovici (S.) (coord.), Méthodes des sciences sociales, Paris, Presses universitaires de France, 2003, p. 427-443.
- Rouquette (Michel-Louis). – Remarques sur la psychologie sociale et l’action, dans De Piccoli (N.), Quaglino (G. P.) (coord.), Psicologia sociale in dialogo. Scritti in onore di Piero Amerio, Milan, Edizioni Unicopli, 2004, p. 39-45.
- Rouquette (Michel-Louis), Sautkina (Elena), Castro (Paula), Félonneau (Marie-Line), Guilloumichel (Élisabeth). – Social representations theory and environmental studies, dans Martens (B.), Keul (A. G.) (coord.), Designing social innovation: Planning, building, evaluating, Cambridge, MA, Hogrefe & Huber publishers, 2005, p. 109-115.
- Rouquette (Michel-Louis). – Représentations sociales, pratiques et implication personnelle : un regard psychosocial sur l’expérience des Calandretas, dans Boyer (H.) (coord.), De l’école occitane à l’enseignement public : vécu et représentations sociolinguistiques, Paris, L’Harmattan, 2006, p. 81-87.
- Rouquette (Michel-Louis). – Territoires physiques, territoires sociaux et territoires mentaux, dans Rouquette (M.-L.) (coord.), Ordres et désordres urbains, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 2006, p. 7-32.
- Rouquette (Michel-Louis). – Introduction, dans Weiss (K.), Marchand (D.) (coord.), Psychologie sociale de l’environnement, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2006, p. 11-16.
- Rouquette (Michel-Louis). – Pensée sociale et cérémonies de masse, dans Fussmann (G.) (coord.), Croyance, raison et déraison, Paris, Odile Jacob, 2006, p. 199-205.
- Rouquette (Michel-Louis).– Le rôle de l’implication personnelle dans la réception des campagnes d’information et de prévention, dans Charles (L.), Ebner (P.), Roussel (I.), Weill (A.) (coord.), Évaluation et perception de l’exposition à la pollution atmosphérique, Paris, La Documentation française, 2007, p. 115-120.
- Juarez Romero (Juana), Rouquette (Michel-Louis). – El pensamiento social : arquitectura y formas de estudio, dans Aguilar (M. A.), Reid (A.) (coord.), Tratado de psicología social, Barcelone, Anthropos Editorial, 2007, p. 43-63.
- Rouquette (Michel-Louis), Delouvée (Sylvain). – Mémoire de mines, mémoire de vignes, dans Sagnes (J.) (coord.), La révolte du Midi viticole cent ans après. 1907-2007, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 2008, p. 183-194.
- Rouquette (Michel-Louis). – Qu’est-ce que la pensée sociale ? Dans Rouquette (M.-L.) (coord.), La pensée sociale, Toulouse, Érès, 2009, p. 5-10.
- Rouquette (Michel-Louis). – Pensée sociale et contradiction, dans Rouquette (M.-L.) (coord.), La pensée sociale, Toulouse, Érès, 2009, p. 91-98.
- Rouquette (Michel-Louis), Tavani (Jean-Louis). – La mémoire collective comme forme du patrimoine immatériel. Préférences cognitives et habitudes sociales, dans Mahé de Boislandelle (H.) (coord.), Le patrimoine dans tous ses états, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 2011, p. 43-57.
Articles
- Rouquette (Michel-Louis). – Discours critique et discours productif dans la résolution des problèmes mal définis : étude du niveau de qualification, Cahiers de psychologie, 14, 1971, p. 233-238.
- Rouquette (Michel-Louis). – Étude des comportements linguistiques dans certaines activités heuristiques. Bulletin de psychologie, 25, 5-7, 1972, p. 315-322.
- Rouquette (Michel-Louis). – Influence de certains aspects de l’environnement cognitif sur la résolution d’un problème mal défini, Bulletin de psychologie, 25, 18, 1972, p. 1016-1021.
