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Article de revue

Recherche sociologique et théologique et action religieuse

Usages de l’autobiographie raisonnée

Pages 87 à 93

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1La méthode de l’« autobiographie raisonnée », conçue par Henri Desroche (1990), qui y voyait un exercice maïeutique, et aujourd’hui enseignée notamment au Conservatoire national des arts et métiers par l’équipe que dirige Jean-François Draperi (2010), se fonde sur un objectif de distanciation, grâce à une mise à plat de l’implication de l’acteur-chercheur ou du chercheur-acteur. Elle « permet à l’individu de comprendre ses motivations, ses insatisfactions, ses freins, mais aussi ses ressources, ses compétences, et d’interroger sa place dans l’espace professionnel […] par l’explicitation des dimensions qui composent son implication socioprofessionnelle et psychosociale » (Mias, Courtois, 2019 : 285). Les auteurs des deux ouvrages qui font l’objet de cette note n’ont eu nulle intention de s’inscrire dans cette perspective ; on peut toutefois déceler dans leur démarche des propriétés d’une recherche-action dont l’élucidation invite le lecteur, en toute prudence, à un certain rapprochement. Nous sommes évidemment en présence de deux profils et de deux itinéraires radicalement différents, sinon inversés. Celui d’un professeur dont les travaux de recherche et les publications sont internationalement reconnus mais dont les prises de position ne sont pas dissociables de son savoir, qui en fonde l’expression. Et celui d’un jeune ingénieur issu d’une grande école et devenu missionnaire laïque afin d’œuvrer, cinq années durant, auprès d’un évêque équatorien défenseur de la théologie de la libération mais qui, à son retour en France, engage des études de théologie pour être en mesure d’élucider et d’approfondir les substrats théologiques de ce que fut sa pratique sociale et missionnaire. Par-delà – ou malgré – les caractères propres de leur projet, en termes de quête de sens et d’accomplissement personnel, l’un et l’autre partagent la vision d’une Église catholique plus décentralisée et moins cléricale, et paraissent avoir en commun une certaine idée de « l’avenir de Dieu ».

2Le titre de l’ouvrage de Jean Delumeau ne manque pas d’intriguer : il recèle sans doute plus de familiarité avec le sujet que d’incertitude, du moins si l’on sait la profonde connaissance qu’a l’auteur de l’histoire des phénomènes religieux, mais aussi ses convictions personnelles puisqu’il ne met nullement sous le boisseau sa qualité d’universitaire catholique.

3Entre son premier livre, Vie économique et sociale de Rome dans la seconde moitié du xviesiècle, tiré de sa thèse et dont le tome 1 paraît en 1957, et celui qui précède la présente et ultime publication, La seconde gloire de Rome. xve-xviie siècle, paru en 2013, on compte, en un peu plus d’un demi-siècle, pas moins d’une cinquantaine d’ouvrages. Le présent témoignage dévoile au lecteur l’histoire d’une vie intellectuelle qui retrace les grandes étapes d’un cheminement de chercheur et fait ressortir les principales thématiques qui l’ont jalonné, par choix personnel ou en réponse à des sollicitations de collègues ou d’éditeurs. L’intitulé des quatre parties qui font suite au « Questionnement d’un jeune chercheur » dit clairement la créativité, la diversité et la fécondité d’un tel parcours : « Présence de la peur », « Chemins de paix », « Chemins du paradis » et « Chemins d’espérance ».

