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Article de revue

Variation sur la mort et le symbole

Pages 479 à 487

Notes

  • [1]
    Lacan, 1953-54, p. 178.
  • [2]
    Lacan, 1954-55, p. 447.

1Les adolescents que je rencontre dans ma pratique en hôpital de jour, en viennent presque toujours à investir de toute leur singularité le travail à la fois créatif et thérapeutique que je leur propose. Invités à écrire de la manière la plus libre qui soit, ils savent en effet déployer une narration qui bientôt deviendra le centre de nos échanges et de nos réflexions.

2Dans son cas précisément, Dan, quatorze ans, ne veut pas être là. Assis face à moi le dos voûté et les mains jointes il lève les yeux, me regarde comme poliment et répète il me semble pour la millième fois qu’il veut partir, ne pas rester là, s’en aller vite et loin, ce qu’il fera d’ailleurs dans peu de temps. Mais avant cela il va écrire, et travailler, investir un temps et un lieu donnés pour créer une histoire. Or justement le temps et l’espace lui posent problème depuis fort longtemps. En fait à l’âge de trois ans Dan semble déjà en retard. On rapporte qu’il se comporte comme un bébé, n’acquiert pas le langage comme il le devrait, ne se développe pas au niveau « psycho-affectif » en harmonie avec son âge. À six ans, les repérages dans le temps et l’espace sont clairement évoqués comme des problèmes majeurs. Bégaiements, dyslexie, le langage oral et écrit est également en retard. C’est à cette même période que ses parents se séparent… et que les symptômes s’accentuent. Un an et demi passe ainsi lorsque par un jour de septembre, un conducteur ivre renverse et tue le père de Dan.

3Lorsqu’on lui demande aujourd’hui l’âge qu’il avait lors de cet événement, Dan répond qu’il avait dix ans… ou plutôt non, il se reprend, il en avait onze… La charge émotionnelle et traumatique est trop forte. Dan exprime à travers cette confusion d’âge le temps qui apparemment se désorganise en lui, la perception temporelle qui semble lui poser problème.

4Il arrive dans l’institution alors que le travail scolaire au collège n’est plus possible. La cinquième qu’il vient d’effectuer s’est soldée par un échec. La faiblesse de ses résultats n’a d’égale que son découragement. On dit aussi de lui qu’il paraît angoissé. Les quelques lignes diagnostiques écrites lors de son admission parlent de « troubles précoces de la personnalité », de dépression, d’inhibition.

5Durant plusieurs mois, Dan va écrire à raison de deux fois par semaine. Un à un, il va enchaîner des récits qui au final formeront une seule et même longue histoire, l’épopée dramatique et contemporaine d’un adolescent naviguant entre l’hôpital et diverses destinations. Voici comment il débute :

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La route du destin
Texte 1
Bonjour je me présente je ne suis pas grand ça ne m’empêche pas de réfléchir beaucoup et sur des sujets compliqués. Je ne suis pas petit non plus, les jeux de billes m’ennuient. J’ai des cheveux courts car quand j’ai les cheveux longs je dois les peigner et ça met du temps. J’aime beaucoup tout ce qui est assez gore, j’aime les films qui font peur ça me plait, je ne sais pas pourquoi la mort m’intrigue… C’est peut-être à cause de mon passé j’aime beaucoup me bagarrer, mais mes parents avaient beau me dire que ce n’était pas bien, mais rien n’y faisait je continuais, ça me dérangeait pas de voir mes parents se déplacer à l’école voir tantôt la directrice, tantôt les parents. De toute façon je suis comme tous les enfants, quand on me disait de ne pas faire quelque chose je le faisais quand même, c’est comme la fois où j’ai vu mon premier film d’horreur c’était un dimanche soir il faisait nuit noire, il était à peu près 23 heures quand mes parents me dirent de dormir parce que ce n’était pas un film pour moi, ce qui allait suivre. Donc ils éteignent la lumière de ma chambre puis la télévision, mes parents très fatigués allaient se coucher, ils faisaient tous deux des métiers très épuisants ma mère travaillait comme boulangère, il se réveillait très tôt pour faire le pain du matin et mon père était caissier dans cette même boulangerie. Une fois couchés j’allumais la télé et très rapidement je baissais le son pour ne pas qu’ils entendent. Je voyais du sang partout, pour un baptême c’était un baptême, je me souviendrai toujours de cette scène où la tête tranchée par un cavalier sans tête roulait par terre. À 8-9 ans cette image choque donc après avoir vu le film je m’endormis, mais le problème ce n’était pas de dormir c’était de rester endormi, je me réveillais plusieurs fois.

