C’est sûr, faire de l’argent grâce au racisme et au sexisme n’a rien de nouveau. Et la mise sous surveillance de mineures victimes de violences sexuelles, qui n’est pas une fiction, est partie intégrante des pratiques de la presse Murdoch sanctionnées il y a dix ans. Comme le harcèlement de jeunes femmes, qu’il soit verbal chez les uns ou sexuel chez les autres est encore d’actualité chez des anciens de Vice, dont les blagues sur le viol sont déjà une marque de fabrique quasi officielle. La promesse d’un soutien de quelques gros fonds, dot de Smith (Vice) pour son mariage avec Murdoch (News Corporation), augmente simplement les enjeux de ces actes criminels déguisés en farces. Vous ne trouvez peut-être pas ça drôle, ou ça vous ennuie. Mais aujourd’hui, c’est à la nouvelle génération qu’on vend la sauce.
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