4Décider, à 92 ans, de jeter un dernier regard sur le long sillon que l’on a tracé – J. Delumeau est décédé en janvier 2020 – se fonde à l’évidence sur un légitime sentiment d’autosatisfaction eu égard au travail accompli, même si est également présente une reconnaissance de dette à l’égard de ceux qui ont accompagné la production d’une telle œuvre ou qui ont nourri de fertiles controverses. On peut sans nul doute appliquer à l’auteur lui-même la citation qu’il fait du « moraliste » Pierre Charron, disciple de Montaigne, qui, dans un texte intitulé « De la peur à la paix intérieure », évoque ce que représente à ses yeux la « tranquillité d’esprit » : « Se tenir ferme à soy, s’accorder bien avec soy, vivre à l’aise sans aucune peine ny dispute au-dedans, plein de joye, s’entretenir et demeurer content de soy…, voilà le fruit et le propre effet de la sagesse » (cité dans Delumeau, 2018 : 104). Dans L’avenir de Dieu, J. Delumeau fait assurément preuve, en ce sens, de « sagesse ». C’est d’ailleurs ce juste contentement de soi et l’assurance qui en découle qui le conduisent non seulement à relire et à retracer son itinéraire d’historien, mais aussi à rendre compte de ses propres positions en ce qui concerne les principales questions religieuses de son temps.

5La partie consacrée à l’étude de la peur en Occident de 1348, année de l’expansion de la peste en Europe, à 1648 présente aujourd’hui encore, et désormais à l’échelle de la planète dans le contexte des pandémies, un intérêt singulier. C’est à ce thème, qu’il considère alors comme nouveau, que J. Delumeau consacre, à compter de 1975, son premier cours au Collège de France, où il fut titulaire jusqu’en 1994 de la chaire d’Histoire des mentalités religieuses. Son enquête le conduit à observer que « l’obsession de la mort devint omniprésente dans les images et les paroles des Européens des temps modernes » (ibid. : 42). De façon à ses yeux plus inattendue, il relève également que certaines peurs de l’élite furent plus manifestes que celle des masses, chez qui l’obsession démoniaque se révélait moins prégnante sans doute parce que moins formalisée. Il laisse imaginer ce que devint « la vie quotidienne à l’intérieur d’une ville désormais cadenassée. Dans ce huis clos sinistre, il faut fuir le plus possible le contact des autres, suspects a priori d’être contaminés » (ibid. : 56). L’idée de péché contribue aussi fortement à l’insécurité religieuse. La référence à saint Augustin tient au rôle majeur que l’évêque d’Hippone a joué dans l’acculturation de la notion de péché originel au sein de la doctrine et de la culture catholiques, notion vis-à-vis de laquelle J. Delumeau prend clairement ses distances : alors que « péché originel et paradis terrestre ont été étroitement liés, […] nous ne croyons plus aujourd’hui que le paradis terrestre a existé » (ibid. : 169). L’auteur observe d’ailleurs que cette notion litigieuse est absente tant des Évangiles que du Credo de Nicée. Il estime que la pastorale de la peur a joué un rôle dans l’imprégnation d’une image répulsive de Dieu qui a été « non pas la seule cause, mais l’une des causes de la déchristianisation » (ibid. : 85). Dans sa leçon inaugurale au Collège de France, qui ne figure pas dans l’ouvrage, il déclara que « l’acculturation chrétienne s’est opérée par la culpabilisation » (Delumeau, 1975). Il n’en reconnaît pas moins, notamment dans L’aveu et le pardon (1990), ce que la pratique de la confession et le pardon ont apporté à la connaissance de soi, à l’intelligence de la modernité occidentale et à la cohésion sociale. Dans plusieurs de ses développements, son œuvre se veut une élucidation du chemin qui conduit de la peur à l’espérance paradisiaque.