- Rouquette (Michel-Louis). – Contrainte et qualification dans les Rougon-Macquart. L’extension d’une hypothèse, Journal de psychologie normale et pathologique, no 4, 1972, p. 407-412.
- Rouquette (Michel-Louis). – R. W. Darwin et la psychophysiologie de la vision, Revue d’histoire des sciences, 26, 2, 1973, p. 145-151.
- Rouquette (Michel-Louis). – L’analyse des problèmes mal définis, Cahiers de psychologie, 16, 1973, p. 3-9.
- Jaspars (Jos), van Kreveld (Dik), Lis (M.) et al. Peeters (Guido), Rouquette (Michel-Louis). – Cognitive balance, self-involvement and anticipation of interaction, Nederlands Tijdschrift voor de Psychologie, 29, 1974, p. 535-551.
- Rouquette (Michel-Louis). – La méthode expérimentale en pédagogie, Le français dans le monde, 110, 1975, p. 14-16.
- Rouquette (Michel-Louis), Guimelli (Christian), Brouillet (Denis), Artz (Jacques). – Influence de la pertinence et de la structure sous-jacente sur la mémorisation des énoncés, Bulletin de psychologie, 30, 1-2, 1976, p. 59-64.
- Rouquette (Michel-Louis). – Contrainte et spécification en psychologie : 1. L’évolution des titres des articles, Bulletin de psychologie, 29, 4-7, 1976, p. 227-229.
- Azéma (Michel), Rouquette (Michel-Louis). – Influence de la contrainte de la tâche sur le style d’une rédaction chez des enfants de 10-11 ans, Bulletin de psychologie, 31, 1-2, 1977, p. 188-192.
- Rouquette (Michel-Louis). – La résolution des problèmes mal définis, Bulletin de psychologie, 32, 8-14, 1979, p. 697-700.
- Rouquette (Michel-Louis). – Le groupe : présence d’une notion et absence d’un concept, Cahiers de psychologie cognitive, 1, 2, 1981, p. 129-130.
- Rouquette (Michel-Louis). – Rousseau. Anthropologie. Discours, Langage et société, 24, 1983, p. 53-92.
- Rouquette (Michel-Louis). – Contrainte et spécification en psychologie : 2. L’invention de l’interférence, Bulletin de psychologie, 38, 18, 1985, p. 929-932.
- Rouquette (Michel-Louis), Demailly (André). – L’utilisation des situations extrêmes en didactique des langues, Travaux de didactique, 14, 1985, p. 71-82.
- Rouquette (Michel-Louis). – La rumeur comme résolution d’un problème mal défini, Cahiers internationaux de sociologie, 86, 1989, p. 117-122.
- Rouquette (Michel-Louis). – La psychologie politique : une discipline introuvable, Hermès, 5-6, 1989, p. 219-226.
- Rouquette (Michel-Louis). – Le syndrome de rumeur, Communications, 52, 1990, p. 119-124.
- Rouquette (Michel-Louis). – « Psychologie sociale » : inventaire d’un éventaire, Revue internationale de psychologie sociale, 3, 2, 1990, p. 249-252.
- Guimelli (Christian), Rouquette (Michel-Louis).– Contribution du modèle associatif des schèmes cognitifs de base à l’analyse structurale des représentations sociales, Bulletin de psychologie, 45, 4-7, 1992, p. 196-202, (trad. grec dans Katerelos (I.) (coord.), Structure des représentations sociales, Athènes, Odyssée, 1996, p. 213-228.
- Rouquette (Michel-Louis). – Content vs Structural analysis of Social representations, Papers on Social Representations, 2, 2, 1993, p. 115-116.
- Guimelli (Christian), Rouquette (Michel-Louis). – Note sur la formalisation des schèmes étranges dans l’étude des représentations sociales, Cahiers internationaux de psychologie sociale, 19, 3, 1993, p. 43-48.
