On ne s’intéresse souvent aux lettres de Rosa Luxemburg que dans leur relation avec ses textes politiques : parce que distinguer les éléments politiques des éléments privés est un exercice délicat ; et que dans les textes politiques les arguments sont solidement organisés, tandis que dans les lettres les idées sont formulées sans ce souci d’organisation. Pourtant, la correspondance de Luxemburg éclaire sa conception de la démocratie révolutionnaire.
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