6J. Delumeau assume et revendique son droit – et sans doute aussi sa mission et son devoir – de s’inscrire dans le débat religieux contemporain, fort de son vaste savoir historique mais aussi de ses croyances : il se dit heureux de se rappeler ses huit années de catéchiste paroissial, dont les quatre dernières ont été concomitantes du début de son enseignement au Collège de France (Delumeau, 2018 : 250). À l’encontre des millénaristes, à qui il reproche une conception « courte » de l’histoire, il dit adopter avec réalisme et hors de toute utopie la conception de saint Augustin, pour qui la cité de Dieu et celle du siècle avancent dans un long entremêlement « jusqu’à la fin de l’histoire » (ibid. : 188). Sur la question de l’Europe, il insiste sur le rôle joué par le christianisme – perçu comme pluriel – dans le processus d’unification continentale. Mais c’est surtout dans le chapitre final, « Un christianisme pour demain », et dans ses pages de conclusion qu’il explicite l’objectif qu’il assigne à son testament, à la fois spirituel et intellectuel : « Mon principal but dans ce livre a été de montrer qu’il existe toujours de fortes raisons de rester, de devenir ou de redevenir chrétien, mais que le christianisme doit s’incarner, parfois, certes, en la critiquant, dans la civilisation de notre temps » (ibid. : 228-229). Plus que réservé à l’égard de l’encyclique Humanæ vitæ de Paul VI, publiée trois ans après la clôture du concile Vatican II, il invite à distinguer l’essentiel de l’accessoire et à situer le message chrétien par-delà la contingence des institutions. Les propositions ou les vœux qu’il adresse aux hiérarques catholiques portent sur deux points qu’il tient pour déterminants : l’exercice du pouvoir et la place des femmes. Il estime que la grande faiblesse de l’Église a été de s’être constituée non seulement en pouvoir, mais en pouvoir centralisé et monopolisé par des hommes célibataires.

7Dans Le christianisme va-t-il mourir ?, J. Delumeau se plaît à penser que « le Dieu des chrétiens était autrefois beaucoup moins vivant qu’on ne l’a cru et qu’il est aujourd’hui beaucoup moins mort qu’on ne le dit » (1977 : 149). « Beaucoup moins mort », qu’est-ce à dire de Dieu et comment évaluer son espérance de vie ? C’est vers le fonctionnement de son Église que l’auteur tourne alors son regard, et c’est à l’aune de son évolution espérée qu’il esquisse une réponse : « Selon moi, le salut et l’avenir du christianisme, et notamment du catholicisme, passent par la complète réhabilitation de la femme » (Delumeau, 2018 : 256). On peut saisir là comme en écho les mots du poète Aragon chantés par Jean Ferrat, et y percevoir une invitation à considérer que « la femme est l’avenir de l’Église », et donc aussi celui de… Dieu.

8L’ouvrage de Jacques Tribout se présente comme un diptyque où se croisent deux parcours singuliers qui s’éclairent l’un l’autre : celui de Mgr Proaño, qui fut évêque de Riobamba, capitale de la province du Chimborazo située au centre de l’Équateur, de 1954 à 1985, et celui de l’auteur, qui participe étroitement, de 1981 à 1986, à l’action pastorale engagée dans ce diocèse. Né en 1952, habité dès l’enfance par le désir de devenir missionnaire sur le modèle d’un Albert Schweitzer, devenu polytechnicien, officier de marine, élève de l’École des Ponts et Chaussées, J. Tribout entre à 25 ans chez Saint-Gobain pour y piloter un projet de recherche et développement. Il mène en parallèle des activités associatives à caractère social et religieux, notamment auprès de handicapés mentaux du diocèse de Pontoise et dans le cadre d’ATD Quart Monde. Quatre ans plus tard, après deux ans de préparation, notamment linguistique et théologique, il rejoint Mgr Proaño, qui définit ainsi son poste : « Travailler comme volontaire dans le diocèse de Riobamba, avec les Indiens cargadores [chargeurs] de la ville, avec l’objectif de les aider à s’organiser et conquérir une situation plus juste et plus humaine » (Tribout, 2019 : 23).