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Texte 2
Je me dis qu’il fallait vraiment dormir demain j’avais école, j’allais dans la cuisine pour me servir un verre de lait, une fois bu j’allais dans mon lit et m’endormis mais cette fois sans me réveiller. Je pense à partir de ce moment-là je franchis une étape, je n’écoute pas la musique que tout le monde écoute, j’écoutais Marylin Manson. Moi je n’avais pas beaucoup d’amis car j’étais différent d’eux, et la différence fait peur. Les habits que je portais étaient noirs eux avaient des habits de couleur assez gais colorés. Je ne fréquentais pas les endroits à la mode où allait tout le monde, je restais au calme au cimetière parmi mes nouveaux amis.

8Tout commence donc par un autoportrait. Ni grand ni petit, l’auteur ne justifie d’avoir les cheveux courts que pour gagner du temps. À partir de ces quelques lignes, un lecteur non avisé aurait certainement toutes les peines du monde à entrevoir l’âge et le genre du narrateur.

9Il y a ensuite cette tête tranchée que Dan évoque également dès le début du récit. Au-delà de la réalité de cette mutilation, je crois voir l’allusion faite à un traumatisme. Le « sang partout », la tête qui « roule par terre » constituent en effet des images à ce point choquantes qu’il en perd dans un premier temps le sommeil. Mais ensuite il va plus loin dans l’exploration des conséquences inhérentes à cette vision d’horreur. Il le dit lui-même : « à partir de ce moment-là je franchis une étape ». Et il décrit alors les différences qu’il compte entre lui et ses pairs. Vêtements, fréquentations, goûts musicaux, tout en lui se métamorphose et tend vers la mort. Les habits se font noirs, les amis résident au cimetière.

10Au commencement de cette histoire, l’identité du narrateur frappe par son indistinction. Nulle autre partie du corps n’est décrite que les cheveux. Puis survient l’événement traumatisant que Dan qualifie de « baptême ». Déplaçons un instant ce rituel religieux de son contexte initial et nous verrons qu’il pourrait bien s’agir d’une forme de baptême mais alors inversé. Car il n’est pas question d’admettre, en le reconnaissant, qu’un corps vienne à la vie spirituelle et religieuse. Bien au contraire, Dan parle d’un baptême consacré par une vision d’horreur et de mort, baptême au cours duquel le sang paraît jouer le rôle de l’eau bénite, baptême après lequel le corps va se parer d’habits noirs, les oreilles se repaître d’une musique morbide.

11À travers ce qu’il écrit, Dan semble évoquer « l’autre monde » dans lequel l’événement traumatisant de la mort de son père l’aurait plongé. Jamais il n’est parvenu à m’en parler. Par contre il écrit que les morts sont les amis dont il recherche la compagnie. Mais cette étrange amitié ne s’accompagne pas que de vêtements et de musiques étranges. Voyons le troisième récit :