- Rouquette (Michel-Louis). – La psychologie politique vue par les auteurs classiques, Connexions, 64, 1994, p. 9-20.
- Rouquette (Michel-Louis), Guimelli (Christian). – Les « canevas de raisonnement » consécutifs à la mise en cause d’une représentation sociale : essai de formalisation et étude expérimentale, Cahiers internationaux de psychologie sociale, 28, 1995, p. 32-43.
- Rouquette (Michel-Louis). – Remarques sur le statut ontologique des représentations sociales, Papers on Social Representations, 4, 1, 1995, p. 79-83.
- Rouquette (Michel-Louis). – L’analyse structurale des représentations sociales, Séminaire no 89, CIRADE, Université du Québec à Montréal, 1995.
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Divers
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- Une analyse psychosociologique du fascisme, Le Journal des psychologues, no hors série « Moscovici », novembre 2003, p. 48-49.
- Interview, Psihologia Sociala, no 14, 2004, p. 197-201.
- L’intersubjectivité à mi-chemin entre l’individuel et le social ? (Introduction à la 2e partie du no spécial d’Hermès « Psychologie sociale et communication »), Hermès, no 41, 2005, p. 40.
- Préface à B. Orfali, La société face aux événements extraordinaires, Paris, Zagros, 2005, p. 5-8.
- Réponse à l’enquête « Les violences en France et l’identité française », Psihologia Sociala, no 16, 2005, p.176-177.
- El desencatamiento de la razón. Entretien, Trayectorias, VII, 18, 2005, p. 92-103.
- (avec E. Drozda-Senkowska) Présentation (introduction au numéro thématique « Thèmes délaissés, vieilles lunes et trésors cachés »), Cahiers internationaux de psychologie sociale, no 70, 2006, p. 51-52.
- Compte rendu de N. Kalampalikis, Les Grecs et le mythe d’Alexandre. Étude psychosociale d’un conflit symbolique à propos de la Macédoine, Paris, L’Harmattan, 2007, Bulletin de psychologie, 60, 5, 2007, p. 501-502.
- Compte rendu de R. Boudon, Essais sur la théorie générale de la rationalité, Paris, Presses universitaires de France, 2007, Bulletin de psychologie, 61, 3, 2008, p. 310-311.
- La complainte des oreilles de bois, La Grande Oreille. La revue des arts de la parole, no 43, octobre 2010, p. 66-67.
Bibliographie
Références utilisées
- (elles ne constituent qu’une partie extrêmement partielle de la bibliographie de M.-L. Rouquette que nous donnons en intégralité, plus loin)
- Rouquette (Michel-Louis). – La créativité, Paris, Presses universitaires de France, 1973.
- Rouquette (Michel-Louis). – Les rumeurs, Paris,
- Presses universitaires de France, 1975.
- Rouquette (Michel-Louis). – La rumeur et le meurtre. L’affaire Fualdès, Paris, Presses universitaires de France, 1992.
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- Rouquette (Michel-Louis). – Chaînes magiques. Les maillons de l’appartenance, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1994b.
- Rouquette (Michel-Louis). – La chasse à l’immigré. Violence, mémoire et représentations, Sprimont, Mardaga, 1997.
- Rouquette (Michel-Louis). – La communication sociale, Paris, Dunod, 1998.
- Rouquette (Michel-Louis), Rateau (Patrick). – Introduction à l’étude des représentations sociales, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1998.
- Rouquette (Michel-Louis), Garnier (Catherine). – La genèse des représentations sociales, Montréal, Éditions nouvelles, 1999.
- Flament (Claude), Rouquette (Michel-Louis). – Anatomie des idées ordinaires. Comment étudier les représentations sociales, Paris, Armand Colin, 2003.
- Rouquette (Michel-Louis). – Propagande et citoyenneté, Paris, Presses universitaires de France, 2004.
- Rouquette (Michel-Louis). – La pensée sociale, Toulouse, Érès, 2009.