9Préfacé par Dom Xavier de Maupeou, qui fut secrétaire national du Comité épiscopal France-Amérique latine (Cefal), puis évêque de Viena au Brésil, l’ouvrage de J. Tribout est publié plus de trente ans après la fin de cette mission en Amérique latine. Il se lit comme le long récit documenté et engagé d’une recherche-action conduite dans des conditions fortement marquées par la personnalité et la stratégie pastorale de Mgr Proaño, considéré comme « l’évêque des Indiens », et par les oppositions à la fois politiques et institutionnelles que suscitent ses prises de positions religieuses et sociopolitiques. Outre son caractère de témoignage original, l’intérêt de l’ouvrage tient pour beaucoup au tempérament et au système d’action des deux principaux protagonistes, l’un et l’autre promoteurs d’une « théologie de la libération » qui accorde la primauté à l’orthopraxie sur l’orthodoxie. Dénoncée par les milieux conservateurs, l’« option préférentielle pour les pauvres » a été l’un des points forts du document final de la Conférence générale du Conseil épiscopal latino-américain et des Caraïbes (Celam) qui s’est tenue à Medellín en 1968, près de quinze ans plus tôt. On sait les difficultés rencontrées par les tenants de cette option théologique avec la Curie romaine, en particulier Léonardo Boff et Gustavo Gutierrez. La politique de nominations épiscopales conduite par Rome et la prise de contrôle du Celam par la Curie en 1972 ont provoqué un net affaiblissement de ce courant. La Curie s’est également opposée au rôle accordé aux Communautés ecclésiales de base (Ceb), accusées de constituer une Église parallèle. Lors de ces violentes controverses, Mgr Proaño joua un rôle crucial, aux côtés notamment de l’archevêque brésilien de Recife, dom Helder Câmara. Dès sa nomination comme évêque de Riobamba, en 1954, il répartit entre des Indiens les terres d’une hacienda du diocèse ; après le concile Vatican II, il adopte le poncho comme habit épiscopal.

10Lorsque l’auteur rejoint son poste de mission, le diocèse de Riobamba est engagé dans un double objectif : construire une « Église vivante » et contribuer à la naissance d’une « société nouvelle ». L’organisation diocésaine prend appui sur deux piliers : d’une part, la constitution, à la fin des années 1960, du mouvement des misioneros campesinos (« mic », missionnaires paysans indiens), qui ne reçoivent aucune rémunération et doivent donc continuer à exercer leur profession ; d’autre part, l’Équipe missionnaire itinérante (Emi), qui est mise en place en 1970 et constituée d’agents de pastorale professionnels. C’est au sein de cette équipe que débute la mission de Jacques Tribout, qui en deviendra le coordinateur en 1985. Le diocèse a également créé en avril 1984 le séminaire indien des ministères laïques « dans le but que les Indiens ayant déjà des responsabilités dans l’Église puissent acquérir une formation plus poussée, dans le respect de la culture quichua » (Tribout, 2019 : 214), héritée de l’Empire inca. La méthode pédagogique qui y est développée s’inspire du processus de « conscientisation » promu par Paolo Freire.

11Parti comme missionnaire laïque en lien avec le Cefal, Jacques Tribout a essentiellement travaillé à la pastorale indienne et à la pastorale missionnaire. Au rang des « originalités » du diocèse, il retient tout particulièrement : l’intense attention portée à l’option préférentielle pour les pauvres ; la forte structuration de l’activité pastorale au plan de sa définition, de sa planification et de son évaluation ; le surgissement par la base de nouveaux ministères, reconnus ensuite par l’autorité diocésaine ; le rôle important joué par les laïcs ; l’importance accordée à la synodalité, au plan du diocèse comme à celui des paroisses. L’auteur définit en une phrase la signification et la portée du titre de l’ouvrage, qui entend souligner la possible et souhaitable évolution du fonctionnement institutionnel : « Le peuple tend à devenir sujet de sa propre évangélisation, dans un processus de mission continue » (ibid. : 221).

12L’ouvrage fourmille de très nombreuses observations sur le fonctionnement du système social et politique équatorien, en particulier sur les interventions des forces de l’ordre, qui vaudront à Mgr Proaño de connaître la prison. L’auteur se sait lui-même, en 1985, recherché par la police, peut-être en raison du rôle qu’il joue au sein de la commission internationale du Front de solidarité du Chimborazo. Il ne sera pas inquiété mais, au moment de quitter l’Équateur un an plus tard, il choisit la discrétion et embarque sur un bananier, pour éviter le passage par un aéroport. Les pages qu’il consacre à son mariage, en 1985, avec une anthropologue colombienne employée par le diocèse, donnent à voir la lourdeur des arcanes administratives, mais également la chaleureuse mobilisation de la communauté diocésaine, tout particulièrement dans sa composante indienne. L’organisation du voyage en Équateur de Jean-Paul II, du 29 janvier au 1er février 1985, est également révélatrice de la prégnance des enjeux politico-religieux qui divisent l’Église nationale et dont s’avère particulièrement significatif le débat relatif à l’organisation d’une rencontre du pape avec les Indiens, à laquelle s’opposent tant la fraction conservatrice de l’épiscopat que les autorités politiques. En définitive, la rencontre aura lieu et le « discours du pape constituera un grand soutien à la ligne théologique et pastorale de Mgr Proaño. […] Le pape commence et termine son discours en quichua. Il salue une à une toutes les ethnies de l’Équateur » (ibid. : 300).