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Texte 3
Je n’aime pas la compagnie des autres, ils me trouvaient bizarre et je le sentais par exemple à la table personne n’allait s’asseoir à côté de moi, je crois que je les dérangeais. De toute façon je ne mange pas beaucoup, les médecins disent que je suis anorexique c’est de la bêtise je n’aime pas manger c’est tout. Chez moi c’était la guerre avec les parents ils voulaient que je mange bien, moi je refusais tout en bloc, ça m’arrivait même de donner au chien ma nourriture quand ils avaient le dos tourné. C’est vrai que je me nourris très mal mon mot d’ordre ne pas prendre un gramme, donc je ne prenais pas de pain, ni de brioche je prenais rien de gras. Je me sentais pas très bien dans ma peau je me sentais moche, laid, donc se trouvait ce système comme une porte de sortie. Mes parents étaient désespérés ils ne trouvaient plus rien pour moi, au début ils essayaient de m’aider en m’envoyant j’ai un psy, mais ça ne donnait rien il m’ennuyait à mourir, il me regardait en train de raconter ma vie alors que lui m’écoutait sans réponse il était assez froid. Donc le dernier retour était obligatoire ça n’allait vraiment plus de temps en temps j’avais des étourdissements c’est normal je ne mangeais presque pas donc j’avais moins de force. J’étais arrivé à l m 70 pour 40 kilos point critique, il fallait m’envoyer me faire hospitaliser…

13Lorsqu’il écrit son refus de manger, Dan continue de brosser cet autoportrait endeuillé. Le corps atteint sa légèreté maximale, il faut donc l’hospitaliser. Au défi qu’incarne ce corps face aux lois de l’apesanteur, il fait répondre ce qu’il qualifie lui-même d’enfermement. L’hospitalisation comme un poids lestant ce corps trop léger, me fait penser à une sorte d’arrimage salutaire à ses yeux. La fermeture du lieu permet-elle au corps de se fermer lui aussi et de contrer alors un évidement mortel ? Toujours est-il qu’une fois installé dans cette sorte de prison, ce même corps va jusqu’à la transparence. « On voyait presque mes os » écrit-il. Derrière cette image d’un corps rendu à sa plus extrême maigreur, il me semble voir apparaître à la fois l’idée d’une mort imminente, peut-être même celle d’une dégénérescence d’un corps nouvellement mort, mais aussi celle d’une peau transparente n’assurant plus sa fonction de contenant opaque. Le regard de l’autre peut percer à jour ce qui devrait rester invisible et même méconnu. Nulle intimité n’est dès lors possible. Nous voyons bien ici que Dan continue les investigations littéraires et introspectives autour de l’événement traumatisant dont il a tout de suite fait état, mais également autour de l’indistinction corporelle mentionnée plus avant. Ce corps à la maturité et au genre incertains, fut livré à un traumatisme inaugural, lui-même générateur d’un rapport singulier à la vie et à ses exigences.

14Dan écrit donc dès le début de son récit que ses amis sont au cimetière. Et pourtant, une fois la chose dite, il va lui-même s’inventer un ami, et bien vivant celui-ci. Dans le cinquième texte il dit d’ailleurs ceci : « J’avais un ami, je ne savais pas ce que c’était avoir un ami avant de le connaître à part mes parents et mes tombes je ne parlais à personne. » Après un début de récit très sombre et imprégné de l’idée de la mort, l’entrée en scène de cet ami semble promettre une ouverture. Dans un premier élan, Dan a convoqué diverses représentations liées à la mort et ce prélude lui a peut-être permis non seulement d’écrire ce que cette idée génère en lui, mais aussi de se trouver pour lui-même une alternative au côtoiement des tombes, et ceci à travers justement l’apparition de ce pair.

15S’ensuit une longue partie du texte au cours de laquelle il oscille entre l’hôpital, le foyer familial et « l’extérieur ». Il va à cette occasion rencontrer une jeune fille. Il s’installe chez elle un temps très court puis retourne chez ses parents. Mais encore il repart et il s’installe loin de chez ses parents, et de l’hôpital, rencontre une autre jeune fille, entame une vie professionnelle. Vie amoureuse, vie professionnelle, Dan brosse à présent la vie, et non plus la mort, au moins pendant un temps.

16Vient alors le texte 21, et voici comment il débute: « J’étais content de penser que j’étais vivant, j’étais enfin content ça faisait longtemps que je n’étais pas si heureux. » À cet élan de joie tourné vers la vie, il va associer au cours de ce même récit la rencontre avec une dernière jeune fille, et le retour de sa mère auprès de lui. Une fois réunis, voici ce que Dan écrit :

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Texte 22
Les jours se passaient inlassablement toujours de la même façon, le train-train quotidien. Je m’ennuyais à mourir, alors vers 5h00 de l’après-midi je commençais à faire les valises de tout le monde. Une fois les valises dans la voiture j’allais chercher les deux personnes qui comptent pour moi vers 6h15. On était enfin tous dans la voiture prêts à partir, où? Je ne sais pas. Mais ce que je savais c’est qu’on était tous ensemble et c’était pour moi le plus important. […] On était libre, libre de pouvoir aller où on veut, libre de faire ce qu’on veut.

18Sur le moment cette dernière phrase me laisse perplexe. Je me pose évidemment la question d’une limite à cette liberté. Et puis Dan revient le jour suivant et il écrit ce dernier texte :

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Texte 23
Libre de faire ce qu’on veut, non, il restait des choses qu’on ne pouvait pas faire mais je veux dire qu’il n’y avait pas de boulets aux pieds, pas de chose qui vous rattache à une autre. […] Il faisait beau je demandais à tout le monde si ils voulaient sortir se promener aujourd’hui ils me répondent oui. Je pense que eux non plus ne voulaient pas aller au travail. On se promena pendant des heures jusqu’à ce qu’on arrive sur un pont, on a vu des personnes qui faisaient du saut à l’élastique. On les voyait sauter, et on s’est dit pourquoi pas nous ? On pris notre courage à deux mains puis demanda à cette bande d’amis si c’était possible de faire un saut à trois ? Ils répondirent oui mais les risques étaient multipliés. Ce n’était pas grave ce qu’on voulait c’est des sensations fortes. Ils montèrent sur le rebord du pont ils avaient tous un peu peur puis ils sautèrent mais les cordes subirent un poids trop lourd puis cassèrent.

20Comme limite à la liberté, Dan en propose une de taille ! On ne peut pas tout faire, car même si c’est autorisé, d’un saut à l’élastique à trois on ne revient pas. C’est tout du moins ce qu’il propose dans son récit. Ici deux points me paraissent essentiels. Il y a tout d’abord la représentation d’une relation à trois, et puis la représentation d’un passage, celui de la vie au trépas. Par la juxtaposition de ces deux représentations, Dan mobilise peut-être de quoi faire surgir un ordre symbolique parfois défaillant et toutefois nécessaire à sa santé psychique. Car seule la relation triangulaire, qu’elle soit réelle ou bien imaginaire, peut espérer s’élever au rang de relation symbolique. J. Lacan le dit, pour qu’il y ait relation symbolique, « il faut qu’il y ait effectivement toujours trois personnes » [1] Lorsqu’il met en présence sa mère et sa petite amie à ses côtés, Dan convoque donc une dimension potentiellement symbolique et il les emmène jusqu’à la mort. Il les accompagne vers cette fin somme toute logique – leur poids trop lourd reste une explication cohérente, mais en même temps étrange –, leur désir de sauter échappe à toute justification autre que celle d’une quête de « sensations fortes ». Ici bien sûr, l’idée d’une transgression, d’un rapproché interdit affleure. Puis comme un écho à cette même idée me revient en tête la liberté que Dan écrivait à la fin du texte 22 – j’évoquais alors ma perplexité face à ces propos. Que vont-ils donc chercher, si ce n’est une chose, certainement très précieuse, et que Dan lui-même recherche à travers ses propres écrits ?