13À son retour en France, J. Tribout engage des études de théologie au Centre Sèvres et est également chargé de suivre l’engagement et l’activité des missionnaires laïques en Amérique latine au sein de la Délégation catholique pour la coopération et du Cefal, devenu depuis lors le pôle Amérique latine du service de la mission universelle, au sein de la Conférence des évêques de France. Aux termes de cette nouvelle mission, Jean-Louis Borloo, « issu de l’action catholique » (ibid. : 322) et élu deux ans plus tôt maire de Valenciennes, l’engage comme directeur général des services techniques de sa ville. Le regard que porte J. Tribout sur l’évolution de l’Église de France suscite en lui une vive réserve : « Un nouveau modèle ecclésial s’installe, moins conciliaire, plus autocentré, plus autoréférencé » (ibid. : 322). Cette évolution contraste fortement avec le bilan qu’il tire des cinq années de sa vie passée en Équateur : « J’ai appris une chose à Riobamba. C’est que la plupart de nos besoins sont les besoins que nous décidons d’avoir, décision que nous prenons de notre propre initiative ou plus souvent par mimétisme » (ibid. : 284).

14À l’évidence, on ne saurait placer sur le même plan ces deux ouvrages : l’un utilise pour matériaux de base une production universitaire savante et reconnue, tandis que le second se fonde sur un engagement missionnaire et militant en terre étrangère dont il ne rend compte qu’un tiers de siècle plus tard, au terme d’une longue maturité et sur la base d’une fine exploitation de la masse documentaire rapatriée. Toutefois, on perçoit clairement dans chacune de ces deux autobiographies une même et forte aspiration à associer, à des degrés divers et selon des configurations spécifiques, recherche et action.

    • Delumeau Jean, 1957, Vie économique et sociale de Rome dans la seconde moitié du xvie siècle, Paris, De Boccard.
    • Delumeau Jean, 1975, Histoire des mentalités religieuses dans l’Occident moderne. Leçon inaugurale prononcée le jeudi 13 février 1975, https://doi.org/10.4000/books.cdf.739.
    • Delumeau Jean, 1977, Le Christianisme va-t-il mourir ?, Paris, Hachette.
    • Delumeau Jean, 1990, L’aveu et le pardon. Les difficultés de la confession. xiiie-xviiie siècle, Paris, Fayard.
    • Delumeau Jean, 2013, La seconde gloire de Rome. xve-xviie siècle, Paris, Perrin.
    • Delumeau Jean, 2018 [2015], L’avenir de Dieu, Paris, CNRS Éditions, coll. « Biblis ».
    • Desroche Henri, 1990, Entreprendre d’apprendre. D’une autobiographie raisonnée aux projets d’une recherche-action, Paris, Éditions ouvrières.
    • Draperi Jean-François, 2010, Parcourir sa vie. Se former à l’autobiographie raisonnée, Paris, Presses de l’économie sociale.
    • Mias Christine, Courtois Lucille, 2019, « Autobiographie raisonnée », in C. Delory-Momberger (dir.), Vocabulaire des histoires de vie et de la recherche biographique, Paris, Érès, coll. « Questions de société », p. 285-288.
    • Tribout Jacques, 2019, L’évêque qui refusait le cléricalisme. Cinq années avec Léonidas Proaño chez les Indiens d’Équateur, Paris, Karthala, coll. « Signes des temps ».

Date de mise en ligne : 03/02/2021

https://doi.org/10.4000/assr.52148

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