21Revenons encore un instant auprès de nos trois personnages. Avides de « sensations fortes », ils demandent à être liés de corps puis jetés dans le vide. On les attache, on les ligote presque, leurs regards se penchent vers le vide et ils confient alors leur destin aux cordes. Roulette russe « moderne » donc sécurisée, le saut à l’élastique comporte malgré tout une part de risque. Même infime, ce sera cette possibilité et non une autre que Dan décide de convoquer. Il sous-entend littérairement le trépas des personnages, lève les yeux vers moi et lorsque je lui exprime ma curiosité face à cette scène finale, il dit ceci : « Ils sont heureux car ils sont morts. » Seraient-ils allés chercher le bonheur – peut-être même le plaisir – dans la mort elle-même ? Auquel cas il s’agirait d’un élan, une forme de poussée déraisonnée. Car les personnages ne se disent pas qu’ils cherchent une fin, mais seulement des « sensations ». Le corps chercherait à se satisfaire, et ce malgré la raison qui n’ignore pas la multiplication des risques, comme un mouvement irrépressible. Une poussée vers et malgré un risque vital, entraînerait les personnages vers leurs perte et bonheur à la fois. Ici je pense au propos de J. Lacan lorsqu’il dit de l’ordre symbolique qu’il est « ce que Freud vise quand il nous parle de l’instinct de mort comme de ce qu’il y a de plus fondamental, – un ordre symbolique en gésine, en train de venir, insistant pour être réalisé » [2].

22Lorsque J. Lacan parle d’instinct de mort, il y a donc l’idée freudienne d’une pulsion tournée vers un monde inanimé, le Nirvanâ, mais aussi celle d’un sujet connaissant cette destination comme la voie y menant. Et c’est à savoir presque malgré lui, se diriger sur ce chemin de la jouissance, que le sujet en viendrait à rencontrer un ordre symbolique fondateur et pourvoyeur de sens.

23À la fin du texte 22 et au début du texte 23, Dan met en question sa liberté d’action. Au cours de son dernier récit, il entoure les trois personnages d’un cordon… et les envoie, dans la joie, vers le trépas. Sanction sans appel, cette mort que Dan convoque littérairement serait une représentation à même de faire taire ce que suscite ce rapproché des corps.

24En cette fin d’histoire, tout culmine et vient donc à se lier comme pour enfin prétendre à quelque trouvaille symbolique et structurante. De là émergera peut-être un nouvel être au monde, une façon inédite de vivre la relation à l’autre – mais aussi à l’Autre – et enfin à soi-même.

25Quelques jours après ce dernier récit, Dan quitte l’institution. Il sort du milieu hospitalier pour intégrer un collège privé et tenter de vivre son adolescence sans le soutien dont il avait jusqu’ici bénéficié. Voici bientôt trois ans que Dan est parti. Aux dernières nouvelles son parcours reste semé d’embûches. L’orientation se fait problématique. Il est parfois venu vers nous chercher quelque secours puis un jour il a cessé de nous solliciter.

26Dan me laisse donc dépositaire d’un long texte dont je n’ai retranscrit ici qu’un bref extrait. Car il a beaucoup travaillé. Souvent d’ailleurs, j’ai pu observer des effets de retour sur lui-même qu’il a semblé vivre en écrivant ou bien en se relisant. Tout s’est passé comme s’il avait organisé, parfois malgré lui, une rencontre avec lui-même. Comme une parole enveloppante et extérieure, ses propres écrits seraient venus le renseigner sur ce qu’il est et sur ce dont il a besoin. De là une quête, à priori morbide, dans un récit que la mort clôture, et qui se trouve probablement plus tourné vers la résolution vitale d’une problématique se situant à mi-chemin entre le vécu d’un deuil dans la réalité, et une représentation lancinante de la mort.

Bibliographie

BIBLIOGRAPHIE

  • lacan j. (1953-54). Le séminaire II. Les écrits techniques de Freud. Paris : Seuil, 1978.
  • lacan j. (1954-55). Le séminaire I. Le Moi dans la théorie de Freud et dans la technique de la psychanalyse. Paris : Seuil, 1975.

Mots-clés éditeurs : écriture, symbole, mort

https://doi.org/10.3917/ado.056.0479

Notes

  • [1]
    Lacan, 1953-54, p. 178.
  • [2]
    Lacan, 1954-55, p. 447.
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